Olga a disparu dans les coulisses. Puis, elle est revenue, tenant en laisse un dogue allemand, qu’elle amène entre les jambes écartées de la femelle. Sa bite est déjà dressée, elle est impressionnante par sa taille et son épaisseur, avec un bout rouge énorme. La patronne arrive avec un mastiff, face à la sacrifiée. Il bande aussi, elle le place devant le visage de la femelle, sacrifiée par son mari. Elle retire sa laisse, et décroche le mors de la femme.
Sur l’ordre d’Olga, le dogue allemand a posé ses pattes sur le dos de la femelle. Aidé d’Olga, sa grosse bite s’enfonce dans le fondement de la femelle. Elle est en train de disparaître dans son ventre, je vois son visage se crisper légèrement. Pendant que ça s’enfonce en elle, j’entends la femme gémir, mais, vu comment elle se trémousse, le plaisir prend le dessus.
Je n’en reviens pas, avec quelle facilité ce bâton pénètre l’anus de la femme. En plus, son visage est totalement détendu, et je vois, qu’elle prend énormément de plaisir. Elle pousse un long gémissement, en redressant la tête, bouche grande ouverte.
La patronne profite de ce moment, pour faire poser les pattes avant du mastiff sur les épaules de la femelle. Sa bite se retrouve devant la bouche de la femelle. Alors, la patronne donne une claque sur le derrière du mastiff, qui donne un coup de rein, et la grosse tige rouge pénètre la bouche de la femme.
La dame a la tête sous le ventre du mastiff, les deux chiens se regardent, possédant ensemble la même femelle, l’un dans le cul, l’autre dans la bouche.
Je n’avais jamais vu, ni fait ça. C’est inimaginable !
Le dogue fait coulisser sa bite dans l’anus de sa femelle, on voit bien son membre luisant entrer et sortir de l’anus. Puis, ses pattes avant enserrent la taille de la femelle. Il y va à une cadence rapide, secouant le corps de la femme avec frénésie. Bien qu’elle ait la bouche pleine, je l’entends bien manifester son plaisir, alors qu’il donne des coups de reins puissants.
La tête toujours sous le ventre du mastiff, sa bouche a englouti à demi le membre de son deuxième mâle, qui, lui aussi, entre et sort. Il lui baise la bouche, au même rythme, que son autre amant lui ramone les entrailles. Les deux gueules ouvertes de ses deux amants se touchent presque, au-dessus du dos de leur femelle, ils bavent et halètent. Ses seins ballottent en tous sens, elle arrive à garder la bite du mastiff dans sa bouche, on l’entend gémir.
Son corps est pris de spasmes, pendant un long moment, alors que la bite dans son derrière s’agite de plus belle.
Je ne crois pas avoir déjà vu une femme jouir de cette façon, elle a eu trois orgasmes d’affilée. Son corps n’arrête pas de convulser, et sa bouche avale au maximum le membre de son autre amant. Son orgasme ne s’arrête pas, et eux non plus. Celui, qui la sodomise, se retourne, il doit lui remplir les entrailles de sa semence. On voit, que son compère fait de même dans la bouche de la dame. Nous pouvons la voir déglutir, et essayer d’engloutir un peu plus le membre du mastiff.
Une fois bien vidés de leur semence, les deux amants laissent leur femelle occasionnelle.
Olga ramène les deux chiens dans les coulisses ; la patronne s’adresse à moi :
— Tu vois, ce qui t’attend, bientôt, ce sera toi, qui seras à la place de cette femelle, dans les mêmes circonstances.
Le client s’adresse à la patronne, alors que sa femme, la tête dans ses avant-bras, la croupe en l’air, se remet de ses orgasmes :
— Bon ! Vous pouvez amener le bourricot !
— Non ! Monsieur ! Votre femme est exténuée. Vous avez eu, ce que vous avez demandé ! Pour le bourricot, vous reviendrez avec votre femme, qui doit être consentante, et que ce soit elle, qui nous le demande ! Au revoir, Monsieur.
Aujourd’hui, Olga me tend une combinaison marron, recouverte de poils bruns.
— Tiens, mets ça ! Aujourd’hui, tu seras une guenon !
J’enfile cette combinaison, qui me va comme un gant. Mes seins sont à l’air libre, ainsi que ma croupe.
Le masque me colle au visage, quand j’ouvre la bouche, la gueule du museau s’ouvre aussi.
La patronne entre dans les coulisses.
— En voilà une belle guenon ! Tu vas être la femelle de l’orang-outan de l’Émir, aujourd’hui. Il a payé très cher pour ça ! Olga va te dire, ce que tu dois faire. Ne nous déçois pas, car, si l’Émir est content, il reviendra souvent, rien que pour toi, car il veut, que tu soulages de nombreux mâles de sa ménagerie.
Après les consignes, que m’a données Olga, en me passant une crème sur la vulve et sur mon anus, elle me fait entrer à quatre pattes dans la pièce, qui m’est réservée. L’Émir est là, assis dans un fauteuil. Olga me fait tourner devant lui, il hoche la tête. Soudain, un grand Noir entre, tenant par la main un orang-outan mâle de bonne taille, qui semble calme.
Quand il me voit, habillée en guenon, il se met à gesticuler, et à pousser des cris. Je me mets aussi à pousser les cris, qu’Olga m’a appris. Je pousse des cris, pour imiter une guenon en chaleur, il faut dire, que la crème sur mes parties intimes, dont je suis enduite, commence à me chauffer les sens.
Le singe s’approche de moi, m’écartant un peu plus les cuisses, il se saisit de mes lèvres intimes, les écarte, et enfonce un doigt dans mon vagin, puis deux. Tout en caressant, avec son autre main, mes seins, qui pendent, il effectue un va-et-vient avec ses doigts dans mon puits d’amour. Je commence à haleter, je pousse ma croupe à l’encontre de ses doigts, qui me branlent. Je jouis déjà, sans me rendre compte, que c’est avec quatre de ses doigts, qu’il me fait jouir.
Je n’ai pas fini de jouir, que son accompagnateur le pousse devant mon visage. Le singe pousse sa verge vers ma bouche, en creusant ses reins, comme le ferait un homme. Je me saisis de son membre, que je ne peux contenir avec mes deux mains. Rapidement, son appendice devient impressionnant. L’accompagnateur me pousse la tête vers le membre du singe. Moi, automatiquement, j’ouvre la bouche, j’engloutis la bite monstrueuse du singe, qui vient taper le fond de ma gorge.
L’orang-outan se met à me baiser la bouche.
L’Émir applaudit, ravi de la scène. Aussitôt, le singe quitte ma bouche endolorie, et vient derrière moi. Sans préambule, il m’enfonce son gourdin dans mon puits d’amour surchauffé. Ainsi bien remplie, je ne tarde pas à jouir d’un premier orgasme.
L’Émir crie quelque chose en arabe, mon amant d’un moment se retire de mon puits d’amour, et pointe son membre à l’entrée de mes reins.
Il me saisit aux hanches, et s’enfonce lentement dans les profondeurs de mon ventre. Je pousse des cris de guenon excitée, pour satisfaire mon amant. Je sens bien, que j’ai englouti totalement le membre du singe, lorsque je sens les couilles velues de mon amant contre l’entrée de ma grotte. Je le sens battre dans mes entrailles, il reste là, immobile, collé à mon derrière.
L’Émir crie un mot. Mon amant se met à aller et venir en cadence dans mon jardin secret. Alors, que je viens de jouir, je me remets déjà à gémir, je n’en reviens pas de l’effet, qu’il me fait. Je l’accompagne par des coups de croupe en arrière. Mes cris de guenon se mélangent aux siens. Il me secoue, comme un prunier.
Il me sodomise comme ça, pendant plus de dix minutes. J’en suis à mon troisième orgasme. Là, il crie de plus en plus fort… Il répand sa semence dans mes entrailles, sa jouissance animale me déclenche mon quatrième orgasme, je ne sens même pas, qu’il tire mes seins en arrière, en les pressant dans ses grandes mains.
L’Émir donne un ordre en arabe.
Moi, je commence seulement à redescendre de mes orgasmes.
Mon amant me ceinture la taille, et se redresse, avec moi dans ses bras. Il est toujours enfoncé dans mes reins. Il m’emporte, face à l’Émir, qui a remonté sa djellaba sur le haut de ses cuisses.
Mon amant me dépose à quatre pattes devant son maître, qui m’attrape par les oreilles, pour descendre ma bouche sur sa bite princière. Il m’impose une fellation, pendant que mon amant s’agite toujours dans mes entrailles, déjà bien pleines de sa semence. C’est le sperme chaud du prince dans ma gorge, et celui, que mon amant renouvelle dans mes entrailles, qui me donne mon cinquième orgasme.
Olga et la patronne me soutiennent jusque dans ma chambre, car je suis complètement épuisée par tant d’orgasmes.
— Bravo ! L’Émir est très content de toi ! Il t’a acheté à un très bon prix…
— Dans une semaine, il vient te chercher, tu seras la femelle de tous ses mâles. Il a trois orangs-outans, une douzaine de chiens, trois ou quatre ânes, des poneys, des chevaux, et je ne sais quoi encore. Tu vas être une bonne femelle, très occupée, ce sera ta nouvelle vie…
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