...
Bi - Gay - Lesbien Fétiche - BDSM Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets Prostitution Viol Zoophilie

Les WC étaient fermés de l’intérieur Saison 2 Chapitre 9

On t'offre 200 jetons et 1 semaine de test Ultimate sans conditions : Teste le générateur IA Photos & Vidéos !   

Un homme amène le premier chien, qui est un molosse d’au moins quarante-cinq kilos. Il commence à renifler la vulve et à laper les coulées de sperme et de cyprine mélangés, qui s’en dégagent. Puis, le chien se soulève, pose ses pattes sur la table, de chaque côté des hanches de la femme, et commence à donner des petits coups de hanche dans le vide. Son sexe, qui commence à sortir du fourreau, est pointu et rouge foncé, long et pas très épais. Un des hommes s’en saisit et le présente à l’entrée de son puits d’amour. Le coup de rein est plus violent, et le sexe canin pénètre d’un coup celui de la femme. Un homme s’est approché, pour pouvoir les filmer en gros plan. On peut voir le membre de l’amant se mettre à gonfler, et, d’un coup, une grosse boule se former à l’intérieur des lèvres vaginales de Nicole.

Elle semble ne pas s’arrêter de grossir, et atteint un diamètre d’une dizaine de centimètres, distendant les chairs d’une manière obscène. La femme pousse de grands râles, qu’on peut facilement assimiler à de la jouissance. La bouche grande ouverte, elle semble chercher de l’air, pour pouvoir mieux crier. Le chien s’immobilise, et reste collé pendant plusieurs minutes. Puis, il se retire dans un grand bruit de succion, un abondant liquide s’échappe du sexe de Nicole. Un autre chien remplace le premier, mais, cette fois, son sexe est guidé dans l’anus de la femme, qui réussit, lui aussi, à se distendre, quand le nœud se met à gonfler. La semence animale se mélange dans son ventre à celle de l’homme. Les trois derniers chiens se succèdent, soit dans son vagin, soit dans son anus, à chaque fois, elle pousse des râles de jouissance, inondant par deux fois d’une éjaculation féminine le sol.

Quand le cinquième chien a sailli la Nicole, elle croit que sa formation est finie, mais, en tournant lentement la tête, elle voit l’arrivée d’un âne.

— HOOO ! NOOONN ! Pas ça… ?

Les hommes le guident vers le côté de la table, où se trouve la tête de Nicole. Ils commencent à lui caresser le sexe, qui se met à grossir de manière démesurée, en une longue tige, dont le bout triangulaire est percé d’un trou. Ils l’approchent alors de la bouche pulpeuse de Nicole, pour le lui introduire. D’instinct, ses lèvres s’entrouvrent en cercle, et la pointe de velours bute sur l’arrondi. Elle se laisse faire, en ouvrant grand la bouche. Ses mâchoires sont forcées, ils réussissent à introduire tout le gland dans ce bain de salive.

Dans sa bouche, la tête du membre grossit encore, entre ses mâchoires distendues. Sa langue tourne autour de cette chair étrangère, ralentie par une poussée en direction de sa gorge. C’est chaud, envahissant, étouffant, et bon à la fois. L’amant se met à user de sa bouche comme d’un sexe. Sa salive déborde, le membre glisse de plus en plus facilement, progresse, heurte l’intérieur de sa gorge, il cogne sur une joue à plusieurs reprises, ses lèvres sont à la limite de la rupture. Cela dure cinq minutes, le temps que le membre soit dur pour la saillie.

Puis, ils amènent la bête derrière elle, ils lui posent les pattes avant sur la table.

Elle sent l’œuf, qui se frotte sur ses lèvres, comme pour apprivoiser sa vulve, une pression, et sa grotte s’ouvre, pour accueillir la chose.

Heureusement, il va doucement. Le gland est entré, et, déjà, elle se sent remplie, il s’avance, et, tout doucement, il s’introduit, ses chairs sont écartées, comme jamais elles ne l’ont été par une vraie bite, il en reste encore dehors, car elle ne sent toujours pas ses couilles sur ses fesses. Nicole se laisse envahir, sans protester. À force de persévérance, il a remis le feu à ses sens.

Ils le laissent s’accoupler bestialement avec la femelle. Elle se sent écrasée par un corps, qui pèse sur elle. Nicole pousse des feulements de femelle, qui se fait saillir, car c’est ça, dont il s’agit : une saillie, mais que c’est bon, maintenant, c’est elle, qui aspire le monstre de chair. Elle le veut en entier dans son ventre, d’elle-même, elle accélère la cadence. Elle n’y tient plus, ça y est, elle sent les couilles taper sur son clitoris, plus un millimètre n’est disponible dans son puits d’amour.

paragraphe 4 ia porn

Il lui semble qu’il touche son nombril. Elle est écartelée par ce morceau de viande, dur et chaud. Les pointes de ses seins sont brûlantes par le frottement de la table. Dans son ventre, elle sent le mouvement rapide de la bite géante.

Il ahane sur elle, sa gueule s’est refermée sur sa nuque, sa bave et sa chaude haleine lui font un bien fou. En ouvrant les yeux, elle aperçoit les hommes, qui regardent son baiseur en plein effort.

Il va et vient, distend les parois de son vagin, va cogner brutalement tout au fond, contre l’entrée de son utérus, qu’il force, puis ressort presque entièrement, puis se renfonce dans sa grotte d’amour, l’humidité de ses précédents visiteurs facilite l’intromission dans la cavité vaginale, son gland, en forme de gros œuf, frotte à l’intérieur de ses lèvres meurtries.

Aux premiers gémissements de plaisir de la femme, son amant multiplie les sorties incomplètes, suivies de pénétrations puissantes, violentes, il force l’allure, il s’impose une cadence infernale. Elle croit qu’il lui perce le ventre, à coups de croupe puissante, le bout du sexe de son amant a ouvert le col de son utérus, ce qui augmente la profondeur de son puits d’amour. Maintenant, à chaque coup de reins, les couilles de son amant s’écrasent sur son clitoris, et lui provoquent des orgasmes à répétition. Cela dure au moins vingt minutes, quand, enfin, elle sent une rivière de liquide chaud gonfler son ventre, cela n’en finit pas, elle le sent couler le long de ses cuisses.

Elle n’a jamais ressenti cela, elle continue à jouir, sans discontinuer, elle est pleine de sa semence. Enfin, l’amant se retire, avec un bruit de ventouse, un flot ininterrompu de sperme s’échappe du sexe béant de la femme. Épuisée, groggy, dans un état proche du coma, à cause de l’abus de sexe et de jouissance.

Omar vient mettre sa main sur le visage de Nicole. La paume de sa main recouvre le nez et la bouche de Nicole. Celle-ci respire fort par la bouche et le nez, pour reprendre son souffle, après tant d’efforts. Elle respire, et avale ce qui se trouve dans la paume de la main d’Omar.

— Nettoie ma main !

Nicole lèche la paume de la main d’Omar.

— Voilà ! C’est bien, avec ça, tu vas être en forme pour la suite.

Quelques minutes plus tard, Alain revient, en disant :

— Je te présente Black, qui sera le point final de ta formation de pute en tout genre.

Nicole voit un superbe cheval noir, vaincue, elle baisse la tête.

Le cheval bande déjà, il doit avoir déjà fait ça, il faut dire, avec tout le sperme, qui suinte de son puits d’amour et de son anus entrouvert, à sa grande surprise, elle recommence à mouiller.

— Tu vas lui demander qu’il te baise, c’est un client comme un autre, tu vas te faire enculer par Black, allez, demande dans les règles, ordonne Alain.

— Maître Black, enculez-moi, s’il vous plaît… Je… Je suis à vous…, râle Nicole.

Alain dirige l’énorme sexe bestial vers l’anus de la femme, il y entre, sans trop de difficulté, le passage étant ouvert et lubrifié par ses précédents visiteurs. Elle ouvre la bouche en grand, dans un cri silencieux, en cherchant de l’air. Les sensations de plaisir de Nicole sont portées encore plus à leur paroxysme.

Son ventre est déformé par la bite, qui le visite.

— RHAAAAAA ! C’est BONNN ! Je suis une jument ! J’aime votre BIIIIIIITEEEEEE, enculez-moi à FONNND ! OUIIIII !

Nicole dégouline littéralement de cyprine, puis, elle a un orgasme, tel qu’elle n’en avait jamais connu, un jet sort de son urètre, elle n’avait jamais été, avant, une femme fontaine, c’est fait, désormais. Et, soudain, contre toute attente, alors qu’il la pilonne de plus en plus vite, qu’il est au bord de sa jouissance, une vague de chaleur envahit son bas-ventre. Cette sensation est reconnaissable, entre mille, elle n’y croit pas, il arrive. Et, alors qu’il déverse, entre ses fesses, son lait reproducteur, une boule de feu explose en elle, et se diffuse dans toutes les parcelles de son corps. Son ventre se gonfle du sperme chaud et collant de Black. Nicole succombe à cet orgasme ravageur, elle est à bout de forces, elle a la tête, qui tourne, elle tremble, trempée, elle étouffe par ses cris. C’est presque le black-out. Elle s’évanouit de plaisir.

À son réveil, elle est nue, dans une autre chambre, avec d’autres bruits, dans un autre lieu ?

paragraphe 2 candy

Elle est nue, le creux de son coude droit lui fait un peu mal, elle y voit des petites traces de piqûres.

Quelques instants plus tard, une femme de son âge entre dans la chambre.

— Bonjour ! Je suis Madame, ta maîtresse, tu dois m’obéir en tout point, sinon, gare à toi…

— Mets ce peignoir, qui sera ton seul vêtement, pour l’instant.

Nicole se lève, et s’habille du peignoir désigné, il est léger et transparent.

— Viens, suis-moi, je vais te faire visiter ton lieu de travail.

Sa maîtresse l’entraîne ensuite vers une porte, au fond d’un couloir.

Celle-ci donne sur un grand bâtiment, du genre agricole, il est immense.

L’intérieur est aménagé en un petit parc, avec des allées ombragées, et, en son centre, un bassin circulaire, avec une fontaine, avec des poissons…

Sa maîtresse lui explique que ce parc est un lieu de détente, pour les clients masculins, qui viennent faire ici une pause, ici, il fait toujours chaud, dans ce pays. Ils se font accompagner d’une employée.

Ils empruntent une allée, jalonnée de quelques bancs. Sur l’un d’eux, se tiennent deux hommes. Le premier lit tranquillement son journal.

À ses côtés, un autre tient une fille, intégralement nue, sur ses genoux, lui agrippant la poitrine.

En arrivant à leur hauteur, Nicole s’aperçoit qu’elle est empalée sur son sexe, et ondule lentement de la croupe…

Un peu plus loin, dans un renfoncement constitué de haies taillées, elle découvre, à sa stupéfaction, une jeune femme brune à genoux, la tête et les mains émergeant d’un carcan en bois, fixé sur deux piquets. Sa bouche est maintenue ouverte, largement, au moyen d’un anneau, attaché derrière sa tête. Les taches de sperme sur son visage, et sous son menton, lui font rapidement comprendre l’usage, qu’il est fait d’elle…

Un peu plus loin, une autre niche de verdure. Là aussi, une autre fille, cette fois, dans un dispositif, qui la maintient penchée en avant, le cul offert. Elle porte une espèce de ceinture de chasteté, qui recouvre son sexe, tout en laissant son orifice anal accessible.

Madame lui explique qu’elle a un godemiché électronique, fiché dans son sexe, qui se met à vibrer, lorsqu’on la sodomise, renforçant ainsi le plaisir de celui, qui la pénètre… C’est divin, lui dit-elle, tant pour l’homme que pour la fille…

Vu le sperme, qui s’écoule de son anus, Nicole pense qu’elle a déjà bien servi…

Un peu plus loin, une autre niche, une autre fille, celle-là est installée, cuisses largement écartées, immobilisées par des fers, au bout de barres, fixées sur le banc, qui lui sert d’assise. Un homme est en train de la prendre par le sexe, elle aussi porte une ceinture, mais qui, cette fois, maintient un godemiché dans son fondement. On entend d’ailleurs son ronronnement. Ses gémissements attestent du plaisir, qu’elle a à être ainsi possédée.

Madame lui apprend que ce poste et le précédent sont une récompense, qu’on offre aux bonnes employées…

Plus loin, une autre niche… un autre tableau…

Une fille est attachée, de face, les bras et les jambes en croix, sur une croix de Saint-André… son corps est parsemé de traces rougeâtres.

Nicole comprend que c’est l’œuvre des fouets, mis à disposition à côté, accrochés à un panneau. Il y en a de toutes les sortes…

Elle a les yeux bandés, et une balle-gag dans la bouche…

Madame lui dit que c’est ici un des nombreux exemples de punitions, pour celles, qui ont un total négatif… se traduisant en heures à passer ainsi attachée, et livrées aux penchants sadiques des clients, dont elle ne peut connaître l’identité, en raison du bandeau, qui lui couvre les yeux…

Ils arrivent alors au centre du parc, autour du bassin, à chaque point cardinal, une fille est placée dans un carcan, offrant ainsi ses trois orifices…

Autour de cette esplanade, quelques bancs accueillent le client voyeur, qui veut s’y reposer, jouissant ainsi du spectacle offert.

Sur un banc, un homme est en train de se faire sucer.

Un peu plus loin, un autre homme, un Black, pose son journal, à leur arrivée, et fait un signe à Madame…

Celle-ci fait alors mettre Nicole à genoux, entre ses jambes. Il sort son sexe, et lui ordonne :

— Suce-moi… bien à fond.

Sa verge est grosse, mais Nicole s’applique, ne voulant pas risquer de récolter une volée de coups.

Après quelques minutes, qui lui semblent interminables… il lui dit d’arrêter… Ouf, elle respire…

Il se lève alors, et va saillir une fille, offerte dans un des carcans…

Ensuite, elles quittent le bâtiment par le mur d’enceinte, à l’opposé.

— Je te présente notre lieu du plaisir ! lui dit sa maîtresse.

— Comme toutes les soumises ici, tu y seras affectée tous les jours.

— Ce lupanar est accessible aux habitués, ils ont payé un droit, leur donnant accès à toutes les soumises, à leur guise. Ici, il y a les soumises, qui sont là à temps complet, comme toi. Il y a aussi les occasionnelles, qui sont là, envoyées par leur conjoint. Pour financer tout ça ? Les habitués payent un droit d’entrée, une carte de club, si tu préfères… Ici, c’est pas un bordel !

Ils pénètrent dans le hall d’entrée. Au fond de celui-ci, un guichet pour la réception, tenu par une femme en corset, laissant son opulente poitrine nue. À gauche, une porte avec la mention vestiaire.

Ils empruntent la porte de droite. Elle donne sur une grande pièce.

Une dizaine de soumises y attendent debout, les jambes écartées, nues, les bras derrière le dos, une laisse au cou, pour que les clients viennent les chercher…

Toutes ont un point commun, à savoir une poitrine généreuse, des tétons gros et bien marqués, qu’elle attribue aux succions répétées de trayeuse…

Toutes ont un sexe parfaitement épilé, avec un clitoris bien marqué et saillant.

— Omar nous a montré les films de ta formation de soumise en tout genre, j’ai vu que tu prenais beaucoup de plaisir à te faire saillir !

— C’est pas les clients, qui vont te manquer ici, nous avons un âne et deux beaux chevaux, en plus du chenil bien garni ! Les zoophiles payent bien, pour une bonne séance, tu commences demain, j’ai déjà des réservations pour toi ! Tu vas être notre meilleure gagneuse !

— André, ferme la porte ! La nouvelle, que voici, va vous offrir une séance de son talent.

— Retire ton peignoir !

Sur un ordre silencieux de la patronne, deux hommes saisissent Nicole par les aisselles, et l’emmènent sur une table basse. Ils la positionnent, la poitrine collée au-dessus de la table, les bras attachés aux pieds avant, et les jambes aux pieds arrière, de sorte qu’elle présente sa croupe, les jambes écartées.

Une fois attachée, Nicole se rappelle la dernière fois, qu’elle se trouvait dans cette position, et, en tournant lentement la tête, elle voit l’arrivée d’un poney imposant.

— Pourquoi m’attacher ? Je ne me déroberai pas !

Le poney arrive. Il hume l’air, très intéressé… Les oreilles dressées, il a un sexe, plus énorme que la normale, il se balance entre ses pattes !

La patronne lui murmure :

— On va voir, si Omar a raison, en disant que tu seras une bonne femelle.

Elle prend l’énorme bite du poney, l’approche alors de la bouche pulpeuse de Nicole, pour le lui introduire. D’instinct, ses lèvres se mettent en cercle, et elle ouvre grand la bouche. Ses mâchoires sont forcées, elle réussit à introduire tout le gland dans ce bain de salive. Dans sa bouche, la tête du membre grossit encore, entre ses mâchoires distendues. Sa langue tourne autour de cette chair étrangère, ralentie par une poussée en direction de sa gorge. C’est chaud, envahissant, étouffant, et bon à la fois. Sa salive déborde, le membre glisse de plus en plus facilement, progresse, heurte l’intérieur de sa gorge, il cogne sur une joue à plusieurs reprises, ses lèvres sont à la limite de la rupture. Cela dure cinq minutes, le temps que le membre soit dur pour la saillie.

Puis, elle amène la bête derrière Nicole, il lui pose les pattes sur la table.

On peut lire sur son visage une réaction de sa part !

— Il va me tuer, Madame ?

— Tu es folle ! Avec toutes les bites, que tu t’es déjà prises dans le cul, tu ne risques rien !

Dans le cul… ? Un poney dans le cul… ! Elle a déjà eu l’anus un peu douloureux, après la dernière sodomie de Black.

La maîtresse lui donne une bonne claque sur les fesses, en disant :

— Prête à te faire monter ?

— OUOUI ! Oui ! Madame.

Il fonce sur ses fesses, les renifle abondamment, elle sent son souffle puissant !

OOOH ! Il la lèche… Toute la chatte et la raie des fesses, avec sa langue râpeuse !

Hélas, c’est un mâle, et il bâcle les préliminaires ! Il veut la monter !

Nicole sent le poids. Elle sent aussi sa bite… Elle est énorme !

Son énorme membre vient juste se positionner devant l’anus de la femelle, qui a été préparée à cette saillie, les jours précédents, grâce à des godemichés de plus en plus gros.

On met le bout de son sexe contre son anus. Nicole se dit mentalement : Ne te contracte pas !

OOOUUCHH ! D’un coup de reins, sa bite lui traverse l’anus… !

— OOH ! AHNNGGG ! ST… STOP… C’est trop gros ! AARGGUUU ! OOOH !

Son anus est affreusement distendu, mais il tient bon !

Heureusement, il va doucement. Le gland est entré, déjà, elle se sent remplie, ce n’est pas lui, qui s’avance, mais c’est elle, qui se recule, tout doucement, il s’introduit, ses chairs sont écartées, comme jamais elles ne l’ont été par une bite humaine, il en reste encore dehors, car elle ne sent toujours pas ses couilles sur ses lèvres intimes.

Nicole, bouche ouverte, silencieuse, résiste à la douleur, provoquée par la pénétration de l’énorme engin… Il lui a entré plus de vingt centimètres dans les fesses, elle ressent son membre, jusqu’à la hauteur de son nombril. Elle jouit sur-le-champ, sans même un mouvement de sa part, un orgasme doux, qui lui vient du bas du ventre, qui la laisse toute chose, et étonnée.

Puis, le piston de son amant se met en mouvement, entrant et sortant des fesses de Nicole, tout doucement au début, il ne baise pas à toute vitesse, comme un chien, mais lentement, à fond, chaque fois.

À chaque fois, qu’il pénètre au fond de ses entrailles, il arrache des cris à Nicole, cris, qui n’ont rien à voir avec des cris de douleur… !

La patronne le laisse s’accoupler bestialement avec la femme. Elle se sent écrasée par ce corps, qui pèse sur elle. Elle pousse des feulements de ponette, qui se fait saillir, car c’est bien, dont il s’agit : une saillie, maintenant, c’est elle, qui aspire sur le monstre de chair. Elle le veut en entier dans son ventre, d’elle-même, elle accélère la cadence. Elle n’y tient plus, ça y est, elle sent les couilles taper sur sa vulve, plus un millimètre n’est en dehors de son ventre.

Elle est tellement dilatée, les autres pensionnaires, présentes autour, regardent silencieusement…

Elle est écartelée par ce morceau de viande, dur et chaud. Les pointes de ses seins sont brûlantes par le frottement de la table. Dans son ventre, elle sent le mouvement rapide de la bite géante.

Il ahane sur elle, sa gueule s’est refermée sur sa nuque, sa bave et sa chaude haleine lui font un bien fou. En ouvrant les yeux, elle aperçoit le groupe de prostituées, qui regarde son baiseur en plein effort. La patronne filme la scène.

Il va et vient, distend les parois de son rectum, va cogner brutalement tout au fond, puis ressort entièrement, puis se renfonce dans son ventre, son gland, gros comme une pomme, frotte à l’intérieur de son intestin meurtri.

Une soumise lui murmure tout bas : Laisse-toi aller ! Gémis, jouis…

En même temps, elle glisse la main sous elle, et lui pince le clitoris.

Aux premiers gémissements de plaisir de Nicole, son amant multiplie les pénétrations puissantes, violentes, il force l’allure, il s’impose une cadence infernale. Elle croit qu’il lui perce le ventre, à coups de croupe puissante, il lui écrase les fesses, ce qui augmente la profondeur de la sodomie. Maintenant, à chaque coup de reins, les couilles de son amant s’écrasent sur son clitoris. Cette sensation de ce sexe, qui lui perfore les intestins, l’excitation de le sentir sur toute sa longueur, là, Nicole se met à délirer complètement, l’orgasme lui vient du tréfonds de ses entrailles, par le cul, le vagin, le clitoris, le ventre, ça lui monte jusqu’au visage, elle est l’orgasme en entier. Elle ne sait plus, si elle est sur une autre planète, elle a des orgasmes à répétition. Cela dure au moins quinze minutes.

Le poney baise consciencieusement la femelle sous lui. Son dos est agité de frémissements.

Enfin, l’épreuve de Nicole s’achève ! Le poney hennit, donne un coup de reins, il jouit, en envoyant des quantités de sperme, qui jaillissent dans le ventre de Nicole… Quand, enfin, elle sent une rivière de liquide chaud gonfler son ventre, cela n’en finit pas, elle le sent couler le long de ses cuisses. En ressentant autant de chaleur dans son ventre, elle continue à jouir, sans discontinuer, pendant ce qu’il semble être une éternité… Enfin, l’amant se retire, avec un bruit de ventouse, Nicole semble épuisée, de son anus béant s’écoule, jusqu’entre ses cuisses, un flot ininterrompu de sperme de son dernier amant…

— Maintenant, grâce à ce traitement de choc, tu as l’anus très souple, tu peux te faire sodomiser pendant des heures, et, de plus, tu peux encaisser des sexes très gros et très longs, plus de trente centimètres.

Cette expérience lui confirme que, plus la pénétration anale est profonde, plus son orgasme est démesuré.

Elle sent que ça va lui coller à la peau ! Elle a joui, sodomisée par un poney !

Oui, c’est… mécanique ! Alors, elle se l’avoue, oui, elle a joui, sodomisée par un poney !

Deux soumises détachent Nicole de la table basse. Elle reste là, allongée sur la table, l’anus complètement ouvert, qui laisse s’échapper une traînée de sperme ! Épuisée, groggy, dans un état proche du coma, à cause de l’abus de jouissance.

Le lendemain, la patronne vient la réveiller :

— Bon ! C’est vu avec Monsieur Omar ! Tu serviras pour les saillies de toutes sortes.

Alors qu’elle devrait se révolter, au contraire, elle se sent bien, à l’idée de se faire saillir… Cela accroît son excitation, le plaisir monte en elle…

— Olga ! Tu la mènes à la douche, après, tu lui rases la tête, et tu lui fais enfiler son costume de scène, qui sera son quotidien, désormais…

Sous la douche, elle se lave avec soin. Mais la saleté reste incrustée dans son esprit, décidément bien complaisant. Faute d’être chassée, cette crasse grisante et capiteuse prend tous ses aises.

Après la douche, Olga la fait asseoir sur une chaise, puis, avec une tondeuse électrique, elle lui rase la tête, elle lui passe sur la tête une crème épilatoire. Nicole sent son cuir chevelu lui chauffer, puis, Olga lui retire la crème, et lui passe une lotion sur le crâne, qui empêchera la repousse des cheveux, puis, elle lui tend une combinaison blanche, avec une cagoule.

Nicole prend sa nouvelle combinaison, et la regarde, en tendant les bras. Cette combinaison est blanche, avec des taches noires. Elle a des pieds et des gants collés, et une queue juste au-dessous de la fermeture éclair, dans le bas du dos. Nicole enfile son vêtement, non sans mal, et voit les taches noires sur la combinaison. Seuls ses seins annelés sont apparents, ainsi que ses parties intimes. Elle regarde la cagoule, avant d’enfiler sa tête à l’intérieur. C’est une cagoule en tête de chien, avec des oreilles ?

Une fois la combinaison enfilée, avec le masque, Olga referme le masque derrière la tête de Nicole.

La maîtresse entre à ce moment-là.

— Tiens ! Regarde-toi dans la glace ! lui ordonne-t-elle.

Nicole voit que la combinaison, avec le masque, lui donne un air de chienne. Le masque lui couvre le nez et la bouche. Il reproduit le museau d’un chien.

Au niveau du nez, c’est un museau noir, percé de deux trous, pour la respiration, le bas descend jusque sur son menton, lui laissant l’ouverture de la bouche libre. De chaque côté du masque, pendent deux oreilles factices. Elle ressemble bien à une chienne…

La maîtresse profite de son étonnement, pour lui attacher un collier, muni d’une laisse.

— Allez ! À quatre pattes ! Tu es maintenant notre chienne, ce sera ta condition, désormais. Omar a raison, tu vas aimer te faire saillir par tous les chiens des membres du club !

Ça dépasse ses fantasmes les plus fous, il y a encore quelques temps, ils sont devenus réalité.

Elle est devenue une chienne, pleinement soumise… Avilie, elle sait que ce sera, désormais, sa vie ?

Nicole reprend son récit :

Cela fait plusieurs mois, que je me fais saillir plusieurs fois par jour, je dois vous dire, que je jouis à chaque fois. Ce qui n’est pas toujours le cas de mes consœurs de l’établissement.

Il faut vous dire, que je suce très souvent le maître, pendant que son chien me saillit, soit dans mon puits d’amour, soit dans le puits de mes reins.

Les clients ne se bousculent pas au portillon, il faut dire, que la saillie est onéreuse.

J’ai un client régulier, il vient toujours avec ses deux chiens, qui me saillissent deux fois, à chaque visite, jamais dans le même trou, à chaque fois.

Aujourd’hui, je suis sans ma combinaison de chienne. C’est nue, avec une perruque rousse aux cheveux longs, que le client veut, que ses chiens me saillissent. Il me fait porter une guêpière, avec des bas noirs.

La perruque ne me gêne pas, car j’ai la tête rasée tous les jours, pour que ma tête s’ajuste bien dans celle de la combinaison de chienne.

Le manège se renouvelle deux autres fois, à la dernière, il a filmé la séance.

Il nous a dit, que la prochaine fois, il viendra avec sa femme, car il veut qu’elle soit saillie par ses chiens, et ça, régulièrement. Il espère, que je jouirai véritablement, pour qu’elle voie tout le plaisir, qu’elle peut en tirer.

La patronne a décidé, qu’ils seront les premiers de la journée, à la condition, que l’on puisse filmer les premières saillies de sa femme.

— Mais, je ne sais pas, si ma femme sera convaincue de se faire saillir par mes chiens ? Et, je pensais lui faire ça, en rentrant chez nous.

— Ne vous inquiétez pas ! Dans la boisson, que nous allons vous offrir, il y aura, dans son verre, ce qu’il faut, pour qu’à la fin de la représentation, elle soit si excitée, et en chaleur, qu’elle veuille se faire saillir par vos chiens, et aussi beaucoup d’autres.

— MMM ?

— Alors, que décidez-vous ?

— C’est d’accord comme ça, mais, je veux une copie du film.

— OK ! Nous vous attendrons, ce sera, quand vous le voudrez !

Après plusieurs jours, un matin, Olga me tend la perruque rousse, avec ses accessoires.

Le client aux deux chiens doit venir aujourd’hui.

Je suis là, à quatre pattes, dans l’attente. Une caméra sur pied est dissimulée derrière un rideau, pour ne pas affoler la femme du client.

Le client entre enfin dans le baisodrome, accompagné de ses deux chiens, et de sa femme.

Le choc ! Elle est rousse, avec des cheveux longs…

Ils s’installent dans le canapé, devant la scène. Olga leur apporte un verre de punch, en tendant celui destiné à la femme, elle lui dit, qu’il est très peu alcoolisé.

Le spectacle commence…

Les chiens sont maintenant habitués, ils viennent me lécher la moule, le cul, le visage, les seins.

Les préliminaires, avant la saillie, il bande déjà.

Le premier vient me couvrir, et trouve rapidement l’entrée de mon puits d’amour. Je ne tarde pas à jouir, le second en profite, pour me lécher le visage, comme j’ouvre ma bouche, pendant mon premier orgasme, sa langue vient râper la mienne.

Une fois, que le premier s’est retourné, et que nous sommes liés ensemble, la femme du client vient voir de près notre accouplement. Elle passe sa main entre nous, elle va, jusqu’à glisser un doigt à l’intérieur, pour sentir la boule de liaison des deux amants.

Elle vient devant moi, me regarder jouir.

— C’est bon ? Vous jouissez vraiment ?

— OOH ! OUIII ! C’est bon ! Je jouis vraiment, je suis sa chienne, lui, c’est mon mâle !

Elle met dans ma bouche un doigt, qui est sûrement celui, qu’elle m’a introduit dans ma moule. Je le suce avec plaisir. Elle passe son autre main sur mes seins, en s’attardant sur les anneaux de mes mamelons.

Olga lui apporte une chaise, et un autre verre, qu’elle boit rapidement. Elle s’assoit à mon côté. Là, je peux voir, qu’elle porte une robe, qui s’ouvre sur le devant, dans l’échancrure des boutons, je devine, qu’elle est nue dessous.

Mon premier amant se désolidarise de mon puits d’amour. Le deuxième vient me lécher la vulve béante, et débordante d’amour canin. Je regarde la femme, elle regarde ma vulve léchée, et tout le plaisir, que je prends.

Olga lui tend un autre verre. Dans son dos, elle me fait signe, que c’est le quatrième.

Mon deuxième amant me grimpe sur le dos, et n’a pas de mal à investir mon puits d’amour. Tout le temps de l’accouplement, je vois la femme ouvrir et refermer fébrilement ses cuisses. Quand mon deuxième orgasme se déclenche, elle se masturbe énergiquement. Le verre vide est posé sur le sol. Olga lui tend un autre verre, qu’elle boit d’un trait.

Excitée, comme elle est maintenant, elle vient passer une main sous mon ventre, elle introduit un, puis deux, voire trois doigts dans mon vagin. Du jus d’amour s’en échappe, elle en étale avec son pouce sur mon clitoris. Elle me masturbe du pouce, ce qui me déclenche un nouvel orgasme.

Mon deuxième amant se désolidarise de sa femelle.

Cette fois, pas de léchouille de vulve, son maître l’appelle, il va rejoindre son compère. C’est Madame, qui vient me caresser la moule, et y introduire plusieurs doigts, elle les enduit de mon jus d’amour canin.

— Graissez-lui l’anus ! lui dit Olga. Pas besoin de lui dire deux fois, aussitôt dit, aussitôt fait. C’est un, puis deux, puis trois doigts, qui vont de mon puits d’amour à la porte de mes entrailles. Le manège dure un peu trop à mon goût.

— Mets-toi comme la dame, à côté d’elle, ma chérie.

Elle regarde son mari ? Et s’exécute, elle est maintenant à quatre pattes, à un mètre de moi, sur le côté. Son mari se lève, vient derrière elle, déboutonne sa robe, qui s’ouvre, il lui dégage la croupe, en remontant le derrière de celle-ci sur ses reins.

Il lui caresse la moule, lui branle le clito. Elle commence à haleter de plus en plus fort. Il vient recueillir du jus d’amour, à l’entrée de ma grotte, pour graisser la vulve de sa femme. Il fait ça plusieurs fois, et, à chaque fois, c’est un peu plus profondément, qu’il entre ses doigts dans la moule de sa femme, qui feule de plus en plus. Madame est aux anges.

Discrètement, il appelle le premier amant, qui m’a saillie. Égarée, le cerveau vide, comblée par les ardeurs de son mari, aux moyens redoutables… Elle cède aux caprices de son mari, sans plus réaliser, où elle se trouve.

La grotte ruisselante de la femme est, pour le chien, comme une invitation, car, d’un bond des deux pattes avant, il s’accroche aux hanches satinées.

Il a l’habitude du traitement, et trouve l’entrée de la chatte de suite.

Le sexe du chien entre dans le vagin de la femme, qui semble apprécier, mais, quand celui-ci entre la boule, elle fait la grimace, le chien continue sa progression, sans faire attention à sa partenaire. Au début, la boule est restée dehors, et cela la rassure, mais, tout à coup, du fait de sa mouille abondante, et de la force des coups de rein du chien, elle se sent pénétrée, écartée.

La boule est entrée en entier dans son sexe, elle crie de douleur, mais son mari lui dit, que cela va passer, effectivement, que sa chatte va s’habituer très vite à la grosseur, elle se sent possédée, et remplie, comme jamais. Elle se met à jouir, comme jamais il ne l’a vue…

— OOOH ! Oh, mon Dieu ! Ça grossit encore ! AAAARRFF ! C’est… C’est énorme ! AAAAAH !

Elle reste bloquée au chien, pendant de longues minutes, il ne bouge plus, elle n’arrête pas de jouir, puis, ils se séparent, avec un bruit de ventouse, beaucoup de sperme s’écoule de son vagin, elle reprend doucement ses esprits, alors que le chien lui lèche la chatte, pour qu’elle ne perde pas une goutte.

Avec la langue râpeuse du chien sur sa chatte, et son clitoris, elle jouit encore une fois.

Lorsqu’elle se sépare enfin du chien, qui était en elle, le mari découvre sa chatte, bien dilatée, et dégoulinante de sperme canin. Il ne peut s’empêcher de glisser ses doigts à l’intérieur. La sentant bien ouverte, il réussit à la pénétrer entièrement avec sa main. Celle-ci glisse aisément en elle, bien lubrifiée par la semence, et la mouille. Il ferme le poing en elle.

Après la saillie, elle est plus large, que d’habitude, il peut le faire entrer, et sortir de sa chatte facilement. Il module la vitesse de pénétration, en fonction de ses gémissements, pour finir par la baiser avec sa main, comme le faisait son chien avec son sexe. Elle crie littéralement de bonheur, quand la jouissance l’envahit.

Elle reprend peu à peu ses esprits, et dit à son mari :

— Tu me fais devenir folle ! Mais… qu’est-ce que c’est bon ! Encore, s’il te plaît…

Son mari fait un signe à l’autre chien, il vient poser ses pattes avant sur le dos de sa nouvelle femelle. Il se dresse, avec sa grosse bite rouge, à la hauteur de l’anus de la femme. Son mari se saisit, entre ses doigts, de la bite, qui commence à perler, et la place à l’entrée de son anus. Lorsqu’elle sent le sexe bestial forcer sur son anus, elle tente de se dérober.

Mais, d’un coup de rein, le sexe de son amant est rentré dans son fondement. Dans un cri de bonheur, mêlé de douleur, elle est prise par son chien.

Madame, le cul bien en l’air, se fait limer, à qui mieux mieux, par le chien, qui se branle en elle, avec une vitesse décuplée. Les griffes du chien commencent à marquer la peau de son dos, de striures rouges.

— Oui ! Oui ! Plus vite ! Plus fort ! Oui, c’est ça… Encore…, crie-t-elle, pour l’encourager…

Elle est en transe, et répond aux coups de butoir de son violeur, par des mouvements de bassin incontrôlés. La bouche ouverte, elle profite du plaisir intense, que lui procure cette étreinte bestiale.

Des petites gouttelettes de sperme canin gouttent de son cul, l’animal doit commencer à épancher son besoin de se vider. Comme de petites perles, la semence de son amant coule sur sa chatte, et glisse dans sa raie, jusque sur son clito. Le chien, couché sur son dos, la tête posée sur son épaule, accélère encore l’allure, tout en poussant de petits aboiements. Ce cul, tant de fois désiré, est, pour le chien, un régal.

Alors, d’un coup, le chien s’enfonce plus encore dans les entrailles, et pousse sur ses pattes arrière, sa boule passe l’anneau de sa femelle. Elle, les seins gonflés par la jouissance, pousse un cri rauque :

— OOOH ! Oh oui ! AAAAR ! AAAR ! Tu… AAAH… Tu vois, Georges… AAAH… OOH ! OOOH, ça y est ! OOOH… C’est RENTRÉE ! T’as AAAH !… AAAR, OUIII ! AAFF ! T’as vu ? OOOH !

— Oui, ma chérie, j’ai vu, qu’il t’a tout mis ! C’est bon ?

— OOOH ! Oh oui ! OOORR… C’est trop bon ! OOORR ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! OUUUIIIII ! AAAARR ! Sa boule grossit encore… AAAARRRRR…

— ALORS ! Tu jouis !

— OOOOH ! Oh OUIIIII ! AAAAARRRR !

— Tu es une chienne ! T’es vraiment, maintenant, une chienne !

— OOOH ! Oh oui ! Oh, la vache ! Il vient ! Il… AAARR ! Je JOUIII ! AAAAFF ! AAARRR…

— Déjà ?

— OOOH ! Oui, mais… AAAARR… Mais, la première… La deuxième ne va… AAAAFF, pas tarder… Oh ! Oh, OUIII, il… Il me remplit vraiment ! AAAAAARRRFF !

— Ça y est ?

— No… Non, il bande encore… AAAAAR ! Tant qu’il est gonflé… AAAAAARRRFF ! Il ne peut… Il ne peut pas sortir ! AAAARR ! Moi, je… AAARFF ! Je JOUIIIII ! AAAAAARRRFF !

— Espèce de chienne ! Suce-moi ! OOUAI ! Regarde, comme tu m’as excité, salope ! OOOOH ! C’est ça, suce-moi bien, SALOPE ! AAAH, OUAI ! C’est bon ! Putain ! T’es ma pute ! T’es une chienne en chaleur ! T’aimes ça, d’être une chienne, hein ?

— MMMRRLL… AAAARR ! Oh oui, j’aime ça… MMMFFRRR !

— Allez, suce ma bite, sale chienne ! Suce-moi bien ! OUII ! OOH ! Doucement ! AAH ! Je veux te prendre, comme une chienne, que tu es ! Oh ouais, j’aime, comme tu me suces, chérie !

— Alors… retiens-toi… AAARFF ! Profite… Du spectacle. Ça… AAAARR… Ça va prendre encore… Du temps… OOOOOOHHHH… FFFFFFF !

Le chien se vide dans son corps. Son anus déborde de semence blanchâtre.

Elle suce doucement son mari, en attendant patiemment, que son chien se dégage.

Aussi vite, qu’il était monté sur la femelle, le chien retire, dans un bruit spongieux, son sexe violacé de l’anus de sa maîtresse, et saute à terre, en se secouant.

— Ah ! La place est libre ! Je vais te bourrer la chatte !

— Oh, putain ! Ils t’ont vraiment écartée, les salauds ! Je baigne dans ton jus ! Ça dégouline !

— Vas-y, Georges ! Baise-moi, comme une pute ! AAAAAARRRFF !

— Oh, la vache, ça m’excite ! AAH ! AAAH ! AANN ! AAGN ! AN ! AN ! AN ! AAAGNN !

— OOOH ! Oh OUII ! Baise ta chienne de femme ! AAAAH ! Traite-moi, comme une pute !

— Oh oui, AAH ! T’es vraiment qu’une chienne ! Un sac à foutre ! AAAH ! Une chienne, qui aime se faire saillir par mes chiens ! OOOH ! Dis-moi, que t’es qu’une chienne ! Avoue, que t’aimes ça !

— OOOOH ! Oh oui, chéri, AAAAH ! Je… Je ne suis qu’une chienne, qui aime… AAAARR ! Qui aime se faire remplir la AAAAAARRRFF !… Par tes chiens !

— T’es qu’une grosse salope dégueulasse ! AAAH ! OH ! AAGN ! Puisque t’aimes ça, je vais… Ah !… Je vais te faire faire des trucs encore plus sales ! OOOH ! Tu vas devenir une vraie pute dégueulasse ! AAAH !

— OOOH ! Oh OUII ! AAAAH ! Tout ce que tu voudras ! AAAAH ! Je serai ta pute ! AARF ! Ta chienne ! OOH ! Oh OUII ! OUUIIII ! OOOOOOHHHH !

— Attends, tu vas voir, comment on prend une CHIENNE, dans ton genre ! AANNH !

Georges sort sa bite de la chatte, pour l’enfoncer, aussi sec, dans l’anus de sa femme.

— AAAAAARRRFF !

— Putain ! T’es tellement poisseuse, que c’est rentré tout seul !

— OOOOOOHHHH ! Vas-y, Georges ! AAAH ! Encule-moi bien ! AAARR ! Bouge ! AAAH ! AAAH ! AARRFF ! Encule ta chienne !

— T’aimes, quand je t’encule ? AAACH !

— Oh oui… Oui, j’ai… Oui, j’aime ça !

— Putain ! Tu m’excites, grosse chienne !

— Baise-moi ! Encule-moi fort ! OOOOH !

— AAAH, ma chérie ! Oh oui ! OOOOHHHH !

— Oh OUII, Georges, je… je JOUIIIIS ! AAAAAARRRFF ! Je JOUIIIIIS !

— Oh, je vais… AAAAFF ! Attends, je veux t’éjaculer dans la bouche !

Il se retire précipitamment du cul de sa femme, qui se retourne, pour le prendre en bouche. Il lui enfonce sa bite poisseuse, et sale, au fond de la gorge, et éjacule.

— MMMMMMGGNN !

— Oh oui, salope ! Avale tout ! AAAAFFFF !

Il se laisse tomber sur le sol, et elle entreprend de lui nettoyer la bite de toute trace de leur coït.

— Tu… OOOH ! Tu me nettoies la bite ! OUUII ! C’est bon ! Vas-y ! AAAARRRFF !

— Et bien, mon chéri, on ne dirait pas, que tu me baises tous les jours ! T’as vu, tout ce que t’as balancé ? T’avais vraiment besoin de te vider les couilles !

— C’est de ta faute ! Tu m’as mis sous pression ! Je savais, que tu aimerais te faire saillir par nos chiens. Alors que tu l’as toujours refusé, et, maintenant, tu as sucé ma bite, à la sortie de ton cul !

— C’est toi, qui le voulais, je t’ai dit, que je ferais ce que tu voudrais. Tu m’as demandé de baiser avec nos chiens, je trouvais ça dégueulasse. Aujourd’hui, tu m’as traînée ici, j’ai vu cette femme jouir avec nos chiens. Alors, je ne sais pas, ce qui m’a pris, mais je l’ai fait, tu m’as enculée, je t’ai laissé faire, et tu as voulu éjaculer dans ma bouche, et j’ai tout avalé. C’est ce que tu voulais, non ?

— Oui, c’est vrai…

Madame, repue de plaisir, se laisse tomber sur ses avant-bras repliés, impudiquement, les jambes ouvertes, on voyait s’échapper de ses trous béants les deux spermes mélangés.

Olga vient d’entrer, avec un grand doberman, à la robe noire, et aux pattes claires, comme son museau. Ses oreilles sont pointues, ses yeux noirs brillants. Il a une grande langue pendante, sa gueule bave en abondance. Sa bite est sortie, c’est une bite d’au moins vingt-huit centimètres, épaisse, comme un manche de pioche, avec un bout tout rouge, en forme d’obus.

— Qu’est-ce que je fais déguster ?

Mais non ? C’est pas pour moi, elle se dirige vers la dame, et le client ?

Soudain, elle sent un museau froid renifler son entrejambe. Une grande langue lui lèche la raie, en partant de son clito, jusqu’à son anus.

La Madame pousse un cri de surprise. Son mari vient la rassurer :

— Détends-toi ! C’est pour ton plaisir, que je t’ai bien préparée. Autant que tu le saches, ça fera, désormais, partie de ta vie, d’être une chienne, toi, qui es toujours en chaleur.

Elle est pleine de fièvre, encore sous l’effet de la drogue, qu’ils lui ont fait boire. Pendant que son futur amant lui lèche toujours ses parties intimes, Madame jouit, la bouche ouverte, le mari en profite, pour lui passer un mors, que lui a tendu Olga.

C’est un cylindre de caoutchouc, relié à chaque extrémité par une sangle, que Monsieur attache derrière sa nuque.

Les deux pattes du chien se posent sur le dos de la dame, le mari ajuste l’accouplement, il place le bout de la grosse bite contre l’anus de sa femme.

— Vas-y ! Elle est à toi, cette chienne ! dit le mari.

Son anus s’ouvre, sans problème, et accueille lentement ce monstre de chair, elle se cambre encore plus, pour profiter de cette intrusion, et va même, jusqu’à s’empaler elle-même sur cette grosse tige. Sous son mors, elle gémit, pendant que l’énorme bite s’enfonce dans l’entrée de ses reins.

Elle halète de plus en plus, elle a le rectum bien rempli, la grosse pointe est maintenant au fond de ses entrailles. C’est très chaud, ça gigote dans son ventre, elle n’a sûrement jamais connu ça. Elle est possédée par un membre impressionnant.

Je suis hallucinée, une fois de plus, par l’élasticité des trous du corps humain.

Les deux grosses couilles de son amant sont écrasées contre son clito.

Le mari caresse la tête du chien, et de sa femme :

— Voilà, mon chien ! Elle est bonne, ta nouvelle femelle ! Fais jouir la nouvelle chienne ! Vas-y !

L’amant de sa femme fait coulisser son pieu, lentement d’abord. Ses puissantes pattes enserrent sa taille, obligeant le corps de la femme à suivre ses mouvements. J’ai vu, que, d’un formidable coup de rein, il a rentré son nœud dans le rectum de sa femelle.

On voit nettement, que l’excitation de la femelle va en croissant. Sous son mors, elle ahane de plaisir.

L’amant se met à limer sa femelle, de plus en plus vite, elle est secouée, comme un vulgaire sac. Dans ses entrailles, l’énorme bite va et vient en cadence.

Ses seins ballottent dans tous les sens, ses mamelons frottent par terre, par instants. Elle feule, comme une bête sauvage, un énorme orgasme la terrasse, quand son amant lui remplit les entrailles de sa chaude semence. L’amant se retourne, pour être cul à cul avec sa femelle, qui continue à jouir bruyamment.

Son mari vient lui passer un collier autour du cou, en le refermant derrière, avec une fermeture de sûreté. Il lance à la cantonade :

— Merci ! Grâce à vous, j’ai pu en faire une chienne, c’est ce, qui manquait dans notre couple.

Quinze minutes plus tard, les deux amants se désolidarisent.

Il faut un bout de temps, pour que ma consœur reprenne sa respiration, et retrouve ses esprits.

Le sperme de son amant dégouline de son anus, ruisselle sur ses lèvres intimes entrouvertes, pour goutter de son clitoris au sol.

Son mari lui caresse le dos strié :

— Alors ? Avoue, que tu as été bien comblée, hein ? Pour une chienne, comme toi, il te fallait bien ça ! Tu en veux encore ?

Contre toute attente, elle secoue la tête, en signe d’acceptation. Le client va palabrer avec Olga, et la patronne. Olga me fait me relever, pour me mettre dans un coin, pour assister à la suite du spectacle.

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. ia porn generator free tokens"baise

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Générateur Porno IA

generateur porno gratuit