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Ma Mère paye ma dette de jeu Chapitre 2

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Le week-end suivant, le vendredi soir, Jean s’occupe en tapotant sur ma tablette. Un cri s’élève de la salle de bain.
– As-tu mis tes vêtements dans ta corbeille à linge sale, mon chéri ?
– Oui maman !

Après quelques minutes, j’ai entendu toquer à la porte, puis immédiatement après, et sans même attendre ma réponse, comme elle avait l’habitude de le faire, ma mère entre dans ma chambre. Elle se dirigea vers mon placard, pour y mettre des vêtements propres.

Mes yeux se posent sur son corps tout entier. Sur ses belles courbes, ses beaux seins lourds que je devine, ses fesses magnifiquement courbées et ses cuisses, musclées.
Pour le moment, je me contente de reluquer ses fesses et le haut de ses jambes qui laissent entrevoir, le haut de ses cuisses, pendant qu’elle range mon linge en bas de l’armoire.

Après quelques minutes de rangement, ma mère quitte ma chambre, non sans déposer, un petit baiser sur le bout de mon nez. Si j’avais un peu levé la tête accidentellement, elle m’aurait embrassé sur mes lèvres. Elle ferme la porte, et immédiatement, je repense à la saillie de Jax, qu’ils lui ont imposé. J’ai encore honte de moi de ne pas avoir pu maîtriser ma pulsion. Je lui ai fait sucer ma queue et elle en a avalé ma jouissance.

Je ferme les yeux, pour revoir la scène. Ma main droite vient caresser mon sexe. Est-ce que ma mère regrette ce moment d’égarement incestueux ? Je l’ignore, mais, le seul qui est présent à ce moment-là, c’est Jax. Doucement devant lui, je baisse mon jeans, jusqu’aux chevilles.

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Jax s’approche, s’arrête à moins d’un mètre de moi. Il s’assoit sur son postérieur et se met à me reluquer, pendant que je fais mes va-et-vient avec ma main. Je le revois saillir ma mère et ça m’excite.
– C’est ça que tu veux mon chien ? En lui tendant ma queue.
A-t-il compris autre chose ? Au lieu d’attendre bien sagement que je me finisse, il s’approche soudainement de ma queue en érection et s’arrête si près, que je peux sentir son souffle sur le bout de mon gland. Je reste comme paralysé. Que va-t-il se passer ?

Je tiens ma queue avec ma main droite, sans plus oser bouger. Seul mon gland tout entier, dépasse. Jax tend son cou tout doucement, en guettant une réaction de ma part, il donne un coup de langue sur mon gland. – MMMOUOUOU ! C’est le seul son qui sort de ma bouche, tout en fermant les yeux.
Jax reste immobile quelques secondes. Je fais très lentement, deux aller et retour sur ma queue sans le quitter des yeux. Je laisse ma main, à la base de ma queue. A présent, elle est droite et dure, elle dépasse totalement de ma main. Après son premier coup de langue, ma queue gonfle énormément. Je suis sans réaction, l’initiative de mon chien m’a laissé sans voix, c’est une première pour moi. Comme je suis sous le coup de la surprise, il revient tenter un deuxième assaut.

Il s’approche et lèche directement, tout ce qui dépasse de ma main, c’est-à-dire ma queue tout entière. D’abord de bas en haut, ensuite, sur toute la longueur. C’est vraiment très excitant, mais pas aussi bon que dans la bouche de ma mère.
Je retire ma main de ma queue raide.
Il se met à me lécher dans tous les sens, mes couilles aussi, qu’il lèche sans aucun ménagement.

– Oh, oh, oh ! que c’est bon. Je crois, qu’il devine mes envies, ce qui m’excite et ce qui me fait bander davantage. Sans perdre une seconde, je finis d’enlever mon jean et je le jette au sol. Soudainement, je suis surpris, Jax enfonce son museau entre mes cuisses ? Il se met à me lécher le cul, comme s’il voulait me fouiller le trou de balle. Putain ! comme c’est bon.
Pendant ce temps, je n’arrête pas de me branler, tandis que Jax s’occupe de mon petit trou.
– Oh ! Oh ! T’aimes ça mon salaud, tu aimes bien lécher mon cul ? Que je clame, comme pour me convaincre que je ne parle pas à un chien.
Comme ça me fait beaucoup de bien. Je me tourne sur le côté gauche, pour offrir plus de facilité à cette langue, qui me rend déjà fou d’excitation.

La porte n’étant pas fermée à clé, ma mère peut entrer d’une seconde à l’autre ? Je suis inquiet pourtant, j’ai envie d’avoir encore du plaisir. Soudain, j’entends les pas de ma mère. Je repousse rapidement le chien, m’allonge sur le lit et je pose sur ma queue, la serviette de bain, qui est sur mon lit à côté de moi. Juste à temps, la porte s’ouvre.
– Ça va mon chéri ? J’ai l’impression que je dérange là ? Tu joues sur ta tablette ?
– Non, non, oui un peu ?
Je suis vraiment gêné de cette intrusion et je ne sais pas quoi répondre à sa question.
– Mais qu’est-ce qu’il fait par terre ton jeans ?
Elle me voit rougir et être embarrassé, je ne sais toujours pas quoi dire.
– HO ! toi, tu fais l’idiot. La prochaine fois, je frapperai avant d’entrer, je crois.
– Heu ? Non pas du tout.

Elle s’approche de moi, et en se baissant pour ramasser mon jeans, elle me fait un bisou sur le bout du nez comme d’habitude.
Tout en m’embrassant, ce qui masque ma vue, je l’entends, clamer.
– Et ça, c’est quoi ? Qu’elle s’exclame, en retirant la serviette posée sur ma queue, qu’elle saisit d’une main.
– ROOH ! Je ne m’attendais pas à ça ?

D’un réflexe incontrôlable, ma queue se redresse instantanément.
– Eh bien mon chéri ! Ça, c’est un bon réflexe. Tu es toujours aussi belle toi dis donc, depuis que je t’ai sucé l’autre jour. Qu’elle proclame en s’adressant à ma queue en érection.
Je suis vraiment très embarrassé. J’essaie de me reprendre.
– Tu es sérieuse maman ?
– Mon fils ! Tu es aussi bien monté que ton père ! Tu permets ? Elle me fait envie.

Je ne réponds pas, subjugué par sa demande.
Contre toute attente, elle monte sur le lit. Elle écarte un peu ses jambes et se met à quatre pattes au-dessus de moi.
Elle se penche vers moi, elle pose ses lèvres chaudes sur les miennes, elle s’y attarde un long moment.

Je suis dérouté, ma mère m’embrasse sur la bouche ? Elle se redresse quelques secondes et replonge sur mes lèvres ! Mais que se passait-il ? Cette fois, c’est sa langue qui entre la première dans ma bouche.
Ma queue est verticale, tendue à l’extrême. Sa langue fouille délicatement ma bouche, pendant qu’elle essaie de l’ouvrir encore un peu plus.

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Excité, je me lâche et à présent, sa langue se promène au fond de ma bouche et caresse ma langue, avec une volupté que je n’avais jamais connue.
– Maman va te faire du bien, tu vas voir beaucoup de bien. Ce sont les mots, qu’elle me susurre doucement, entre deux baisers.

Ensuite, doucement, elle est descend le long de mon corps. Elle saisit ma queue toute entière. Ensuite, elle commence à la caresser en glissant sa main de haut en bas. Elle s’attarde avec ses doigts sur mes bourses, qu’elle masse délicatement.
Ma queue est à présent à son apogée de dureté. Ma mère me branle doucement, c’est sûr, elle sait y faire.

Après quelques minutes de ce petit jeu, elle lâche ma bouche quelques secondes, pour me dire.
– Je sais, que tu aimes ça mon chéri. Tu vas voir, laisse-toi faire, maman va bien s’occuper de toi.
– Maman, qu’est-ce que tu fais ?
– Chut ! ne dit rien, et profite mon chéri ! A ces mots, elle descend lentement et commence à s’occuper de ma queue avec sa bouche.
J’ai déjà eu de nombreuses relations avec des copines de lycée, mais aucune ne m’avait jamais sucé comme ça.
– MMMM ! maman, ta bouche est chaude et bonne. Je suis aux anges, pendant cette volupté, j’en oublie que c’est ma mère qui me suce aussi bien.
– T’as une très jolie queue mon garçon. J’espère que tes copines savent bien s’en occuper.
Je n’ose rien répondre. Elle commence à engloutir ma queue entière au fond de sa gorge. J’entends le bruit si excitant, que fait une bouche lorsqu’elle prend une queue au fond de sa gorge. Ce sentiment de totale pénétration et de trop-plein. Sa bouche, pleine de salive déglutit, tant elle veut absorber ma queue jusqu’au fond. Voyant que je me retiens, elle dégrafe prestement sa robe, la passe par-dessus de sa tête. En un tour de main, ses sous vêtements rejoignent sa robe au sol.

Ses seins pendent devant moi. Elle me prend une main et me demande.
– Caresse-les bien, fais-toi du bien et fais-moi du bien, mon chéri, j’adore ça.
– D’accord maman, je vais bien les caresser.
Putain, comme ils sont beaux et lourds. Sa peau est douce et ses seins sont fermes. Je me saisis de ses tétons qui pointent. Je les fais rouler entre mes doigts, ensuite, je les suce un à un en les tétant goulûment. Je profite de cet instant, et je les caresse encore et encore, cette peau si satinée.

Ma mère n’arrêtait pas de pomper ma queue, avec une certaine avidité.
– Maman ? Tu m’excites, c’est dingue, j’ai envie de toi ? Que je lui suggère timidement.
Elle bouffe la queue vraiment très bien, tout en imprimant un mouvement de va-et-vient.
C’est réellement un pur délice, et je sens ma queue gonfler de plus en plus.
– Moi aussi, mon chéri  !

Elle remonte son corps sur le mien. Ma queue se retrouve au contact de sa moule entre ses cuisses. Elle lève légèrement sa croupe. Une main se saisit de ma queue. Elle frotte mon gland entre les humides de sa moule. Ensuite, elle descend l’entrée de sa moule sur mon gland qui s’enfonce dans son paradis.

Lorsque ses fesses reposent sur mes cuisses, ma queue est entièrement dans son ventre.
Oh la la, que c’est bon, sa moule est tellement mouillée, qu’elle doit apprécier ce moment.
– Maman, c’est bien ce qu’on fait ?
Sa bouche descend sur la mienne.
– Chut ? Ce sera notre secret à tous les deux. Qu’elle me dit dans un murmure.

Elle met une main de chaque côté de mon visage et prend ma bouche tout entière. Elle aspire ma langue dans sa gorge.
Nous sommes très excités tous les deux, c’est quelque chose d’incroyable, parce qu’il s’agit d’une mère et de son enfant. Elle crache sa salive dans ma bouche, chose que l’on ne m’a plus jamais encore fait et ça m’a terriblement excité.

Elle commença à lever ses fesses et entreprit de me baiser elle-même. Sa moule coulisse sur ma queue à merveille. Elle est en train de réaliser mon fantasme.
Elle me baise fort, et elle aime ça, c’est sûr.
Je donne des coups de rein pour l’accompagner et introduire ma queue au plus profond de son ventre.

Ses yeux chavirent de plaisir. Elle recrache ma langue et décolle ses lèvres des miennes.
– C’est bon mon fils, vas-y continue, tu me fais jouir, c’est bon trop bon.
– OH ! oui maman, nous allons bien nous baiser. Moi aussi, j’ai envie de jouir.
– Vas-y, n’aie pas peur, et vide bien tes couilles dans ma chatte, j’ai toujours mon stérilet alors, rempli mon ventre de ton plaisir, vide-toi en moi mon chéri ! je veux sentir tout ton sperme inonder mon paradis d’amour.
A l’écouter dire ces mots, sentir sa langue qui mange ma bouche tout entière, c’est plus que je ne pouvais en supporter. C’est vraiment trop excitant et je ne suis pas suffisamment expérimenté. Après, quelques minutes, ma queue explose dans son ventre, je sens mon sperme fuser en elle. Ma mère crie instantanément son orgasme.
– RORORRO ! OOUUIIII ! mon chéri ! c’est bon ! Je jouis !
Elle jouit si fort, je n’avais encore jamais entendu ça. Je ne savais même pas qu’on peut jouir ensemble, au même moment.
Elle abaisse ses fesses sur mes cuisses pour avoir ma queue qui palpite dans sa grotte. Mon jus avec le sien ruisselle le long de ma queue et mouille mes burnes.

Attiré par l’odeur et les cris, Jax saute sur le lit. Je sens sa langue qui lèche mes burnes en remontant sur le peu de ma queue, qui n’est pas dans le paradis de ma mère. Elle doit remonter aussi le long de la raie jusqu’à l’anus de ma mère.

Nous sommes électrisés tous les deux. Elle colle sa bouche sur la mienne pour atténuer ses râles de plaisir.
Il se met à lécher mon foutre qui s’écoule de la chatte de ma mère le long de ma queue. Je suis un bon éjaculateur et on peut dire que je lui ai mis la dose ! Tout en nous roulant une pelle d’amour, nous apprécions le léchage de notre intimité.

Soudain, je sens Jax est monté le son dos de ma mère, ses pattes postérieures enserrent ses flancs.
Ensuite, je perçois sa verge venir buter, tantôt contre ma queue ou mes couilles. A plusieurs reprise, nous sentons la pointe de sa verge venir se glisser entre ma queue et l’entrée de la moule de ma mère. Son liquide séminal jute sur nos chairs et sa verge s’imprègne des fluides de notre jouissance.

Ma mère secoue sa tête en signe de refus. Elle baisse ses hanches sur ma queue pour qu’il ne puisse rentrer dans son paradis déjà occuper par ma queue qui extraordinairement reste rigide.
Tout à coup ma mère pousse un gros râle en relevant sa tête.
J’ai senti une poussée contre ses fesses. Je me demande qu’est-ce qui a provoqué cette poussée. J’ai eu rapidement la réponse en sentant la verge de Jax comprimer ma queue à travers la paroi qui sépare le vagin et le boyau de ma mère.

Le problème est que Jax n’est pas dans le bon trou. Il a enfoncé sa verge dans son cul. Je me suis figé un instant sans savoir quoi faire. Il pousse et repousse sa verge dans son trou de balle serré. Ce n’est pas quelque chose à quoi je m’attendais.
Je regarde le visage de ma mère d’un air interrogateur. Elle ne paraît plus souffrir.

Son regard capte le mien, alors elle me souffle entre deux râles.
– J’ai déjà eu des relations sexuelles anales, avec ton père. Mais, là ! C’est très différent, avec ta queue en moi ?
Je reste juste immobile et je laisse Jax pilonner son cul. En fait, ça commence à me faire du bien. Je bande encore plus dur de sentir la verge frotter contre ma queue.
Je me demande ce que ça fera lorsqu’il jouira dans ses entrailles. Sa verge est maintenant très profondément en elle et j’en profite. Brusquement, il pousse un coup plus fort et je sens son nœud s’enfoncer en elle. Je sens ma queue encore plus comprimée dans la grotte de ma mère.

L’autre fois dans le salon, il l’avait enfoncé dans sa chatte et ils avaient été liés pendant un bon quart d’heure. Il avait fini par rétrécir et ça lui à fait un peu mal, lorsqu’il est ressorti. Maintenant, il lui a mis son nœud dans son cul.

Jax a arrêté de caresser ma bite en elle, il s’est immobilisé. Je peux sentir son nœud gonfler en elle. Je sens à présent une chaleur commencer à se répandre au plus profond de ses entrailles. Il a dû commencer à jouir dans le ventre de ma mère.
Je la regarde jouir sous l’effet de cette chaleur intérieur. De la voir jouir ainsi, je ne résiste pas. Moi aussi, je jouis dans sa grotte d’amour. Nous jouissons tous les trois de concert.

Nous sommes restés un bon moment imbriqué ensemble sur le lit. Jax se retourne sur le dos de ma mère pour se mettre cul à cul avec elle. Une de ses pattes m’a griffée la cuisse gauche.
Ayant compris la raison de la manœuvre, je passe mes deux mains entre Jax et les fesses de ma mère. Je les écarte pour faciliter le désaccouplement des deux amants liés.

Elle me regarde ravi de mon initiative. Elle me roule une pelle en guise de remerciement.
Après, quelques tentatives, la verge avec sa protubérance un peu dégonflée sort de sa prison anale.
Un fleuve chaud inonde ma queue ramollie et mes burnes ainsi que le haut de mes cuisses et le lit.
Ma mère se décolle de ma bouche et se glisse le long de mon corps. Elle se retrouve avec les genoux au sol contre le bord du lit. Elle lèche ma queue et mes burnes souillées de nos jouissances à tous les trois.

Je la vois pousser des râles de plaisir ? En me relevant sur mes coudes, je comprends mieux ce qui provoque ses râles de plaisir. Jax lui lèche ses parties intimes souillées.
Après un long et bon nettoyage de langue, nous allons tous les deux prendre une bonne douche.

Nous sommes tous les deux nus dans la salle de bain. Je n’y tiens plus, je me lâche.
– Oh ! Merci maman ! Je n’avais jamais autant joui ? Mais, n’est-ce pas répréhensible ce que nous avons fait. Je crois, que je suis encore plus amoureux de toi. Aucune de mes copines ne pourra égaler le plaisir que tu m’a donné.
– Écoute jean ! J’ai perdu la tête en voyant ta queue bander. Je n’ai pas fait l’amour depuis deux ans. L’autre jour, lorsque ton débiteur m’a fait saillir par Jax, ça a réveillé ma libido endormit.
– Que tu m’aimes encore plus, j’en suis doublement heureuse. Je t’aime aussi bien plus qu’avant. Tu vas remplacer ton père, tu vas faire ses devoirs conjugaux à sa place.

Là, je ne sais plus que répondre. Une question me vient subitement à l’esprit.
– Lorsque Jax t’a sodomisé, tu ne t’es pas dérobé. C’est la première fois que je baisais une femme en double.
– Lorsque Jax est monté sur le lit et qu’il a léché ma moule avec ta queue à l’intérieur. J’ai joui énormément. Mais, quand il met monté sur le dos, j’ai eu peur, qu’il arrive à enfoncer sa verge avec la tienne dans mon vagin.
– Au moment où je l’ai senti pousser sur mon anus. J’ai essayé de le détendre alors qu’il poussait fort. Il s’est enfoncé dans mon boyau d’un coup et a commencé à me saillir. Je suppose que mon trou du cul s’est involontairement suffisamment détendu parce que j’ai senti son nœud entrer en moi plus facilement.

– Le nœud de Jax était maintenant complètement gonflé à l’intérieur de mon cul et il me semblait énorme avec ta queue dans mon puits d’amour. Il m’avait sodomisé et nous étions à présent liés tous les trois. Il n’y avait plus aucun moyen, qu’il puisse le retirer dans son état actuel, tant qu’il n’avait pas déversé sa semence en moi. Nous ne pouvions rien faire d’autre qu’attendre.

– Nous avons eu tous les trois beaucoup de plaisir. Je ne suis pas contre de le refaire avec vous deux. Avec toi seul aussi. Je suis votre femelle à tous les deux mes chéris. Ma mère s’offre à mes yeux, c’est comme dans mes rêves les plus fous, mieux encore.
– Mon fils, je dois te remercier moi aussi pour ce plaisir que tu m’as donné avec cette bite que tu as ! c’est la première fois que j’ai une si grosse queue pour moi !

Le soir après le souper, Jean se retrouve face à sa mère dans le couloir qui mène aux chambres.
Elle se colle à lui et lui demande.
– Maintenant, c’est ton tour de faire quelque chose pour ta mère mon fils.
– Faire quoi maman ?
– Je veux que tu me sodomises !
– Tu es sûr maman ?
– Oui mon fils ! J’ai envie que tu mélanges ton sperme au restant de la semence de Jax dans mon ventre.
– De prendre un si beau cul ? Tu fais de moi, l’homme le plus heureux du monde.
– Tout d’abord mon fils, je veux sucer ta queue ! Car je l’adore !

Immédiatement, elle pousse Jean dans une chambre. Elle le couche sur le dos, et lui retire son pantalon qu’accompagne son caleçon. Elle enlève sa robe qui recouvre son corps nu. La queue de Jean se redresse tout de suite. Elle prend sa queue en main et commence à le branler. Les premiers râles s’échappent de la bouche de son fils. Elle se penche et la prend en bouche, son fils est aux anges.

Après quelques minutes de fellation, il est très excité. Pendant qu’elle le suce, il prend ses seins dans les mains, et ça l’excite encore plus. Elle sent qu’il ne va pas tarder à jouir. C’est en effet ce qui se passe. Elle accélère volontairement les mouvements de sa bouche en y mettant tout son savoir-faire et bientôt, heureuse, elle le sent venir.

Il jouit, elle sent la giclée de son sperme chaud inonder sa bouche, qu’elle avale avec délice. Il lui envoie plusieurs giclées de sperme dans sa bouche. Elle ne peut pas tout avaler. Alors, ça dégouline un peu sur le bord de ses lèvres. Elle lui lèche la queue pour nettoyer les dernières traces de son sperme.
– OH ! Maman c’est très bon ! Comme tu me suces bien !
– C’est ton sperme qui est bon mon fils. Merci beaucoup mon amour, profite bien du cul de la femelle de l’appartement.
Qu’elle proclame en ce mettant en levrette avec les genoux au bord du lit. Elle tend ses fesses à Jean.

Le cul en l’air, son fils la saisit par les hanches. Elle sent sa grosse queue qui glisse entre ses deux lobes. Elle sent son gland appuyer sur l’entrée de son trou de balle. Elle me retient de le supplier à l’enculer tout de suite. Son fils pousse plus fort et encule sa mère, qui croit défaillir de bonheur en râlant de satisfaction.

Alors, Jean clame.
– Waouh ! Je suis rentré comme dans ta moule. Ton cul était bien rodé par Jax ? Tu la sens quand même ma queue dans ton trou maman ?
– OH ! Oui, mon fils ! j’aime bien ta queue dans mon cul ! Elle est meilleure que celle de ton père.
Sur ses mots, il la sodomise le cul sans ménagement.
– Maman ? Il est bonne ta turbine à chocolat. J’espère que je te fais du bien ?
– Oh ! oui, ça me fait le plus grand bien, tu ne vas pas tarder à me faire jouir par là ?
Ils sont dans un tourbillon de pure sensualité incestueuse. Mère et fils se déchaînent sans aucune retenue, le fils sodomise le cul de sa mère déjà bien roder.

Elle commence à jouir en laissant échapper un léger râle. Jean continue de l’enculer pendant plusieurs minutes. En bon baiseur, il s’immobilise régulièrement afin de faire durer le plaisir. Soudain, ses doigts s’incrustent dans les hanches de sa mère. Il s’enfonce au maximum dans mon boyau. Il râle en explosant et déversant sa jouissance en nombreux jets au plus profond des entrailles de sa mère. Elle jouit aussi d’un puissant orgasme ?

Il se colle sur son dos, il l’embrasse dans le coup, lui mordille une oreille en serrant ses seins à pleine main. Il reste un moment enfoncé le temps de débander. Elle apprécie ce moment magique. Elle est aux anges, heureuse que son fils chéri la fasse plus jouir que le faisait son père. Il le remplace à merveille.

C’est son fils à elle et elle proclame.
– C’est la meilleure baise que j’aie jamais eue avec ton père. J’espère que tu as aimé ça ? Et que tu as pris beaucoup de plaisir ?
– Oh ! Oui maman ! Merci de m’avoir fait te sodomiser !
– Mon fils ? Je dois te remercier, moi aussi pour le plaisir, que tu m’as donné avec la queue que tu as ! Elle est vraiment plus imposante que la seule que j’ai connue. C’est celle de ton père.

La queue molle, il se retire des reins de sa mère. Il n’a pas le temps de réagir, que Jax passe entre ses jambes et vient lécher la raie des fesses de la mère. Il lape le jus d’homme que l’anus de sa maîtresse rejette spasmodiquement. Comme sa langue remonte du clitoris en écartant les lèvres de la moule, jusqu’au trou de balle.

Elle ne tarde à jouir d’un bel orgasme. Après, encore un autre petit orgasme, Jean repousse Jax hors de la chambre.
Elle reprend son souffle et en redescendant de son extase à la réalité. Elle proclame en se retournant vers son fils.
– Voilà ! Vous avez à la maison, une femelle à votre disposition, pour toi mon fils et Jax. Je suis votre femelle à tous les deux et même ensemble si tu en as envie.

Sam Botte

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