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Les vacances de Muriel 4 Final

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Essayages !

À notre réveil, le soleil était déjà haut. Annie nous avait gentiment préparé le petit déjeuner.

Aucun doute, à son réveil, elle nous avait vues, enlacées sur la même couchette. Elle nous accueillit avec un super sourire :

« Ces demoiselles ont passé une bonne nuit ? »

Nous ne pûmes nous empêcher de rire. Le petit déjeuner fut très jovial.

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Nous avions décidé de traîner en ville pour faire les boutiques, et aussi en profiter pour acheter un souvenir à mes parents Marie-Claude et Marcel. Autant profiter aussi du fait d’être inconnues dans une ville balnéaire pour entrer dans les endroits que nous n’osions visiter dans notre propre ville… Une petite boutique, au fond d’une impasse, nous attira. Une modeste vitrine exposait quelques modèles de robes, jupes, hauts et pièces de lingerie encore sages, mais surtout, quelques affichettes manuscrites nous invitaient à venir découvrir une collection complète à l’intérieur.

Collection complète de quoi ? Nous avions bien une petite idée et nous n’allions pas tarder à savoir si elle était exacte.

Le magasin était désert, pas une âme qui vive. Les rayons étaient à la hauteur de la vitrine. De petites fringues sympas, sexy en diable. Nous prenions plaisir à partager bruyamment les découvertes que nous pouvions faire à chaque instant.

Ce raffut attira très certainement la vendeuse qui sortit de l’arrière-boutique en souriant. Une mignonne petite blonde, mince, d’environ 25 ans, en minijupe rose et chemisier blanc qui nous offrit tout de suite son aide, nous proposant de passer à notre guise les vêtements qui nous tentaient. Comment résister à une telle invitation ? Un choix rapide, et hop, en hop, en cabine !

La vendeuse prenait le temps de nous conseiller, donnait son avis qui semblait sincère, sans perdre patience. Elle parut néanmoins un peu ennuyée lorsque nous demandâmes la permission d’essayer la lingerie.

« Vous savez, c’est interdit normalement, je dois demander à la patronne »

Elle se dirigea vers le comptoir, parla un petit moment au téléphone et revint en souriant.

« C’est d’accord, mais pas dans le magasin, suivez-moi derrière. Je pense ce que nous en avons en réserve vous plaira »

Elle nous entraîna dans l’arrière-boutique avec un sourire complice. J’eus l’impression que tout venait de basculer, et la suite prouva que je ne me trompais pas.

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À peine la porte refermée, la vendeuse nous indiqua un portant sur lequel se trouvait ce qu’elle nous présenta comme étant une collection plus osée, difficilement présentable au grand jour dans un magasin d’une petite ville de province, mais très appréciée par une clientèle fidèle. Il est vrai que pour être osé, c’était osé… En fait, parties comme nous l’étions, c’est tout ce qu’il nous fallait. Des robes hypermoulantes, des jupes si courtes… Des dessous affriolants noirs, rouges… Une caverne d’Ali-Baba pour jeunes filles délurées ou désirant le paraître. Charlotte (la vendeuse) nous invita à laisser nos envies s’exprimer, ce que nous fîmes.

Chacune de nous trois choisit une tenue fort sexy avant de se diriger vers quelques cabines.

Une fois habillées, nous nous retrouvâmes devant les cabines. La situation semblait déraisonnablement glisser sans qu’aucune d’entre nous ne cherche à l’empêcher. Tout devenait irréel. Charlotte nous proposa de porter un regard critique sur nos choix.

Elle commença par Justine, qui avait choisi une robe entièrement blanche, dos nu presque jusqu’au haut des fesses, deux fines bretelles nouées dans le dos retenant le haut, cintrée à la taille et s’évasant dessous, arrivant à peine mi-cuisses. Portés sans soutien-gorge, ses mamelons tendus pointaient sous le tissu un peu transparent, laissant aussi deviner ses aréoles. Charlotte s’approcha de Justine, la fit se retourner, et sous prétexte d’ajuster la robe, posa ses mains sur ses hanches. Un peu surprise, mais surtout très excitée, Justine se cambra, offrant ses fesses. Charlotte ne pouvait résister à un tel appel.

Elle laissa ses doigts descendre à travers la robe, sur les deux globes fermes, puis entama un massage insistant. Justine se pencha vers l’avant, prenant appui des deux mains sur un portant. Charlotte porta sa caresse vers le bas des fesses, et s’agenouillant, descendit le long des cuisses de Justine. Elle y posa ses lèvres tout en continuant à la caresser. Les mains disparurent sous la robe, s’activèrent. Je les voyais distinctement bouger sous le tissu, dans une série de gestes explicites. Justine l’aida un peu en écartant les jambes. Sa position était tout à fait indécente, mais si excitante.

Charlotte semblait particulièrement rodée à ces essayages particuliers. Elle réservait à Justine une surprise que je trouvai bien agréable. Tout se passa sous la robe, en suggestion pour nous.

Habilement, elle fit glisser la culotte que Justine avait choisie : en fait, nous découvrîmes un superbe string en dentelle blanche, dont elle nous montra le fond. Une généreuse tache de liqueur l’avait déjà largement maculée. Charlotte, sans mot dire, se remit à embrasser le bas des cuisses de Justine, remonta lentement, et contrairement à mon attente, ne releva pas sa robe. Elle laissa sa tête se glisser dessous jusqu’à atteindre son intimité. Au soupir que poussa Justine, je me doutai qu’elle appréciait la caresse, et que celle-ci lui était administrée par une langue experte. Je sentais mon entrejambe se mouiller à la vue de ce spectacle, une furieuse envie de me caresser monta en moi.

Je n’eus pas le temps d’esquisser le moindre mouvement. Annie, qui s’était glissée derrière moi, passa ses bras sous les miens et posa ses mains sur mes seins aux pointes dardées. J’avais choisi une minirobe moulante en lycra que je portais sans soutien-gorge. Le contact de ses doigts à travers le tissu m’électrisa littéralement. Je reculai pour me coller à elle, poussant mes fesses contre son pubis.

Elle descendit vers mon ventre et ne s’arrêta que lorsqu’elle atteignit ma motte, pour la masser avec vigueur. Ses gestes rapides et précipités trahissaient son excitation. Elle fit remonter ma robe pour découvrir ma culotte en dentelle noire et me caressa à travers elle. J’étais trempée.

« On dirait que ça t’excite de voir Justine se faire caresser, à moins que ce ne soit ma main qui fasse son œuvre… »

Annie me plaçait face à mes émotions, mes désirs. Je ne pouvais me dérober, et de toute manière, je ne le souhaitais pas. La seule personne à qui je devais finalement avouer que le sexe m’attirait, c’était moi-même. Je m’abandonnai. Je m’entendis lui répondre comme dans un rêve :

« Baise-moi, Annie, baise-moi ! »

Je ne pouvais et ne voulais plus me contrôler. C’était la première fois que je ne me laissais pas entraîner, mais que je demandais, que j’appelais de mes vœux le plaisir du sexe, des caresses d’Annie. Je voulais jouir pour le simple plaisir de jouir.

Comme si je venais de la libérer elle aussi, Annie s’enhardit encore. Ses mains se firent plus pressantes sur mon pubis. Sa caresse se mua en une franche masturbation à travers la dentelle. Le fond de la culotte s’imbibait inexorablement de mon miel.

Soudain elle fit glisser la fermeture éclair qui fermait ma robe, partant d’entre mes omoplates pour arriver au creux de mes reins. Je me cambrai, parcourue par un frisson qui me fit chanceler.

J’accompagnai son mouvement lorsqu’elle fit glisser tout d’abord la robe, puis la culotte à mes pieds.

J’étais nue, offerte, j’en éprouvais une grande émotion teintée de fierté.

« Viens, mon bébé »

Elle m’entraîna à quelques pas d’où nous nous trouvions et m’allongea sur un matelas qui n’était sûrement pas là par hasard… Les essayages devaient être souvent sulfureux… Elle s’agenouilla et écarta mes cuisses, prenant le temps de poser un regard insistant sur mon intimité offerte. Penché en avant comme elle l’était, son débardeur bâillait largement, dévoilant sa poitrine emprisonnée dans un superbe soutien-gorge à balconnet en dentelle blanche.

J’avais une de ces envies de peloter ses seins, de les embrasser… J’allais avancer mes mains vers ces joyaux lorsqu’elle plongea sa tête entre mes cuisses, commençant un long baiser sur mon pubis. Comme pour l’encourager, j’appuyai sur sa tête, caressant ses cheveux. Sa langue ne tarda pas à venir se faire coquine. Annie léchait habilement mes lèvres. Elle s’insinua entre elles, se frayant un passage entre les replis juteux pour venir s’introduire à l’entrée de mon vagin. Je sentais cette langue, vivante, se débattre en moi, petite pucelle en abandon total.

J’aurais à ce moment tout accepté d’elle.

Lorsque sa langue quitta ma grotte détrempée, je ne compris pas de suite, déroutée que j’étais par ce retrait entrepris avant ma jouissance. Mais Annie allait bien vite me surprendre en se dirigeant vers un endroit que je considérais encore comme tabou, ne m’imaginant pas qu’il pouvait procurer autant de plaisir. Elle s’empara de mes jambes, les passa sur ses épaules. Je me laissai guider, totalement emportée. Elle revint lécher mes lèvres, descendit lentement vers le bas de ma fente, puis plus bas, plus bas… Je fus prise d’un début de panique.

Elle se dirigeait vers mon œillet. Le temps d’à peine réaliser ce qu’elle faisait, elle le titillait de sa langue frétillante. Je me sentis me contracter instinctivement, n’étant pas cérébralement préparée à cette caresse. Mais Annie était douce, mon excitation et mon envie firent le reste. Je ne fus pas longue à me détendre. Sa langue virevoltait sur les plis de ma rosette. Je ne pensais plus qu’à offrir mon intimité à sa bouche. Elle se dégagea pour mieux reprendre l’initiative, me guidant lentement pour me positionner à quatre pattes, telle une petite quadrupède attendant l’assaut. Placée comme je l’étais, je pouvais voir Justine allongée sur le dos, cuisses ouvertes, se faisant dévorer par la vendeuse.

La bouche de Charlotte n’était plus qu’une ventouse collée sur la chatte de Justine qui se tortillait, subjuguée par le plaisir. La jupe de Charlotte était relevée, découvrant une superbe culotte blanche, fendue, chose que je voyais pour la première fois.

Par la fente elle se masturbait, son index et son majeur en proie à un va-et-vient effréné entre ses lèvres. Mon excitation redoubla, et ce fut comme une délivrance lorsque Annie caressa ma raie culière de ses doigts. Je sentis une fraîcheur au moment où elle toucha mon trou plissé. Je me retournai pour apercevoir, juste à côté de moi un tube de gel lubrifiant intime. Je ne pouvais en douter. Elle en enduisait son doigt et mon anus : j’allais y passer, et malgré l’anxiété bien compréhensible de toute première fois, je le désirais plus que tout.

J’écartai mes genoux pour lui ouvrir le passage.

Enhardie par ce geste, Annie enduisit largement mon petit trou, et y posa son auriculaire. Caressant mon pubis de la main gauche, elle pressa doucement sur ma rosette qui me sembla l’accepter sans aucune difficulté. Son petit doigt écartait mes plis chaque fois un peu plus sous l’effet d’allers-retours rapides très peu amples, m’ouvrant ainsi avec la plus extrême lenteur.

Ce fut le choc. Poursuivant son mouvement d’intromission, elle força mon intimité arrière lentement, dépucelant mon sphincter. Chavirée par l’émotion tout autant que par la sensation de plaisir, je poussai un cri de bonheur accompagné d’un geste équivoque. Je reculai mon bassin vers son doigt, m’empalant dessus. Annie poussa son avantage et vint totalement en moi. Je sentais son doigt vivre en moi. La caresse conjuguée sur ma vulve et ce doigt inquisiteur déclenchèrent mon premier orgasme. Dans un râle intense, mes bras fléchirent, exposant mes fesses comme jamais. Je haletais, le nez dans le matelas. Le doigt sortit de mon fondement, lentement, sans m’infliger aucune douleur.
Annie posa sa main droite en conque sur mon pubis, son pouce venant naturellement se glisser entre mes fesses. Sans doute très excitée elle aussi, elle me força plus vite, dilatant un peu plus mon sphincter. Une légère douleur me fit me contracter, l’emprisonnant. Sa main gauche vint caresser mes seins, me détendant lentement. Son pouce entama alors le va-et-vient qui m’avait procuré tant de plaisir quelques minutes auparavant. L’action conjuguée de toutes ces caresses ne se fit pas attendre. Mon deuxième orgasme me faucha littéralement. Je ne pus résister, m’effondrant sur le ventre. J’étais en nage, haletante, totalement dépassée par tant de jouissance, ne pouvant me relever.

Je reprenais lentement mon souffle, aidée en cela par les tendres caresses d’Annie. Mon anus me brûlait bien un peu, mais qu’était cette douleur par rapport au plaisir que je venais de vivre ? Le matelas pouvait en témoigner. Il était maculé par mon miel qui y avait laissé une large auréole. À côté de nous, Charlotte et Justine, enlacées, se câlinaient doucement. Je ne sais combien de temps durèrent ces instants. Charlotte, la première, prit l’initiative de nous signifier « la fin des hostilités ». Sa patronne n’allait pas tarder.

« Ce n’est pas qu’elle trouverait à redire à la situation, bien au contraire, mais ce n’est pas une fille pour vous… »

Nous quittâmes le magasin à regret après nous être rhabillées en nous échangeant encore quelques tendres caresses. Il était temps d’aller déjeuner.

Nous avons trouvé un petit restaurant que Charlotte nous avait recommandé. Il restait une table de libre au fond de la salle, dans un coin où nous étions un peu à l’écart des autres clients. Justine et moi nous nous sommes installés sur la banquette dos au mur et Annie en face. Après avoir passé la commande, nous échangeâmes sur notre aventure de ce matin quand Annie nous dit :

« Justine et Muriel, j’ai une grande envie de m’exhiber un peu ici même, j’aimerais que chacune aille aux toilettes enlève sa culotte et son soutien-gorge et revienne à table. Je vais être la première à y aller puis à mon retour ce sera Justine et toi Muriel ! »

Elle se leva se rendit aux toilettes et un court instant revins à table avec son string et son soutien-gorge dans sa main sous le regard du serveur qui venait de nous amener les entrées. C’était mon tour de m’y rendre, j’essayais lors de mon retour de dissimuler au maximum mes sous-vêtements que je mettais dans le sac à mon retour. Après le retour de Justine des toilettes j’ai remarqué qu’une main d’Annie avait disparu sous la table et se trouvait active au niveau de son bas-ventre.
Annie sans aucune gêne se masturbait lentement en jetant plusieurs coups d’oeil à sa gauche pour voir si personnes pouvaient voir. Ces caresses en public m’excitaient à tel point que j’imitais Annie. Justine de son côté se proposa de faire le guet et de nous prévenir de l’arrivée du serveur. Annie pour étouffer ses gémissements posa sa main libre devant sa bouche son coude prenant appui sur la table. Plusieurs interruptions dues à la venue du serveur et dès son départ la masturbation reprenait. Annie eue un orgasme en émettant un cri que sa main devant sa bouche n’a pas pu étouffer complètement et qui fut tourné la tête dans sa direction de plusieurs personnes attablées à côté.
Mon orgasme suivait immédiatement après celui d’Annie, et c’était au tour de Justine de se donner du plaisir. À un moment donné ma main gauche est allée remplacer la main de Justine pour qu’elle puisse terminer de manger, elle ne tarda pas à jouir dans ma main en émettant un cri de plaisir qu’elle n’avait pas pu étouffer ce qui alerta de nouveau les proches clients ainsi que le serveur qui arrivait à ce moment pour débarrasser nos assiettes et nous proposer le dessert.

Après le déjeuner, nous avons continué notre shopping, dans les commerces afin de trouver des souvenirs pour nos parents respectifs à chacune d’entre nous. Cela était pour nous le moment de nous exhiber comme Annie notre initiatrice nous l’a demandé.

Voici ce qu’elle nous proposa en arrivant dans une grande surface :

« Entre deux rayons l’une d’entre nous se penchera en avant sans plier les genoux ou s’accroupira en écartant les cuisses, pendant que les deux autres font le guet au cas où un vigil ou des enfants arrivent. Puis ce sera à une autre de réaliser la même chose. Nous pourrons aussi nous embrasser goulûment en se caressant, voilà, nous avons le choix, peut-être nous ferons une conquête qui sait ».

Cette exhibition fut un échec non parce qu’elle était réussie, mais parce que personne n’a mordu à l’hameçon. Déçues, nous sommes rentrés au camping.

La journée naturiste

La nuit nous l’avons passée sagement pour une fois quand au petit matin Annie eu un appel de Mireille nous demandant si nous étions d’accord de passée une journée ensemble avec Éric chez eux, et elle rajoute si vous acceptez ce sera une journée naturiste. Après concertation nous avons accepté l’invitation et Mireille nous dit qu’Éric vous cherchera d’ici une petite heure.

Une petite heure avait dit Mireille à Annie ? Après qu’Annie a raccroché, la petite heure, c’est transformé par magie en 10 minutes. Éric frappa à la porte de la caravane. Justine encore en chemise de nuit se précipita à la porte en l’entrouvrant légèrement, fut surprise par la présence d’Éric. Bien entendu elle lui ouvrait la porte immédiatement le laissa entrée et lui sauta au cou pour l’embrasser goulûment.
Annie laissa Justine terminée son embrassade et prit sa place pour un long baiser interminable. De mon côté je commençais à m’ennuyer et comme j’en avais marre d’être toujours la dernière à être servie, profitant de ce qu’Annie et Éric semblent soudés par ce bouche-à-bouche matinal, je m’approchais d’eux m’accroupis et tira sur le short et le slip d’Éric dénudant son sexe déjà en forme. Avant qu’Annie s’en empare, j’ai pris son sexe immédiatement entre mes doigts et le branlai lentement. À vue d’oeil sa bite grossissait, Annie, elle faisait du bouche-à-bouche et moi Muriel c’était de la bouche à queue. J’administrais alors ma première fellation à un homme, Cette queue qui devenait énorme je ne la lâchais plus, me vengeant non pas par jalousie parce qu’Annie l’autre jour s’en était approprié pour elle toute seule, ne nous laissant à Justine et à moi que quelques attouchements, j’ai décidée que cette queue sera pour moi ainsi que sa sauce blanche que je vais déguster à la fin sachant très bien qu’Annie reprendra de nouveau possession chez lui.
Après une bonne dizaine de minutes de cette bonne fellation Éric dans un râle éjacula dans ma bouche une bonne quantité de sperme que je m’empressais à aller partager avec Justine et Annie avant d’embrasser goulûment Éric.

Nous voilà prêtes pour nous rendre au domicile du couple Éric et Mireille, en cours de route il nous informa qu’il avait organisé cette journée comme étant une journée naturiste et il y aura un barbecue pour le déjeuner. Nous serons pour la plus grande partie de la journée à l’extérieur, derrière la maison, rassurez vous les voisines sont partis en voyage et ne reviendrons que la semaine prochaine.
Annie comme la dernière fois était assise à l’avant et avait posé sa main sur la cuisse d’Éric en remontant de temps à autre vers son entrejambe tandis qu’Annie avait troussé sa jupe dénudant son bas-ventre et montrant l’absence de culotte.
Justine et moi, nous n’arrêtions pas de nous rouler des pelles et de nous caresser enlacées à l’arrière de la voiture.

Nous voilà arrivée, Éric gara la voiture dans la cour devant le garage et nous demanda à nous déshabiller pour cette journée naturiste. Annie la première a enlevé son cache-cœur et sa minijupe suivie par Éric qui retira son t-shirt son short et son slip en même temps, Il ne restait que nos deux robes à enlever et nous voilà nus, à suivre Éric qui nous guidait vers l’arrière de la maison ou il y avait une grande table et des chaises de jardin, des transats et des matelas gonflables, ainsi qu’un barbecue. En arrivant, Mireille sortie de la maison nue comme nous, par la porte-fenêtre grande ouverte et comme avant au camping Annie la première à recommencer son bouche-à-bouche non pas avec Éric mais c’est Mireille cette fois-ci qui y avait droit et cette fois-ci c’est Justine qui est allé s’accroupir devant Mireille qui devinait ou Justine voulait en venir écarta ses cuisses afin de permettre à Justine de lui faire de la bouche à chatte et de lui insérer un puis deux doigts dans son vagin. Quant à moi je pris la main d’Éric l’entraîna vers un matelas lui demanda de s’allonger pour un 69.

Une fois allongée, je m’agenouillais, les jambes de part et d’autre de sa tête, puis je m’assis sur son visage, légèrement penchée en avant, prenant sa bite entre mes doigts et la branlais lentement avant d’approcher ma bouche vers ce monstre tendu en érection. Éric me tenait par les hanches je sentais son souffle chaud pénétré mon sexe et une langue parcourir mes lèvres intimes. Ma langue léchait ton gland, ma main droite te branlait tandis que la gauche malaxait ta bourse, sans plus attendre ma bouche absorba ta queue et je l’enfonçais jusqu’au fond de ma gorge puis je commençais à faire des allers d’abord lentement puis de plus en plus vite. Je gémissais, je sentis ta langue jouer avec mon clitoris que tu prenais entre tes lèvres en tirant dessus puis le relâchant, Tes doigts pénétrèrent mon vagin et me procurèrent un premier orgasme,

En face de nous, Annie prit la place de Justine et cette dernière qui en plus du bouche-à-bouche faisait rouler les tétons de Mireille entre ses doigts. Annie tout en léchant la chatte de Mireille, essaya de pénétrer avec un doigt son anus.

Éric m’amena à mon second orgasme et il m’offrit aussi son second petit déjeuner que j’allais tout de suite partager avec sa femme en l’embrassant longuement, alors qu’un doigt d’Annie fouillait son anus et la langue titillait le clitoris. Mireille partagea ensuite le sperme avec Justine.
Cette journée va certainement nous réserver d’autre surprise, mais de plus en plus me trottait en tête cette question sur cette recommandation de mes parents de ne pas venir leur annoncer que je suis enceinte avant d’être mariée ou de vivre avec un garçon. Je ne connais pas les intentions de mon amie Justine pucelle comme moi, mais la tentation est forte d’accepter la pénétration vaginale avec Éric en prenant toutes les précautions possibles. Cette question me tiraillait l’esprit pendant la pause petit déjeuner et Mireille assise en face de moi remarqua mon trouble, je n’étais plus souriante depuis quelques instants.
Mireille me demanda de l’aider à débarrasser la table avant de continuer nos ébats sexuels que le couple avait programmés, elle profita de ce moment ou nous étions seules en cuisine de me demander ce qui me tracasse. De crainte à ce que quelqu’un vient elle me prit par la main et m’emmena dans sa chambre où elle me prit dans ces bras et me demanda de me confesser.
Après m’être confiée à Mireille elle me rassura que son mari est très compréhensif et acceptera ton refus de te faire dépuceler. Il va faire la même demande à ton amie Justine, ne t’en fait pas ma chérie.
Pour la remercié je me suis rapprochée de Mireille ma bouche se posant sur la sienne, nos lèvres se sont soudées et nos langues se sont emmêlées dans un long baiser, tandis que nos mains libres sont parties dans des caresses sur nos corps finissant l’exploration de nos chattes en feu. Pour ne pas trop faire attendre les autres nous nous sommes allongés sur le lit en position du 69 nous avons eu en même temps un orgasme. Nos jouissances bruyantes ont alerté, Annie, qui bien que ce soit avec Justine ma meilleure amie, était jalouse.

De retour sur la terrasse la grande surprise fut pour moi de voir Annie en levrette à même la pelouse, et Éric derrière elle en train de la sodomiser. Je me reposais de nouveau cette même question que je m’étais posée la dernière fois : « Comment est-ce possible qu’un sexe aussi gros que celui d’Éric puisse pénétrer l’anus ? »

Justine était à quelques mètres d’eux et se masturbait en les regardant, quand soudain Mireille me demanda ainsi qu’à Justine de venir à la cuisine, elle a un plan pour l’après déjeuner :

« Voilà, nous allons faire une chaîne, Annie s’allongera sur le dos, toi Justine tu te mettras en levrette et tu lécheras le minou d’Annie, ensuite ce sera moi Mireille qui m’allongera sur le dos la tête entre tes cuisses, mon mari se mettra en levrette et me lèche quant à toi Muriel je te propose deux choses soit tu t’allonges et tu lui pratiques une fellation, où alors tu seras équipée d’un gode ceinture anal et tu le sodomises. Libre à toi de choisir. Muriel tu me donneras ta décision plus tard, mais rassure-toi, il aime ça se faire sodomiser par une femme ».

Après avoir informé Annie qui accepta avec plaisir, le sexe fut mis en pause et nous passions le reste de la matinée à rêvasser à nous racontés des histoires, pendant qu’Éric préparait le barbecue et que Mireille préparait la table.

Quant à moi, j’informais Mireille que mon choix se portait sur la sodomie. Après le déjeuner et après avoir débarrassé la table, Mireille informa Éric que le programme a été légèrement modifié. Elle ordonna la mise en place du scénario qu’elle avait élaborée et la chaîne se forma conforme à sa décision sauf moi qui devait intervenir quelques instants plus tard une fois que tous étaient partis dans la préjouissance. Pendant cette période je m’équipais du gode ceinture que j’enduisais d’une couche de lubrifiant, puis je me dirigeais vers la chaîne humaine. Je me positionnais derrière Éric posa le gode sur sa rosette en étalant le lubrifiant sur son anus avant que je commence à le pénétrer lentement. Éric cessa un moment son cunnilingus sur sa femme pour me dire d’une voix bégayante de ne pas hésiter à y aller dans cette sodomie qui était une première pour moi.
C’est sur ses ordres que j’enfonçais ce gode dans son anus et commençais un va-et-vient lent en le tenant par les hanches, tandis qu’il reprenait son cunnilingus sur Mireille. La chaîne fut interrompu plusieurs fois pour changement de rôle pendant que moi je continuais à sodomiser Éric, pendant le dernier changement Mireille modifia cette chaîne, elle me demanda d’arrêter sans quitter le cul de son mari afin que Justine puisse se positionner en 69 sous Éric, et Annie va ainsi se mettre en 69 avec Mireille. Ainsi la chaîne modifiée la partie recommença de plus belle, Annie et Mireille se léchaient leurs chattes tandis que Justine suçait Éric et se faisait lécher par ce dernier, alors que moi je reprenais la sodomie.

Cette partie dura une bonne partie de l’après-midi, les jouissances devenaient de plus en plus bruyantes et après avoir joui une pause s’imposer dans nos ébats. Nous nous sommes allongées sur les transats et avec la chaleur la plupart se sont assoupies.
Quelques instants après je fus tiré du sommeil par des gémissements et des cris étouffés qui provenait de l’intérieur. Regardant à droite et à gauche je m’aperçus que Justine et Éric ne sont plus présents et qu’Annie et Mireille dormaient. Doucement, je me dirigeais à l’intérieur en me laissant guidé par le bruit des gémissements émanant de Justine qui allonger sur la table de la cuisine ses jambes sur les épaules d’Éric se faisait baiser en criant :

« Ouiiiiiiiiiiii, baise moiiiiiii ! Encore plus fort ohhhhhhhhhhhh Ouiiiiiiiiiiii ! »

Choquée par la vue de mon amie qui se faisait tringler par Éric, me sentant trompée alors qu’elle comme moi avait juré de ne pas avoir dans nos rapports sexuels de pénétration vaginale, ne voulant pas trahir la promesse que j’ai fait à mes parents, je quittais la maison en pleure.
Annie et Mireille se réveillèrent et ont très vite compris ce qui m’arrivait.

Les ébats d’Éric et de Justine se sont arrêté Mireille est allé voir ce qui se passe et elle à découvert Éric en train de nettoyer la table souillée par du sperme et du sang de Justine en perdant sa virginité. Justine quant à elle est allée prendre une douche.
Annie essayait de me consoler, mais rien n’y fit, je voulais rentrée chez moi, pour moi ces vacances était gâché. Lorsque Justine sortie de la douche je suis allé prendre la mienne et en la croisant je lui signifiais que dorénavant elle ne m’adresse plus la parole. Justine est allée rejoindre les autres et je suis allé prendre ma douche. Je fus rejointe pas Mireille qui en profita pendant que je me séchais les cheveux pour prendre la sienne tout en essayant d’arranger les choses, en trouvant un compromis, mais tout en faisant comprendre à Mireille que je ne vous en veux pas ni à toi ni à Éric, c’est arriver, mais entre moi et Justine, c’est fini, elle m’a trompée, elle n’a pas respecté notre accord, au moins elle aurait pu m’en parler, je n’aurais certainement pas refusé.

« Je suis désolée Mireille, mais je pense écourtée mes vacances et rentrée à la maison je vais me renseigner auprès de la SNCF pour si c’est possible d’avancer le départ de deux jours. Elle est loin la gare ? »

« Muriel, aller calme, toi,, tu fais tout un drame pour ça soit raisonnable, ne vous fâchez pas ce sont tes amies, tout de même, vient allons les rejoindre ! »

« Non, je vais aller à la gare ou alors je les appelle »

« Bon fait comme tu veux, mais essaye de parler au moins avec Annie elle va peut-être arranger les choses ! »

« Mireille ce n’est pas Justine qui ne veut plus me parler c’est moi qui ne lui adresse plus la parole car elle m’a trompée ».

Éric est intervenu dans la discussion, il a réussi à me calmer, et demanda à Justine et à Annie de venir s’excuser, Éric me présenta lui aussi ses excuses d’avoir accepté la demande de Justine, excuse que j’acceptais bien entendu d’Éric, tout comme celle de Justine et d’Annie indirectement impliquée.
Cependant, malgré cette réconciliation je décidais d’écourter de deux jours mes vacances et de rentrée. Annie et Justine, déçue mais ne pouvant pas faire autrement car je détenais le titre de transport pour nous trois, restait le problème de la réservation des places des trains. Mireille se proposa de m’accompagner à la gare, et Éric se proposait de raccompagner Annie et Justine au camping.

Nous, sommes aller nous rhabillées, en constatant que Mireille n’enfilait qu’une minirobe d’été décolletée en V sans soutien-gorge ni culotte en sortant de la maison je constatais aussi qu’elle était transparente à contrejour dévoilant sa nudité.
En arrivant à la gare, en se rendant au guichet nombre de personnes se sont retournée sur notre passage. J’ai prévenu Mireille :

« Mireille sais-tu que ta robe est transparente ? L’on remarque très bien que tu es nue dessous »

« Oui, Muriel je sais mais j’aime l’exhibe et alors qu’ils regardent, les yeux, c’est fait pour ça, non ? »

« Hé ben, tu ne t’es jamais fait agresser ? »

« Jusqu’à présent, non. Et tu sais je ne suis pas souvent nue sous mes habits cela m’arrive de temps en temps ».

Nous avions pu arranger notre départ anticipé et au lendemain matin, alors Mireille me demanda si je ne veux pas passer la nuit chez eux, et aller récupérer, Annie et Justine le lendemain, elle ou Éric vous conduiras à la gare cela évitera de prendre le bus.

Tout s’arrangea après avoir prévenu Annie et les vacances se terminaient bien, même si un malaise persistait entre Justine et moi.

« Je remercie Maman d’avoir rédigé cette histoire que j’ai longtemps tenue au secret et je m’excuse auprès d’elle de ne pas l’avoir dévoilée plutôt ! »

Histoire rédigée par Marie-Claude, dictée par Muriel avec les précieux conseils de notre ami Eric !

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3 Commentaires

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  • A ma chère fille Muriel, je viens d’avoir à l’instant au téléphone ta meilleures amie Annie, elle vient de retrouver Justine que tu n’as plus revue depuis plus de 12 ans et elle désir te revoir dès que tu vas revenir au domicile. Justine est tombée par hasard sur le site de Lucie. Voilà ma chérie, te voilà informer. Ta maman.

  • Félicitations à Muriel pour sa première histoire et aussi félicitations à Marie d’avoir rédigé l’histoire de sa fille.
    Et je suis content que Justine puisse renoué le contact avec toi Muriel et j’espère tu seras pressée de la revoir

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