Brigitte récidive
Malgré deuxième accouchement et son âge, elle est encore superbe et même largement baisable. D’ailleurs, certains de mes copains de poker m’ont avoué, qu’ils pensent souvent à elle et qu’ils la baiseraient bien.
Aujourd’hui, je rentre exceptionnellement plus tôt à la maison. Les deux dernières heures de cours ont été annulées, faute de profs. Une voiture est garée devant notre nouvelle maison. Cela m’intrigue ? Nous habitons au font d’une impasse dans se quartier tranquille et, à ma connaissance, nous n’attendons personne. Je m’avance vers la fenêtre pour voir l’intérieur de la maison.
C’est avec étonnement que je vois dans le salon quatre hommes âgés d’environ trente ans, tranquillement assis sur le canapé en train de siroter des canette de bières. Ma mère est parmi eux et semble fortement apprécier leur compagnie. Ils sont basanés et maghrébins
Que font-ils ici ? Je ne dois plus rien à personne. A-t’elle reprit ses débordements de femme enceinte ? Je me refuse à cette idée.
Je vois maintenant ma mère, tout sourire, se lever de son fauteuil. Cette fois, à ses paroles, même avec la meilleure volonté du monde, plus aucun doute n’est permis. Avec un ton et un vocabulaire que je ne lui connaissais pas, ma mère les apostrophe rudement :
– Jean mon fils va se rentrer d’ici une bonne heure. Alors, il ne nous reste plus beaucoup de temps. Vous êtes bien venu pour me baiser ? Alors qu’est-ce qu’on attend ?
Sur ces paroles, elle déboutonne sa robe et la laisse choir à ses pieds. Comme elle ne porte pas de sous vêtement, elle est nue. Ses seins lourds captive tous les regards. Un des hommes s’approche d’elle et se met à lui palper ses seins.
Il lui pince les tétons et les fait rouler entre ses doigts en proclamant.
– Bordel, on peut dire que t’as toujours de beaux nichons.
– Au lieu de causer autant, tu ferais mieux de les téter avant mon fils.
A cette invitation, l’homme empoigne ses seins et se met à aspirer ses tétons entre ses dents. Il ne se prive pas de les mordiller. Ma mère semble apprécier vivement. Elle prend la tête de bonhomme et la presse contre sa poitrine.
La scène dure pas mal de temps et l’on peut voir des marques de succions orner ses seins.
A ce spectacle, les autres réclament.
– Il est temps qu’on te baise ! – Allez y les gars, vous savez bien ce que je vous ai dit. Je ne tiens pas à ce que mon fils découvre que j’ai remis ça !
– Il sait bien que t’es une vrai salope, qui aime faire la pute !
L’insulte ne semble pas choquer maman. Elle se face à eux en écartant ses jambes à présent. Les quatre hommes baissent leur pantalon et ma mère se met directement et fort consciencieusement au travail. Elle suce avec ardeur leurs grosses queues, leur arrachant des gémissements de jouissance. Sa langue lèche les glands et suce aussi les couilles de ses clients.
Ma mère se met à quatre pattes et avec un regard de femme en chaleur, elle quémande. – Prenez-moi ? Vos fils ont fait de moi, votre une pute ! Les hommes s’exécutent. Tandis, qu’elle pompe deux gars devant elle, un autre se met derrière. Il pose ses mains sur ses hanches et la pénètre. Il fait des va-et-vient de plus en plus rapides. Elle commence à jouir et il finit par éjaculer coller à ses fesses.
Un autre prend le relais. Il enfonce deux ou trois fois sa queue dans sa moule baveuse de son précédent visiteur. Il ressort sa queue de sa moule et avec un grand sourire, il lui écarte les deux fesses et l’encule. Ma mère prend visiblement son pied. Elle accompagne les mouvements de l’homme et commence à gémir de plaisir en hurlant. – Vas-y ! encule-moi, à fond la pute de ton fils ! ARARARFF ! OUOUIIIII ! BONONON !
L’homme crispe ses doigts dans les hanches de ma mère. Il doit lui remplir ses entrailles de sa jouissance.
– OUOU ! OUAAAAA ! C’est chaud ! C’est BONONON !
Après encore deux , trois va-et-vient, il se retire et passe le relais à un troisième gars.
Excité par les cris de ma mère, celui qu’elle suce lui met ses deux mains derrière la nuque. Il jouit dans sa bouche en râlant de plaisir. Elle l’aspire goulûment et avale toute sa jouissance sans en perdre une goutte. Cependant, elle participe aussi à sa sodomie, en ondulant ses hanches comme une chienne en chaleur.
L’homme ne tarde pas à se lâcher à son tour pour le plus grand plaisir de ma mère. Elle feule son plaisir de prendre une autre éjaculation dans ses entrailles. Elle baisse la tête, le temps qu’ l’homme sort de ses fesses après quelques va-et-vient. Ses deux puits d’amour dégoulinent de sperme et elle semble pleinement heureuse.
Soudain, on entend mon petit frère s’exprimer. En une fraction de seconde, l’expression de son visage change, ce n’est plus une femelle en rut, mais une mère de famille qui ramène le calme dans sa maison. – Bon, vous avez été super comme d’habitude, mais c’est l’heure du biberon ! Et mon autre fils ne va pas tarder.
Les gars se rhabillent. Avant de partir, l’un d’eux lui dit. – Mon fils a eu raison de faire de toi une kabha. Tu es une roumie qu’on baiserait par tous les trous, des heures durant !
Maman, toujours nue et semble prendre ces paroles comme un compliment embrasse l’homme avec passion. – C’est comme ça mon gars ! Ça me plaît de faire la pute. En plus, j’adore me faire baiser par plusieurs bonhommes à la fois ! La prochaine, vous me prendrez à trois ensemble ?
Je n’en crois pas mes oreilles. Planqué derrière la haie, je les regarde partir. Pour éviter une situation embarrassante avec ma mère, je décide de faire un petit tour dans le quartier, le temps qu’elle puisse se rendre plus présentable.
Une demi-heure plus tard, je rentre à la maison. A ma grande surprise, il ne reste aucune trace de sa fornication. Le salon est dans un état impeccable et ma mère est assise dans son fauteuil en donnant le biberon à mon petit frère. Elle est vêtue sa robe, tandis qu’une musique douce baigne la pièce d’un calme serein. Il y flotte les parfum de la présence de bâtons d’encens.
Bordel, l’encens ! Je viens de comprendre. Rien de tel pour faire disparaître les odeurs, toutes les odeurs. Le foutre, la bière, toutes les odeurs.
Comme à son habitude, ma mère m’accueille en m’embrassant. J’ai un léger mouvement de recul en repensant à sa bouche pleine de sperme de tout à l’heure. Mais, c’est absurde ! Je suis sûr qu’elle a dû se laver les dents.
Sam Botte
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