Deux jours plus tard, deux jours d’intenses masturbations et de fantasmes divers, je reçois un nouveau mail de Jean me demandant de venir chez eux en début d’après-midi. Je suis excité comme un pou à l’idée de retourner chez eux. Que me réservent-t-ils ?
Des papillons plein le ventre, je sonne à leur porte. Rapidement, Jean m’accueille, de nouveau en peignoir et me fait entrer. En revanche, pas de Marie. Il me fait asseoir sur le canapé et prend place à côté de moi. Sans attendre, il me dit :
“Il faut que l’on cause, nous deux !”
“Aimerais-tu que nous recommencions ?”
Un hochement de tête confirme mon désir de recommencer. Je pense qu’il n’avait, en vérité, aucune crainte quant au côté positif de ma réponse.
“Cependant, je crois qu’il va y avoir un problème !”
“Ah !”
“Ben oui ! Nous avons ce genre de rapports dans le cadre d’un échange. Qu’as-tu à proposer en échange de Marie ?”
Je blêmi en prenant conscience que je n’ai rien à échanger !
Même si j’avais une petite copine, même si j’avais des relations sexuelles avec elle. . . de là à lui faire accepter un échange avec un couple âgé, c’est complètement impensable.
Je me sens piégé. C’était trop beau ! Je suis sans voix.
Et cela calme mes ardeurs !
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Au bout d’un long silence, pendant lequel je mesure le gouffre qui me sépare de nouveaux plaisirs avec Marie, Jean me dit :
“Évidement, il y aurai bien une solution !” et il laisse sa phrase inachevée . . .
. . . Je suis suspendu à ses lèvres (je ne crois pas si bien dire).
“Je comprends tout à fait que tu ne sois pas en mesure de me proposer un échange mais. . . es-tu prêt à payer de ta personne ?
“C’est à dire ?”
“Je ne serai pas contre t’embrasser comme mon amoureuse, par exemple !”
Et il me prend d’autorité le visage qu’il couvre de bisous avant de poser ses lèvres sur les miennes. Une fois de plus, surpris par ses initiatives, je me laisse faire sans résistance. D’ailleurs, pour être franc, je ne trouve pas cela repoussant, loin de là.
Si c’est la condition pour avoir de nouveau accès au corps de Marie, pourquoi pas !
Jean, constatant ma passivité, et presque mon acceptation, se permet de glisser sa langue entre mes lèvres. Cette caresse buccale me trouble. L’idée de baiser Marie à nouveau me trouble.
En résumé, je rebande.
J’entrouvre les lèvres et la langue de Jean s’insinue dans ma bouche à le recherche de la mienne. Les deux langues se retrouvent rapidement et jouent ensemble.
“Je ne serai pas non plus contre le fait que tu me touches !”
Et il entre-baille son peignoir. Il me prend la main et la porte à son sexe bandé.
J’accepte de l’empoigner et de le serrer légèrement.
Lui, sans hésiter un instant, glisse sa main dans mon short et m’empoigne le sexe. Il faut dire que ce n’est pas la première fois.
Nous voilà, l’un et l’autre, nous tenant le sexe tout en nous roulant une pelle. Fin de compte, ce n’est pas si désagréable et si en plus, c’est la condition pour accéder à la moule de Marie, je suis partant.
Je le branle avec conviction même si cela est une première pour moi.
Il semble apprécier ma branlette. La masturbation, cela me connaît. Il suffit de faire subir à un autre sexe le même traitement que celui que je me fais subir.
Et cela fonctionne, semble-t-il !
Pour en être sûr, je me fie aux grognements de satisfaction de Jean (et à la dureté de son érection).
Cependant, il ne se contente pas de ma main le branlant pendant que l’autre main lui palpe les couilles. Il appuie doucement sur ma tête afin de faire approcher ma bouche de son sexe turgescent. Là, je le reconnais, je suis totalement novice et ne sais comment je vais réagir.
Ma tête approche du gland luisant de pré-cum, me prouvant ainsi, s’il en était besoin, que Jean n’est pas insensible à mes attouchements.
Mon visage s’approche de son gland. Je sors tout d’abord ma langue et lape doucement le méat du sexe, prenant ainsi en bouche un peu de liquide translucide. Je goûte et. . . Oh, surprise, j’aime l’odeur et le goût un peu salé. Donc, j’ose y aller franchement ! Et sans hésitation lèche la couronne du gland.
Bingo ! La réaction de Jean et sans ambiguïté.
“Ouah ! Putain, tu es douée, ma chérie !”
Sa réflexion au féminin à mon propos me stimule, m’encourage. . . m’excite. Alors, sans hésiter, j’embouche profondément son sexe bandé et suce avec délice le mandrin fièrement dressé.
Jean me bascule sans difficulté sur le canapé. Nous nous retrouvons tête bêche, ma bouche enserrant toujours son sexe. Lui, fouille mon short et en extrait ma bite. Il l’embouche avec gourmandise me rendant ainsi ma caresse buccale.
C’est l’instant que choisi, Marie, son épouse pour entrer.
“Eh bien mes cochons, je vois que vous avez trouvé un terrain d’entente ! ‘
Elle ne semble pas fâchée. Au contraire, elle apprécie le spectacle que nous lui offrons. Elle s’assoie dans un fauteuil face à nous, se retrousse et caresse son minou sur sa culotte. Ensuite elle écarte une jambière pour avoir un accès direct à sa chatte et entame une branlette me rappelant des souvenirs. Je reporte mon attention sur nos échanges de caresses avec Jean.
A partir de cet instant, chacun entre dans sa bulle de plaisir et plus rien ne compte. J’ai tout soudain envie de sentir Jean éjaculer dans ma bouche. Je sais qu’à cet instant, je vais faire couler mon sperme dans la sienne et qu’en conséquence, Marie voyant le sperme déborder de nos lèvres va s’envoyer en l’air comme une folle. Cela ne manque pas : j’ai la bouche saturée par le foutre de Jean ce qui me fait juter dans la sienne. Marie couine sont bonheur.
Nous restons ainsi quelques minutes, le temps de reprendre nos sens. Marie nous invite à aller nous reposer sur le lit. Me voici nu entre Marie et jean, également nus. Nous sommeillons un certain temps puis Marie dit, s’adressant à nous deux :
‘Je pense que maintenant les choses étant claires, nous allons bien nous amuser tous les trois’.
Toto Amour
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