Lucas est un papa poule, il est très fusionnel avec sa fille Cloé, leurs étreintes fougueuses et les caresses quoique platonique, font poser beaucoup de question à Isabelle la maman. Les yeux de Lucas brillent, lorsque sa petite princesse, passe devant lui en balançant son petit cul, comme un top-modèle qui défile. Il regarde en ravalant sa salive le déhanché félin de sa fille. Le bassin qui ondule à chacun de ses pas, le rend fébrile. Il s’imagine des choses indécentes, que la morale réprouve. Le corps encore juvénile de la jeune adulte l’attire comme un aimant.
Lorsqu’il enlace sa petite princesse, pour l’embrasser, il se frotte contre elle pour bien sentir son corps contre le sien. Cloé ronronne comme une chatte dans ses bras. Elle ne se lasse jamais de lui donner de nombreux baisers sur le visage sans omettre ses lèvres. Il est tellement perturbé, que ses nuits sont agitées. Souvent, il se branle en pensant à elle.
Isabelle, sa femme, a déjà préparée le petit déjeuner, car elle commence très tôt son travail. Lucas descend prendre son café, il est toujours en pyjama, sa femme, elle, est deja partie. Il s’attable en s’étirant, se sert et avale quelques gorgées de café bien chaud. Soudain, il tressaille, il entend le pas léger de sa fille dans l’escalier. Elle arrive toute souriante, vêtue de sa nuisette, elle passe derrière son papa et l’enlace à hauteur des épaules et lui donne plusieurs baisers sur la nuque et sur le cou en disant :
– Bonjour papa chéri !
Il répond :
-Bonjour ma petite princesse, bien dormi !
Elle lui donne un dernier baiser sur la joue et s’assied en face de son papa. Les deux se lancent des œillades comme des amoureux, leurs yeux étincelles de bonheur. Lucas voit à travers la nuisette transparente les petits seins dont les mamelons appuient fortement sur le fin tissu comme pour le percer, il ne peut s’empêcher de dire :
-Comme tu es belle ma chérie, tu dois en faire tourner des têtes !
Cloé lui sourit en lui faisant un clin d’œil. Le petit déjeuner se termine, Cloé débarrasse la table et apporte la vaisselle à l’évier. Lucas range les aliments et s’approche sa fille qui est de dos, il lui regarde les fesses qui, ne sont protégées que par le fin tissu de la nuisette. Il se plaque contre elle en l’enlaçant et lui donne un gros baiser appuyé sur le cou et plaque sa joue contre la sienne, Cloé sent le souffle chaud de son papa lui glisser sur la joue. Elle se cambre, ses fesses appuient volontairement ou pas, sur le bas ventre de son papa, aux formes rebondies du fessier. Ce qui devait arriver arriva. La verge de Lucas commence à prendre du volume. Cloé sent contre ses fesses l’érection naissante de son papa. Elle souffle doucement et agite très doucement sa croupe.
Il se passe quelque chose de très fort entre eux, Cloé se dégage sans brusquerie de l’étreinte de son papa et lui fait face. Les visages sont si près l’un de l’autre que les souffles se mêlent, les regards s’accrochent. Timidement les deux s’enlacent, leurs yeux brillent de mille feux. Les lèvres s’approchent dangereusement, se frôlent.
Les respirations s’accélèrent, Cloé frémissante dit en regardant son papa :
– Mais qu’est-qui m’arrive mon papa, je me sens toute drôle, regarde comme je tremble !
Lucas ne lui répond pas, fébrilement, il joint ses lèvres aux siennes. Cloé se plaque contre son papa, les langues s’enroulent comme deux reptiles qui s’accouplent. Le baiser dure un long moment, entre deux souffles Lucas avoue :
-Je t’aime ma princesse !
-Moi aussi mon papa, je t’aime !
Les mains du papa amoureux passent sous la nuisette et montent le long des cuisses de Cloé, qui pousse un gros soupir de bonheur. Les doigts agiles passent de nombreuses fois sur la fente qui comme par magie se met à suinter. Cloé prend son papa par le cou et l’embrasse sauvagement, elle lui murmure :
-Prends-moi papa, prends-moi, j’en ai trop envie !
À suivre
Valériane
Ce genre d’histoire arrive bien plus souvent qu’on ne s’imagine. Tant que les deux partenaires sont consentants !