Bonjour tout le monde,
Je suis Corinne, j’ai 34 ans et j’habite à Bordeaux. Je suis venue témoigner il y a quelque temps pour dire que ma déviance sexuelle est de me faire violer et que j’aime ça. J’ai été interpellée en messages privés et en commentaires pour me demander de raconter plus précisément les viols et la solution de la thérapeute.
Je vais commencer par celle-ci. Je m’attendais à quelque chose d’extraordinaire, mais cette femme m’a simplement proposé d’organiser des séances de sexe hardcore, mais de manière sécurisée. Les premiers mots qui me sont venus étaient : « c’est tout ? OK… » Inutile de vous dire que j’ai coupé court à la thérapie. Ce qui m’excite dans cette histoire, c’est justement le côté soudain et un peu imprévu. Si tout est planifié à l’avance, ça devient ennuyeux. Je suis comme vous, j’attendais beaucoup de cette thérapeute, peut-être un peu trop. À force de lire des histoires extraordinaires sur le blog, on s’attend à toujours plus ! Mais là on voit bien que ce n’est pas toujours le cas.
Alors je vous rappelle pour ceux qui prendraient l’histoire en cours de route, je suis inspecteur de police, que j’ai été deux fois championne de boxe française et je sais me défendre. Comme je l’ai dit dans ma précédente histoire, j’ai accès à des fichiers sensibles et des casiers judiciaires bien précis. Je recherche donc des personnes fichées comme prédateur sexuel et violeur récidiviste. J’abuse parfois de ma carte officielle pour rentrer chez eux et les provoquer. Demander à quelqu’un de simuler un viol ne donnera jamais la même sensation que de faire face à un vrai violeur. Vous pouvez faire tous les scénarios que vous voulez, vous n’atteindrez jamais un tel niveau. Mais qu’on se comprenne bien, je ne cautionne absolument pas les violeurs et mon travail d’inspecteur de police me permet de lutter contre ce genre d’individu.
Vous m’avez demandé de vous raconter le viol que j’ai subi avec celui qui m’a frappée et qui m’a giflée. Celui-là par exemple, pour répondre au commentaire de Romane, n’utilisait pas de préservatif. Je me promenais dans un parc de Bordeaux en jouant les filles éméchées. Je savais très bien que j’allais attirer l’attention et de qui. Il a mordu à l’hameçon et il m’a suivie. Il a proposé de me ramener et j’ai accepté. Il m’a emmenée dans une sorte de squat et je me suis vite assuré qu’il était tout seul. Heureusement que les violeurs ne sont pas des voleurs, sinon ils s’apercevraient en me dépouillant que j’ai un Glock et une carte de police.
Le mec me met un couteau sous la gorge et me déshabille. Il m’arrache le soutien-gorge et me malaxe les seins. J’ai envie d’envoyer les mains pour lui toucher la bite, mais il ne comprendrait pas et ça lui couperait tout. Je donnerai des conseils à la fin de cette histoire aux filles qui malheureusement seraient sous la contrainte d’un homme pour un viol. Donc le gars malaxe fermement mes seins et me mort les tétons presque au sang. Je suis littéralement trempée ! Il baisse mon pantalon et découpe ma culotte avec son couteau. Il m’a forcé à écarter les cuisses et passe ses doigts dans ma fente. J’essaye de résister un petit peu, je ne m’attendais pas à ce qui me mette une grosse gifle ! Je mouille encore plus ! Je ne résiste plus pour qu’il me prenne. Le gars avait déjà enfilé son préservatif et m’a pénétrée d’un coup sec. Si ce n’est que c’était pas sec, tellement j’étais mouillée !
Ça n’a pas duré très longtemps parce que le gars était très excité lui aussi. Alors comme je ne voulais pas que ça s’arrête, j’ai commencé à le provoquer. Et là il s’est remis à me frapper. Et pendant qu’il me pénétrait, il me mettait des gifles. Cette violence m’a fait jouir à deux reprises. Mais j’ai dû masquer mes orgasmes pour ne pas qu’il s’en aperçoive. Il m’a bourrée peut-être 30 secondes de plus et a fini par jouir dans la capote. Il a remballé toutes ses affaires en laissant le préservatif au bout de sa bite. Il a passé ses doigts sur ma chatte pour lécher mon jus. Il m’a tordu un téton en partant et m’a mis un coup de pied dans les côtes avant de partir. Quand je me suis assuré d’être seule, je me suis masturbée de manière très intense sans me retenir pour être rassasiée.
Comble de la soirée, je rentre complètement débraillée pour rejoindre ma voiture, j’ai un autre mec qui m’aborde pour me violer. Ça ne m’est arrivé qu’une seule fois ! Le gars était une armoire à glace ! J’avoue que là j’ai eu peur et j’ai sorti mon arme ce qui l’a fait détaler comme un lapin. Je suis rentrée chez moi et je me suis masturbée de nouveau en pensant à cette soirée de folie !
Maintenant, je vais donner quelques conseils aux filles qui seraient confrontées à une pareille situation. La première chose à ne pas faire, c’est résister. Généralement ça les frustre et ils n’arrivent pas à bander. La deuxième chose c’est de faire la planche à pain. De ne réagir à aucune stimulation. Je veux dire que si on vous insulte, ne réagissez pas. Le truc ultime à faire dans ces cas-là, c’est de se pisser dessus. Vous allez être souillée et ça va les dégoûter. Ils vont partir immédiatement.
Voilà pour ma deuxième confession sur ce blog génial, je reviendrai peut-être bientôt, mais pour un tout autre sujet. J’ai peur malheureusement que l’on tourne rapidement en rond sur ce thème.
À très bientôt,
Corinne 34 ans Bordeaux.
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Ce sera avec plaisir Corinne .
Bonjour à vous moi j’adore ces vraiment très insistent fred