Ma Mère paye ma dette de jeu Chapitre 7

Brigitte et Ali

Lorsque j’ai parlé à Ali de l’invitation de ma mère. Il est d’accord surtout, qu’il m’a avoué qu’il a encore envie de la baiser, depuis la soirée poker. Mais, il impose son copain Abel qui nous rejoindra plus tard. Le rendez vous est pris pour le week-end.

En rentrant, il clame à ma mère. – Qu’est ce que tu es belle ! En voulant faire la bise, il lui prend la bouche pour l’embrasser fougueusement.
Je sers l’apéro, ma mère n’arrête pas de regarder la bosse, qu’a Ali sous son pantalon.
J’entends mon demi frère babiller. Je fait signe à ma mère que je m’en occupe. Je suis absent pendant une demi heure.
En revenant dans la salle à manger, Brigitte et Ali discute en sirotant un verre.
Ali me regarde d’une drôle de façon.

Je met de la musique douce et pour y mettre une l’atmosphère câline.
Ali se met debout en face de Brigitte qui regarde avec insistance sa braguette.
Alors, il sort son engin qui fait trente centimètres de long sur sept centimètres de diamètre environ. Il le gigote, il voit que ma mère est émerveillée, et il le lui met dans la main en lui disant. – Caresse le, tu vas aimer sa douceur et crois moi, il va te faire que du bien.

Elle le bien caressé, il se met a genoux devant elle et passe ses mains sous la robe de ma mère. Il lui caresse les cuisses pour monter jusqu’à sa grotte d’amour cachée dans un joli string. Alors, elle se débarrasse de sa robe et de son string pour nous montrer sa chatte luisante de mouille. Ali commence à la doigter, elle gémit de plaisir.

Je regarde les fesses d’Ali, elles sont superbes.
Il a du sentir mon regard. Il se retourne et me regarde en proclamant.
– Je sais que j’ai un beau cul ! Tu peux le caresser ! Ta mère m’a dit que, tu aimes bien te faire enculer par ton chien ! Alors, elle m’a demandé de tu faire goutter aux hommes. Rassure toi ça restera entre nous. Donc ! Va y, fait avec moi comme, tu le fais avec le cul de ta mère.

Alors là ? J’ai osé ce que je n’aurais jamais cru faire, pendant qu’il doigter ma mère, j’ai caressé ses fesses. Il a tendu ses fesses en forme d’invitation. Quand, il a commencé à branler le clito de ma mère, il dit.
– Vas-y caresse moi le cul et tu peux y rentrer un ou deux doigts.
Alors, j’ai osé caressé l’entrée de son anus avec mon majeur, pour le pousser dedans et faire des va-et-vient. Ils ont gémi tous les deux.
J’ai repris en main la soirée.
– On doit se rhabiller pour le dîner, car on va être livré dans une demi heure.

La soirée commence bien. Après la livraison du dîner. Nous avons grignoter rapidement. Ma mère a mis sa main dans la braguette d’Ali et elle ne voulait pas lâcher la bite d’Ali. Devant l’excitation de ma mère, je leur suggère de passer dans la chambre pour ne pas réveiller mon petit frère Léon.

Vite demandé vite fait. Nous voilà tous les trois nus dans la chambre. Ali se met derrière elle, avec sa queue le long de sa raie et il commence à masser ses gros seins.
Soudain, elle se retourne pour se mettre a genoux. Elle prend sa queue dans ses mains pour la caresser avec sa langue, la lécher et l’aspirer dans sa gorge.
– OH ! putain que c’est bon, tu es la meilleure roumie que je connais ! Proclame Ali.
Lorsque ma mère a aspiré le gland dans sa bouche. Ali commence à baiser sa bouche comme si c’était une chatte.
Je bande dur en l’entendant couiner et jouir sous les aspirations de la bouche de ma mère. Il va-et-vient jusqu’au fond de sa gorge.

Je le regarde masser ses beaux seins de ma mère tout en descendant entre ses cuisses et introduire des doigts dans sa moule. Il lui demande de se retourne à quatre pattes. Chose faite, il approche son gland de sa moule ruisselante. Il enfonce doucement sa queue dans le paradis de ma mère.
Je suis derrière lui et il se retourne, me regarde et proclame.
– Il te fait bander mon cul ? Vas-y ! je te l’offre comme tu m’offres ta mère
Je salive ma queue et son anus. Je pose mon gland contre son anus. Je prends une grande inspiration et je pousse ma queue devant moi. Je suis étonné de rentrer ma queue aussi facilement dans son cul.
C’est plus lui qui se fait enculer, car il recule ses fesses pour mieux s’empaler je suppose. Je reste là inerte planter au fond de son boyau. Mais, c’est lui qui fait tout le travail. Lorsqu’il s’enfonce dans la moule de ma mère, ma queue sort de son anus sans le gland. Lorsqu’il revient du fond de la grotte de ma mère, c’est au tour de ma queue de s’enfoncer dans son boyau.
Je n’aurais pas cru, qu’enculer un homme, ce soit aussi bon que d’enculer ma mère.
Nous voilà tous les trois entrain de gémir de plaisir.
Ma mère s’extériorise. – Je sens bien ta bite Ali, elle est bien dure ! vas-y défonces moi, ne t’arrêtes pas !
A chaque fois, que je lui donne un coup de bite, il s’enfonce au fond de sa grotte
– Je vais t’enculer comme ton fils, qui prend goût à me ramoner le boyau.
Il recule son fessier retire sa queue de la moule de maman pour l’enfoncer dans son anus, en proclamant.
– Tiens salope de roumie, c’est toujours bon de t’enculer.

Son va-et-vient reprend. Il encule ma mère et s’encule aussi sur ma queue. Au bout de cinq minutes il me demande si je suis sur le point de jouir dans son ventre.
Je lui clame que je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps.
– Alors, viens vite remplir avec moi la bouche de ta mère !
En quelques secondes, on retire notre queue du cul que l’on sodomise.

Elle se retourne devant nous deux la bouche grande ouverte.
Ali et moi arrivons à rentrer nos queues dans sa gorge.
Après deux va-et-vient, nous envoyons notre jouissance dans le fond de sa gorges.
Comme elle ferme durement ses lévres sur nos bites pour déglutir notre sperme. En sentant ses dents sur ma queue, je crois que je lui en envoie bien plus qu’avant.

Lorsqu’elle a tout avalé, elle continue à aspirer nos queues le temps qu’elles ramollissent sur sa langue.
Avec nos queues molles, Ali et moi. Nous sommes assis dans le canapé. Maman est parti chercher trois bières dans le frigo. Nus tous les trois, nous avons sirotés nos bières. Elle me regarde et me demande.
– Alors, mon chéri. Qu’elle est la différence de plaisir entre le cul de ta mère et le cul d’Ali ? – Aucune ! Ou n’y a que la vue et le corp qui n’est pas la même chose !
– Après, tu nous diras la différence entre la queue d’Ali et celle de jax dans ton rectum ? Car tout à l’heure ça va être ton tour de te faire sodomiser par ton copain.

Sam Botte

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