Les deux amants s’embrassent longuement, ils échangent un flot de salive, le baiser semble interminable. Enfin les lèvres se séparent, Lucas regarde sa fille et lui dit tendrement :
-Je vais te prendre ma chérie, depuis le temps que j’attends cet instant, je vais t’aimer comme une bête !
–Oh oui papa, prends-moi fort, moi aussi je te désire depuis longtemps, aime-moi mon amour !
Lucas prend place entre les cuisses de sa fille et place son gland gluant contre la fente qui ne cesse de suinter. Il la saisit par les hanches et pousse. Cloé grimace, la forte pression du gland contre ses grandes lèvres, les ouvre et le gland s’engage dans l’étroit conduit brulant. Lentement, la verge paternelle s’enfonce dans la gaine étroite. Cloé souffle fortement, elle dit entre deux grimaces :
-Vas-y doucement papa ta queue et beaucoup trop grosse pour ma petite chatte tu vas me déchirer mon amour !
-Tu es bien serrée ma chérie, papa va se régaler !
L’étui de chair enserre bien le membre du papa amant, petit à petit le conduit étroit de Cloé, s’adapte au diamètre de la verge paternelle. Cloé souffle comme un animal, elle se cabre lorsque le gland bute contre son utérus. Elle a l’impression que son papa veut le pénétrer tellement la pression est forte. Enfin, Lucas commence un très lent va-et-vient. La verge qui dilate le vagin, la petite princesse, la fait grogner. Le plaisir fini par prendre le dessus. Cloé s’accroche à son papa en agitant son bassin. La verge coulisse dans son ventre en prenant de la vitesse, Cloé ne retient plus ses râles, elle grogne de plaisir sous les coups de reins puissants de son papa amoureux, La queue gorgée de sang lui laboure le ventre comme jamais elle ne l’a eu. Ses gémissements prouvent qu’elle prend un pied d’enfer.
La bouche vorace du papa, lui gobe un mamelon et le malmène, Cloé semble aimer cela, car elle redouble ses couinements de bête. Elle donne des coups de reins pour être totalement empalée. Lucas la défonce comme un soudard, il adore l’entendre geindre de plaisir sous ses assauts. Soudain Cloé pousse un long râle rauque, elle jouit affreusement fort en criant :
-Oh papa, papa, oui mon amour encore, vas-y défonce ta petite princesse encore plus fort !
Encouragé par la demande pressante de sa fille, Lucas retire sa queue du temple brulant et la replonge violemment le plus loin possible. Cloé s’écrie :
-Oui, papa, encore, encore, mon Dieu, c’est bon !
Le bourge réitère plusieurs fois ce mouvement dévastateur. Cloé est aux anges, elle se cambre comme un pont en pleine tempête et jouit encore. Lucas la démonte comme jamais, ses coups de boutoir violents la font délirer de plaisir. Ses yeux sont révulsés, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres, un rictus affreux déforme son visage. Lucas se bloque, se raidit et, en rugissant comme un lion, remplit le ventre de sa fille avec sa semence épaisse. Cloé a plusieurs orgasmes, ses violents orgasmes encourage son papa de la prendre davantage. Il lui relève les jambes sur son ventre, il place sa queue contre l’anus et pousse fortement. Cloé se cabre en poussant un râle terrible. La queue s’enfonce entièrement dans la gaine étroite et la ramone sauvagement. Cloé est en transe, elle agite sa croupe en geignant :
-Oui papa, encule ta fille, fais la mourir de plaisir, ouiiiiiiiiiii !
Le pilonnage est sévère, longtemps son papa ne rêvait que de la sodomiser, il jubile, enfin, c’est fait. Les coups de reins font couiner Cloé comme un animal en rut. Elle se cabre et jouit du cul comme elle ne l’a jamais fait. Lucas continue de la défoncer, soudain il se bloque et remplit le cul de sa fille chérie avec sa semence brulante. Soudain, derrière eux, une voix s’élève :
-Alors mes cochons, je me doutais bien qu’il se passait quelque chose entre vous, je veux moi aussi jouer avec vous !
C’est la maman qui vient d’entrer dans la chambre.
A suivre
Valériane
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