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Les vacances de Muriel

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Préface :

Vous me connaissez maintenant, je suis la maman de Muriel qui m’a demandé de vous raconter ses premières expériences sexuelles, pleines de surprises pour moi. Muriel m’a cachée pendant des années (elle avait 18 ans au moment des faits, actuellement elle à 33 ans) et je viens à peine d’apprendre ce qui s’est passé. Sa langue a commencé à se délier la nuit suivante l’enterrement de son père et mon mari Marcel, décédé tragiquement dans un accident de moto, cette nuit je lui avais permis de dormir avec moi car le deuil de son père l’avait tellement marqué que je redoutais qu’elle ne fasse une bêtise. Cette nuit, était pour moi-même une nuit ou je n’arrivais pas vraiment à fermer l’oeil, je somnolais et pendant ce demi-sommeil j’ai senti un corps me frôler, et dans ce demi-sommeil j’ai cru que c’était mon mari, ma main alors s’est mise à la recherche du sexe de mon mari, seulement je ne trouvais aucune verge, mais à la place un sexe féminin. En comprenant que c’était ma fille j’ai voulu retirer ma main quand Muriel m’en empêcha en gardant ma main sur son sexe et en me demandant de la caresser. J’étais là ne sachant plus quoi penser, j’ai accepté aussi ces caresses. J’ai eu cette nuit ma première expérience saphique. Je ne la connaissais pas ainsi portée sur les relations entre femmes, elle qui est assez réservée, timide, sur le plan sexuel, m’ayant déjà surprise pendant mes masturbations et ne se cachant pas lorsque je la surprenais , sans aller plus loin toutefois.

C’est alors qu’elle m’a avoué qu’elle a eu sa première relation sexuelle avec ses amies à lire dans l’histoire qu’elle vous relate ci-dessous.
Les aveux complets, elle me les a racontés au fur et à mesure de ses envies et la fin de cette histoire je viens à peine de prendre connaissance récemment !

Le train !

Je venais de réussir mon baccalauréat et pour me récompenser, à ma grande surprise, mes parents m’avaient autorisée à partir en vacances avec mes amies, et ce pour la première fois. Ils avaient même financé ces vacances. Le pied ! Nous voulions à tout prix découvrir la Bretagne. Nous avions loué une caravane tout équipée dans un camping du bord de mer… Sympa, quoi !

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Nous voilà donc sur le quai de la gare, billets en main sac au dos, excitée comme des puces, attendant enfin ce train de nuit qui devait nous mener vers la grande liberté que nous nous étions promise. Nous, oui, nous… Annie, qui venait de fêter ses 19 ans, Justine et moi, portant crânement nos 18 ans à peine passés. Le beau temps était au rendez-vous, la décontraction de rigueur, nos tenues légères. Annie était comme d’habitude la plus délurée de nous trois. Il faut dire que son année de redoublement avait été mise à profit pour expérimenter des aspects de la vie n’ayant de bien peu de rapport avec ses études. Elle portait une robe d’été à fines bretelles, très décolletée, courte et évasée. Justine et moi portions des t-shirts blancs, longs, couvrant presque nos shorts en jean moulants.

Un homme d’allure élégante, la trentaine, vint nous rejoindre dans le compartiment juste avant le départ du train. Il s’assit à côté d’Annie, sortit aussitôt un ordinateur portable et se mit à pianoter, l’air studieux. L’arrivée de cet intrus nous avait incitées à stopper net notre conversation : il faut dire qu’Annie nous racontait sa dernière aventure. Nous avons donc sorti un magazine de jeux de plages et dans une bonne humeur évidente, nous avons commencé une grille de mots fléchés. Notre compagnon de voyage fut vite distrait par nos rires, et quand je dis nos rires… Il matait régulièrement Annie par-dessus son écran, visiblement attiré par son décolleté et ses cuisses. Annie adorait affoler les hommes en se montrant assez provocante. Elle savait qu’il la regardait, et elle n’hésitait pas à montrer juste ce qu’il faut pour lui laisser deviner ce qu’il aurait bien aimé voir…

Ce manège continua un bon moment, jusqu’à ce que, gagnées par la fatigue, nous décidions d’arrêter. Nous tombâmes presque aussitôt dans les bras de Morphée, aidées en cela par la nuit qui baignait maintenant le wagon.

Je fus soudain réveillée par un soubresaut. Encore entre deux eaux, me demandant quelle heure il pouvait bien être, j’ouvris les yeux pour essayer de regarder ma montre. Seule luisait la veilleuse, mais sa faible lumière était bien suffisante pour que je puisse me rendre compte de ce qui se passait. Plus question pour moi de connaître l’heure, mes yeux étaient attirés par tout autre chose. Sur la banquette face à moi, je voyais distinctement Annie, assise, jambes ouvertes, robe remontée, la tête de l’homme entre ses cuisses. Je compris tout de suite ce qui avait pu se passer, sacrée Annie…
Continuant de faire semblant de dormir, je ne perdais pas une miette du spectacle qui se déroulait sous mes yeux. L’homme s’activait, léchant sans retenue le sexe d’Annie, elle lui tenait la tête, poussant parfois de légers gémissements qu’elle tentait d’étouffer. Elle venait de jouir sous la langue de cet inconnu, si près de moi. Son râle déclencha en moi une envie encore plus forte. Mon ventre, mon minou appelaient les caresses. Je sentais mon intimité s’humidifier irrésistiblement.

L’homme se leva, se plaça devant Annie. Elle dégrafa son pantalon, baissa son slip. Il s’allongea sur la banquette. Je ne voyais plus rien d’autre que son sexe dressé vers le ciel, gros semblant si dur. Annie passa un genou de chaque côté de ses jambes et se pencha vers lui, approchant sa bouche de cette lance de chair. Elle le lécha du bout de la langue, l’homme se tortillait. Soudain, elle plongea sur lui : elle venait de l’engloutir totalement, d’un coup sans que rien ne le laisse présager. J’eus un frisson, ma fente n’était plus humide, elle était trempée. Je mouillais de la voir ainsi se jeter à pleine bouche sur ce dard bandé. Je ne pus résister à de telles images. Ma main glissa le long de mon ventre, vers mon short que j’ouvris, en oubliant d’être discrète. Mon brusque mouvement attira l’attention d’Annie, nos regards se croisèrent. Je me sentis très gênée, mais le sourire et le clin d’oeil que m’adressa Annie me firent vite retrouver mes esprits. Enhardie, je me caressai à travers le fin coton blanc de ma culotte tandis qu’elle continuait à faire entrer et ressortir de sa bouche ce membre qui me paraissait si énorme. Ma main s’activait, ma culotte était maintenant auréolée de mon miel. Je me sentais monter. J’aurais voulu que ces minutes durent une éternité. Moi pour qui le sexe restait encore à découvrir, j’avais droit à une démonstration de fellation, faite par une de mes meilleures amies. J’en étais excitée à un point que ne n’aurais pu imaginer. Malgré mon inexpérience, j’aurais souhaité être avec Annie, ou à sa place. Découvrir et apprendre comment m’occuper de cette épée dressée.

L’homme se cambra soudain, pressa ses mains sur la tête d’Annie et s’enfonça jusqu’à la garde dans la bouche d’Annie. Elle sembla suffoquer un court instant, l’homme émit un long soupir, sa queue prise de soubresauts. Annie toussa, et malgré mon ignorance de cette pratique, je compris qu’il venait d’éjaculer dans sa bouche, dans sa gorge peut-être. Je fus prise d’un spasme qui embrasa mon minou, mon ventre, je jouis à mon tour. Annie retira sa bouche, je vis un peu de sperme s’en écouler. En avait elle avaler une partie ? Elle se mit à lécher les quelques gouttes perdues avant de se retirer de sur l’inconnu. Ils se rajustèrent. J’en profitais pour refermer discrètement mon short, y emprisonnant la moiteur de mon plaisir. L’homme ralluma son ordinateur et se remit à pianoter, tandis qu’à ma grande surprise, Annule vint s’installer à mes côtés. Elle se lova contre moi et me chuchota ces quelques mots qui me troublèrent au possible :

« Tu as été super, j’ai adoré que tu te caresses en me regardant. Mais maintenant il faut te reposer, mon bébé »

Elle posa sa tête sur mon épaule et s’endormit vite, me laissant toutes ces images qui n’en finissaient pas de traverser mon esprit. Je finis par sombrer, moi aussi, troublée mais heureuse.

Première matinée à la plage !

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Notre voyage en train s’achevait. Pendant notre sommeil, l’inconnu était descendu sans bruit, tout du moins ne l’avais-je pas entendu. Justine se réveilla la première et entreprit de nous sortir du sommeil. Inutile de préciser qu’Annie et moi avions bien du mal à émerger. Il restait bien quelques minutes avant notre arrivée, nous sortîmes dans le couloir avec nos gros sacs sur le dos. Évidemment, Annie fit encore des siennes. En mettant son sac sur le dos, elle entraîna sa robe qui remonta le long de ses fesses, dévoilant sa culotte, et sortit ainsi dans le couloir. Cela ne manqua pas d’attirer les regards de deux garçons d’une bonne vingtaine d’années qui s’y trouvaient. Leurs yeux et leurs sourires ne pouvaient pas tromper : ils appréciaient. Je le fis remarquer à l’oreille d’Annie qui les dévisagea et, sans baisser les yeux, tira sur sa jupe en leur souriant. C’est clair, elle leur avait mis le feu.

À la descente du train, direction le terrain de camping, et en taxi SVP : merci papa ; merci maman. L’accueil, la délivrance des clefs, et l’installation.

C’était génial. Une grande caravane, en fait, une quatre place, suite à un problème de disponibilité des trois places. Nous défîmes tranquillement nos sacs, rangeant nos vêtements chacune dans une armoire. Annie commença à nous chambrer, plaisantant sans retenue sur notre garde-robe, en particulier sur nos maillots de bain.

« Si vous pensez attirer les mecs avec ça, bonne chance ! »
Il est vrai que nos une pièce semblait plus sortie de la panoplie de la gentille adolescente quelque peu attardée que celle de la vamp lubrique. Annie nous présenta fièrement ses deux deux-pièces composés d’un slip brésilien hyperéchancré sur les hanches et d’un soutien-gorge hyperprovocateur.

« Nous allons arranger ça dès ce matin, il doit bien y avoir une boutique par ici ! »

Il en fut de même pour notre lingerie. Alors que nous nous enveloppions dans du coton blanc, Annie possédait toutes sortes d’ensembles en dentelle, de couleurs et formes variées, et surtout, deux porte-jarretelles et des bas qu’elle avait emportés au cas où les soirées seraient fraîches… Tour y passa : minijupes, corsages aux décolletés vertigineux… Il faut dire qu’avec son 95C, elle pouvait se permettre de mettre en valeur, sa poitrine.

Justine et moi étions envieuses, mais pas jalouses. La situation présentait au moins un avantage : nous étions toutes deux si proches physiquement que nous pouvions sans aucun problème échanger nos vêtements, ce que nous faisions souvent.

Nous comptions beaucoup sur ces vacances et sur Annie pour nous déniaiser quant aux choses de la drague et du plaisir. Elle était la seule de nous trois à avoir déjà eu des relations sexuelles et nous prenions toutes trois plaisir à en parler. Pour être franche, je finissais, tout comme Justine, par être excitée d’entendre ces récits, et il nous arrivait de plus en plus fréquemment de nous masturber, le soir, en y repensant. C’est moi la plus nunuche sur le sujet. N’ayant jamais dépassé le stade du flirt et des petits attouchements avec un garçon (et encore à travers ma culotte), jamais je n’avais joui autrement que seule. Justine avait déjà été caressée et avait joui pour la première fois sous les doigts d’un garçon, il y a quelques semaines à peine.

Une fois le rangement terminé, Annie tint sa promesse de nous emmener choisir un maillot un peu plus convenable. Une boutique sur la route de la plage nous permit de découvrir à bon prix deux petits bijoux, aux dires d’Annie. Elle insista pour que nous allions les essayer en cabine.

« Prenez donc une seule cabine… »

Si elle avait voulu nous faire rougir, elle n’aurait pu mieux faire. Nous entrâmes dans la cabine. Nous nous faisions face, sans oser commencer à nous dévêtir. Puis tout à coup, le fou rire… Pas moyen de se retenir. Impossible de dire qui a commencé, mais en quelques secondes, nous avions enlevé notre jupe et notre t-shirt, nous étions en culotte et soutien-gorge : la vendeuse nous avait demandé de garder nos dessous pour essayer les maillots. À mourir de rires… Les maillots étaient si mini-mini que culottes et soutien-gorge dépassaient de toute part. Annie tira le rideau pour nous regarder.

« Ce sera super, les filles… Lorsque vous aurez enlevé ces horreurs qui vous servent de lingerie… »

Et elle se mit à rire, nous rejoignant dans notre fou rire.

La plage était assez longue, barrée à chacune de ses extrémités par quelques rochers qu’il fallait traverser pour atteindre une petite crique isolée. Annie insista pour que nous nous y rendions. Nous y étions seules. Nous fûmes vite en maillot, Annie argua de la solitude du lieu pour enlever le haut. Ses seins étaient décidément très jolis, ronds, en pomme. Nous nous fîmes à peine prier pour l’imiter. Le soleil tapait dur, les tubes de crème solaire sortirent des sacs.

À plat ventre, Justine dormait. Je commençais moi aussi à somnoler lorsque Annie se leva et vint à mes côtés.
« Tu n’es guère prudente, tu devrais prendre exemple sur Justine, elle est encore couverte de crème. Tu en as mis trop peu, Muriel »

J’allais prendre mon tube lorsque je sentis la main d’Annie se poser sur mon épaule.

« Tu vas cuire, ma pauvre chérie. Laisse-moi faire, je vais arranger ça »

Elle prit son huile solaire et m’en fit couler quelques gouttes sur le dos. L’huile étant encore assez fraîche, et chaque goutte me fit frissonner. Une sensation qui me trouble. Je ressentais à la fois du plaisir, mais aussi une certaine gêne à l’idée que ce soit une fille qui me le procure. Ce trouble s’accentua lorsque Annie se mit à étaler l’huile sur mon dos, mains à plat, commençant par les épaules. Je ne pouvais retenir les frissons et les mouvements de corps qui trahissaient mon bien-être. Ses mains étaient douces, elles glissaient sur moi, vers le creux de mes reins. Je fermai les yeux, presque honteuse d’être bien. Mon corps se cambra lorsqu’elle arriva sur mes reins, jamais je n’aurais osé penser cela. Son onction était devenue une caresse. Je l’appréciais malgré mes réticences, je basculais sans pouvoir rien n’y faire, sans pouvoir m’agripper à quoi que ce soit. Mon corps, mes sens, mon désir prenaient le dessus. Je m’abandonnais.
Annie dut s’en rendre compte, elle s’enhardit. Ses mains taquinaient ma peau à la lisière de la culotte du maillot, puis elles descendirent vers mes jambes. J’eus un court répit : Annie commença par les mollets, remontant lentement. Ses doigts experts me firent trembler lorsqu’ils arrivèrent sur mes cuisses. J’avais envie. Envie qu’elle ne s’arrête pas, envie de découvrir, envie qu’elle aille plus loin encore. Cette fois consciemment, j’écartai mes jambes, ouvrant ainsi le passage vers l’intérieur de mes cuisses.
Elle y vint, ce fut un choc. Jamais aucune autre main féminine que les miennes ne s’étaient posée sur ma peau à cet endroit. Elle s’attardait à la lisière du maillot, si près de mon intimité… Je ne tenais plus. Oubliée, la plage ! Oubliée, Justine… Je fis ce que dictait mon corps, mon ventre qui s’échauffait, ma fente qui s’humidifiait. Je me cambrai et rapprochai mes genoux de mon corps, exhibant mes fesses. Annie les caressa à travers le tissu. Je sentais ses mains devenir plus fébriles : son excitation devait monter. Elle défit les nœuds qui fermaient la culotte du maillot de part et d’autre de mes hanches. Je sentis le textile glisser sur ma peau. J’étais nue… J’étais folle. Folle de me laisser faire, folle de désir, folle d’envies trop longtemps inassouvies, refoulées du fait de mon éducation trop classique, cette éducation qui me disait de mettre un terme à ces épanchements. Mais rien n’y faisait, le désir avait pris le dessus.

« Annie »

Je gémissais son prénom sous la danse de ses doigts qui effleuraient mes lèvres intimes ? La pression s’accentua, mon bassin se mit à onduler légèrement. Elle m’emportait vers le plaisir. Je sentis soudain un souffle chaud sur mes lèvres intimes. Elle avait approché son visage. Je n’étais plus humide, mais mouillée. Mon ventre, mon sexe s’enflammaient. Je fis une chose inouïe. Je reculai mon bassin pour aller au-devant de son visage. Sa bouche se plaqua sur mon abricot, sa langue vint me laper aussitôt. Je n’ondulais plus, je me trémoussais. Annie s’agrippa à mes hanches (elle me dit plus tard qu’elle y avait été obligée, car je gigotais trop) et sa langue devint plus curieuse encore. Elle taquinait l’entrée de ma caverne maintenant totalement trempée, allait et venait entre mes lèvres, et même un peu au-delà, frôlant ma rosette, puis revenant jusqu’à mon bouton d’amour qu’elle faisait rouler…

Lorsqu’elle aspira mon clitoris entre ses lèvres, j’eus un premier spasme, puis un deuxième, puis je ne me souviens plus précisément de l’ordre des choses. L’orgasme me prit violemment, au moment même ou Annie avait dû en décider. Je sentais en moi ces contractions, bien plus violentes que lors de mes masturbations. Je jouissais, sous une langue, sous la langue d’une fille, d’Annie… Je perdis toute notion du temps, pour reprendre su semblant de conscience en retombant. Annie remit délicatement en place mon bas de maillot, poursuivant des caresses cette fois moins appuyées, puis elle vint s’allonger à côté de moi, sa bouche à quelques centimètres de la mienne. Sans détourner ses yeux des miens, elle avança son visage jusqu’à poser ses lèvres sur les miennes, y posant un doux et long baiser.

« Tu as été géniale, mon bébé, murmura-t-elle enfin »

Je n’ai pas osé lui dire tout de suite la jouissance qu’elle m’avait donnée.

Le retour à la caravane se fit vers midi. Justine était mal à l’aise, semblait contrariée. Se doutait-elle ? Avait-elle vu ? Nous le saurions bientôt, aucun malaise n’ayant jamais duré bien longtemps entre nous.

À suivre…

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