Lina, retrouve les plaisirs du sexe Chapitre 3 Final

Marc se frotte les fesses en disant :

-Oh putain quel pied !

Erwan bande comme un poney, il regarde Marc qui lui fait un clin d’œil. Marc se penche en avant en prenant appuie sur la chaise. Erwan semble ne pas comprendre. C’est Christelle qui en souriant dit :

-Il t’offre son cul, ne refuse pas ce cadeau, il veut que tu le remplisses de sperme, vas-y, ne te fais pas prier !

Erwan fait une moue, se pince les lèvres et s’avance en dirigeant son mandrin vers le trou béant. Il le place à l’entrée encore bien ouverte et sans difficulté enfonce son membre jusqu’aux couilles dans le rectum de Marc, qui immédiatement se met à geindre. Le gland, enduit de sperme, la verge qui commence à faire, un va-et-vient, de plus en plus rapide. À chaque mouvement un bruit de succion se fait entendre. Erwan semble aimer ce qu’il fait, très consciencieux, il s’applique.

Sa queue voyage dans la gaine gorgée de sperme avec aisance. Marc geint, il agite sa croupe, Erwan donne de grands coups de reins pour bien posséder son amant. Qui finit par se cabrer et jouir, sa verge tendue, expulse un flot de sperme.
À chaque coup de reins que donne Erwan, une giclée de sperme jaillit de la verge de Marc, et tombe sur le sol. Erwan commence à grogner, il se raidit et envoie dans le cul accueillant sa semence tant réclamée. Enfin, les hommes se désaccouplent.

Joelle se redresse et voit la queue gluante de son mari, elle dit :

– J’ai vu que tu as pris ton pied avec Marc. Quant à moi, ta maman, m’a fait jouir plusieurs fois, je ne pensais pas avoir autant de plaisir avec une femme, elle est géniale, j’espère que cela lui a plu aussi, car je compte bien recommencer avec elle !

En se redressant, Lina, dit, en respirant avec de plus en plus de régularité :

-Joelle ma chérie, tu es formidable comme amante, moi aussi, je suis prête à recommencer avec toi, et quand tu veux, tu m’as épuisée, mais il faut aussi que nos ventres reçoivent de bonnes bites bien vigoureuses !

Erwan regarde sa maman et s’avance vers elle en souriant, et dit :

-Tu as raison, maman, je vais te prendre comme une bête, comme l’autre fois, pendant que Joelle, subit sa première double pénétration. Viens t’empaler sur moi maman chérie !

Lina enjambe son fils et s’empale jusqu’aux couilles sur son manche. Elle s’accroche à lui et commence à s’agiter de plus en plus vite. Joelle sursaute et dit :

-Mais mon cochon, tu ne m’avais pas dit que tu baisais ta maman, c’est vrai qu’elle a l’air vachement bonne, mais tu aurais pu me le dire quand même !

Entre deux coups de reins, Erwan répond :

-Je voulais t’en faire la surprise ma chérie, c’est vrai qu’elle est bonne !

Charles cesse de faire le spectateur, il allonge Joelle sur le banc et présente sa verge tendue contre la fente ruisselante de cyprine. Joelle craint le pire, car Charles est très fortement membré. Il s’accroche aux hanches de Joelle et pousse. Le gland, en appuyant sur les lèvres, les écarte, et s’engage doucement dans le conduit. Joelle serre les dents, elle grimace, elle s’agrippe à son amant qui lui distend la gaine vaginale fortement. Avec patience, Charles arrive à ses fins. Christelle dit :

-Oh putain, tu l’as toute en toi ma chérie, ouvre-toi au maximum, je vais te branler pour que tu es moins mal !

Christelle saisit le clito entre deux doigts, et l’agite énergiquement. Cela semble la soulager, car elle geint doucement. Charles commence à faire un va-et-vient très lent. Sa verge coulisse lentement sans la gaine dilatée. Pendant un long moment, Charles lui travaille, le conduit avec délicatesse. Christelle malmène le clito qui est devenue méconnaissable. Tout en défonçant sa maman, Erwan jette de temps en temps un regard vers sa femme qui commence à prendre du plaisir. Il voit l’énormité voyager dans le ventre de sa femme qui commence à agiter son bassin. Il est soulagé de voir que tout se passe bien pour elle.

Quant à sa maman, elle couine comme une bête blessée, son corps fait l’ascenseur sur la queue de son fils, qui grogne de plus en plus fort. À chaque descente, le bougre donne un violent coup de reins, pour bien l’empaler. Lina gémit :

-Oh mon chéri, comme tu prends bien ta maman, rends l’as heureuse, défonce-là comme une bête, mon Dieu, ça vient, ça vient !

Elle se cabre comme un cheval qui rue et explose en hurlant. Son fils continue de la démonter, comme un sauvage. Enfin, il se bloque et lui remplit le ventre de sa semence. Les deux restent un moment enlacés, serrés l’un contre l’autre. Les respirations sont rapides, les cœurs battent la chamade.
Sur le banc, Joelle subit avec bonheur les assauts de son amant hyper membré, elle se cramponne à lui comme une pieuvre à son rocher. Ses râles ressemblent à ceux d’une bête agonisante. Le gland, monstrueux, lui laboure fermement le col utérus comme pour le pénétrer. Soudain, elle pousse un gémissement plus fort que les autres, se cambre terriblement, et explose. Sa jouissance est démentielle, son corps semble s’affoler, il est pris de tremblements incontrôlables. Joelle retombe lourdement sur le banc.

Charles s’acharne, ses coups de reins sont dévastateurs, à chaque pénétration, Joelle pousse un gémissement de bête blessée. Enfin, il explose à son tour. Un flot de sperme impressionnant remplit le ventre de Joelle, qui gémit de plus belle.
Pour bien l’ouvrir, Charles donne encore quelques estocades brutales. Il enlace son amante et roule en l’entrainant, Joelle se retrouve sur lui. Charles se dit qu’il faut battre le fer lorsqu’il est chaud, il plaque Joelle su son torse et regarde son fils qui immédiatement se place derrière sa proie. Joelle semble en transe, elle est sur une autre planète.

Marc place son membre contre l’anus de Joelle, lui saisit les haches et pousse. Lentement, sa verge pénètre le rectum de Joelle, qui fait une simple grimace. La paroi qui sépare les deux orifices est si fine, que Joelle croit que les deux bites sont dans le même orifice. Erwan regarde le trio, qui rapidement entre en action. Les gémissements de sa femme sont inhumains, ils ressemblent à ceux d’une bête mourante. Les deux mâles défoncent Joelle vigoureusement. Les yeux de Joelle sont révulsés, sa bouche laisse échapper un filet de salive, une moue affreuse déforme son visage.

Christelle intervient, elle reprend en main le clito et l’agite férocement, cela semble faire reprendre les esprits à Joelle, qui s’accroche à Charles en geignant terriblement. Elle sent bien les deux verges qui voyagent dans son corps, la pression monte encore d’un cran. Elle ne cesse de dire :

-Oh mon Dieu, mon Dieu, Erwan, ils le défoncent comme une chienne, mon Dieu, comme ils me prennent !

Erwan, émerveillé, ne quitte pas des yeux le trio qui s’en donne à cœur joie. Sa femme s’agite comme une hystérique sur les pieux qui lui dilatent les entrailles. Une violente jouissance la fait hurler. Lorsqu’elle reçoit dans son intestin la décharge de Marc de sperme, elle ne peut s’empêcher de jouir une seconde fois. Charles grogne comme un fauve, il tire fortement sur le bas des reins de Joelle et lui remplit la chatte de semence. Les deux hommes continuent de défoncer Joelle, ils veulent qu’elle jouisse encore, leur réputation est en jeu. Joelle gémit, elle enfonce ses ongles dans les poignets d’amour de Charles qui grimace de douleur. Elle jouit comme une dingue en marmonnant :

-Oui, oui, faites de moi votre vide couilles mes chéris, laissez-moi sucer vos queues pour que je me gave de votre sperme !

Marc se retire, Joelle comme une automate se lève, elle se penche sur la queue gluante de Marc, la décalotte avant de la rendre en bouche. Elle suce et tète comme une affamée, rapidement, elle reçoit une giclée dans la bouche, qu’elle s’empresse d’avaler. Maintenant, elle s’avance vers Charles, elle procède de la même manière. Une fois le gland décalotté, elle le prend en bouche en se déboitant presque la mâchoire, elle suce et tète, malgré la douleur, jusqu’à ce qu’elle reçoive sa récompense. Un flot de sperme lui remplit la bouche, elle se redresse et recrache le gland pour ne pas étouffer. Elle sent glisser dans sa gorge la crème onctueuses. Elle avale jusqu’à la dernière goutte.

Lina et son fils sont encore enlacé, ce qu’ils viennent de voir ne les laisse pas de marbre. Erwan dit à l’oreille de sa maman :

-Maman, prends ma bite et dirige-la vers ton anus, je désire te sodomiser !

Lina, prend appuie sur ses pieds, et dirige le membre gluant vers son œillet jamais visité par une verge. Elle appréhende, mais elle aussi veut connaitre le plaisir anal. Lentement, elle s’empale lentement en grimaçant sur la verge de son fils. Une fois que la bite est bien en elle, Lina commence à s’agiter. Elle grogne de plaisir, en faisant monter et descendre son corps sur le pieu qui l’empale. Elle s’agite de plus en plus vite, elle gémit de plaisir, en couinant. Enfin, elle arrive à obtenir ce qu’elle cherche. Une jouissance la fait hurler. Son fils et amant, lui déverse son sperme dans l’anus en grognant comme un animal.

Linsee

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