Bonjour à tous,
Tout d’abord, je ne vais pas être originale en remerciant Franck et Lucie pour leur formidable blog d’histoires sexe. Honnêtement, ça fait plaisir d’avoir un endroit où on peut s’exprimer librement sans avoir peur d’être jugée et surtout en étant presque sûre d’être publiée. Surtout que les sujets abordés sont vraiment peu communs et c’est certainement ce qui fait la force d’XFR !
Le seul truc que je peux reprocher pour pinailler un petit peu, c’est que je trouve que l’on connaît toutes les intrigues de l’histoire taboue en lisant le titre. Du coup, vous connaissez d’ores et déjà ma déviance sexuelle. Ce n’est pas un fantasme, c’est la réalité. Lorsque cette déviance a pris de l’ampleur, je suis allée voir un sexologue puis un psychologue puis un psychiatre, les trois m’ont pris pour une folle. Il a fallu que je tombe sur une quatrième personne, une femme elle aussi psychologue et sexologue qui essaye de m’aider.
Dans la vie, tout le monde a ses propres secrets sexuels. Je pense par exemple à Simon qui est un nécrophile ou bien encore à deux potes qui sortent pour baiser des mamies, ou bien même à cette femme qui est tombée enceinte après un Gangbang. Personnellement, quand je lis ces histoires, je ne juge pas, même si parfois certaines me surprennent. Je ne dis pas qu’elles me choquent, mais qu’elles me surprennent. C’est certainement ce qui va se passer avec ce que je vais vous raconter.
Vous le savez maintenant, j’aime me faire violer. J’aime lorsque le sexe est violent et cette emprise que peut avoir un homme sur moi à me pénétrer de force. Ça m’est arrivé la première fois avec un petit ami qui aimait le sexe violent. Il a simulé le viol avec moi et j’ai trouvé ça très excitant. J’ai joui comme une folle ! Ça m’a donné envie de recommencer et d’aller plus loin. J’ai mis en place des scénarios qui ont fini par avoir l’effet contraire puisqu’il a pris peur et m’a quittée. J’ai ensuite cherché d’autres hommes en leur expliquant mes besoins et même si certains les ont acceptés et qui sont venus pour me « violer » que ce soit à domicile en extérieur, j’avais toujours besoin de plus. C’est pour ça qu’il y a trois ans, j’ai pris la décision de provoquer le destin.
Je me suis habillée de manière provocante et j’ai marché tard dans les rues de Bordeaux. Au bout de quelques soirs, un homme s’est mis à me suivre. J’ai eu la boule au ventre tout en étant excitée. Au bout de neuf jours, cet homme a arrêté de me suivre. J’étais terriblement déçue ! Mais je ne savais pas qu’il avait anticipé mon trajet et qu’il m’attendait sous un porche un peu plus loin. Il ne me suivait pas, il avait pris de l’avance sur moi. Il m’a attrapée, m’a mis la main sur la bouche et un couteau sous la gorge. Il m’a dit que je devais faire tout ce qu’il voulait sinon il me tuait. Mon excitation était à son comble. Il m’a violée en me pénétrant par le vagin. Il a éjaculé dans son préservatif et il est parti. Je ne vous cache pas que comme première expérience suis restée un petit peu frustrée.
Mais la fois d’après, ça a été plus intense. Je ne vous raconte pas tout le schéma qui s’est mis en place pour arriver au viol, parce que je n’écris pas un roman. Cette fois-là l’homme m’a violée par tous les trous et m’a fait mal. Mon plaisir montait d’un cran et c’était très intense !
La fois d’après ils étaient deux. Je précise que ce sont des viols totalement différents et que ce sont des personnes et des lieux également différents. Les deux hommes m’ont prise à tour de rôle par tous les trous. Ils ont été vicieux et violents. Il y en a même un qui m’a frappée. Il me giflait pendant qu’il me pénétrait. J’ai failli perdre connaissance, mais c’est ce qui m’a amenée à la jouissance. Ça les a fait halluciner d’ailleurs !
Pour ceux qui se demandent si je ne crains pas pour ma sécurité, voici le petit twist final que vous ne pouviez pas connaître en lisant le titre, c’est que je suis inspecteur de police. Je suis armée et je sais me défendre puisque j’ai été deux fois championne de boxe française. Je n’en dirai pas plus sur mes performances ni mon métier, car je ne veux pas être découverte. Les plus vifs d’entre vous auront compris que comme Dexter Morgan, j’ai accès à certains fichiers de la police qui me permettent de connaître le nom et le lieu de résidence de certains malfaiteurs qui commettent des agressions sexuelles. Ça me fait gagner énormément de temps !
Ceci dit, ces derniers temps j’ai quand même réduit mes expériences grâce à ma thérapeute. Cette fameuse femme qui comprend ma pathologie. Elle a décidé de m’aider pour que je ne prenne plus aucun risque. J’attends maintenant de voir ce qu’elle va me proposer. J’ai une petite idée, mais ce serait quand même bizarre que ce soit ça. Je vous tiendrais au courant dès que j’en saurai plus.
Pour ceux qui m’auraient reconnue, merci de respecter ma vie privée. Surtout que si c’est le cas, vous savez très bien qui je suis et ce que je suis capable de faire aux gens qui m’ennuient 😉.
Corinne 34 ans Bordeaux.
Merci pour cette confession.
Quelle histoire !
Bonjour corinne dommage que tu nous a pas raconté les détail des autre viol sa m’est l’eau a la bouche
Salut benoit, je vais déjà vous raconter ce que la thérapeute m’a proposer de faire ensuite si ca vous interesse, je vous raconterai plus en détails mes sorties pour viol
cool avec impatience 😉
Bonjour Corinne,
Oh oui, j’ai hâte que tu (si je peux me permettre) nous racontes ce que la thérapeute t’a proposé de faire et aussi bien-sûr tes sorties pour viol.
Je suis candauliste et si nous étions en couple toi et moi (pure hypothèse ;p), j’utiliserais toute mon imagination pour t’organiser de telles expériences, les plus variées et inattendues possibles !
Au plaisir de te lire.
Marc.
Histoire intéressante bien que flippante quand même, tu n’a pas peur que un des gars un jour te refile une IST, je pense pas qu’ils aient tous la bonté de penser à mettre une capote