LE CAID EST DE RETOUR
A présent, ma mère aime porter une robe sans rien dessous. Quand nous sommes seuls, elle fait exprès se pencher me laissant voir ses trésors. Alors, elle m’adresse des clins d’œils en se relevant. Avec l’attirance que je ressens pour elle, cela se termine toujours par une baise intense.
L’autre jour, elle remarque que la vue de sa croupe me fait bander. Elle se retourne et se met à
me la sucer. Je suis ravi de voir ma mère me pomper la queue.
Brigitte se redresse et m’embrasse.
– Tu veux bien me lécher la chatte s’il te plaît mon chéri ?
– Bien sûr maman.
Elle s’assoit sur le canapé en s’écartant ses cuisses. Je m’agenouille entre ses jambes, et je me mets à manger la chatte de ma mère. Le goût est exquis. Elle pousse des cris de jouissances. Je me mets à quatre pattes entre ses jambes, pour avoir un meilleur appui. Brigitte voit Jax entrer dans le salon. Elle remarque qu’il est en érection. Sa verge est bien dure. Alors, elle met ses jambes autour du torse de Jean pour bien le retenir. Je ne me doute de rien et je bouffe la moule de ma mère avec entrain. Tout à mon léchage de moule, je ne vois rien venir.
Soudain, Jax saute sur mon dos. Au contact de sa fourrure, je sais que je me fais monter par notre chien. Il enserre ma taille entre ses pattes avant.
– Lâche-moi Jax ! Je ne suis pas une femelle ! Lâche-moi ! Merde maman, aide-moi ?
Elle ne dit rien. Elle regarde avec satisfaction, Jax essayer de sodomiser son fils. Jax fait des mouvements de va-et-vient.
Je sens la verge de Jax butter entre mes fesses. J’essaye de me débattre et de me débarrasser de Jax Mais, ma mère resserre ses cuisses autour de mon torse. Jax serre aussi ses pattes avant sur mes hanches. Rien à faire, ils me maintiennent bien.
Oh ! Merde ! Je sens la pointe de la verge de Jax forcer l’entrée de mes reins.
En une fraction de seconde, la verge s’enfonce dans mon rectum. Après, quelques va-et-vient dans mon boyau, je sens son bulbe forcé sur mon trou de balle.
Je crie d’angoisse et de peur, à chaque coup de rein, que donne Jax pour faire entrer son bulbe dans mon boyau.
Comme je ne bouffe plus sa moule, ma mère libère mon torse de ses jambes. Elle se glisse sur le côté et je me retrouve les épaules sur le bord du canapé. Elle passe une main dans mes cheveux. – Chacun son tour mon chéri !
Je la regarde et me détends une seconde, et c’est à ce moment-là que Jax entre son bulbe dans mon boyau.
Elle s’agenouille à côté de moi. Passe une main entre ma fesse et Jax. Elle s’assure que le bulbe est bien entré dans mon boyau. Elle attrape ma queue et me masturbe doucement.
Elle me donne une bise sur l’oreille et me susurre.
– Tu aimes ça mon chéri ? N’est-ce pas !
Et moi, je jouis dans sa main.
Je ne dis rein. Je suis trop occupé à me faire enculer par Jax. Mon anus se dilate et je commence à apprécier de me faire enculer par Jax. Je sens la semence chaude de Jax répandre dans mon ventre. A chaque fois qu’il donne un coup de rein, un peu de sa semence coule sur mes cuisses.
Son bulbe grossit et la douleur se fait sentir.
– Tu as bien pris son bulbe dans ton cul. Mon chéri, tu vas être lié avec la verge de Jax dans ton derrière, pendant au moins trente minutes.
– Trente minutes ! Merde ! Maman, c’est long.
Au bout de dix minutes, elle me fait remarquer que je bande de nouveau.
– Dit donc ? Mon chéri ! Je vois que tu aimes te faire enculer par Jax ?
Le fait d’être verrouillé avec la verge de Jax et d’avoir son bulbe qui me distend le rectum m’excite donc. Elle se couche à mon côté sur le tapis ? Elle glisse sa tête sous mon ventre et gobe ma queue. Elle me la suce et la tète, pendant les vingt minutes que je suis lié avec Jax. Exceptionnellement, je lui inonde la bouche deux fois.
Jax tente de se libérer, mais nous sommes bien liés. Ce mouvement me fait jouir dans la gorge de ma mère. Mais, la quantité est dérisoire. Lorsqu’il sort enfin de mon trou de balle avec un bruit de succion. Une quantité de semence souille le front et la chevelure de Brigitte.
– Tu as bien senti ce que je ressens lorsque nous baisons tous les trois. Et que c’est moi qu’il sodomise. La prochaine fois, ce seras toi qui seras au-dessus de moi.
J’ai repris les cours de mécanique au lycée.
Juste après, le repas de midi. On sonne à la porte de l’appartement. Brigitte, la mère va ouvrir ?
C’est Ahmed le créditeur de Jean son fils qui ne joue plus au poker entre les cours.
Il est accompagné de trois acolytes. Il pousse Brigitte et ils rentrent tous les quatre dans l’appartement.
– Alors ma chienne ! Ton rejeton est au lycée ?
Brigitte pousse un cri de surprise et de refus.
– Que voulez-vous ? Jean ne vous doit plus rien !
Ahmed tend son smartphone devant le visage de Brigitte.
– Tiens ! Regarde comme tu es heureuse quand tu es la femelle de ton chien. Elle ouvre grand les yeux devant le défilement des images.
Rien n’aurait pu la préparer à la honte, qu’elle ressent en regardant les photos et la vidéo.
– Tu veux que je répande cette vidéo avec les photos de ta saillie dans tout le quartier ?
Elle fait non de la tête. Elle sait qu’à présent, sa vie est entre les mains Ahmed, et qu’il ne veut qu’une chose, sa complète soumission.
Cependant, Brigitte sort de ses gonds en le provoquant, qu’espère-t-elle en agissant ainsi ?
– Mais ! Merde ! pour qui tu te prends ? Tu n’es pas dans ta cité ici !
– Justement ! on vient te baiser ! Allez-y les gars, montrez lui avec ce qu’on va la baiser.
Labib vient d’ouvrir sa braguette pour en extraire une verge à demi bandée d’une largeur exceptionnelle, Jafar lui emboîte le pas et exhibe un long manche.
– Baisez cette pute, je vous regarde
– Le premier qui avance je lui arrache les yeux ! S’exclame Brigitte.
Brigitte bat des bras, toutes griffes dehors telle une panthère. C’est sans compter sur la force herculéenne de Labib qui la ceinture et lui ramène d’une seule main ses deux poignets derrière le dos, jusqu’à ce qu’elle hurle de douleur.
Jafar fait face à Brigitte et lui insère de force une jambe entre les genoux l’obligeant à ouvrir les cuisses. Ainsi maîtrisée, elle semble s’alanguir, celui de derrière libère ses cheveux blonds qui tombent sur ses épaules. Ahmed sort un cran d’arrêt de sa poche et l’ouvre. Il fait sauter les boutons de la robe de Brigitte, les uns après les autres. Kamal, les mains jointes, savoure la vision de ses seins libres.
Les garçons se partagent les seins, les tétons dressés ne mentent pas. Elle aime être dominée. Cette incursion forcée, réalise un de ses vieux fantasmes. Kamal se touche le membre à travers le pantalon en appréciant cette situation qui devient scabreuse.
– Regardez ! comme elle apprécie cette salope ?
– En tout cas, je bande, pour elle !
– Laissez-moi avant qu’il ne soit trop tard, je vais la police !
– Oui ! Appel la police ? Ils seront contents de voir, te faire monter par ton chien.
Brigitte, les yeux chavirés cherchent du regard un soutien. Plus, elle se débat plus ses parties intimes sont en contact avec les hommes. Vaincue, elle se laisse toucher en écartant même, les pieds pour laisser son entrejambe accessible. Elle laisse Labib manipulé son poignet pour aller vers la queue. Ses doigts se resserrent instinctivement sur le membre raide.
Brigitte se laisse malaxer la moule, tandis que sa main branle instinctivement la queue de Labib.
– Ahmed ? Tu ne nous as pas menti, elle mouille cette pouffiasse, regarde nos doigts sont trempés !
– En tout cas, elle me masturbe bien cette pute ! ARRÊTE ! sinon je vais décharger dans tes doigts !
– Tu ne trouves pas, qu’elle devient moins rebelle ? j’aime sa chatte bien épilée.
Il passe deux doigte entre les lèvres de sa moule et ?
– Mais ? C’est quoi cette ficelle ? Elle a ses ours ?
– Tire dessus pour voir ?
– Merde alors ! des boules de geisha !
– Pourquoi tu portes ce genre de truc pouffiasse et à quoi ça sert ?
Brigitte baisse la tête et répond timidement.
– EUH ? Depuis quelques jours, je teste ça pendant qu’il me sodomise.
Murmure Brigitte en désignant de la tête, Jax qui est le balcon.
– A l’intérieur de la boule une bille en acier virevolte dès qu’il me sodomise, provoquant des vibrations torrides dans mon vagin. Ça me fait jouir intensément.
– La salope ! Elle continue de s’envoyer en l’air avec son chien ! Elle aime ça la salope ! baisez-la les gars !
Brigitte tend son ventre au maximum en avant, afin d’offrir sa grotte à Jafar dont la queue est à l’horizontale. Sans attendre, il cherche l’entrée de sa moule et la pénètre totalement d’une seule poussée. Elle accueille sa queue dans un râle de satisfaction indécent. Labib la soutient tout en lui tordant les bouts de seins.
– Regarde comme elle apprécie la trique ! Il lui en faut au moins deux
– Elle est à nous cette pouffiasse
Ahmed voit que Brigitte va jouir. Il s’approche et lui roule une pelle intense. Leurs langues se mélangent, ainsi que leur salive. Elle déverse sa jouissance dans la bouche d’Ahmed.
– Pour continuer, Labib, tu te couches sur le canapé et elle va s’allonger sur toi pour pouvoir la prendre en double avec Kamal. Moi, je me ferai sucer !
Dès que Jafar a fini de lui remplir son puits d’amour. Brigitte la moule bien grasse vient s’empaler sur le braquemart de Labib.
Ahmed demande à Brigitte.
– Tu es bien assise sur son nœud pouffiasse ?
– Oh ! Oui ! Bien à fond, j’aime !
– Penche-toi sur lui, montre nous ton trou de balle ?
– Oui ! Comme ça ?
– Là ! C’est bien ! clame Kamal.
Il ajuste son angle de tir et pousse jusqu’à ce que sa queue disparaisse. Brigitte râle, elle se garde bien de pousser le moindre cri de plaisir. Les garçons sont très excités par le seul fait que leurs bites frottent l’une sur l’autre. Cette position est très excitante et Labib coincé et moins libre de ses mouvements décharge dans les quatre minutes. Ensuite, sa queue molle glisse rapidement du vagin inondé qui se vide sur son pubis. Kamal en profite pour la sodomiser à son rythme, à tel point qu’Ahmed a de la peine à rester dans la bouche de Brigitte.
Dans son délire de jouissance, elle avale et aspire en tétant la queue d’Ahmed. Il lui remplit la gorge en jouissant le visage déformé par la jouissance. Lorsqu’il s’est vidé les couilles, Ahmed proclame.
– Lorsque, nous nous serons suffisamment dégorgés le poireau, nous t’emmenons !
En fin de l’après midi, après l’avoir tringlé dans tous ses puits d’amour et juste avant que Jean rentre du lycée.
Ahmed attrape Brigitte par le bras, la traîne dans sa chambre et lui demande d’un ton froid et sec.
– Prépare un sac avec tes tenues de salope. String, bas, etc !
Elle a peur, cela se voit. Elle lui proclame de n’avoir rien de ce genre. De colère, Ahmed lui balance une grande claque sur ses seins.
Soudain, on sonne à la porte.
– Rentres, je suis avec la pouffiasse.
C’est Muti le frère d’Ahmed. Il l’attendait, car c’est lui qui a une voiture spacieuse.
Nue sous une lègére robe de chambre, Brigitte est descendue de son immeuble et poussée dans la voiture de Muti. Elle se retrouve à l’arrière entre Labib et Kamal.
Sam Botte
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