Bonjour,
Avant que tout le monde ne crie au scandale, je dois vous dire que ma mère est évidemment consentante et que ce n’est absolument pas un viol. Maintenant que ça, c’est clair, je vais pouvoir vous raconter notre histoire.
J’ai 31 ans et ma mère en a 64. Suite à une maladie dégénérative, elle est en fauteuil roulant depuis trois ans. On est très proches tous les deux et on se parle de tout. Elle me demande des nouvelles de ma vie sexuelle et ne s’est jamais gênée pour me parler de la sienne. J’avoue que ce n’est pas gênant dans un sens, mais dans l’autre oui, vous pouvez le comprendre, je présume.
Ma mère ne voulait pas aller dans une institution spéciale, elle souhaitait rester chez elle et faire venir régulièrement des aides à domicile. Je passe que tous les jours pour m’assurer qu’elle est bien et qu’elle ne manque de rien. Pendant l’épidémie de Covid-19, les aides-soignantes et les infirmières à domicile étaient débordées et les visites ont été très espacées chez ma mère. Si les soins vitaux étaient assurés, il n’en était pas de même pour ceux de confort. Ma mère m’a demandé très gênée de l’aider à faire sa toilette.
La première fois, ça a été honnêtement un mauvais moment. Ce n’était pas facile ni pour l’un ni pour l’autre qu’elle soit nue et qu’en plus je lui nettoie les parties intimes. Au fil des jours, j’ai été surpris d’être excité par ma mère. Si au début je redoutais de lui faire sa toilette, j’attendais ensuite avec impatience ce moment. Je prenais un malin plaisir à m’attarder sur les seins lourds de ma mère ainsi que ses fesses rebondies et sa chatte toute poilue. J’avais des érections et je pensais que ma mère était dupe.
J’ai tenté une approche subtile de la manière suivante. Je lui ai demandé si elle ne voulait pas pour son confort personnel que je taille un peu ses poils pubiens qui visiblement n’étaient pas entretenus depuis des années. Après une attente qui m’a paru interminable, elle a fini par dire d’accord. Je suis allé chercher les ciseaux pour tailler sa toison. Je l’ai un peu rafraichie, mais il fallait faire les finitions. J’ai pris la tondeuse et j’ai rendu tout ça beaucoup plus acceptable.
La fois suivante, je bandai vraiment très fort ! Et je n’ai pas fait attention, mais mon érection est venue buter contre le bras de ma mère.
- Ta vieille mère te fait bander mon chéri ?
- Mais non ! Mais qu’est-ce que tu dis maman !
- Écoute mon grand, je sais que tu prends du plaisir à faire la toilette de ta mère et je vois bien tes érections. Si tu veux, pour te remercier de tout ce que tu fais pour moi, je peux te soulager.
- Qu’est-ce que tu entends par là maman ?
Et là, ma mère essaye de défaire ma braguette pour libérer mon sexe. Mais faible comme elle est, elle n’y arrive pas. Elle m’a demandé de l’aide et me voilà avec la bite sortie devant ma mère. Elle m’a pris dans sa bouche et ne pouvant utiliser ses mains comme il faut, n’a utilisé « que » sa gorge et sa langue ainsi que ses lèvres. Elle m’a fait une superbe fellation. Pendant ce temps je regardais son corps et c’était très bon ! J’ai senti le sperme monter et je me suis retiré. Je me suis détourné pour éjaculer dans ma main.
- Mais quel gâchis ! Tu aurais dû me laisser ta semence, j’espère que la prochaine fois tu ne te retireras pas.
Ma mère comptait donc qu’il y ait une prochaine fois ! Et c’est exactement ce qui s’est passé. À chaque fois que je lui faisais sa toilette, elle me faisait une pipe et me laissait éjaculer dans sa bouche. Lentement j’ai commencé à la caresser de partout. Je profite de ses gros seins que je tétais lorsque j’étais petit et de sa belle chatte par laquelle je suis sorti 30 ans plus tôt. Je l’ai doigtée et je lui ai proposé de faire une toilette beaucoup plus intime. Je l’ai posée sur le lit et je lui écartais les fesses et les cuisses. Je lui ai dévoré le minou jusqu’à ce qu’elle jouisse. Dans son malheur, ma mère n’est pas paralysée. Elle est diminuée physiquement, mais ressent encore aussi bien le plaisir que malheureusement la douleur.
Pendant 15 jours, on a joué à faire du sexe oral. Les tabous sont tombés les uns après les autres et on s’est complètement désinhibés tous les deux. Et un beau matin, elle m’a dit cette phrase dont je me souviendrai toute ma vie de.
- Mon grand, j’ai envie que tu me prennes et que tu me baises !
Ces mots sortant de la bouche de ma mère m’ont choqué, mais m’ont fait super plaisir. Après lui avoir fait sa toilette, je me suis positionné entre ses cuisses en missionnaire et je l’ai baisée. On a pris un plaisir de malade tous les deux et on s’est vraiment amusés. On a continué pendant encore quelques semaines. Et puis un jour, elle a eu un problème intestinal qui a fait qu’il a fallu que je nettoie un peu plus avec attention son anus. Je l’ai fait mettre à plat ventre pour tout nettoyer et j’ai eu envie de l’enculer.
- Je sais à quoi tu penses mon grand. Mes douleurs ont disparu alors si tu veux, tu peux me prendre par-derrière. Mais je te demande juste de mettre un peu de gel parce que personne n’est jamais passé par cet endroit.
Ma mère était vierge du cul. Comme je lui avais fait une toilette très intime et très poussée, j’ai commencé par la lécher pour la détendre. Ensuite j’ai passé une noix de gel et introduit un doigt. Une fois que son cul s’habituait, j’en ai mis un deuxième. J’entendais gémir et ça m’excitait. J’avais la bite qui allait exploser lorsque je suis venu me positionner sur elle à plat ventre. Je crois que c’est la position de l’éléphant inversé dont parlait Lucie. J’ai planté ma bite dans le cul de ma mère et j’ai pu m’y enfoncer entièrement. On était tellement bien tous les deux, que je n’avais pas envie de bouger. C’est elle qui a commencé à insinuer des mouvements de bassin. Alors j’ai démarré des allées et venues dans son cul. C’était tellement bon ! A ma grande surprise ma mère a eu un orgasme et les contractions de son conduit anal m’ont tellement comprimé la bite que j’ai joui également. Je venais de jouir dans le cul de ma mère ! Lorsque j’ai ressorti ma queue, le spectacle n’était pas très alléchant. Il a fallu que je refasse une toilette intime à ma mère.
Lorsque la crise du covid est passée, ma mère a allégé la charge du personnel soignant pour que je continue de m’occuper d’elle. Et ça fait 18 mois que je baise ma mère par tous les trous alors qu’elle est en fauteuil roulant. On a retrouvé tous les deux le plaisir du sexe, mais au lieu que ce soit avec des partenaires inconnus, on le fait en famille !
Merci par avance si vous publiez mon histoire sur le blog. J’adore lire celles des autres et j’avais envie de partager ma propre expérience.
Frédéric, 31 ans, Issoire
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