Bonjour,
Je m’appelle Clément, j’ai 40 ans. Je suis marié à Candice qui en a 37. Nous vivons tous les deux dans le sud de la France à Toulouse. Nous avons une sexualité tout à fait normale et n’avons aucun problème de couple contrairement à tout ce que l’on peut lire dans les histoires sexe. Nous essayons chacun de nous faire plaisir en réalisant les fantasmes de l’autre. On ne se pose pas autour d’une table en faisant une liste, je parle de moments de complicité où l’on parle comme ça d’une envie d’essayer quelque chose, l’autre en prend note discrètement. C’est comme ça que par exemple, j’ai joué le mari candauliste en offrant un plan sexe à ma femme avec un black. Je savais qu’elle avait envie d’essayer et je lui ai fait cette « petite » surprise le jour de son anniversaire.
Une autre fois, c’est elle qui m’a fait le bonheur d’un plan à trois avec une autre femme. Elle a pu en plus tester le sexe entre filles ce qui m’a terriblement excité. Vraiment, nous sommes tous les deux à l’écoute des plaisirs de l’autre et c’est ce qui fait je crois que notre couple dure aussi longtemps.
Il y a une pratique que nous n’avons jamais faite jusqu’alors, c’était les jeux humides ou l’uro. Nous en avons beaucoup parlé, mais jamais, l’un comme l’autre, n’avons osé passer à l’acte. C’est bizarre, on a toujours été bloqués à ce niveau-là. Jusqu’à ce fameux soir. Candice était sur moi après une bonne partie de baise. J’avais joui en elle dans cette position de la levrette et je regardais son vagin béant et gluant de mon foutre et de sa mouille. À ce moment-là, elle m’a fait allonger sur le dos puis elle m’a grimpé dessus. Elle le fait régulièrement pour me faire des caresses et des massages et expulser son sperme sur ma bite. Comme elle dit souvent, « je te rends ce qui t’appartient ! ».
J’ai les yeux fermés et j’apprécie ce massage avec ma femme souillée au-dessus de moi. Et puis là, d’un coup je sens une vague de chaleur envahir mon sexe et mon bas-ventre. Elle m’avait mis les mains sur les épaules pour pas que je me relève brusquement. En fait, Candice venait de relâcher sa vessie pour uriner sur moi. C’était terriblement troublant et excitant ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti pareille excitation. Mon cœur battait la chamade comme toujours lors des premières fois. Son urine coulait sur mon bas-ventre et sur mon torse avant de couler sur les draps. Elle ne s’arrêtait plus ! Et pendant ce temps, elle se frottait contre moi. Mon érection s’est relevée instantanément ce qui ne m’arrive pas souvent à mon âge, de repartir aussi vite !
Elle a pris ma queue pour la glisser dans sa chatte maintenant souillée de sperme, de mouille et de pisse chaude. Je l’ai attrapée par les seins et je lui ai pilonné le vagin comme un fou. Je lui ai montré ainsi que j’appréciais pleinement ce qu’elle venait de faire et je voyais qu’elle aussi. Je me suis mis en mode marteau-piqueur dans sa chatte. Je la baisais tellement fort que ses parois vaginales me brûlaient. Elle a joui comme une dingue et s’est remise à pisser. Je continuais de la pilonner et à chaque coup de reins que je mettais, des jets d’urine giclaient de partout. J’avais l’impression que ma femme était devenue fontaine. Elle m’a dit la même chose après. À ce moment-là j’ai joui et je me suis répandu de nouveau en elle.
Nous sommes restés un moment comme ça avant de filer sous la douche et de se refaire des câlins et des caresses. Comme le dit souvent Lucie, nous avons « débriefé » pour discuter de ce qui venait de se passer, voir ce qui était bien ou moins bien. Tout était parfait et c’était génial au niveau de l’expérience et de l’excitation. Le seul désagrément que l’on a eu, c’est qu’il a fallu changer les draps après ! Et ça Lucie, tu ne l’avais pas dit !
Voilà pour notre confession intime d’un couple amateur de Toulouse qui découvre l’uro.
Clément et Candice Toulouse
J’espère pouvoir réaliser le même fantasme avec ma nouvelle compagne.