Lisette fantasme sur son fils, Chapitre 3 Final

Lisette fantasme sur son fils finale

Enfin, le jour tant attendu arrive enfin. La veille, Arnaud a fait quelques emplettes dans un magasin spécialisé, il resserve une surprise aux participants.

Edmond, et Lisette sont très fébriles, ils stressent en attendant leurs amis. Enfin ils arrivent, ils sont reçus à bras ouverts, les yeux d’Edmond pétillent comme du champagne en voyant Joelle. Jacques regarde intensément la femme qu’il va honorer, surement à plusieurs reprises.
Il scrute les formes généreuses de Lisette, en salivant. Edmond serre un verre avant que les ébats commencent. Arnaud dit en faisant un large sourire :

-Je propose que les femmes se fassent un câlin, pour nous mettre dans de bonnes conditions !

les hommes, avec leurs esprits voyeurs ne peuvent qu’approuver. Avant de commencer de ce dévêtir, les deux amies regardent longuement, c’est un peu gênées, qu’elles commencent un effeuillage digne de stripteases. Un à un les vêtements légers, tombent sur le sol. Les hommes, rapidement les imitent, et prennent place dans un fauteuil, sauf Arnaud, qui choisit une chaise. Arnaud dit :

-Mes chéries pas de simulations, donnez-vous à fond frottez bien votre chatte l’une contre l’autre, je veux voir le jus couler de vos fruits !

Joelle enlace Lisette, la serre très fort dans ses bras, et commence à balancer son bassin avec un rythme lent comme le propose le maitre de séance Arnaud. Les deux chattes se frottent effrontément sans discontinuer. Rapidement les fentes se mettent à suinter, et les femmes à geindre. Edmond et Jacques sont émerveillés, lentement une érection commence à pointer son nez sur les bas-ventres velus des deux voyeurs.

Les deux femmes geignent bruyamment, leur souffle s’accélère. Chauffées comme des braséros, elles se frottent en grognant de plaisir. Elles se laissent tomber doucement sur le sol, se mettent tête bêche l’une sur l’autre, et mutuellement, se dévore la chatte. Les vulves sont en ébullitions, elles lâchent leur cyprine. Les gémissements que els deux amantes poussent, mettent les hommes dans un état pas possible. Les queues sont dressées comme des mâts de cocagne. Quelques perles de rosées s’échappent des méats ouverts.

Lisette se cambre en poussant un long gémissement. Joelle vient de lui gober le clito et le suce comme une vorace. Entre deux gémissements, Lisette aspire à son tour le clito gonflé de son amie et le dévore avec autant de rage. Les deux amantes ne font pas semblant, elle se bouffent la chatte et même l’anus pour atteindre la jouissance. La première à jouir c’est Joelle, elle se cabre en hurlant de jouissance, avant de reprendre en bouche, le fruit juteux de Lisette qui explose à son tour. C’est haletantes qu’elles se séparent.

Comme promit, Arnaud, place sa maman sur le ventre, et la prend par le cul, devant les yeux hagards de Joelle et jacques, et la sodomise brutalement. Sa queue voyage dans le conduit étroit en faisant couiner de plaisir la maman soumise. Il ne faut pas attendre longtemps pour qu’elle jouisse en hurlant. C ‘est si violent, qu’elle s’écroule sur le sol bras en croix. Arnaud par la force des choses, doit se retirer du fondement maternel, sans avoir jouit.

Emond ne peut plus attendre, il saisit Joelle à bras le corps et l’emmène sur le canapé. Sans fioritures, il lui plante sa bite dans le ventre et la pilonne comme un sauvage en grinçant des dents. Joelle s’accroche à lui en agitant son bassin en geignant comme un animal en rut.

Jacques ne reste pas sans réagir, il retourne Lisette comme un fétu de paille et se place entre ses cuisses. Avec une violence inouïe, il la défonce à même le sol en rugissant comme un fauve. Sa bite puissante entre et ressort de son étui, fortement lubrifié par la cyprine. Lisette se cambre pour offrir son corps le mieux possible à son amant. Dans la pièce, les gémissements et les râles se mêlent. Arnaud, connait ce qui peut faire décupler la jouissance de sa maman. Il se penche sur elle, est comme il l’a fait il y a peu de temps, lui saisit les mamelons les triture, et prend plaisir à les étirer. Lisette ne tient plus, pour elle c’est le summum du bonheur être pilonner rageusement par Jacques, pendant que son fils lui torture les mamelons.

Arnaud les tord fortement en les écrasant au maximum. Lisette pousse des gémissements monstrueux. Elle se cabre ses gémissements sont inhumain. Elle pousse un hurlement et explose. Sa chatte gicle comme un geyser, Jacques à le bas-ventre inondé. Arnaud dit en haussant le ton :

-Continue, continue, Jacques, elle va jouir encore !

Jacques redouble ses coups de bélier, il ressort entièrement sa queue du ventre pour la replonger brutalement au plus profond, lui aussi à comprit que Lisette aime être violentée sauvagement. Il réitère de nombreuses fois le mouvent. A chaque fois les pénétrations sont violentes. Arnaud tire fortement sur les mamelons, en les écrasant au maximum. La maman soumise grimace, ses yeux sont exorbités, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres, une moue monstrueuse déforme son visage.

Elle se cambre en relevant ses reins au maximum, pousse un hurlement, et jouit une seconde fois. Elle se laisse retomber lourdement sur le sol. Jacques lui tire sur les hanches pour l’empaler totalement. Il se bloque et en grognant, lui remplit le ventre de sperme.

Joelle grimace, Edmond lui bourre le ventre en lui assénant des coups de boutoir terribles. Son gland racle la gaine vaginale à chaque mouvement. Joelle, s’agrippe à son amant en geignant. Elle donne elle aussi des coups de reins violents, pour être empalée au maximum, par la queue puissante de son amant et ami. Jacques serre les dents, il se raidit est déverse dans le ventre de son amante sa semence épaisse.

Joelle en sentant la douce chaleur du sperme lui envahir le ventre, s’agite encore plus fort. Elle se tend comme un arc et explose à son tour. Les deux amants, restent emboités un long moment avant de se désaccoupler. Arnaud est satisfait de la tournure des choses, il n’en espérait pas tant. Il reprend place sur sa chaise et invite Joelle à venir s’empaler sur sa queue. La coquine ne se le fait pas dire deux fois, elle enjambes son jeune amant et lui saisit la verge, elle la dirige vers sa chatte et lentement descend son corps. La gland épais appuie sur les grandes lèvres, qui laissent échapper du liquide blanchâtre. Le gland d’Arnaud s’engage doucement dans le conduit gluant de Joelle, qui, au même moment se laisse tomber de tout son poids, l’empalement est total. L’amazone s’accroche au cou de sa monture, et comme une chevauchée d’enfer.

Elle s’agite comme une forcenée, elle se désaccouple pour se relaisser retomber sur la queue dressée de son amant. Elle grogne comme un animal. Lisette regarde son fils défoncé Joelle, elle fronce les sourcils et dit :

-Fais lui mal mon chéri, fais la gueuler comme une chienne en rut !

Arnaud la plaque contre son torse et invite son papa Annaud, à prendre Joelle par le cul. C’est le plus beau cadeau que l’on pouvait faire à Edmond. Il saisit j==Joelle par les hanches et pousse, sa queue s’enfonce sans discontinuer dans la gaine étroite, qu’Arnaud a souvent visité. Une fois la bite bien ancrée au fond. Les deux hommes commencent un ramonage terrible. Joelle est au bord de la syncope, depuis que son mari et son amant ont pratiqués sur elle la double pénétration, elle adore d’être prise de la sorte. Elle gémit à chaque coup de pilon, que lui donne ses amants. Elle pousse un long gémissement et explose. Mais la coquine n’en reste pas là, elle reprend ses contorsions pour trouver une seconde jouissance. Les deux hommes font ce qu’il faut pour la faire jouir.

Une autre jouissance la fait hurler, Edmond, lui remplit le cul de semence épaisse, suivit de très près par Arnaud, qui lui déverse en plusieurs fois son sperme dans le ventre de Joelle qui pâme de bonheur.

Lisette jalouse un peu son amie, qui vient de recevoir une double pénétration, elle dit en grognant :

-A moi maintenant, Joelle laisse moi la place !

Edmond se retire, il aide Joelle à descendre de sa monture.
Sans crier gare, Lisette s’empale sur la queue de son fils sauvagement, en grognant. Joelle en regardant les larges hanches de Lisette, ne peut s’empêcher de dire :

-Oh putain quel cul, Lisette je vais te défroncer le cul comme un sauvage !

Il enfonce sa queue sans difficulté dans le rectum de Lisette, qui pousse un long râle pendant la pénétration. Les deux hommes donnent des coups de reins magistraux, ils la défoncent comme des malades. les deux verges coulissent dans les entrailles de Lisette en la faisant geindre fortement. Au travers la fine paroi, elle sent bien les deux queue voyager en elle, la paroi est si fine, que Lisette a l’impression que les deux bites, sont dans le même orifice. Son excitation est au maximum, elle s’agite en gémissant comme un animal blessé.

Soudain, son fils retire sa queue de la chatte de sa maman, et la place contre l’anus déjà occupé. Il pousse, l’intruse s’enfonce dans le rectum en longeant la bite de Jacques. Lisette serre les dents, elle est si ouverte que les deux membres voyagent sans trop de difficulté dans son rectum. Elle se cabre et dit :

-Joelle regarde, j’ai deux bites dans le cul, mon Dieu c’est divin, bourrez-moi bien mes chéris, je suis votre sac à foutre !

Ses deux amants ne la ménagent pas. Il la démontent comme des soudards, jusqu’à ce qu’elle explose. Une jouissance anale extraordinaire la fait hurler. Son corps se met à trembler, de gros frissons incontrôlables la secouent. Lisette est dans un état de fébrilité incroyable, elle à plusieurs orgasmes à la suite, de violents spasmes la font geindre. C’est au bord de l’évanouissement elle s’accroche à son fils, qui continue de lui ravager le cul avec l’aide de Jacques.

Lisette reçoit dans son rectum la semence de ses deux amants. La douce chaleur du sperme qui coule dans ses entrailles, la fait gémir fortement. Arnaud reprend possession de la chatte avec sa verge gluante. Rapidement Jacques le rejoint. La double vaginale fait délirer Lisette, qui dit :

-Oui, oui, je suis votre pute, souillez-moi de votre semence mes salauds, mon Dieu comme c’est bon, Joelle regarde comme ils me prennent les cochons. Edmond ne veut pas être que spectateur, il s’approche du trio et offre aux lèvres pulpeuses de sa femme son gland marbré. Elle s’en saisit brusquement et le suce comme une affamée. Trois bites pour elle toute seule, c’est le bonheur total. Arnaud et son complice la défoncent sauvagement. Elle suce en faisant un bruit étrange, un filet de bave, s’échappe à la commissure de ses lèvres.

Joelle, très envieuse de la place de son amie, lui saisit les mamelons, elle dit :

-Ma salope, il faut joindre la douleur au plaisir, tu vas être servi avec moi !

Joelle lui maltraite les mamelons, elle les étire, les tord au maximum en les écrasant fortement. Pour Lisette c’est le bonheur total. Elle grommelle :

-Oui, oui, ma chérie, plus fort, oui encore, encore !

Les mamelons sont méconnaissables, ils sont devenus violacés et très épais. Joelle a du mal à comprendre, que l’on peut prendre du plaisir en se faisant maltraiter. La jouissance de Lisette est démentiel, elle se cabre en grognant, elle dit des mots inaudibles. Ses deux amants déversent dans son ventre un flot de sperme brûlant. Joelle lui gobe les mamelons et les dévore rageusement. Elle les mord jusqu’aux sang. Cela provoque une nouvelle jouissance à Lisette, qui hurle comme un animal blessé.

Enfin on libère la maman avide de sexe. Joelle, lui plaque sa bouche sur la chatte baveuse, et lui aspire le clito. Elle le suce comme une vorace, le mord puisqu’elle sait que son amie adore ça. Joelle est infatigable, elle s’acharne sur le clito en le faisant doublé de volume. Sa persévérance porte ses fruits. Lisette lui noie la bouche de cyprine en jouissant. Joelle avale tant bien que mal. Une son amie apaisée, elle dit :

-Moi aussi je veux avoir des doubles comme Lisette

Linsee