Je m’appelle Pierre, et je vis dans un petit appart à Paname avec ma femme Élodie. Faut dire que notre relation, c’est pas vraiment le genre standard, mais c’que j’vais vous raconter, ça dépasse vraiment tout ce que vous pouvez imaginer.
C’était un vendredi soir, l’air de Paris était super lourd, vous savez, ce genre de soirée où vous savez que la nuit va être chaude, genre vraiment chaude. Élodie et moi, après une semaine de boulot à nous taper sur les nerfs, on s’était dit qu’on méritait bien un p’tit moment pour nous, quoi. Nos sessions de baise, c’est toujours un peu sauvage, mais ce soir-là, elle avait décidé de passer la seconde.
On était dans la chambre, les volets baissés, mais la lumière de la lune, elle réussissait quand même à s’infiltrer, donnant à tout un côté mystique, presque irréel. Élodie, avec ses cheveux châtains qui lui tombent sur les épaules, elle me regarde avec ce regard qui me fait toujours frissonner.
“Tu vas me baiser fort ce soir, Pierre,” qu’elle dit, sa voix douce mais avec un truc qui claque comme un ordre. “Mais après, tu nettoieras.”
J’avais pas trop pigé ce qu’elle voulait dire par là. Je pensais à un nettoyage des draps, genre. Mais non, elle avait autre chose en tête, bien plus… direct.
On a commencé à se sauter dessus comme des bêtes. Nos corps, ils se cherchaient, se trouvaient, se perdaient dans une danse érotique où chaque mouvement répondait à l’autre. Je l’ai prise par derrière, ses mains s’agrippant au lit, son souffle, il devenait de plus en plus court, de plus en plus rauque.
“Vas-y, Pierre, plus fort,” elle m’encourageait, et moi, j’obéissais, sentant cette montée de plaisir qui vous fait tout oublier. J’ai joui en elle, et là, elle se tourne vers moi, avec cette lueur dans les yeux, vous savez, ce regard qui dit “on est pas encore au bout.”
“Maintenant, nettoie-moi,” elle ordonne, et j’ai eu comme un frisson, mais pas de peur, plutôt une excitation nouvelle, inexplorée.
La première fois, c’était dans notre salle de bain, le carrelage froid sous mes genoux, l’odeur de notre sexe qui remplissait l’air. J’ai utilisé ma langue, d’abord hésitant, puis avec une dévotion presque religieuse, goûtant à notre union d’une manière que je n’aurais jamais pu imaginer.
“Tu dois apprendre à respecter ce que tu as fait,” elle me dit une autre fois, quand elle m’a forcé à nettoyer après avoir joui dans sa bouche. Elle me regardait, un petit sourire satisfait, pendant que je m’exécutais, ma langue explorant chaque recoin, nettoyant chaque goutte de moi.
Puis y’a eu cette fois dans les chiottes d’un resto chic à Montmartre. On était sortis pour dîner, mais la tension entre nous, c’était trop fort. À peine fini, elle me tire la tête vers elle, me dit de la nettoyer là, dans ce petit espace, sur ce sol où j’sais pas combien de gens avaient déjà marché. C’était humiliant et en même temps, ça m’excitait comme jamais.
Chaque fois, c’est un nouveau défi, une nouvelle façon de voir notre intimité. Élodie me laisse pas le choix, et peut-être que c’est ça, le vrai aphrodisiaque. C’est pas que le sexe, c’est le contrôle qu’elle a sur moi, la manière dont elle me pousse à explorer des limites que j’imaginais même pas.
Maintenant, chaque fois que je la prends, je sais que le moment de nettoyage va venir. C’est devenu un rituel, une sorte de purification après l’acte. Et si au début ça me semblait bizarre, voire humiliant, j’y ai trouvé une forme de dévotion, une manière de nous lier encore plus profondément.
Donc, dans notre petit appart parisien, chaque nuit de passion est suivie de ce rituel bizarre, une confession silencieuse de notre folie, une réaffirmation de notre lien par le plus intime des contacts.
Ajouter un commentaire