Laissant la voiture en marche, il est sorti du côté du conducteur et l’a poussée sur le capot de la voiture. Le capot était chaud et le moteur tournait encore sous le capot. Elle n’a pas du tout essayé de l’arrêter. Elle voulait ce putain de Marc entre ses jambes maintenant.
Il lui a donné des coups de pied dans les jambes et a tiré sa jupe sur son cul. Puis, crachant dans sa main, il a frotté la tête de sa bite et l’a glissé entre ses joues du cul jusqu’à ce qu’il trouve le point humide. Il était dur, mais elle voulait que ce soit dur et il lui en a donné plus qu’elle ne pensait pouvoir supporter.
Sa bite a trouvé sa marque et son rythme et a commencé à l’apprécier avec des coups aigus qui lui ont claqué les joues du cul et frotté ses genoux dans les bords tranchants du pare-chocs et de la plaque d’immatriculation pendant qu’elle essayait de se stabiliser. Quand elle a essayé d’utiliser ses mains pour obtenir un certain effet de levier, son salop de Marc a juste tiré ses bras derrière son dos et a épinglé ses poignets avec une main forte. Elle a essayé de lutter un peu pour reprendre le contrôle, mais ses gémissements désespérés lui ont trahi son plaisir.
« Je n’ai jamais eu de pute comme toi avant bébé », dit-il en grognant en l’écrasant. « La plupart des filles ici n’aiment pas ça autant que toi. »
Il a craché sur son cul et elle l’a senti courir entre ses fesses et puis son pouce de son autre main frotte son trou du cul froncé. Elle aimait l’anal, mais la plupart des gars avec qui elle avait été étaient trop timides, alors elle ne l’avait eu qu’une ou deux fois. Quand son pouce a trouvé sa marque et l’a plongé en elle, elle a poussé un gémissement guttural et a joui.

Il a attendu qu’elle arrête de trembler et de cracher, puis il s’est retiré de ses deux trous dans lesquels il avait pré-éjaculé. Elle ne pouvait pas croire que c’était arrivé ! C’était tout ce qu’elle pouvait faire pour ne pas s’effondrer et laisser ses genoux s’affaisser sous elle. Sauf qu’il l’avait toujours épinglée. Louise s’est alors rendu compte qu’il n’avait pas fini.
Sa queue a commencé à frotter contre son petit trou du cul serré maintenant et elle n’était pas sûre qu’elle pouvait prendre sa bite là-dedans. Elle a lutté un peu plus, mais n’a clairement pas eu d’effet de levier. Au lieu de cela, il l’a forcé à entrer pendant que ses petites jambes voltigeaient autour de lui de façon inefficace. Elle avait l’impression d’être violée maintenant, mais elle a pris son argent et elle avait même du sperme sur elle. Et bien que son cul lui fasse mal, elle n’a jamais dit d’arrêter.
En fait, plus il lui baisait le cul, et plus il la frappait fort, plus elle ressentait cette sensation nouvelle qui s’élevait dans son corps. Elle aimait ça aussi ! C’était mal et elle voulait que ce soit mal ! Elle a combattu son envie de jouir par les dents serrées, mais le fait que sa réaction à ses avances sexuelles ne signifiait rien pour lui était encore plus épanouissant pour elle.
Louise a donc commencé à laisser sortir ses grognements de douleur et de plaisir et prise par son petit trou du cul bien ouvert, s’est rapprochée de plus en plus près de la jouissance une fois de plus. Mais juste au moment où elle pensait qu’elle ne pouvait plus s’accrocher, son vieux Marc graisseux a fait quelque chose qu’elle n’avait jamais fait auparavant, quelque chose qu’elle n’aurait jamais imaginé ; il a sorti sa pine souillée de son cul et l’a laissé ouvert, il a plongé cette queue sale dans sa chatte qui coulait de mouille et a fait des aller-retour, encore et encore, en double trempant ses deux trous pendant qu’elle culminait avec l’orgasme le plus extrême et douloureux, mais satisfaisant qu’elle n’avait jamais connu ! Elle a pleuré. Pas de mots, mais une perte totale de contrôle jusqu’à ce que ce soit fini et qu’elle boite.
Son client payant doit avoir été satisfait parce qu’il a jeté tout son poids sur elle et a déchargé à l’intérieur de son trou du cul maintenant lâche et dilaté avant qu’il se lève. Elle est restée allongée une minute, avec l’impression que son sperme s’est enfui de son cul détruit. Ses genoux ont été grattés de la plaque d’immatriculation, ses mains étaient engourdies par le fait d’être tordues derrière son dos et elle était sale et en sueur.
Elle n’avait pas les mots pour dire quoi que ce soit, mais elle est remontée dans sa voiture, tirant l’ourlet de sa robe vers le bas et ramassant sa chemise sur le sol. Il n’arrêtait pas de dire tout le chemin du retour à la maison à quel point c’était génial et à quel point elle était bonne, mais elle ne savait pas quoi penser.
Elle n’arrivait pas à croire à quel point elle aimait tout ça. Que dirait-elle à son mari quand elle rentrait à la maison toute sale, en sueur et meurtrie ? Elle ne pourrait plus jamais refaire ça…. n’est-ce pas ? Quel genre de personne était-elle ?
Alors qu’il la laissait sortir là où il l’avait trouvée, à quelques pâtés de maisons de sa maison, il lui a dit qu’il la chercherait à nouveau la semaine prochaine et il s’en est allé en voiture avec sa culotte suspendue à son rétroviseur.

Quel histoire !! j’espère une suite de la petite Louise pour savoir se qu’elle est devenue.
on transmet ;)
merci les filles bon weekend à vous bisous bisous
hum j’espère rencontré un jour une Louise comme elle
très bonne histoire, merci !