Histoires taboues et histoires de sexe Récit érotique

L’histoire de sexe du TGV Strasbourg Lyon vécue par Brigitte

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Nouvelle histoire de sexe vécue par notre Brigitte nationale !

Coucou me revoilà, Brigitte et le récit que je vais vous racontez remonte à 2017.

Mon mari Philippe commercial devait se rendre à Lyon durant deux jours pour son travail. Il avait rendez-vous le lundi matin très tôt avec un client. Il avait décidé de partir dimanche dans l’après-midi.

C’est alors la semaine précédant son départ que je lui proposais de l’accompagner et de passer le week-end ensemble à Lyon en avançant le départ à vendredi matin, ce qui nous allongerait notre séjour.

Philippe dû s’organiser dans son emploi du temps, modifier les dates de son billet aller et me prendre un billet. Malheureusement nos billets en première classe pris tardivement nous n’avions pas de place côte à côte, moi j’avais une place sur un siège isolé face à face et Philippe avait un siège coté couloir à deux rangées du mien, mais nous nous faisions face. Notre TGV partait de Strasbourg à neuf heures et arrivait à Lyon peu après treize heures.

Nous sommes très complices avec Philippe et nous aimons faire évoluer notre sexualité vers des jeux de plus en plus coquins.

Philippe m’avait mis au défi de séduire un homme durant le trajet.

Alors que je m’habille, Philippe me dit :

« Brigitte pour le soutien-gorge blanc brodé très sexy, le chemisier léger et la mini-jupe gris foncé c’est parfait, mais ton collant sans couture marron même porté sans rien dessous c’est moins sexy » !

« Tu verras mon chéri l’utilité du collant le moment venu… je pense que tu apprécieras » !

Ma tenue se complète par une paire d’escarpins à talons et d’un petit blouson court et cintré.

Dès notre arrivée à la gare je décide de ne pas me tenir près de toi, ainsi pour que tous les autres voyageurs ne nous voient pas comme un couple. Philippe rentre en premier dans le train, j’entre à mon tour juste deux minutes avant le départ. Je rejoins ma place, j’enlève mon blouson, sort un roman de mon sac à main et je m’assoie face à un homme d’une quarantaine d’années, déjà occupé à pianoter sur le clavier de son ordi portable. Il me salue poliment et replonge sur l’écran de l’ordi.

Le train vient de quitter la gare et prend lentement de la vitesse, j’ai ouvert mon livre et laissé replié sur le plan central le rabat de la table. Je constate, satisfaite, au vu des regards masculins ou féminins sur mes cuisses des personnes passant dans l’allée que la table ne gêne en rien la vision sur mes cuisses.

Philippe, juste à quelques petits mètres de moi, me fait signe d’ouvrir un bouton de plus de mon chemisier. Je lui fais un signe négatif de la tête, je trouve mon décolleté suffisamment profond jusqu’au creux de mes seins, les revers de mon chemisier laissant apparaître la lisière brodée des bonnets de mon soutien-gorge. Tout en lisant, je remarque que le manège du regard de mon voisin se portant soit sur mon buste, c’est vrai que la broderie de mon soutien-gorge ne passe pas inaperçue sous le fin coton de mon chemisier, tantôt en se reculant au plus loin que le permet son siège je remarque le regard partir sous la tablette.

Enfin ! Je me suis dit, je désespérai de le voir attiré par mes atouts. Ça fait du bien à présent presque une heure que le TGV file dans la campagne. Mon voisin range son ordi dans sa housse, puis rabat à son tour sur le plan central le rebord de la tablette amovible. Je pose mon bouquin, j’actionne le bouton de mon siège pour le mettre en position inclinée, je décroise mes jambes pour les recroiser inversement, dans le mouvement je touche du bout de mon escarpin la jambe de mon voisin. Il lève les yeux de son écran de téléphone qu’il venant de prendre, je lui ai souri et me rend mon sourire, je laisse mon regard partir au travers de la vitre contempler le paysage qui défile. Puis mon regard fait un tour circulaire du wagon, croise celui de Philippe pour finir vers la fenêtre opposée.

J’entends d’une oreille discrète les bips du téléphone de mon voisin quand il touche son écran tactile. Je ferme mes yeux me laissant bercer par le roulis du train. J’entrouvre les paupières, je vois mon voisin qui manipule toujours son téléphone, parfois l’inclinant, il a du trouver comment désactiver les bips, car je ne les entends plus. Mon regard repart par ma fenêtre avant de se baisser sur mes cuisses, je constate que ma jupe au fur et à mesure de mes mouvements a fini par reculer assez haut sur mes cuisses n’en couvrant que le début.

Je comprends le fait que je n’entende plus le bip bip du téléphone quand mon voisin touche son écran, il doit me prendre en photo !

Loin de me révolter par le fait d’être prise en photo à mon insu, cela me rassure enfin que mon voisin s’intéresse à moi, je commençai à désespérer. Je décide de franchir une étape. Je décroise mes jambes, au passage j’effleure à nouveau son tibia en contournant ses jambes… sourire de ma part valant d’excuse auquel il répond, et je lui dis :

« ça ne vous dérange pas si je place mon pied contre la cloison, je commençai à avoir des crampes dans cette position ».

« mais absolument pas, je vous en prie » !

Mon pied repose à présent sur le petit rebord qui se trouve en bas de la carrosserie et le plancher des TGV, l’autre jambe étant restée presque parallèle juste un peu de biais vers le couloir, créant ainsi une certaine ouverture de mes cuisses. Mon voisin reprend son manège avec son téléphone, je referme les yeux (enfin presque) le coude sur l’accoudoir et le menton reposant dans la paume de ma main ? Je laisse passer quelques minutes durant lesquelles me croyant dans le bras de Morphée, mon voisin continu à me photographier, surtout mes cuisses n’hésitant pas à abaisser son téléphone jusque sous la table. Quelques minutes plus tard, je décide d’intervenir, sans modifier ma position, je lui dis :

« la luminosité est elle assez suffisante ? »

Il fait celui qui ne comprend pas, mais je vois bien son trouble, il me répond pour le moins hésitant :

« de quelle luminosité vous parlez ? »

« et bien pour les photos ! »

Là je le vois se décomposer, du genre enfant pris sur le fait en train de faire une bêtise. Il bredouille sans qu’un seul mot ne sorte. Je m’amuse de la situation, mais je ne souhaite pas le ridiculiser et j’ajoute :

« j’ai vu que vous preniez mes jambes en photos, elles vous plaisent vraiment ? »

Voyant que je n’ai pas trop l’air de m’offusquer, il reprend timidement confiance pour me dire :

« je peux vous assurer que vous avez de fort belles jambes, et pas que les jambes d’ailleurs, vous êtes adorable ! »

« Merci, c’est gentil. Je peux même vous retourner le compliment. Mais pour en revenir aux photos je suppose que vous allez les faire voir à vos copains, si ce n’est pas déjà fait par texto, en lui disant regarde avec ce que je voyage. »

À nouveau je vois son trouble.

« pas du tout, c’était juste pour avoir un souvenir personnel. »

« j’ai du mal à vous croire, mais ce n’est pas grave, en fait j’en suis flattée même si j’avais préféré que vous me le demandiez. Je peux voir les photos comme elles rendent ? »

Devant son sourire, il ne mit pas longtemps à me tendre son téléphone, je fais défiler les poses une à une, pour m’apercevoir qu’en effet peu de photos du haut de mon corps et que les trois quarts des vues étaient de mes jambes avec les dernières cuisses plus ouvertes laissaient visible mon intimité. Tout en visionnant les photos, le téléphone se mit à vibrer et affiche un message reçu, sans en demander la permission j’ouvre le message pour lire « toi tu es verni, putain quel lot ! J’attends la suite »

« ben voilà j’avais raison, les photos ne sont pas que pour votre souvenir, pour les copains aussi ! »

Et je lui tends le téléphone ouvert sur le message. Et je dis, tout en défaisant un bouton de mon décolleté :

« cette situation commence bien à m’exciter ! »

Comprenant que je suis consentante, il fait une photo de mon visage avec le buste. Ensuite lentement j’écarte bien plus la cuisse côté couloir en disant :

« je pense que celle-là, vos copains apprécieront, ne la louper pas ! »

La photo prise qui a du être doublée tout en discutant quelques minutes, nous échangeons nos prénoms, lui c’est Claude. Puis le regardant dans les yeux et de ma voix la plus suave je lui dis :

« Est-ce que vous êtes à l’étroit dans votre pantalon ? »

Tout en disant cela je déchausse mon pied de son escarpin, et au moment où il me répond par l’affirmative je pose mon pied sur son entrejambe en lui massant doucement sa virilité tendue, et j’ajoute de façon très chatte :

« J’ai très envie de toi ! Viens suis moi aux toilettes. »

Je me lève en lui précisant de ne pas oublier son téléphone, et je me dirige vers les toilettes, il me suit, je le sais. Au passage j’échange un regard complice avec Philippe.

Par chance les toilettes sont libres. J’ouvre la porte et je me retrouve propulsée à l’intérieur par Claude pressé de refermer derrière nous. Comme dans toutes les toilettes de train, celle-ci ne fait pas exception à la maladresse de ces messieurs.

J’ai juste le temps de poser mon sac à côté du lavabo, que Claude m’enlace soudant sa bouche à la mienne, nos langues s’enroulent et entame une danse grisante. Une main presse mon sein, l’autre pelote plus qu’elle ne caresse mes fesses. Je passe un bras derrière sa nuque que je caresse tendrement, mon autre main agrippe ses fesses que presse contre moi, contre mon ventre je sens sa virilité tendue, cela me donne des frissons de plaisirs.

« tu sens comme tu me fais bander ! »

« oui je sens bien et j’aime ça. »

À nouveau nos bouches se soudent, je vois Claude tenant son téléphone à bout de bras et prendre notre baiser en photo. Puis il commence à déboutonner mon chemisier, j’en profite pour enlever ma jupe, le tout va rejoindre mon sac à main sur le lavabo. Claude se recule autant que le permet l’étroit espace, il me demande de reculer tout contre les wc, il prend plusieurs photos, le tulle brodé de mon soutien-gorge ne cachant pour ainsi dire rien de mes seins, comme le collant qui laisse voir le petit triangle de ma toison. Tout le temps qu’il met à prendre ses photos, je me caresse les seins et ma fente qui suinte de plus en plus !

Il s’avance vers moi, tout en ouvrant le zip de son pantalon, en me disant :xfr.fr-lhistoire-de-sexe-du-tgv-strasbourg-lyon-vecue-par-brigitte

« suce-moi ! »

Je sors non sans mal son sexe tendu, alors que de ses mains il exerce une forte pression sur mes épaules tout en me poussant en arrière. Je me retrouve assise sur la lunette de la cuvette, je sens les mailles de mon collant et ma peau se mouiller, mais je n’ai pas le temps de réfléchir que Claude m’attrape par les cheveux pour coller ma bouche contre son pieu dressé. Doucement j’entrouvre ma bouche, ma langue entoure et contourne le gland, tourne autour tandis que ma main glisse sur le long de la hampe que je sens frémir entre mes lèvres. Puis ma bouche descend le long du membre pour remonter et redescendre tout en accélérant les vas et viens.

Maintenant c’est Claude de sa main qui m’impose la cadence, tandis qu’il me filme de son autre main. Puis tenant ma tête fixe fermement de sa main, il se met à me baiser la bouche à grands coups de bassin, s’enfonçant dans ma gorge autant qu’il le peut, mes lèvres finissant par s’écraser contre son pubis. De la bave s’échappe de ma bouche, dégouline sur mon menton pour finir par tomber sur le sol, filmant toujours et m’encourageant avec des « allez suce salope » ou des « tu pompes comme une reine, une vraie pute ». Au bout de trois bonnes minutes, je ne le sens pas loin de jouir, le sentant aussi il se retire de ma bouche, se recule d’un pas, s’accroupit en me disant :

« Écarte bien tes cuisses que je prenne la chatte en photo.

Après deux ou trois clichés, je me lève et lui dis :

“baise-moi maintenant j’ai trop envie de sentir ta queue en moi !”

“je n’ai pas de préservatif, en as-tu ?”

“je n’en ai pas, mais je t’assure que je n’ai aucun problème de santé, si pour toi il en est de même, on peut fort bien s’en passer.”

Je me tourne face à la cloison, je baisse mon collant à mi-cuisses et je me penche en avant au-dessus des wc tout en me cambrant.

Me tenant d’une main à la hanche, je sens Claude qui promène son gland entre mes lèvres, puis sur mon clito. Ma respiration s’accélère, je gémis doucement. Je le sens à nouveau se déplacer vers l’entrée de ma grotte plus qu’humide, il avance, écarte lentement mes chairs, je m’ouvre sur son passage, il avance encore et encore, quel délicieux supplice de le sentir s’enfoncer au plus profond de moi. Je sens mon ventre se liquéfier, je dois inonder son pieu de mes sécrétions. Une fois bien en moi, il savoure sa possession. Me tenant fermement aux hanches, il commence les vas et viens, d’abord doucement puis plus rapidement, je l’accompagne en ondulant de la croupe…

“oh que c’est bon !”

Ses mains glissent sur mes fesses jusqu’à ce que les pouces se rejoignent au creux de ma raie, puis ils écartent lentement mes globes jumeaux pour découvrir mon petit œillet. Un de ses pouces vient le caresser tendrement avant d’en forcer l’entrée qui cède sous la pression. Je ne peux pas étouffer le soupir de plaisir qui sort de ma gorge et le dis :

“si mon cul te fais envie surtout ne te gêne pas !”

“oh que oui je vais t’enculer, ma salope !”

À peine a-t-il fini de parler, qu’il se met à cracher sur ma rosette, sors de ma chatte et positionne son gland contre mon œillet, pousse un peu, je sens que je cède et m’ouvre sous la poussée, il pénètre puis se retire en disant :

“je vais d’abord prendre ton cul en photo avec ma bite à quelques centimètres de ton trou entrouvert.”

De ses mains, il écarta mes fesses, avança son gland contre mon étroit conduit qu’il forçât à s’ouvrir, libérant le passage à toute la hampe. Je lâche un cri plaintif sous la surprise de cette pénétration rapide qui m’occasionne une douleur comme si on me vrillait mes entrailles. Il ne me laisse pas le temps de récupérer que déjà il me lime à grands coups de bassin. La douleur s’estompe et laisse place à une vague de plaisir qui déferle au travers de mon corps, je sens ma chatte s’inonder et ma cyprine s’écouler hors de moi. Claude me laboure l’anus à une cadence effrénée durant trois bonnes minutes, sans crier gare, il sort en disant :

xfr.fr-lhistoire-de-sexe-du-tgv-strasbourg-lyon-vecue-par-brigitte“faut que je prenne une photo de ton cul béant, tu es trop bandante ainsi ouverte !”

“prends toutes les photos que tu veux, mais je veux que tu me baises de nouveau et que tu te vides au fond de ma chatte.”

“tes désirs sont des ordres ma salope !”

Claude réinvestit ma chatte trempée et se met en devoir de limer rapidement, ses couilles viennent taper contre mon clito hyper sensibilisé, je ne tarde pas à jouir emportée par la vague de plaisir, mes jambes me portent juste ? J’espère que personne ne se tient dans le couloir, car je n’ai pu être discrète. Claude me suit de près et lâche son flot de sperme en de puissants jets successifs se mêlant à mes sécrétions internes. Une autre vague m’emporte dans le bonheur jouissif.

Dès que Claude ressort de mon ventre je réajuste mon collant à la taille, comme Claude demeure là planté comme une statue, je m’assoie sur la cuvette et prend son sexe encore gonflé en main, j’approche ma bouche du gland qui disparaît petit à petit entre mes lèvres. Je goute la saveur se son sperme, puis je le suce tout en nettoyant la moindre trace se son plaisir pour le mien.

“oh que c’était bon Brigitte, j’ai pris un putain de pied comme jamais tu es divine !”

Tout en rajustant mon collant correctement, et en finissant de me rhabiller je réponds :

“moi aussi j’ai bien aimé, bon retournons à nos places, si quelqu’un attend que les WC se libèrent il doit trouver le temps long.”

Et tous les deux de partir dans un fou rire incontrôlé. Je finis de boutonner mon chemisier que je laisse bien décolleté laissant apparaître le début de tulle brodé de mon soutien-gorge, nous sortons, le couloir est désert et nous marchons vers nos places. Je sens venir s’imprégner dans les mailles du collant le mélange de nos fluides qui s’écoulent de ma grotte. Une fois assise je demande à Claude s’il veut bien aller nous chercher un café à la voiture-bar. Ce qu’il fait bien volontiers. Je croise le regard de Philippe, je lui sourit, personne ne semble regarder dans ma direction, alors j’ouvre mes cuisses dans la direction de mon chéri pour lui montrer mon entrejambe et le collant qui le voile barbouillés du sperme de mon amant. Philippe me sourit en me faisant un clin d’oeil, qui me fait son effet au creux de mon ventre. Je referme mes cuisses et je reprends la lecture de mon bouquin en attendant le retour de Claude.

Je le vois entrer dans le wagon, je desserre un peu mes cuisses tout en posant mon livre, en s’asseyant je ne loupe pas son regard qui s’en va vers mes cuisses ? Tout en buvant le café, je déchausse un pied de son escarpin et je le pose sur l’entrejambe de Claude qui me dit :

“tu sais, rien qu’en te regardant je bande, alors avec ton pied là, je crains de me laisser aller dans mon boxer !”

Je lui souris. Il rajoute qu’il aimerait qu’on se voie sur Lyon. Je lui explique que je ne passe que quatre jours à Lyon. Devant son insistance et sa mine ce cocker battu, j’accepte d’échanger nos numéros de téléphone et je lui dis que si je sors ce week-end sur Lyon je l’appellerai. Les minutes passent, il est presque midi, nous ne sommes plus loin de Lyon, quand Claude me dit :

“Brigitte, j’ai encore très envie de ton cul !”

“hum oui j’en ai aussi envie de te sentir entre mes fesses, mais avons-nous assez de temps ?”

“mais oui nous avons plus d’une grosse demi-heure, viens suis moi, pour faire plus discret allons vers la voiture-bar.”

Il se lève, et j’emboite le pas. Manque de chance le lieu est occupé et nous devons attendre, au bout de cinq minutes, Claude me dit qu’on va aller à celles de la voiture suivante, nous devons traverser le wagon-bar, quelques regards me déshabillent sur mon passage. Claude ouvre la porte et j’entre à sa suite sans me soucier si les personnes du bar nous ont observés. Je constate que les wc sont encore plus sales que le précédent.

Claude ouvre mon chemisier et caresse mes seins en sort un de son enveloppe de tulle brodé et se met à sucer à téter le téton le mordillant parfois. Je me tourne retrousse ma jupe sur mes hanches baisse le collant à mi-cuisses et je me penche en avant tout en me cabrant.

Claude pénètre dans ma grotte à nouveau trempée, tout en faisant quelques aller-retour, de son pouce il masse ma rosette puis crache dessus et fais entrer dans mon anneau son pouce plusieurs fois. Il sort de mon ventre et se positionne contre mon œillet qu’il force doucement.

La tête de son mandrin passée, il ressort crache abondamment sur ma rosette et replace son pieu et cette fois investit mon anus d’un seul coup lent, mais régulier jusqu’à son pubis butte contre mes fesses. Une longue plainte empreinte de plaisir s’échappe de ma gorge, j’adore cet instant où cette brulure douloureuse se mêle à l’onde de plaisir qui m’envahit de me sentir possédée, remplie. Claude commence ces va et viens tout en me tenant fermement d’une main à la hanche l’autre triturant malaxant et caressant un sein, me pinçant le téton et me dit qu’il va me casser le cul et en suite me l’inonder de son foutre, je soupire et feule de plaisir sous ses assauts, je l’encourage de la voix.

“Oh oui ! C’est bon continu plus fort, encule-moi comme une chienne !”

Un premier orgasme me traverse au moment où il me répond :

“J’aime ton cul ! Tu es une salope bonne à enculer ! Dis-le-moi ce que tu es !”

Il m’est impossible de sortir un quelconque mot pour l’instant.

“allez petite pute dis le je veux t’entendre !”

Une claque s’abat sur ma fesse, puis une seconde et encore deux autres. Ce sont des paroles mêlées de râles jouissifs que je prononce.

“oui, je suis une salope bonne à enculer !”

“et quoi d’autre ?”

Entre ce pieu qui me pourfend si merveilleusement les reins, le doux supplice des doigts sur mon sein et ces mots crus qui m’excitent et font grimper mon plaisir, juste avant qu’un autre orgasme me terrasse je souffle :

“je suis une chienne de pute qui aime se faire défoncer le cul !”

Et je jouis bruyamment.

Il n’en faut pas plus pour que Claude dans une voix rauque dise ;

“ah oui ça y est salope j’envoie mon foutre dans ton cul !”

Il s’immobilise tout au fond de moi, je sens les spasmes de sa colonne de chair et d’un coup la libération déferlante de son plaisir me remplir et me procurer un tourbillon de plaisir je jouis une fois de plus.

Nous reprenons nos esprits, Claude se retire, je remonte et réajuste mon collant et referme mon chemisier, je tire sur ma jupe le temps que Claude rectifie sa tenue. Nous pouvons sortir, dans le couloir un homme attendait son tour, il nous regarde d’un œil sévère, qui quelques pas plus loin nous fait sourire. Nous regagnons nos places, par les fenêtres j’aperçois les premiers immeubles lyonnais, dans quelques minutes nous serons arrivés. Entre deux wagons nous nous embrassons lèvres soudées le baiser est ardent, je promets à Claude de lui téléphoner si je sors durant mon séjour. Je récupère mon petit blouson, le bouquin, je récupère mon bagage et je vais vers la sortie obligée de rester debout, car je sens le sperme de Claude s’écouler doucement entre mes fesses. Le TGV s’immobilise le long du quai un peu à l’écart du flot de voyageurs qui descendent du ventre ce ver de fer, Philippe vint me rejoindre, je vois qu’il est impatient que je lui raconte. Le trajet en taxi jusqu’à l’hôtel va lui paraître bien long, mais au combien excitant !

Brigitte

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