Ma femme est naturellement très poilue de partout

Bonjour chers lecteurs de ce blog extraordinaire,

Je m’appelle Florian, j’ai 39 ans et j’habite dans le sud de la France à Martigues. Je suis marié depuis 15 ans avec Nathalie qui est une superbe fille châtain clair aux yeux clairs qui s’est toujours pomponnée. Lorsque je l’ai connue, elle avait une petite chatte au pubis taillé qui était à mi-chemin entre la classique touffe et l’épilation totale. Régulièrement, elle changeait de dessin grâce à sa tondeuse qui était prévue pour cela. Mais petit à petit, elle s’est laissée aller et a commencé à prendre du plaisir en se laissant pousser les poils de partout. J’ai eu beaucoup de mal à m’y faire, mais maintenant je ne peux plus m’en passer !

C’est à l’âge de 35 ans que ma femme Nathalie s’est mise à se laisser aller. Tout est venu du fait qu’elle a eu un problème de dos qui l’a immobilisée pendant un moment. Cela durait plusieurs mois au cours desquels elle ne pouvait s’entretenir toute seule. Au début, je lui rasais les jambes et lui entretenait le maillot. Mais petit à petit, elle m’a dit de laisser tomber et nous en rigolions. Au fil des semaines, sa pilosité qui n’était plus entravée par les rasages réguliers est devenue abondante. Aujourd’hui elle n’est plus abondante, mais luxuriante ! Ma femme s’est mise à avoir des poils à partir du nombril. Comme nous habitons dans le sud de la France, elle souhaite cependant ne serait-ce que par rapport à son travail, se raser les aisselles. Mais dès qu’elle en a l’occasion ou que nous sommes en vacances, elle laisse pousser ses poils sous les bras. Donc comme je le disais, à partir du nombril jusqu’aux orteils, ma femme est poilue. Elle en a de partout on dirait un ours ! Je ne pensais pas qu’une femme puisse avoir autant de poils. J’ai déjà vu des photos sur le NET de femmes poilues, mais elles prennent généralement des hormones pour cela. Mais Nathalie c’était autre chose. Lorsque nous étions tous les deux dans le lit, elle prenait beaucoup de plaisir à caresser ses poils. Sa chatte est devenue une épaisse couche de poils qui mesurent environ 6 cm d’épaisseur. Nous avons fait le test de poser mon Smartphone sur sa motte, et bien le téléphone reste en suspension et ne touche jamais sa peau !!!

Au début cela ne me plaisait pas. J’avais beaucoup de mal à m’exciter en voyant tous ses poils. Lorsqu’elle était en levrette et que j’avais son cul poilu en face de moi, par moment j’avais l’impression d’être devenu gay et d’enculer un homme. Honnêtement, je n’en tirais aucune satisfaction. Mais comme nous sommes un couple uni depuis toujours et que nous sommes très attentifs aux plaisirs de l’un et de l’autre, j’ai laissé ma femme vivre son trip et avoir une pilosité plus forte que la mienne.

Doucement, j’ai commencé à prendre du plaisir à caresser ses poils qu’elle a vraiment de partout. Elle a la raie du cul poilue, le contour des orifices je ne vous en parle même pas, et les jambes et les cuisses dignes de King Kong. Ma femme aime que je la lèche longuement et que je lui aspire les poils de la chatte et du cul qui généralement s’imbibent de ses jus intimes. De ce côté-là, j’avoue que moi qui suit un petit peu fétichiste, c’est le paradis ! Toutes ses odeurs et son nectar restent emprisonnés à l’intérieur de sa pilosité. C’est fantasmagorique ! Nous avons initié quelques nouvelles pratiques et quelques nouveaux jeux comme lorsque mon éjaculation lui sert de shampooing. Je lui éjacule sur la motte, sur le ventre, sur le dos, enfin de partout où elle a des poils ! Ensuite je la masse délicatement pour faire pénétrer mon sperme dans ses poils.

Cela fait plusieurs années maintenant et elle n’a toujours pas l’intention de revenir en arrière. Bien que je sois le premier à dire que je me moque de ce que peuvent penser les gens, j’ai tout de même l’appréhension que ma femme aille chez le médecin, chez le gynécologue ou bien encore qu’une de ses collègues de travail s’aperçoive des poils qui dépassent de ses pantalons. Les rumeurs vont bon train et c’est la seule chose qui me chagrine dans cette histoire. Mais bon, tant pis, là où il y a du plaisir il n’y a pas de gêne !

Florian, 39 ans Martigues