Certains vont crier au scandale parce que j’ai fait pris la virginité de ma petite sœur. Oui j’ai perforé son hymen avec ma bite. Mais avant de me juger, lisez cette histoire sexe en entier et vous comprendrez tout.
Je vais mettre les choses au clair, quand cette histoire s’est passée j’avais 22 ans et ma sœur 17 ans. On a toujours été très proches. Elle m’a toujours allumé et je pensais vraiment qu’elle avait une sexualité active. Notamment à cette façon qu’elle avait de se promener nue devant moi, de m’exciter en se penchant pour montrer sa croupe ou bien encore de laisser ses peignoirs entrouverts pour que je puisse contempler ses seins lourds et naturels. Bref, cela a été le jeu de la petite chatte et de la souris toute notre adolescence.
Et puis lorsque j’ai eu 18 ans, je suis parti de la maison. Je faisais des études pas trop loin, mais je revenais de temps en temps pour voir ma petite sœur et mes parents. Et puis j’ai remarqué qu’elle avait un comportement différent de celui de d’habitude. Je pensais qu’elle me tournait autour parce qu’elle voulait me demander de l’argent ou que je l’héberge quelque temps pour fuir le domicile parental. J’étais loin de me douter à ce moment-là qu’elle allait me demander quelque chose de sexuel.
Et puis un soir elle passe à l’improviste à la maison. On s’installe sur le canapé et je lui offre un verre. Elle me demande de recharger encore et encore. J’arrête de la servir, car j’ai peur qu’elle soit ivre et que je sois obligé sois de la ramener soit la laisser dormir ici. Complètement désinhibée, ma petite sœur me dit qu’elle est encore vierge. Je suis surpris de la franchise de la discussion et de cet aveu. Comme je l’ai dit, je pense le contraire. Elle m’a demandé clairement de faire en sorte que cela soit du passé. Elle a envie à ce moment-là que je la baise et que je prenne sa virginité.
Évidemment je refuse pour toutes les raisons que vous pouvez imaginer. Mais quand même, ça trotte dans ma tête. Je ne suis qu’un homme, je l’avoue. Je commence à avoir une érection en pensant à cette petite chatte serrée qui est celle de ma sœur. Je n’ai jamais eu l’occasion de dépuceler une fille. Tout se chamboule dans ma tête. Elle vient se coller à moi et colle ses lèvres contre les miennes. J’en peux plus, ma bite me fait mal dans mon pantalon. Ma sœur doit le comprendre et se met à genoux en défaisant la boucle de ma ceinture et je me retrouve avec mon pantalon et mon caleçon sur les chevilles. Ma queue se libère et se dresse fièrement devant elle. Elle la flatte avec les mains et la prend dans sa bouche. Peut-être que ma sœur n’a jamais eu de relations sexuelles avec pénétration, en tout cas c’est une véritable experte en fellation ! J’ai d’ailleurs manqué de lui juter dans la bouche après quelques coups de langue habiles.
J’ai fini par céder à mes tabous. On se retrouve à poil tous les deux et je la soulève pour la basculer sur le canapé. Je lèche longuement son minou et commence à préparer son vagin avec mes doigts. J’arrive à sentir effectivement une résistance. Je suis allé dans la salle de bain chercher un peu de lubrifiant que j’ai mis au bout de ma queue et sur sa vulve. Je me suis positionné au-dessus d’elle et j’ai commencé à la pénétrer. J’y suis allé très doucement ! Mon gland a progressé jusqu’à cette fameuse résistance. Je lui ai demandé de se détendre, mais plutôt que de lui parler en la rassurant, j’ai joué la carte de l’excitation. J’ai fait rouler les tétons de ma sœur entre mes doigts et je l’ai vue se cambrer de plaisir. J’ai senti la résistance être moins forte. J’ai poussé lentement et cela a cédé. Je me suis enfoncé lentement dans son vagin qui recevait pour la première fois la visite de la bite d’un homme.
Une fois calé au fond de sa grotte inexplorée, je n’ai plus bougé. J’ai attendu qu’elle me demande de le faire. J’ai alors entamé de longs va-et-vient qui sont devenus de plus en plus rapides. Il y avait un mélange de sang et de mouille qui me coulait sur la bite et les couilles. Il y avait le bruit aussi, le fameux « floch floch » ! Je n’ai pu résister à cette chatte étroite et j’ai envoyé tout mon jus au fond de sa chatte désormais plus vierge. J’ai culpabilisé à mort ! D’abord parce que je venais de déflorer ma petite sœur, mais surtout parce que je n’ai pas l’impression qu’elle avait joui. Ce qu’elle m’a confirmé dans la foulée. Elle est allée prendre une douche et elle est ressortie quelques minutes après. Elle m’a remercié parce qu’elle n’avait pas eu mal. Quand je l’ai vu sortir toute nue, ma queue s’est redressée une nouvelle fois. Comme j’avais joui, je savais que j’allais être plus performant. Alors j’ai collé ma sœur contre le mur et je l’ai soulevée pour qu’elle s’empale de nouveau sur ma bite. Cette fois-ci j’ai maîtrisé totalement le coït et j’ai réussi à la faire jouir. Cela a été une nuit exceptionnelle pour nous deux pour une raison supplémentaire. On a découvert en plus que ma sœur était une fille fontaine. Lorsqu’elle a joui, j’ai cru qu’elle s’était pissée dessus ! On était obligés de prendre la serpillière et de retourner sous la douche pour tout nettoyer.
Ma sœur a fini par passer la nuit avec moi et on a remis ça au petit matin. Juste avant qu’elle ne retourne à l’école. Je resterai à jamais l’homme qui lui a pris sa virginité et qui a été le premier à jouir dans son vagin et j’en suis très fier. On a eu quelques rapports par-ci par-là depuis ce jour-là. Pour vous donner un ordre d’idées, aujourd’hui j’ai 47 ans. Peut-être que je vous raconterai d’autres expériences vécues avec ma petite sœur si cette histoire de sexe vous a plu.
Jérôme 47 ans Dijon
Belle histoire, merci Jérôme, je suis preneur pour d’autres belles histoires avec ta petite sœur.