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Lettre d’une femme mariée à son mari Chapitre 8 Final

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Lettre d’une femme mariée 8


Rappel du thème général
 : Une femme s’engage auprès de son nouveau patron dans une relation torride avec « l’obligation » de relater à son mari les circonstances de sa mise en abîme par lettres différées.

vendredi 29 mai

Mon savoureux mari,

Je ne m’attendais pas à cela au début, mais je réalise qu’il m’est de plus en plus difficile de tenir mes engagements à te relater « toute la réalité » de ma relation avec Michel.

Lettre d'une femme mariée à son mari Chapitre 8 Final
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Bien sûr, dès le début, quelles que soient ma volonté et mon application, je ne pouvais en définitive te décrire la totalité de mes expériences avec lui. J’avais le désir pour toi, pour lui, mais aussi pour moi-même de laisser une trace sur le papier de ce qui me paraissait essentiel… mais qui était souvent indicible dans notre relation. Par cet exposé quasi quotidien, j’espérais au moins pouvoir te rapporter fidèlement l’ensemble de nos rencontres.

Je réalise aujourd’hui que cela me devient impossible. C’est une impossibilité matérielle, parce que j’y passerais trop de temps, mais également physique, puisqu’à ce rythme, je devrais bientôt y laisser toutes mes forces.

Si je m’aperçois que je suis de moins en moins capable de lutter contre ce désir dévorant dont mon amant lascif est la source, je dois dans la relation de cette correspondance, chaque jour davantage faire des choix ! En outre, j’aurais l’impression parfois de ne rédiger qu’un catalogue de perversions érotiques, dont tu pourrais douter de la véracité !

Je peux seulement t’avouer que dans les descriptions de ce qui est devenu ma vie sexuelle… je suis bien souvent en deçà de la réalité ! Cette sexualité a pris une telle place en seulement un mois, que tu pourrais penser que ma vie se réduit à cela… faire l’amour… observer les autres le faire… attendre avec impatience le moment de pouvoir baiser moi-même… J’avoue que je ne sais quoi te répondre, car si j’arrive, je ne sais trop comment, à accomplir encore sérieusement le reste plus avouable de mon « travail », j’ai très vite ces « choses particulières » qui me trottent dans la tête… et pas seulement dans la tête, et qui me distraient de mes activités.

J’ai évoqué, une fois, la similitude de ce que j’expérimentais, à une drogue que je venais juste alors de goûter. Je ne savais pas à quel point je me retrouverais si rapidement sous sa dépendance ! Il y a en effet désormais un décalage absolu entre ce que pourrait parfois me dicter la raison et le « choix » de mes actes. Je dois avouer que fondamentalement, je n’ai pas l’impression de faire le choix de grand-chose ! Depuis ce premier jour où Michel, lui, m’a choisie, pour que je travaille à ses côtés et que je lui sois fidèle d’une façon si entière, j’ai la certitude de ne plus décider de vraiment de rien.

Comment expliquer, pour en revenir à cette journée de lundi, ce besoin irraisonné et irrépressible de me poster encore par deux fois près de cette porte pour m’inviter clandestinement au spectacle des débauches de mon si déroutant patron ?

La femme qu’il a reçue en début d’après-midi était une connaissance, et il n’a pas été nécessaire pour eux d’échanger tout d’abord beaucoup de mots.

Elle était visiblement venue « pour ça », et il était tout à fait disposé à répondre au mieux à ses espoirs.

Je réalisais maintenant, que parmi celles qui pénétraient désormais son bureau avant de se faire elles-mêmes… bref, je m’apercevais que certaines d’entre elles étaient des habituées ! J’ai réalisé également qu’une des raisons du succès remarquable de mon « étalon », n’était pas due qu’à ses talents de séducteurs, dont je venais, la matinée même, d’avoir été témoin, mais également, et peut-être tout autant à ses qualités d’amant !

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Les bribes de conversations qui me parvinrent alors, m’apportaient bien des éclaircissements. C’est d’abord elle qui s’exprima. Elle avait d’ailleurs une voix plutôt grave et veloutée, tout à fait troublante :

  • — J’ai parlé de toi à une copine à mon boulot… et j’avoue qu’elle m’a parue très intéressée ! Aussi, je lui ai laissé les coordonnées de ton agence, et cela ne m’étonnerait pas qu’elle imagine une destination bidon pour venir jusqu’à toi !

Elle se mit à rire tout en continuant ce qu’elle avait commencé, c’est à dire se déshabiller intégralement ! Michel faisait de même, soudainement aussi intéressé par la tournure de la conversation que par la superbe silhouette qui s’offrait à sa vue.

  • — Elle est mignonne ? Elle a à peu près ton âge ?
  • — Mon cher ami, ce sont des choses qui ne se demandent pas. Mais je dois tout de même t’avouer qu’elle devrait certainement te plaire… et j’en serais presque jalouse !

Tout en parlant et ne voulant visiblement pas perdre de temps, elle s’approcha de lui qui, comme elle, était resté debout, et prit sa main pour la placer entre ses cuisses afin qu’il la masturbe.

  • — Tu sais, aujourd’hui encore je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai juste dit à Alex que j’allais chercher des clopes et acheter le journal… mais quand je suis passée devant chez toi, je n’ai pas pu résister !

Michel ne résistait pas davantage… d’autant plus qu’elle était en train de lui masser la verge et les couilles tout en se trémoussant sous l’effet de la branlette effrénée dont il la gratifiait.

Tout s’était passé si vite jusque-là que j’avais à peine pris le temps de détailler sa sculpturale anatomie. C’était une grande et belle créature qui, ayant défait sa coiffure, libéra une somptueuse chevelure blonde qui se répandit comme une vague soyeuse, jusqu’à ses épaules et ses petits seins. Ces derniers étaient vraiment adorables avec leurs mamelons fièrement dressés !

Même pieds nus, elle dépassait son fougueux amant, ce qui facilita la tâche de celui-ci quand elle posa un pied sur le fauteuil, tout en s’y appuyant des deux mains, pour qu’il la trousse sans autre cérémonie.

Il ne m’était pas difficile d’imaginer que cette pratique leur était familière quand je vis avec qu’elle aisance il commença à la « pistonner » violemment tout en lui labourant le dos de ses ongles. J’y vis un petit jeu habituel entre eux et elle en redemandait.

  • — Oui !… Continue comme ça !… Plus fort !…

Sa voix quasi masculine et si veloutée, prenait enfin, sous l’effet de la jouissance, des intonations plus cristallines. Mais elle s’est subitement ressaisie, si l’on peut dire, en le suppliant de ne pas gicler en elle mais sur son cul, qu’elle avait d’ailleurs lui aussi ravissant…

Lorsque j’ai vu les longues traînées blanches se projeter, puis couler sur son postérieur et le creux de ses reins, j’étais vraiment surprise. Comment faisait-il pour garder en lui autant de semence si peu de temps après avoir honoré une autre partenaire ? Mais cela n’avait pas vraiment d’importance. Je me trouvais maintenant captivée par le spectacle de ses mains utilisant cette crème, dont je connaissais la saveur odorante, pour la gratifier d’un délicieux massage, sur le bas de son dos, ses fesses, sans oublier de les glisser complaisamment dans la raie de son cul.

Elle répondait gentiment à ces gâteries, qui provoquaient en elle des contorsions félines, comme l’aurait fait une femelle en chaleur, tout en faisant coulisser ses doigts autour de la hampe gluante de sperme qui pendait maintenant, quoique ferme encore, entre ses cuisses.

Mais elle n’avait visiblement pas le temps de s’adonner à une extase contemplative. Sans même chercher à effacer les traces de son forfait, il faut dire qu’en plus du foutre qui la maculait, elle portait désormais les empreintes plus durables des coups de griffes de son étreinte sauvage, elle s’est rhabillée avec une vitesse incroyable. Michel était lui encore à demi-nu quand elle lui a adressé un rapide baiser sur la bouche avant de lui dire simplement :

  • — Merci !

Cet épisode n’avait duré que quelques minutes, mais je n’étais pas au bout de mes émotions quand je l’ai découvert à peine une heure plus tard et alors que je regardais par le trou de la serrure sans trop y croire… en train de se faire sucer par une nouvelle « cliente » !

Je me demandais quel nectar elle pourrait bien extraire encore du gland de mon patron lubrique et si elle percevait l’origine de la saveur particulière qui devait encore embaumer sa verge, quand je m’aperçus que cette jeune femme en posture de suppliante n’était autre que la « petite boulangère » si charmante qui nous livre chaque après-midi des viennoiseries pour accompagner le café !

Je pensais en avoir assez vu aujourd’hui et j’ai occupé l’heure suivante à chasser autant que possible toutes ces visions de mon esprit pour retrouver un minimum d’efficacité dans la gestion des dossiers qui se trouvaient sur ma table.

Il était six heures quand je suis allée le rejoindre dans son bureau pour lui livrer, malgré tout, les résultats de mon travail. Je comprenais maintenant les raisons de cette odeur saturée qui emplissait la pièce et qui résultait d’un usage de désodorisants plutôt agressifs tout autant que de son propre parfum, lui-même pas très discret.

Mon état d’esprit était assez confus. Sans savoir précisément pourquoi, je lui en voulais encore. Mais je ne savais ce qui dominait : la succession des amours consommées dans un endroit que je nous croyais réservé, le fait même qu’il me trompe et qu’il semble trouver finalement naturel que j’accepte tout cela, le soupçon encore présent malgré tout de sa duplicité quand il prétendait que j’avais un statut « à part »… Mais d’un autre côté, il avait cherché ces derniers temps à être le plus sincère possible. Il ne m’avait jamais forcée à rien. Quant à sa duplicité, c’était sans doute ridicule d’avoir à la lui reprocher, il aurait plutôt fallu que j’accuse alors « sa multiplicité » !

Ce qui est certain, c’est que je ne me sentais plus en confiance, comme cela avait été le cas les premiers temps. Il dut le ressentir car, dès qu’il m’a vu, il m’a semblé inquiet.

  • — Vous m’en voulez ? Il y a quelque chose que vous avez mal vécu ?

Il faisait évidemment allusion à notre soirée à trois. Curieusement je n’y pensais déjà plus, j’avais d’autres images en tête qui troublaient, une fois de plus, la perception que j’avais de lui.

Je n’ai rien répondu parce qu’en vérité, je ne savais quoi répondre. Je ne lui en voulais sans doute pas consciemment, mais je me sentais terriblement irritable et j’avais juste la certitude que c’était parce que je me trouvais là, avec lui. Il était apparemment sensible à ma contrariété.

  • — Qu’est-ce que je peux faire pour vous faire plaisir ?

Je ne croyais pas qu’il était capable de faire quoi que ce soit, et je pensais qu’il était grand temps de le quitter en dépit de ma frustration. Je me suis dirigée vers la porte, non par l’envie de le blesser, mais parce que c’était la seule chose que je me sentais capable de faire, au-delà de tout désir. C’est moi désormais qui me laissais envahir par une tristesse que je n’avais su prévenir. J’étais en colère et désespérée. Je n’avais qu’une certitude, celle de l’impossibilité de vivre un amour passionné et durable et je craignais qu’il ne fasse rien pour me retenir et m’arracher à ma solitude.

À l’instant où je touchai la poignée de la porte, je me sentis violemment tirée en arrière, et déséquilibrée. Je me trouvai en un instant projetée sur le dos sur le tapis. J’étais comme sonnée, sous l’effet de la surprise.

J’ai eu l’impression de me réveiller d’un long engourdissement, avec cette chaleur qui se diffusait dans mon ventre. J’étais emportée par une excitation incontrôlable. Il avait posé ses lèvres sur mes lèvres intimes et il s’appliquait à me les sucer avec la même avidité que celle qu’il avait déjà mise par le passé pour solliciter mes mamelons… La différence était bien sûr dans l’intensité de l’exaltation de mes sens.

Il avait comme kidnappé mon corps qui était soumis à son emprise, sans que ma raison n’ait pu réagir. Il m’avait possédée par surprise dans ce qui avait ressemblé, dans mon état de semi-conscience, à un viol. Mais une fois encore, je n’avais aucun désir de me dérober à son étreinte. J’ai serré, au contraire, fermement mes mains sur son crâne pour qu’il épouse plus intimement la profondeur de mes chairs. Je le voulais en moi, et maintenant c’était par sa langue qu’il pouvait me combler le plus magistralement. Il m’a lapé la vulve avec une énergie désespérée.

Après ma tristesse d’avoir à vivre l’abandon, je perçus la sienne qui paraissait aussi intense. Il s’agrippait à mes jambes comme s’il ne voulait jamais se libérer de cette étreinte, avec la volonté évidente de m’empêcher de me dérober. Mais j’étais entièrement avec lui, tout contre lui… et j’aurais aimé le sentir davantage encore. Libérée soudainement du chagrin de la séparation, j’aurais tellement aimé pouvoir lui offrir le témoignage absolu d’un désir fusionnel. S’il avait pu s’engloutir entièrement dans mes chairs pour que je le protège de façon ultime et le rassure sur mes intentions, je me serai laissé faire… pour vivre avec lui une sorte d’accouchement à l’envers.

Je percevais bien la part de folie dans cette offrande sans limite que j’aurais aimé pouvoir offrir à mon amant adoré. Mais il n’y avait plus que ce plaisir qui me submergeait, celui de le sentir entre mes jambes, assoiffé de mon jus.

Je voulais qu’il me boive et je commençais à jouir sous l’effet de sa langue qui me lapait sans répit. J’ai senti un petit jet d’urine s’écouler de ma chatte mais, loin de vouloir contenir cette sécrétion qui résultait pareillement de ma jouissance, je me laissais aller à pisser dans sa bouche.

Je me sentais heureuse de me vider en lui, de flatter ses muqueuses de mon urine brûlante. De le pénétrer à ma façon, comme je ne l’avais jamais fait avec aucun homme. Je ne voulais pas l’humilier. Je voulais lui offrir un cadeau tout personnel. Je répondais ainsi à son emprise sauvage et dominante en le dominant à mon tour, répondant à la surprise de ses actes par une autre surprise. J’avais la confuse conviction qu’il fallait lui offrir quelque chose d’insolite et de déroutant.

C’est pour cela aussi que je me suis dégagée de ses tendresses buccales sur ma chatte, afin de pivoter derrière lui pour le masturber, pendant que je massais la raie de son cul. Il n’a pas tardé à éjaculer une toute petite flaque blanche sur le cuir du canapé, dont je me suis badigeonné les lèvres comme s’il s’était agi d’une crème de beauté… avant de lécher ces dernières pour ne pas perdre une goutte !

Malgré tout ce qui s’était passé, j’étais donc parvenue, non sans fierté, à le faire jouir moi-aussi. Et je lui étais redevable de m’avoir gardée près de lui, même si cela l’avait été par la force. Je me sentais sa chose, et j’ai éprouvé le besoin de lui évoquer tout ce que j’avais vu de lui avec ces autres femmes. Il n’a pas paru gêné. Il m’a confié qu’il savait que cela arriverait un jour, mais il m’a aussi avoué qu’il n’avait pas osé espérer que d’une certaine façon j’y prendrais moi aussi du plaisir.

Et puis il m’a répété sa volonté de me voir vivre la volupté dans les bras d’un autre homme. Je ne sais pas pourquoi, car jusqu’ici encore je n’avais pas vraiment été profondément troublée par un autre que lui et toi… mais j’ai eu brusquement une envie folle de céder à cette nouvelle demande !

Je lui ai promis, dès cette semaine, que confronté à un client séduisant qui ne me laisserait pas insensible, je tenterais de le séduire et qu’il pourrait à son tour m’observer, pour me voir jouir, peut-être, avec un inconnu !

En attendant, cet autre dans les bras duquel j’ai envie de jouir ce soir, c’est toi, mon petit chéri !

Ta compagne de tous les jours qui t’aime !

Samedi 30 mai

J’ai vécu, en attendant, d’autres expériences de voyeurisme que je veux te relater plus brièvement, au risque d’en émousser l’érotisme.

Mardi, un peu plus sérieuse à accomplir mon travail, je n’ai cédé à la tentation que deux fois.

C’était tout d’abord le matin, en l’espionnant avec une femme qui devait bien avoir la soixantaine mais qui avait surtout l’attrait précieux de posséder une opulente poitrine. Elle a généreusement dévoilée celle-ci pour offrir à Michel une succulente tétée, alors que c’était lui cette fois, qui était assis sur les genoux de cette dame corpulente à l’air autoritaire !

L’après-midi, je l’ai vu baiser en levrette une femme plutôt jolie, qui avait la quarantaine, et qui n’a pas voulu se laisser autrement déshabiller qu’en lui offrant, tout de même, sa petite culotte. Les bribes de conversations que j’ai pu entendre m’ont fait découvrir qu’il s’agissait de la collègue qui, sur les conseils de son amie, n’avait donc patienté qu’un jour avant de venir évaluer les performances de ce si serviable commerçant !

Hier, les bruits d’à côté m’ont distraite par trois fois.

La première fois, c’était pour le voir à quatre pattes, se faire chevaucher de façon incongrue par une partenaire que j’imaginais régulière et qui n’avait, curieusement, gardé sur elle que ses bottines et son soutien-gorge. Elle semblait apprécier particulièrement l’effet que produisait le frottement de ses parties intimes sur les reins de Michel, qu’elle remercia une fois l’extase atteinte, en lui branlant la verge, vautrée sur lui, telle une amazone repue.

La seconde fois, je le vis debout, adossé à la fenêtre, qui tenait à bout de bras une femme menue, jolie comme une poupée et à qui, par sa seule force, il arrivait à imprimer un mouvement ample et de plus en plus rapide, comme s’il se masturbait de tout son corps à l’aide d’un jouet exquis à l’expressivité éloquente !

La troisième fois, il m’apparut dans une posture plus conventionnelle et plus sage. Puisqu’il se retrouvait une fois encore à son fauteuil, simplement à embrasser et peloter une jolie jeune femme un peu ronde. Ce que je ne vis qu’après, c’est que pendant ce temps, une autre qui aurait pu être sa sœur tant elle lui ressemblait, à ses pieds, concentrait ses ardeurs en flattant de sa langue son gland décalotté.

Aujourd’hui même, je l’ai surpris encore, sans avoir à trop attendre, en une posture compromettante si un conjoint avait dû passer par là. Il était avec une connaissance, que je ne m’attendais pas à voir revenir si tôt. La femme au crucifix !

Celle-ci, toujours aussi passionnée par les étreintes rédemptrices et douloureuses, le suppliait qu’il lui « mâchouille » le bout de ses petits seins, parce qu’elle voulait « jouir et souffrir » par lui ! Il y avait quelque chose de troublant à la voir empalée sur lui, en position extatique, sa petite poitrine offerte à ses mastications voraces, bondir au-dessus de son ventre et se trémousser tout en le suppliant de ne pas s’arrêter !

Quand elle parut au sommet de la jouissance, elle s’est précipitée sur ses lèvres pour le mordre avec sauvagerie. Une petite goutte de sang est venue alors perler au coin de la bouche de Michel. C’est la première fois que stupidement, j’aurais aimé intervenir, pour arrêter cette folle qui était en train de faire du mal à mon chéri, mais il lui a parlé d’une façon si douce, apparemment assouvi :

  • — Je ne sais pas si c’était bien pour toi, mon petit amour, mais moi j’ai adoré !

Ensuite, il l’a prise dans ses bras. J’étais étonnée de la familiarité bienveillante qui les unissait déjà, plus encore que de leur complicité sexuelle !

Je me suis refusée par la suite, à trop dépendre aujourd’hui, de ce qui j’imaginais se passer de l’autre côté de la porte. J’étais plutôt satisfaite de me rendre compte que ma volonté pouvait encore agir sur cette part nouvelle de notre relation.

Et puis, un autre projet commençait à occuper mon esprit. Il me fallait rapidement trouver une victime consentante… et la séduire, pour l’attirer avec mes propres armes dans mon bureau. Et je me retrouvais un peu comme une élève modèle qui aurait voulu imiter son maître !

Je t’embrasse avec la même vigueur que mon amant chéri… avec ma petite langue qui vient se fourrer entre tes lèvres.

Lundi 1er juin

Aujourd’hui, j’ai donc observé les hommes comme je ne l’avais jamais fait jusqu’ici.

Ils arrivent malheureusement à l’agence souvent accompagnés par celle qui peut être leur femme ou leur maîtresse.

J’avoue que, maintenant que je m’en sens la permission, j’éprouve « quelque chose », à scruter discrètement ce que j’entrevois de leur anatomie. Ce qui m’est plus facile quand ils s’entretiennent avec Muriel ou Andrew.

Je dois aussi admettre que j’ai même regardé ce dernier d’un œil différent. Mais il est bien sûr évident pour moi, qu’il est hors de question d’aller plus loin avec lui. C’est une satisfaction féminine purement platonique puisque j’en sais la concrétisation impossible. Et puis je ne dois pas me détourner de l’essentiel : la recherche d’un partenaire qui voudrait bien me prendre !

C’est vrai que mon désir résulte, en grande partie, de l’attirance physique que j’éprouve pour un homme. Mais ce qui me trouble bien davantage qu’une anatomie que je devine flatteuse, c’est la profondeur d’un regard en ce qu’elle porte en elle de promesses.

Lorsqu’ils me regardent, certains hommes semblent m’envelopper de toute leur attention et expriment une telle douceur par cette seule attitude que je me sens soudainement apaisée, rassurée quant à mon pouvoir de séduction et ma capacité à ne pas rester seule.

Il y a sans doute une part d’illusion, mais c’est un bien fou de pouvoir penser que l’homme si près de moi qui m’observe, n’a qu’un désir… être plus près encore, être plus proche de ce que je suis vraiment à cet instant précis. Comme si ses yeux soudainement attentifs pouvaient littéralement me toucher par une voie mystérieuse et atteindre cette contrée secrète de mes désirs les plus secrets.

Mais ces regards portent aussi en eux des signaux plus directs et évidemment charnels. La caresse de nos attentions qui se croisent et se confondent pendant quelques secondes et qui, soutenues, nous paraissent alors si longues, appelle d’autres caresses, d’autres attentions. Il n’y a rien de plus profond qu’un regard appuyé pour exprimer puissamment une envie d’aller l’un vers l’autre, si ce n’est déjà celle de faire l’amour.

Je peux paraître prétentieuse, lorsque « j’admets » être une femme qui attire les regards des hommes. Mais tu sais qu’il ne servirait à rien qu’avec toi, qui me connais si bien, je sois faussement modeste. Et puis il y a le soin apporté à mes tenues qui m’apparente parfois à une hôtesse de l’air en plus sexy, avec mes chemisiers au décolleté plus engageant, mes chaussures à talon qui dévoilent davantage mes pieds et mes jupes souvent plus courtes et fendues découvrant en partie mes cuisses. Tout cela joue d’évidence un rôle non négligeable dans l’attention que je provoque chez bien des hommes.

C’est touchant de voir la diversité de leurs attitudes à mon égard.

Il y a bien sûr, un nombre non négligeable d’entre eux qui ne laissent rien paraître de leur trouble en ma présence. Soit parce que je ne suis pas « leur type de femme », soit parce que l’amour qu’ils portent à leur moitié suffit à les contenter, soit encore qu’ils parviennent parfaitement à dissimuler leurs émotions.

Une majorité, je crois, ne peut s’empêcher de laisser traîner ses yeux sur certaines parties de mon anatomie. C’est amusant de voir le plus souvent ces hommes m’observer à la dérobée, que ce soit par timidité naturelle ou parce que la présence de leur compagne à côté d’eux les plonge dans une troublante dualité vis à vis d’un désir qu’ils ont du mal à cacher.

Mais ceux qui m’intéressent particulièrement ici, ce sont les clients qui, loin de ressentir une quelconque honte à avoir du désir pour moi, n’hésitent pas à me regarder dans les yeux avec l’espoir que mon attention puisse répondre à la leur.

Bien sûr, je vais te parler ici de ceux que j’ai particulièrement remarqués et que je n’ai pas laissés indifférents, et finalement de l’espoir de concrétisation qui semble se dessiner pour demain.

J’ai ainsi réalisé une nouvelle fois, « grâce à Michel » qu’une nouvelle facette de ma personnalité était en train d’émerger. Je me suis découverte soudainement « allumeuse », vis à vis d’hommes pour lesquels dans un premier temps, je ne voyais pas d’issue possible…

Ainsi, ce jeune marié qui s’est d’abord entretenu avec son épouse au guichet d’Andrew et qui m’adressait des coups d’œil réguliers. Lorsque je les ai reçus finalement à mon bureau pour finaliser leur dossier, j’étais flattée mais aussi en partie gênée par ses regard particulièrement appuyés qui, tour à tour, parcouraient mon visage ou scrutaient ma poitrine avec cette troublante sensation de me dénuder.

Il y a eu ensuite cet autre jeune homme au beau visage, à la timidité évidente, mais qui avait tout de même l’audace de m’adresser de réguliers coups d’œil alors qu’il s’entretenait avec Muriel. Cela a évidemment comblé mon orgueil, de voir qu’il pouvait s’intéresser d’avantage à moi qu’à la charmante hôtesse qui lui faisait face, et j’avais moi-même du mal à détacher mon regard du sien, alors que j’avais face à moi une femme agaçante d’indécision. J’ai juste pu conclure de son intérêt particulier, avant qu’il ne disparaisse, qu’il était davantage porté sur les femmes plus mûres.

Et puis il y a eu aussi ce vieux monsieur, envers qui je n’aurais pas même envisagé une conclusion sexuelle et dont j’ai soupçonné que nos regards échangés, alors qu’une fois encore nous étions chacun occupé à discuter avec un autre interlocuteur, étaient davantage de l’ordre de la satisfaction esthétique. J’ai dû finalement changer d’avis, quand j’ai vu à quel point il semblait également attentif à mes cuisses largement découvertes dans cette position et qu’il pouvait observer à loisir d’où il était. Je m’étais rendue compte ainsi, d’abord sans le vouloir, puis par jeu je l’admets, que le mouvement lent de croisement et de décroisement de mes jambes sous la table avait l’air de l’émouvoir.

Et puis il y a eu lui. J’ai remarqué qu’il était un peu plus jeune que moi, sans doute dans la trentaine. Quand ses yeux clairs ont croisés les miens, je me suis tout de suite dit qu’il fallait que je fasse quelque chose. Ce n’était pas de l’ordre du coup de foudre, puisque la pensée de Michel ne me quittait vraiment pas avec cette volonté de lui faire plaisir, mais nos regards se sont accrochés comme l’expression d’une certitude : il fallait absolument nous revoir !

Bien sûr, pour compliquer le tout, lui aussi était accompagné d’une femme qui semblait plus jeune que lui, et qui par chance semblait vraiment concentrée sur les offres que lui présentait Andrew. Mon « bel homme », puisque je peux en parler ainsi, avec son physique d’athlète musclé et plus grand que toi, tournait sa tête vers moi, sans trop craindre visiblement d’être repéré. Notre audace à nous regarder dans ce lieu public avec tant d’insistance était telle que le couple avec lequel je conversais n’a pu, lui, que s’en rendre compte, de même qu’Andrew.

Au bout d’un certain temps, je me suis dit qu’il fallait absolument que j’agisse, que je trouve un prétexte pour me rapprocher de lui physiquement jusqu’à sentir son odeur, jusqu’à sentir cette douce caresse plus proche de ses yeux sur mon corps, sur mon visage, sur mes lèvres. Je me suis approché d’Andrew et j’ai prétexté l’incompréhension d’un point du dossier dont je m’occupais pour que nous changions d’interlocuteurs. Cela s’est passé sans difficulté, même si, ou peut-être grâce au fait que mon charmant collègue n’était pas dupe.

Quand je me suis retrouvée face à eux et surtout face à lui, je l’ai trouvé plus beau encore, avec son visage un peu carré qui semblait volontaire, et ses traits fins. Sa bouche particulièrement m’a parue si sensuelle. J’étais également impressionnée par son cou musclé qui lui donnait un port altier, et ses mains plus grandes et plus larges que les tiennes et pourtant bien proportionnées.

J’étais déjà conquise et ses beaux yeux bleus foncés qui me dévisageaient, m’invitaient à ne pas rester passive devant l’évidence.

Alors que sa femme était plongée dans un prospectus, j’ai encore inventé un subterfuge pour arriver à mes fins. J’ai prétendu qu’il manquait juste un élément et qu’il fallait que l’un d’entre eux revienne le récupérer dès demain, tout en gratifiant mon beau complice d’un clin d’œil dont je ne pus que mesurer l’audace, alors que je me mettais à rosir. Mais mes yeux n’ont pas quitté les siens et je suis certaine de cette lueur de contentement qui accompagnait magnifiquement son sourire !

Voilà pourquoi j’ai la faiblesse d’être confiante pour lundi !

J’ai très envie de t’embrasser les couilles et de te sucer… en pensant à mon probable nouvel amant !

Ta chérie, à mon chéri adoré.

Brigitte

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