Ma femme sert de vide couilles aux routiers et commerciaux de passage

Bonjour,

Nous sommes un couple amateur dans la cinquantaine et des fidèles membres de ce blog d’histoires érotiques. On discute régulièrement avec Franck et Lucie et ils sont vraiment accessibles et sympathiques et ça, je tenais à le souligner. Lors d’une discussion, on a avoué la situation que l’on vit depuis quelques mois. Évidemment Lucie s’est empressée de nous dire qu’on devait en faire une histoire de sexe alors on va faire ce qu’on peut en juste retour des choses.

Ma femme Cathy a 52 ans et moi Marc j’en ai 54. Le confinement nous a permis de nous rapprocher sexuellement et on a fait énormément de découvertes et d’expériences coquines tous les deux. À la sortie de ces deux phases où l’on est restés bloqués à la maison, on a décidé de partager notre expérience avec les autres. On a eu plusieurs aventures libertines avec des hommes, des femmes et des couples. On s’est régalé. Et on a découvert comme beaucoup de couples libertins, le candaulisme. C’est quelque chose de très particulier comme sensation. On a un double sentiment. Celui d’être énervé de voir sa femme se faire baiser par un autre et celui de l’excitation pour la même raison.

Un jour, je cherchais un amant pour elle et je suis tombé sur un routier qui faisait régulièrement halte dans notre commune. Je lui ai donné rendez-vous sans le dire à Cathy. Le gars est venu à la maison et même si l’ambiance était tendue au départ, tout s’est rapidement déstressé. La femme l’a sucé avec conviction et s’est fait prendre en levrette contre le canapé. Le gars est parti avec la banane et les couilles vides en promettant de revenir. Cathy était aussi surexcitée par la situation. Pour me remercier, elle m’a laissé la baiser par tous les trous une bonne partie de la nuit et j’ai vu l’effet que ça avait sur elle. Tout cela m’a donné une petite idée.

Je suis retourné passer des annonces pour trouver des hommes de passage dans le coin pour venir la baiser. Je n’aurais jamais cru avoir autant de propositions ! Il y a bien eu quelques curieux bien sûr, mais je les ai rapidement évincés pour ne garder que le meilleur des plans cul possibles.

Nous sommes un vendredi soir et on sonne à la porte. Cathy ouvre et se trouve face à un commercial. Il est en costume-cravate et elle comprend tout de suite pourquoi il est là. Au final, c’est lui qui était le plus mal à l’aise. Cathy s’est mise à genoux alors que le gars n’avait toujours pas posé son attaché-case. Elle lui a fait une grosse pipe et le gars n’a pas tenu et lui a balancé la purée en plein visage. J’ai été déçu le premier, mais je savais que ce n’était que le début de soirée. Cathy est allée se nettoyer dans la salle de bain et je sentais bien sa frustration. Heureusement que l’on a de nouveau sonné à la porte. Elle a cru que le gars avait oublié quelque chose et s’est retrouvée avec un nouveau mec de passage face à elle.

Cette fois-ci, ma femme a pu se faire baiser bien comme il faut et moi je me régalais de la voir se faire entreprendre par un autre homme. Elle est en position de missionnaire en train de se faire tringler par un inconnu lorsqu’on sonne de nouveau la porte. Je vais ouvrir et c’est le troisième gars qui était prévu qui était en avance. Je lui ai expliqué la situation et il m’a dit qu’il n’était pas contre un plan à plusieurs. Alors je lui ai indiqué le chemin de la chambre où il a découvert la scène de baise. Cathy m’a fait un grand sourire et a invité tout de suite son nouvel amant à entrer dans la partie. Pour la première fois de sa vie et de la mienne, Cathy a vécu une double pénétration. Je n’ai pas pu m’empêcher de participer pour venir coller ma bite dans sa bouche ouverte pendant que deux inconnus lui bourraient les orifices. Elle voulait me faire jouir, mais je me suis retenu, car je voulais profiter de l’après-plan cul avec elle.

Lorsque tout le monde est parti, on s’est envoyé en l’air comme jamais on ne l’avait fait jusqu’ici ! Elle était en feu ! Cette aventure nous a encore plus rapprochés que le confinement.

Aujourd’hui, elle soulage plus d’une dizaine d’hommes par semaine quand tout va bien. Des routiers, des commerciaux et même d’autres gars vu que le bouche-à-oreille fonctionne. On ne fait jamais payer personne. Mais il s’est doucement instauré une tradition, tous ceux qui viennent baiser ma femme chez moi apportent un petit quelque chose. Des fois ce sont des gâteaux, des fois des cigarettes, du vin, des fleurs, etc. Comme ce sont pour la plupart des professionnels de la route, ça doit faucher un petit peu dans le camion pour nous remercier de ce bon moment passé dans les trous de Cathy.

Voilà Lucie, je l’ai fait ! J’ai fait la confession intime écrite telle que je te l’ai racontée avec Franck. Je te laisse remettre tous en forme pour que ça soit plus lisible sur ton blog. Et tu sais que Cathy et moi, on vous invite quand vous voulez en Avignon.

Marc et Cathy le Pontet