Je m’appelle Philippe, j’ai 50 ans, et avec Anne, ma femme du même âge, on vit à Lille, dans une maison coquette près du parc Jean-Baptiste Lebas. On est en juillet 2025, la chaleur est écrasante, les fenêtres ouvertes laissent entrer l’odeur des tilleuls et le bruit des rues animées. Anne et moi, on est mariés depuis vingt-cinq ans, une vie solide, des gamins partis, mais au lit, on a toujours eu des envies qui sortent des rails. Moi, je suis candauliste : voir ma femme se faire prendre par d’autres, ça me rend dingue. Et elle, elle adore ça, jouer, se lâcher, sentir des mains nouvelles sur sa peau.
L’idée du gang bang, ça faisait un moment qu’on en parlait, un fantasme qu’on caressait sous les draps après nos soirées arrosées. Anne, elle est encore belle : des cheveux blonds décolorés qui tombent sur ses épaules, des seins lourds qui s’affaissent un peu, un cul large et doux marqué par les années, et une chatte rasée qu’elle entretient pour ces moments-là. On a décidé de passer à l’acte cet été, en invitant cinq jeunes, tous 18 ans, des gars qu’on a trouvés sur un forum discret – des étudiants du coin, pleins d’énergie, prêts à tout pour une nuit comme ça.
Ils sont arrivés vendredi soir, vers 22h, la maison plongée dans une lumière tamisée, la sueur qui perlait déjà sur nos fronts. Il y avait Théo, un grand brun maigre avec des tatouages sur les bras, Lucas, blondinet aux yeux bleus, Mattéo, un métis musclé, Enzo, un petit nerveux à la peau mate, et Jules, un roux baraqué qui parlait fort. Moi, je les ai accueillis en short et polo, une bière à la main, l’air détendu, mais mon cœur tapait. Anne est descendue en nuisette rouge, transparente, ses formes exposées, un sourire nerveux mais excitée. “Salut, les garçons,” qu’elle a lancé, et leurs regards se sont allumés.
On a bu un verre dans le salon, histoire de briser la glace, leurs rires qui couvraient le ventilateur qui brassait l’air tiède. Moi, je me suis calé dans un fauteuil, en retrait, prêt à mater. “Vous savez pourquoi vous êtes là,” que j’ai dit, et Théo a ricané, “ouais, on va s’occuper d’elle.” Anne s’est levée, a laissé tomber sa nuisette au sol, nue dessous, sa peau claire luisante sous la lampe. Les mecs ont sifflé, “putain, elle est bonne,” et elle s’est mise à genoux au milieu du tapis, entourée, offerte.
Théo a dégrafé son jean le premier, sa queue déjà dure qui jaillissait, longue et fine. Anne l’a prise en bouche, ses lèvres tendues autour, un bruit humide qui montait pendant qu’elle le suçait doucement. Enzo s’est approché, a glissé une main sous ses seins, les a pétris, les tétons qui durcissaient sous ses doigts. Moi, je regardais, ma bite qui gonflait dans mon short, excité comme jamais. Lucas s’est mis derrière, a écarté ses fesses, craché sur son cul, et l’a doigtée, deux doigts qui entraient facilement dans sa chatte déjà mouillée. Elle gémissait, étouffée par la queue de Théo, ses hanches qui ondulaient.
Mattéo a pris la relève en bouche, plus épais, plus brutal, il lui tenait la tête pendant qu’elle avalait, la salive qui coulait sur son menton. Jules, lui, s’est collé sous elle, a sucé ses seins, mordant la peau tendre, laissant des marques rouges. Moi, je voyais tout, leurs corps jeunes, tendus, qui s’agitaient autour de ma femme, son plaisir qui montait, ses râles qui emplissaient la pièce. “Tu kiffes, hein ?” que j’ai lancé, et elle m’a jeté un regard brûlant, “oui, putain, oui,” avant que Lucas la pénètre d’un coup, sa queue qui plongeait dans sa chatte, un cri qui lui échappait.
Ils l’ont prise à tour de rôle, un ballet désordonné mais fluide. Lucas l’a baisée fort, ses cuisses qui claquaient contre son cul, le tapis qui glissait sous eux. Puis Mattéo l’a retournée, l’a mise à quatre pattes, et l’a enfilée par derrière, son gland qui forçait son cul pendant qu’elle s’ouvrait, gémissante, “doucement, là.” Enzo s’est glissé dessous, a léché sa chatte pendant que Mattéo la limait, et Théo lui a rempli la bouche à nouveau, ses grognements qui résonnaient. Jules finissait sur ses seins, sa main qui frottait sa queue jusqu’à ce qu’il gicle, un jet blanc qui coulait sur sa poitrine.
J’étais là, immobile, ma main dans mon short, à me branler lentement, le souffle court. Voir Anne comme ça, entourée, défoncée par ces gamins, ça me rendait fou. Elle jouissait, encore et encore, son corps secoué, trempé de sueur, de sperme, de mouille. Ils ont fini un par un, Théo sur son visage, Lucas dans son cul, Mattéo sur son dos, Enzo dans sa bouche qu’elle a avalé, Jules qui rajoutait une couche sur ses seins. Elle s’est écroulée, pantelante, le tapis foutu, et moi, j’ai joui dans mon froc, un râle discret, les yeux rivés sur elle.
Ils sont partis vers 2h, hilares, “ta femme, c’est une bombe,” qu’ils m’ont dit en me tapant l’épaule. Anne m’a rejoint sur le canapé, collante, épuisée, un sourire fatigué. “T’as aimé ?” qu’elle m’a demandé, et j’ai hoché la tête, “le meilleur spectacle de ma vie.” À Lille, cet été, on a trouvé notre truc, et on recommencera, c’est sûr.
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