Nous restons ainsi quelques minutes, le temps de reprendre nos sens. Marie nous invite à aller nous reposer sur le lit. Me voici nu entre Marie et Jean, également nus. Nous sommeillons un certain temps puis Marie dit, s’adressant à nous deux :
« Je pense que maintenant les choses étant claires, nous allons bien nous amuser tous les trois ».
Effectivement, depuis ce jour mémorable, nous avons des relations sexuelles régulières. Des fois à l’initiative de Marie qui adore ma jeune virilité, des fois à l’initiative de Jean qui satisfait ainsi sa bisexualité. Jamais à mon initiative, car moi. . . j’ai toujours envie !
Que l’initiative émane de Marie ou de Jean, la relation se fait toujours en présence de l’autre. L’autre est parfois simple voyeur et se masturbe ou parfois il se mêle à nos jeux. Moi, du coup, je suis toujours actif !
Une partie de l’été se déroule ainsi. Mes parents font connaissance de nos « charmants voisins » sans connaître toute la vérité, cela va de soi. Parfois, j’essaie d’imaginer mes parents en train de faire l’amour et même dans une situation identique. Ils sont presque de la même génération puisqu’ils m’ont conçu très tard.
Blocage complet !
Pourtant, je suis là, ils ont bien dû copuler !
Fin de compte, chacun à son jardin secret. Je n’ai pas à m’immiscer dans le leur ! Pourtant, parfois des pensées. . . osées, quasi incestueuses m’assaillent.
Cet après-midi, je suis chez Marie et Jean. Je suis allongé nu sur leur lit. Jean me suce avec gourmandise. Marie me roule des pelles baveuses à souhait. Soudain, elle approche sa bouche de mon oreille et murmure :
« Tu sais, Jean à un fantasme te concernant mais n’ose pas t’en parler ».
Mon air interrogatif l’encourage à poursuivre.
« Il adorerait t’enculer mais sait que tu es vierge du petit trou ! »
Je suis interloqué ! J’imagine déjà son sexe assez volumineux entrer dans mon anus. Anus qui as certes l’habitude de recevoir un gode assez imposant mais de là à me faire enculer par un homme, il y a un pas à franchir (ou plus précisément une rondelle !)
« Il faut que je réfléchisse ! » telle est ma réponse.
« Le jour où tu es décidé-si tu te décides — informe moi ! »
Jean continue de me sucer. Depuis quelque temps, il me mordille délicatement le gland et je dois dire que j’apprécie grandement sa manière de faire. J’apprécie tellement que je ne tarde pas à lui jouir en bouche, égoïstement. Mais il ne m’en veut pas tellement il apprécie mon jus d’homme.
Je prends le temps de réfléchir, réflexion active. Je ré-utilise mon god que j’avais négligé ces derniers temps. Il est clair que je vais céder à la demande de Jean, certainement avec appréhension, mais je dois dire que j’ai envie d’essayer cette pratique. Je sais que si je lui demande d’arrêter, il le fera.
Me sentant prêt, j’informe Marie de ma décision.
« Très bien. Demain, tu viens comme d’habitude. J’aurai informé Jean du bonheur qui l’attends. Tu me laisseras vous guider. Depuis le temps que j’attends de voir mon Jean sodomiser un homme ! »
Le lendemain, je me présente chez eux, mi excité, mi inquiet. Marie m’accueille gentiment et me demande de la suivre dans la chambre. Jean est déjà là, nu, allongé sur le lit. Il se masturbe doucement afin d’entretenir son sexe bien rigide pour sodomiser.
Sur l’injonction de Marie, je me mets nu. Elle, elle reste habillée pour l’instant.
Elle me fait allonger sur le ventre en travers du lit après avoir placé son oreiller sous mon sexe. Ainsi, j’ai le cul offert, prés accueillir qui veut entrer.
Elle m’écarte les fesses et me titille la rondelle. J’aime !
Puis elle introduit un doigt, puis deux, dans mon fondement. Habitué comme je suis à m’immiscer mon god favori, cela entre tout seul. Ensuite je la sens déverser du gel chauffant sur mon trou. Opération très agréable.
Elle fait venir Jean derrière moi et je ne peux qu’imaginer la suite. Elle doit d’abord vérifier la rigidité de son érection avant de guider sa bite à l’entrée de mon cul. Effectivement, je sens son gland qui entre lentement dans la grotte sacrée. Mon anus à le temps d’accepter la dilatation. Enfin, la couronne du gland à franchi mon sphincter. Première pause pour laisser mon anus s’habituer. Puis, sur l’injonction de Marie, il s’enfonce jusqu’au couilles. Super, je n’ai pas mal du tout. Deuxième pause !
Il commence maintenant à me limer, d’abord doucement puis plus énergiquement.
Putain que c’est bon. Je ne sais pas si je suis sensible au massage de prostate ou quoi, mais je kiffe comme pas possible. Marie est venue face à moi observer mes réactions. Elle me tient les mains comme si je cherchais à m’échapper. Aucun risque, c’est trop bon !
Jean accélère ses mouvements de va et vient. Ses couilles claquent sur mes fesses. Je sens que son plaisir approche. Il souffle comme un bœuf en me tenant par les hanches. Il a envie d’être violent. J’ai envie qu’il soit violent. Sa bite durcit et gonfle. Ma bite durci et gonfle et coule sur l’oreiller de Marie. Il joui en poussant un cri de bête. Je jouis en criant :
« Je jouiis ! »
Que pouvais-je annoncer d’autre ?
Et j’inonde l’oreiller qui absorbe mon sperme. Marie n’en a cure et j’apprendrais plus tard qu’elle a éprouvé un grand plaisir à s’endormir le soir, la tête enfouie dans l’oreiller pollué.
Toto Amour
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