Chapitre 2 :
« Tu peux rentrer chez toi et merci pour . . . tout . Je crois que maintenant, nous allons faire une petite sieste. Toute peine méritant salaire . . . »
Et il me temps un billet de cinquante euros. Putain, être branlé, jouir et gagner de la tune ! Super !
Il prend le temps de noter mon numéro de portable, sait-on jamais !
Après m’être fortement branlé le soir en repensant au déroulement de la journée, J’ai passé ma matinée à attendre avec espoir un SMS de Jean et de Marie.

Enfin, en fin de matinée je reçois le message tant espéré :
Hello ! Peux-tu venir nous rendre visite à 14 Heures ?
Message très court mais suffisant pour faire mon bonheur !
A 14h tapantes, je me présente à leur porte, sonne et attends. J’ai déjà quelques papillons dans la culotte même si je ne suis pas certains de ce qu’ils me veulent . C’est Marie qui m’ouvre la porte et semble être ravie de ma venue. Jean est juste derrière elle.
« Entre, Eric, nous t’attendions ».
Je note qu’ils sont tout les deux en peignoir mais ne sait ce qu’ils portent dessous. En m’accompagnant dans le salon, Marie me dit :
« Nous t’avons fait venir car nous avons quelques questions à te poser. Certaines, indiscrètes sinon osées! Nous aimerions que tu y répondes avec une grande franchise, une grande sincérité ».
« Tout d’abord, nous aimerions savoir si tu as aimé ce qu’il s’est passé hier après-midi ? »
« Oui, j’ai adoré! »

Nous aussi, cela nous a bien plu et bien excités à tel point que nous sommes allées faire la sieste après ton départ et avons baisé comme des fous en t’évoquant et en fantasmant sur toi ».
En entendant cas paroles, mon sexe monte d’un cran dans mon short, d’une manière très visible. Ils me font asseoir dans un fauteuil et s’assoient côte à côte dans un canapé, en face moi. Maintenant, c’est au tour de Jean de prendre la parole.
« Te masturbes-tu depuis longtemps ? »
« Depuis environ sept ans ! »
« Tous les jours ? »
« Au moins une fois par jour, des fois deux . . . même parfois trois ! »
« Es-tu puceau ? »
« Je suis puceau ! Avant hier, personne ne m’avait touché le sexe ! »
« Aimerais-tu que Marie te déniaise ? »
« J’adorerais ! »
« Il faut voir ! »
Je suis au comble de l’excitation !
« Accepterais-tu de nous faire, là, maintenant, une démonstration de branlette ? »
Sans hésiter, je quitte mon short, mon slip et expose à leurs regards une splendide bandaison. J’empoigne ma queue à pleine main et me masturbe avec vigueur.
« Je constate avec plaisir que l’on peut compter sur toi, c’est un bon point ! » s’exclame Jean !
Après m’avoir laissé me branler deux ou trois minutes, Ils s’approchent doucement de moi, sans quitter mon sexe des yeux. Quand ils sont très proches, ils délacent la ceinture de leur peignoir et laisse les pans s’écarter doucement. Je peux constater que, l’un comme l’autre, sont entièrement nus. Jean prend sa bite en main et se branle. Marie glisse sa main entre ses cuisses et s’active comme au bord de la piscine. Moi, je redouble la violence de ma branlette et de la main gauche soupèse mes couilles. D’un doigt fureteur, je touche ma rondelle. Ils en ont pour leur argent.
Je suis prêt à éjaculer quand Jean me dit :
« Suis nous ! » et ils se dirigent vers leur chambre. En chemin, ils quittent carrément leur peignoir et se retrouvent nus. Marie se met en levrette sur le lit pendant que Jean m’indique où m’asseoir.
« Continue de te masturber en nous regardant baiser. Nous, nous jouirons de ton regard posé sur nous. Je le vois à son tour grimper sur le lit, derrière Marie. Il tient sa bite en main à l’horizontale (il est particulièrement bien monté), s’approche d’elle, lui écarte de deux doigts les grandes lèvres de la chatte. Il présente son gland humide entre les lèvres et d’un viril coup de rein entre profondément en elle en une seule fois.
« Huummm » se contente-t-elle de gémir, appréciant grandement, semble-t-il le sexe majestueux qui la pénètre. Puis, après quelques secondes sans bouger, il entame un mouvement de va et vient pour donner et prendre du plaisir. J’ai l’habitude de regarder des couples baisant sur internet, mais là, c’est autrement érotique.
La présence des corps chauds. L’odeur de sexe qui empli la pièce. Les bruits de coït qui sont perceptibles et pas feints. Et surtout, savoir que la situation est réelle et qu’un couple va se faire jouir devant moi, rien que pour moi. J’ai toutes les difficultés du monde à ne pas cracher ma purée. Marie, la tête de côté, m’observe. A son regard, je pense saisir qu’elle souhaite que je m’approche d’elle. Je ne me fais pas prier et approche ma quéquette de sa bouche qui semble gourmande. Elle m’avale totalement, jusqu’au couilles. Jean en profite pour accélérer son mouvement de va et vient. Bien qu’ayant la bouche pleine, Marie feule son contentement. Jean accélère encore. Il semble proche de l’éjaculation. Moi aussi ! Soudain, il se crispe au fond du vagin accueillant. Il n’est pas besoin d’être devin pour comprendre qu’il est en train de jouir. A cette pensée, je me libère dans la bouche vorace. De longs traits de sperme jaillissent de mon gland, traits de jeune sperme qui semblent la ravir au plus haut pont, si je me fie à ses petits couinements.
Nous restons ainsi un long moment, essayant de reprendre nos esprits. Jean est le premier à se retirer de la chatte de sa femme. Puis c’est mon tour de me retirer de la bouche de Marie. Je vois celle-ci déglutir et avaler ce qui doit être le reste de ma jouissance Je vais auprès de Jean et regarde la chatte de Marie en gros plan. Un léger filet de semence s’écoule entre ses lèvres vaginales. Je regarde Jean et lui fait comprendre que j’ai envie de toucher, de découvrir. D’un signe de tête il m’encourage à aller à la découverte du sexe féminin. Vu mon âge, je conserve une érection malgré mon éjaculation récente mais en tripotant cette foufoune odoriférante, je renforce ma bandaison.
Jean ouvre le sexe féminin est me dit :
« Tu veux ? »
Je comprend qu’il m’invite à baiser Marie !
Évidemment que je veux !
Je me cale bien derrière elle. Jean me prend le sexe et le dirige dans l’antre qui ne demande que cela. Je sais que je vais plonger ma queue dans le sperme de Jean, mais cela ne me retient aucunement. Bien calé au fond du vagin de Marie, je commence à baiser comme un jeune puceau, ne cherchant que mon plaisir immédiat. Celui-ci ne tarde pas, d’autant que Jean, pour s’amuser, me saisi les couilles. Lorsque je joui, il me les serre à la limite de la douleur.
J’adore !
Bien qu’ayant éjaculé il y a peu dans la bouche de Marie, j’ai suffisamment de sperme en réserve pour lui napper les parois de la chatte, mélangeant mon sperme à celui de Jean. Lorsque je me retire, un mélange de nos deux semence s’évacue du sexe féminin.
« C ‘ est bel et bon, l’échangisme, n’est-ce pas ?
Je ne peux qu’acquiescer. Je ne sais pas encore ce que cette réflexion qui me semble anodine va déterminer mon parcours sexuel futur !
Je dédie cet épisode à Denis et à Jipé en espérant qu’ils apprécieront !
Totoamour
Merci beaucoup, j’attends la suite avec impatience
Merci, j’ai pleinement apprécié et j’apprecirai encore plus, s’il y avait une suite à ce trio.
Cher Harold,
Ne t’inquiète pas, il y aura une suite à ce trio.
Je suis heureux que ce récit t’ai plu (et peut-être fait de l’effet).