Bonjour,
Je vais vous raconter une histoire qui se déroule sur plusieurs décennies. J’ai toujours vécu seul avec ma mère. Mon père nous a abandonné lorsque j’étais plus jeune ce qui fait que j’ai une relation très privilégiée avec elle. Tout se passait très bien jusqu’à mes 16 ans. J’avais une moto et je me croyais plus fort que les autres. Résultat des courses, j’ai fait une chute et ma main est restée coincée sous la moto et s’est prise dans la chaîne. Je vous laisse imaginer le carnage ! Trois heures plus tard, je remontais du bloc avec une main en moins. On a mis près de deux ans avec ma mère pour se remettre de cet épisode.
Et puis une fois que j’avais fait le deuil de ma main et que les années passées dans la douleur et les interventions chirurgicales et que le handicap était oublié, ou en tout cas mis de côté, j’ai commencé de nouveau à avoir des pulsions sexuelles. Et un jour, je me suis mis à me remasturber. Le problème, c’est que j’étais droitier et que je n’avais plus de main pour serrer ma queue. Alors j’ai essayé tant bien que mal de me masturber de la main gauche, mais ce n’est pas pareil. Un soir, je n’en pouvais plus et j’en ai pleuré ! Des nerfs et de l’énervement. Ma mère est entrée comme une furie dans la chambre alors que moi je pensais vraiment qu’elle dormait et qu’elle ne m’avait pas entendu. Elle m’a découvert la bite à l’air avec une demie molle à tenter de me masturber avec la main gauche. Elle a tout de suite compris quel était le problème. Elle s’est assise au bord du lit et on a eu une longue discussion. Elle a hasardé de me réconforter et me dire que ma prothèse serait bientôt prête et que je pourrais recommencer à faire ça. Nous ne nous étions pas aperçus tous les deux que pendant qu’on discutait, sa main était allée vers mon sexe qui avait repris une bonne forme. Ma mère s’est alors proposé de me branler et de me faire jouir pour me soulager. Elle m’astiquait et c’était très bon ! Mais je n’y arrivais pas à cause du blocage de la situation. Alors ma mère a décidé d’enlever sa chemise de nuit pour se mettre nue. J’ai découvert le corps de ma mère qui était magnifiquement pulpeuse avec des seins lourds et une belle toison au pubis. Ça m’a beaucoup excité et je sentais l’orgasme venir. Elle a pris mon moignon et elle l’a approché de ses seins pour que je ressente le contact. Ça a suffi à me faire jouir. Elle est partie se coucher en m’embrassant sur le front.
Le lendemain, nous n’avons absolument pas discuté de cela. Le soir venu, elle est venue dans ma chambre, a retiré sa chemise de nuit et a commencé sa branlette. Elle m’a ensuite sucé ce qui a été ma première pipe. Ensuite elle partait pour aller se coucher. Cela a duré des semaines. Ma prothèse entre-temps était prête, mais je préférais laisser faire ma mère. Et puis un jour j’ai eu un déclic.
Ce soir-là lorsque ma mère est rentrée, j’étais debout. Elle m’a demandé de m’installer, mais je lui ai dit que ce soir ce serait son tour. Il n’y avait pas de raison que je sois le seul à prendre du plaisir même si elle m’assurait qu’elle en prenait en me branlant et me suçant. J’allongeais ma mère sur le dos après lui avoir retiré sa chemise de nuit. Je lui embrassais les seins et je les ai tétés comme lorsque j’étais plus jeune. Je suis descendu ensuite vers sa chatte pour lui sucer les poils pubiens et lui faire un cunnilingus. Elle a joui très fort ! Et alors qu’elle se relevait pour partir, je lui ai dit de rester en place et j’ai commencé à la masturber avec ma main gauche. Ensuite, j’ai approché mon moignon en me disant que finalement ça faisait un très bon calibre. Je l’ai présenté devant sa chatte juste pour lui frotter la vulve. Elle a fermé les yeux et se caressait les seins. Et sans la prévenir, je l’ai pénétrée jusqu’à la moitié de l’avant-bras. Elle a eu un sursaut en ouvrant les yeux. Je l’ai attrapée par la nuque et je l’ai fistée vigoureusement le vagin avec mon moignon. Je ne sais pas si le terme est exact vu que je n’ai pas de main. Je sentais la mouille de ma mère sur mon bras et c’était très excitant. Elle m’a fait me retirer pour que je vienne et j’ai pénétré ma mère avec ma bite. Je l’ai baisée quelques secondes à peine avant de décharger au fond du vagin par lequel j’étais sorti 18 ans plus tôt.

Pendant des années nous avons fait ça presque tous les soirs. Et puis il a fallu que je parte de la maison. Le temps nous a séparé un petit peu et même si je revenais de temps en temps pour faire jouir ma mère avec mon moignon et ma bite, les rapports étaient beaucoup moins fréquents du fait de l’éloignement. Aujourd’hui, j’ai 45 ans et ma mère 78. Elle a été atteinte par le coronavirus et fort heureusement elle s’en est sortie. Mais elle a ce qu’on appelle le Covid long. Alors j’ai décidé de louer mon appartement pour revenir à la maison vivre avec elle. Si les premières semaines se sont passées vraiment dans un esprit médical et de bien-être pour elle, rapidement elle a voulu renouer avec ses anciens démons. Un soir, elle m’a appelé et je suis monté comme un fou dans la chambre croyant que ça n’allait pas. Elle était nue sur son lit avec les cuisses écartées. La seule différence c’est qu’elle avait beaucoup vieilli, que ses seins étaient tombants et beaucoup moins pulpeux. Sa toison par contre avait disparu pour laisser place à un minou tout lisse. Elle m’a souri, je lui ai rendu son sourire et j’ai fermé la porte. Je vous laisse imaginer ce que nous avons fait. Si vous avez envie que je vous le raconte, ce sera avec grand plaisir. Exprimez-vous par les votes et les commentaires comme vous le voulez.
Flavien 42 ans Castres.
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