Lisette fantasme sur son fils, Chapitre 2

Lisette fantasme sur son fils 2

Edmond est fou de joie de savoir qu’il pourra user du corps de Joelle. Secrètement, il la désirait depuis longtemps.
Cela ne semble pas le perturber plus que cela de savoir pas que sa femme, se fasse sauter par son fils, et que prochainement, c’est Jacques qui va bénéficier de ses faveurs. Maintenant, il ne peut qu’attendre le jour tant désiré.

Après avoir honoré une ou deux de ses amantes, Arnaud rentre, il est tard. Il trouve sa maman en nuisette devant sa télé. Depuis qu’il lui a accordé ses faveurs, Lisette aimerait réitérer cette folie. Dès qu’elle le voit, elle n’est plus la même. En souriant, il se penche sur elle et l’embrasse. Il dit :

-Tu m’attendais maman ?

Un peu crispée, elle répond :

-Oui, je t’attendais, mais ta maman passe en second plan, tu étais chez Joelle ?

Arnaud sourit et réplique :

-Oui, après l’avoir bien tringlé, je lui ai parlé de nos projets, elle est folle de joie, tu es toujours disponible pour une partouze maman chérie !

Lisette, ne retient pas sa joie, elle dit :

-Oh oui mon chéri, tu me prendras devant elle, je veux qu’elle en bave de jalousie !

Arnaud éclate de rire et dit :

-Je pense que c’est toi qui es jalouse !

La maman serre les poings et dit :

-Quoi, moi jalouse d’une trainée qui cocufie son mari, tu rêves là, Arnaud !

Arnaud lui relève le menton, et lui donne un baiser très appuyé sur les lèvres, et dit :

-J’aime te savoir jalouse, petite maman salope, toi aussi, tu cocufies ton mari et avec son fils en plus. Mais oui, je te défoncerai devant elle, je te prendrai par le cul à t’en faire hurler de plaisir !

Il la regarde et lui dit en souriant :

-Je te sens excitée, je me trompe ?

Lisette baisse la tête et répond :

-Oui, depuis que nous avions fait l’amour, je ne pense qu’à toi, prends-moi, prends-moi mon chéri !

Toujours en souriant, Arnaud dit :

-Branle-toi, je veux te voir jouir, avant que je te défonce comme une grosse salope, dis-le que tu es une grosse salope !

Lisette est très excitée, pour faire plaisir à son fils, elle dit :

-oui, oui, je suis une grosse salope, ta grosse salope mon chéri !

Elle retrousse brusquement sa nuisette et commence à se frotter la vulve qui rapidement se met à suinter. Elle saisit entre ses doigts son clito, qui immédiatement se met à prendre du volume. Elle le triture, l’agite, le maltraite comme une forcenée, c’est si violent qu’elle grimace.
En regardant son fils, elle enfonce quatre doigts dans son puits d’amour et le fouille comme une malade. Ses doigts et ses cuisses sont trempés de cyprine. Elle gémit en serrant, les dents. Arnaud est émerveillé par l’ardeur que met sa maman pour se masturber, il l’encourage :

-Oui, oui, maman, fais-toi jouir, oh comme tu es excitante lorsque tu te branles vas-y, vas-y, oh la vache, je bande !

Arnaud baisse son pantalon et retire son slip, sa verge de bonne taille balance fièrement sur son bas-ventre. Lisette ne quitte pas des yeux le manche fortement veiné. Elle grimace encore plus, et se fouille le plus profondément possible, son clito est devenu monstrueux. Elle lui fait subir les pires outrages. Soudain, elle se cabre sur le canapé, une violente jouissance la fait hurler. Arnaud est aux anges, il sait maintenant que sa maman est prête à tout, pour qu’il la baise !

Lisette, encore sous le choc de la jouissance, dit entre deux souffles :

-Maman, c’est bien branlée mon chéri, tu es content d’elle !

Arnaud la regarde intensément et demande :

– Oui, tu as été parfaite. Est-ce que tu es prête à faire tout ce que je te demanderai ?

Lisette répond sans trop réfléchir :

-Oui, oui, mon chéri, je ferai tout ce que tu me demanderas, ordonne, j’obéirai !

Arnaud l’enlace, la serre très fort entre ses bras et l’embrasse fougueusement. Lisette est fébrile. Le baiser dure un bon moment, les langues se nouent comme deux reptiles qui s’accouplent, les salives se mêlent.
Brutalement, Arnaud arrache la nuisette, le fin tissu tombe en lambeaux sur le sol et livre aux yeux du fils violent le corps nu quasi parfait de la maman, assoiffée d’inceste. Lisette tombe sur le canapé. Ses seins, lourds, sont étalés sur son torse. Les mains moites d’Arnaud glissent sur la peau satinée de la maman, qui frissonne de bonheur, en poussant de nombreux soupirs.

Les doigts agiles du jeune amant, tournent sur les aréoles brunes, fortement grenelées. La maman, qui ne peut retenir quelques petits gémissements.

Lisette pâme de bonheur, elle semble hypnotisée par son fils. Il prouve, que sa réputation de bon amant n’est pas usurpée. Il roule entre ses doigts les mamelons, les étire et les écrase à la limite de la douleur. La maman soumise, geint à chaque pression sur ses bouts fortement gonflés. Mais dès qu’il pose sa bouche sur les mamelons, sa maman se cabre en poussant un gémissement de bête.

Avec art, il les gobe, les suce, et les tète, en faisant geindre la maman délirante. Sa vulve n’est qu’un ru qui ne cesse de couler. Le canapé est trempé de cyprine. Arnaud s’acharne sur les tétons, qui à force de succions voraces, sont devenus douloureux.
La bouche affamée délaisse les seins, et descend sur le corps fébrile, embrasse chaque parcelle de peau, avant que la langue s’attarde sur le nombril. Lisette se tend comme un arc qui va décocher sa flèche. Une multitude de baisers sont donnés sur le ventre plat, pour s’arrêter à la limite de la toison soyeuse.

Pendant un long moment, Arnaud hume les effluves odorantes, que la vulve en surchauffe rejette. Quelques coups de langues bien ajustées sur la fente juteuse, font cabrer la maman amoureuse. Habilement, Arnaud glisse sa langue dans le sillon que forment les grandes lèvres. La langue agile, Longuement l’explore, et part à la recherche de la boule magique. Arnaud titille la protubérance clitoridienne avec La pointe de sa langue. Lisette fond de bonheur, elle ne peut retenir ses gémissements qui deviennent de plus en plus rauques.

Arnaud aspire le clito, et le tète voracement. Lisette gémit comme un animal blessé, elle agite son bassin en s’appuyant sur la tête de son fils. Ses râles de bête sont bruyants et prolongés. Dans un hurlement terrible, Lisette explose, sa jouissance est phénoménale, sa cyprine gicle comme un geyser Islandais. Arnaud en avale le plus possible, avant d’enfoncer sa langue dans le conduit détrempé.
Il le fouille comme un affamé, en faisant grincer les dents de la maman jouisseuse. Une seconde jouissance fait hurler Lisette en couinant comme un animal blessé.

Le fils, amant, se redresse et place son membre fortement gonflé contre la fente qui rejette sans cesse son jus. Il pousse, malgré la grosseur de l’engin, il l’enfonce aisément dans le vagin hyper lubrifié par l’abondante cyprine qu’il sécrète. Empalée jusqu’aux couilles, la maman pousse de longs râles rauques, à chaque mouvement du membre dans son ventre. Le gland bien épais racle fortement les parois sensibles, de Lisette qui geindre comme un animal agonisant. Le pieu du fils, amant, coulisse dans son ventre en prenant de la vitesse. Elle s’accroche à lui en marmonnant :

-Oh mon chéri comme je t’aime, je suis à toi, corps et âme, fait de moi une machine à jouir !

Arnaud la défonce sans la ménager, ses coups de reins sont dévastateurs, ses couilles frappent la chatte en fusion qui laisse échapper son jus. Lisette est accrochée à son fils comme une pieuvre à son rocher. Plus il tape fort, plus, elle couine :

-Oui, oui, mon chéri, oh comme tu me fais du bien, vas-y, cogne fort, n’aie pas peur de me faire mal, vas-y, vas-y oh comme c’est bon, je sens bien ta grosse queue en moi, c’est divin, fais-moi mal !

Pendant de longues minutes, Arnaud défonce sa maman. Il se rend compte, qu’elle a des tendances masos, et il est bien décidé à combler ses désirs étranges. Durant qu’il lui pilonne le ventre à grands coups de reins, il écrase fortement entre ses doigts un mamelon. Lisette se cambre et en gémissant fortement dit :

-Oui, oui mon chéri, encore, encore !

À tour de rôle, Arnaud lui massacre les mamelons, sa maman semble au maximum de son excitation, elle hurle :

-Oh mon chéri, mon chéri, je vais jouir !

Elle explose en poussant un long râle de bête mourante. Sa jouissance est exceptionnelle, Arnaud, enfin, se vide dans le ventre insatiable de sa maman. Il la regarde haleter, ses yeux sont presque exorbités, une moue affreuse déforme son visage. Soudain, il entend des applaudissements, il se retourne, c’est son papa qui, en faisant un grand sourire, dit :

-Bravo fiston, c’est la première fois qu’elle jouit comme ça, mais tu es le diable en personne mon salaud. Oh la vache comme tu lui as arrangé les tétons, ils sont violacés et monstrueux, oh la vache, tu l’as travaillé comme un sauvage la salope, je n’en reviens pas encore comme tu l’as arrangé !

Arnaud presque en s’excusant répond :

-Je viens de comprendre qu’elle aime avoir mal, donc tu comprends papa, je lui ai fait plaisir !

Edmond en secouant la tête dit :

-Oh la vache ma femme est maso !

Lisette git sur le canapé, comme une poupée désarticulée, elle halète terriblement. Ses yeux sont vitreux et noyés de larmes, elle parvient à dire, entre deux souffles :

Edmond, Edmond, j’ai joui comme une dingue, notre fils est diabolique, mon Dieu comme je l’aime !

Edmond regarde son fils et demande :

-C’est quand que je vais me farcir Joelle ?

Arnaud en souriant répond :

-samedi prochain, si vous êtes toujours d’accord !

Le papa euphorique réplique :

-Tu parles que je suis d’accord, pas la peine de le demander à ta maman, je connais déjà sa réponse !

Linsee