OU EST BRIGITTE ?
Jean rentre du lycée. Il est étonné de ne pas voir sa mère dans le salon.
– Maman ?
Il la cherche dans toutes les pièces. Il ouvre la baie vitrée du balcon pour que Jax la retrouve si elle est cachée.
Au bout d’un quart d’heure, que se rend compte, que sa mère n’est pas dans l’appartement.
En début de soirée, il se demande où est-ce qu’elle peut être ? Elle n’a jamais été absente aussi longtemps. Jean espère la revoir le plus tôt possible.
Il mange un peu et part se coucher, pour la nuit qui s’annonce longue dans son inquiétude.
Il est réveillé vers trois heures du matin par un SMS.
Jean prend son portable, il s’agit d’Ahmed, qui lui envoie un message accompagné d’une photo.
Il lit le message : Ta mère est à moi pour quelque temps, tu la récupéreras, quand elle aura décidé de changer et qu’elle sera devenue une vraie pouffiasse. Regarde la photo ?
Il ouvre la photo.
Il s’agit de sa mère, nue sur le sol. Les fesses rougies et couvertes de sperme.
Juste après, un autre SMS arrive.
C’est vraiment une grosse salope, on s’en sert bien, elle nous vide bien, une vraie chienne, du coup, on la garde encore un peu plus.
Jean fond en larmes devant son portable. Il envoie une réponse à Ahmed, qui lui demande de lui rendre sa mère.

La réponse arrive rapidement : Tu verras bien, je te préviens quand elle sera libre.
Jean se met à pleurer seul dans son lit, en se condamnant que c’est de sa faute.
Il va attendre dans l’appartement, toute la journée des nouvelles. C’est en revenant de la boulangerie, qu’il va en avoir un peu.
A l’entrée de sa résidence, un acolyte d’Ahmed, se présente à lui ?
Il lui clame qu’il est épuisé. Il lui dit aussi qu’elle épuise aussi les autres et qu’ils ne veulent pas perdre un si bon dégorgeoir à queue.
– Elle nous épuise, un vrai trou sans fond, on a beau la remplir, on n’en voit jamais la fin.
On est en train de faire de ta mère, une salope à rebeu. On t’enverras de temps en temps des photos d’elle ? Afin que tu ne l’oublies pas.
Jean lui rétorque qu’il va aller voir la police. L’acolyte lui répond d’un air sûr de lui.
- Fait ça ? Mais, tu ne sais pas où elle est et si la police commence à nous poser des problèmes, on se débarrasse d’elle en l’envoyant au bled. Avec ses atouts, elle ne manquera pas clients.
Il rigole et tourne les talons et s’en va.
Jean décide de le suivre discrètement. Il se précipite pour sortir son scooter. Il a juste le temps de voir l’acolyte d’Ahmed enfourcher le sien. Jean le suis de loin pour ne pas éveiller les soupçons.
Il parcourt environ deux kilomètres avant de rentrer dans une autre cité. Il le voit de loin disparaître dans l’entrée d’un sous-sol d’une tour.
A la vue des nombreux jeunes devant l’entrée de la tour. Jean décide alors de retourner chez lui. Il se dit qu’il reviendra ce soir et qu’il y aura moins de monde dehors.
Le soir venu, il s’habille de vêtements sombres et prend la direction de la cité.
Arrivé sur place, il tourne discrètement, jusqu’au moment où il remarque deux jeunes se dirige comme d’autres avant eux, vers une entrée de cave.
Jean les suis de loin. Il rentre dans un couloir et se dirige vers une porte éclairée.
Il passe la tête dans l’entrée de la cave ou trône une table au milieu. Les deux jeunes sont assis sur un canapé bien défraîchit, devant un matelas posé au sol.
Ils le voient et lui demandent ce qu’il fait là et se qu’il veut en faite.
– J’ai entendu une rumeur sur cette cave, alors ?
- Nous aussi, on est venue voir la grosse pute de la cité, mais je pense qu’elle est déjà partie.
Jean est horrifié, c’est sûrement de sa mère qu’ils parlent. Il leur pose quelques questions.
- Qui est cette femme, d’où vient-elle, elle vient souvent ?
Le plus vieux lui répond.
- Cela fait deux jours qu’Ahmed et Muti emmènent une bourge se faire saillir par tous les potes du quartier. Elle encaisse fort, car ils y vont violemment.
Jean est inquiet, il rentre chez lui, encore plus dépiter qu’avant. Il a peur de ce qui va encore arriver à sa mère.
Vers minuit, il reçoit un SMS additionné d’une photo, suivis de trois autres.
Sur la première, il voit sa mère prise en sandwich entre deux arabes. Sur la seconde, on y voit leurs énormes deux queues qui sont une dans sa moule et l’autre dans son cul.
Sur la troisième, elle est la tête sur le matelas et a les fesses en l’air. On y voit ses deux puits d’amour bien ouverts, d’où s’écoule le sperme de ses visiteurs.
La dernière, montre Brigitte la bouche grande ouverte avec le bout d’une bite posée sur sa lèvre inférieur. On peut voir aussi, que sa bouche est pleine de sperme.

Le lendemain, Jean se force à retourner au lycée.
A l’entrée du lycée, Ahmed et Kamal sont là. Jean va à leur rencontre, mais avant qu’il ouvre la bouche, Ahmed prend la parole.
- Salut Jean le mauvais perdant ! Je ne veux pas t’entendre te plaindre au sujet de ta mère. Nous ne l’avons plus à la cité. Elle est partie avec mon frère Muti en Belgique.
– Comment ça ? En Belgique et pourquoi.
– On l’a bien exploité comme une pute dans la cité. Elle nous a rapporté beaucoup fric, tu sais. Tu ne me doit plus rien.
– Ta mère est une vraie chienne, elle en voulait encore et encore. Du coup, on a fait payer la passe. Et il y en avait du monde, toujours plus. Il y a eu des fois plus d’une trentaine dans une journée. Et pourtant, cela ne lui suffisait pas. Voyant cela, Muti a décidé de la confier notre oncle qui a un réseau de pute vers Bruxelles. On va gagner un peu plus de fric.
Jean n’en croit pas ses oreilles. Devant sa tête d’ahuri, Ahmed enfonce le clou.
- Je t’envoie une vidéo de ces exploits, tu vas te rendre compte que je dis vrai !
Aussitôt, Jean reçoit par mail une vidéo, qu’il précipite d’ouvrir en leur présence.
Sa mère est sur un chevalet de soumission dans une salle vide. Il y a au moins une trentaine de personnes autours. Elle semble avoir perdu du poids ?
Ahmed, lui ’explique qu’elle a été nourrie que de sperme, c’était pour lui faire aimer le sexe au début de sa soumission.
Elle est à genou, les jambes ouvertes sur le chevalet, elle est sale. Les pointes de ses seins sont munie de pinces additionnées d’un petit poids. La raie de fesses est recouverte de foutre. Son trou de balle est très dilaté. Sa moule ne ressemble plus à une vulve, les lèvres pendent et son puits est béant.
La vidéo trop longue, Jean est écœuré par ce qu’il y voit. Des types lui pissent dans sa bouche ouverte pendant que d’autres la baise. Ensuite, un affreux se fait faire une pipe avec un sexe, qui lui déforme la mâchoire. Le pire dans tout ça, c’est que l’on a l’impression qu’elle apprécie, elle ne fait aucun geste brusque de retrait.
Jean est en colère. Proclame à Ahmed qu’avec cette vidéo pour preuve, il va aller chez les flics et portez plainte pour viol et séquestration. Qu’il va les dénoncer pour kidnapping !
Ahmed inquiet s’insurge.
- Attend quelques jours, je vais faire le nécessaire pour la faire revenir, je vais expliquer ça à mon frère Muti et je tiens au parfum.
Sans un mot de plus, ils rentrent dans le lycée pour suivre les cours.
Après avoir réfléchi, Jean décide d’attendre quelques jours avant de porter plaintes.
Cela fait une semaine que Jean a eu la promesse d’Ahmed de lui rendre sa mère. Pourtant, il n’a plus de nouvelles vidéos de sa mère.
En rentrant du lycée à la tomber du jour. Jean voit de la lumière aux fenêtres de l’appartement ? Il se précipite, rentre comme un fou dans l’appartement. Sa mère adorée est là, entourée d’Ahmed, Muti, Kamal, ses bourreaux.
Jean embrasse sa mère longtemps, ensuite, il se détache d’elle pour mieux la voir. Elle est méconnaissable, les traits fatigués. Elle est habillée comme pute d’abattage. Elle a perdu pas loin de vingt kilos.
Jean lui demande si ça va. Elle lui répond tendrement en regardant par intermittence Ahmed.
– Je vais bien, je me suis découverte, j’ai assouvi mes envies, j’ai aimé ce traitement.
Jean a l’impression qu’elle récite un monologue imposé.
Sur cette réponse, Ahmed et les deux autres s’en vont sans un mot.
Jean se retrouve enfin seul avec sa mère chérie. Ils s’embrassent d’amour, en se serrant l’un contre l’autre. Il prend l’initiative d’aller lui faire couler un bain.
Il l’accompagne dans la salle de bain. L’aide à se dévêtir et là horreur. C’est deux hanches sont zébrées de griffures rouges.
– Qu’est-ce qu’ils t’ont fait pour que tu aies ça ?
– Oh ! Ça ce n’est rien ! La veille de me ramener ici, j’ai passé la journée dans un chenil. Une multitude de chiens mon sailli pendant qu’ils nous filmaient. J’étais toujours prise par deux à la fois. Un me prenait dans un de mes puits d’amour, durant qu’un autre me baisait par la bouche. Après ce jour, je ne voulais plus quitter le chenil. Je n’ai jamais autant joui que ce jour-là.
Jean lui prose de commander un dîner. Elle lui répond, qu’elle n’a pas assé faim pour dîner. Brigitte regarde amoureusement Jax sur le balcon. Ils se mettent au lit et ils s’endorment rapidement. En pleine nuit, Jean est réveillé, par des aboiements de Jax ? Brigitte n’est plus dans le lit. Pensant qu’Ahmed est revenu lui enlevé sa mère. Il s’habille et prend la direction de la cité.
Arrivé devant la cave, il y a de la lumière, il rentre et là, surprise. Brigitte, entourée de quelques types qui la baise sans ménagement. Jean crie son désarroi et à sa surprise, elle se tourne vers son fils et proclame.
- Mon chéri, laisse-moi prendre mon plaisir, j’en ai besoin. Je suis devenue comme ça. Il va falloir l’accepter. J’ai besoin de ma dose de sperme, j’ai envie de me sentir remplie, j’aime que l’on me brutalise, que l’on me pisse dans le corps, que l’on me salisse. Je suis une soumise heureuse.
Un arabe avec l’air méchant le fait asseoir dans un coin du canapé tout défraîchi. Il regarde sa mère tendre les bras aux hommes présents pour qu’ils la baisent encore. Elle se prend des bites dans ses puits d’amour. On lui crache dans la bouche, on lui pisse dans sa chatte ainsi que dans son boyau ainsi que dans sa gorge. On la gifle, la pince et elle aime ça. Jean écœuré, ne veut plus voir ça et il décide de rentrer. Elle rentre au petit matin, couverte de bleues, salle et elle pue. Elle lui roule une pelle avec des relents de sperme. Souillée, elle va se coucher comme ça.
Ce matin, Jean ne va pas au lycée, il va rester avec elle afin d’avoir une discussion.
Elle se réveille vers quinze heures. Elle prend une douche rapidement et rejoint son fils au salon.
Elle s’assoit dans le canapé et proclame en tapotant avec sa main sur le canapé.
- Assis toi là ! mon chéri, il faut que l’on parle.
Jean se met à côté d’elle sur le canapé à l’écoute de sa mère.
- Pour commencer, merci mon chéri ! Ta dette de poker à Ahmed à contribuer à me transformer. Ahmed m’a fait découvrir mes envies refouler. Il m’a fait découvrir ici devant toi la zoophilie avec Jax. J’aime ce que j’ai subi et j’en ai besoin, j’étais une soumise refoulée avec ton père. On va passer un marché. On reste ensemble tous les trois, car je vous aime énormément. On continuera à baiser tous les trois ensemble, cependant, j’ai aussi, besoin de sexe en grosse quantité, donc le soir, il faut me laisser assouvir mes envies. Si je sors, soit tu m’accompagnes sans rien dire, soit tu restes ici. Si tu es d’accord, on reprend notre vie presque normalement.
Jean est horrifié par cette proposition, mais il aime sa mère plus que tout et il fera tout pour qu’elle soit heureuse. Donc, il accepte la situation, avec une certaine désolation.
Cela fait maintenant six mois que cette situation dure. Quasiment tous les soirs Brigitte sort pour prendre sa dose de sperme. Avec la quantité impressionnante de sperme qu’elle prend, elle a réussi à se faire foutre en cloque. Elle est à présent en enceinte de sept mois et demi et elle continue à aller se faire défoncer comme une truie par des dizaines de mecs de toutes ethnies dans les caves. Un matin, elle est revenue avec une très grosse liasse de billets et avec des traces de griffures sur ses hanches.
Cela fait deux mois qu’elle ne fait plus l’amour avec son fils et son Jax.
Jean ne sait pas encore comment, va se passer leur vie, quand le bébé sera là. Par contre, depuis qu’elle a son gros ventre, elle a encore plus de client qui viennent parfois de loin. Elle se fait baiser dans l’appartement le plus souvent maintenant. Heureusement, qu’il y a quelques voisins et voisines qui en profitent. Sinon, ils risqueraient d’êtres expulsés pour prostitution.
Enfin, le bébé vient de naître. C’est un garçon au tain basané. Brigitte reste à l’appartement, sans visite. C’est son fils et surtout Jax qui calme ses envies. Jax ne la combe pas suffisamment, elle désire acquérir un compagnon pour seconder Jax.
Alors, avec tout ce qu’elle a gagné durant sa grossesse et ses quelques extra canin. Elle achète un petit pavillon de banlieue.
Sam Botte
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