Moi, Eric, dix huit ans, me retrouve avec en main le sexe bandé d’un homme de 60 ans, Jean.
Je le branle avec conviction même si cela est une première pour moi.
Il semble apprécier ma branlette. Je dois confesser que la masturbation cela me connaît. Certes, sur ma propre queue je le confesse mais il suffit de faire subir à un autre sexe le même traitement que celui que je me fais subir.
Et cela fonctionne, semble-t-il ! Pour en être sûr, je me fie aux grognements de satisfaction de Jean (et à la dureté de son érection).
Cependant, il ne se contente pas de ma main le branlant pendant que l’autre main lui palpe les couilles car il appuie doucement sur ma tête afin de faire approcher ma bouche de son sexe turgescent. Là, je le reconnais, je suis totalement novice et ne sais comment je vais réagir.
Ma tête approche du gland luisant de pré-cum, me prouvant ainsi, s’il en était besoin, que Jean n’est pas insensible à mes attouchements.
Mon visage s’approche de son gland. Je sors tout d’abord ma langue et lape doucement le méat du sexe, prenant ainsi en bouche un peu de liquide translucide. Je goûte et . . . Oh, surprise, j’aime l’odeur et le goût un peu salé. Donc, j’ose ! Et sans hésitation lèche la couronne du gland.
Bingo ! La réaction de Jean et sans ambiguïté.
« Ouah ! Putain, tu es douée, ma chérie ! »
Sa réflexion au féminin à mon propos me stimule, m’encourage et m’excite. Alors, sans hésiter, j’embouche profondément son sexe bandé et suce avec délice le mandrin fièrement dressé.
Jean me bascule sans difficulté sur le canapé. Nous nous retrouvons tête bêche, ma bouche enserrant toujours son sexe. Lui, fouille mon short et en extrait ma bite. Il l’embouche avec gourmandise me rendant ainsi ma caresse buccale.
C’est l’instant que choisi, Marie, son épouse pour entrer.
« Eh bien mes cochons, je vois que vous avez trouvé un terrain d’entente ! «
Comment en suis-je arrivé là. Moi, encore puceau il y a peu de temps (mais fort porté sur la branlette), je me retrouve avec grand plaisir à la disposition sexuelle d’un couple âgé mais très cochon.
Commençons par le début :
Fils unique d’un couple de commerçants aisés, je suis livré à moi-même car mes parents consacrent douze heures par jour à leur commerce. Bon élève, jeune homme sage, ils me fichent la paix. J’ai découvert la masturbation à l’âge de onze ans, me tapant des branlettes sèches avant de découvrir les jouissances mouillées. Parallèlement, j’ai commencé à visionner les sites de cul sur internet enrichissant ainsi ma connaissance théorique des plaisirs qu’offre le sexe. Entre autre, j’ai rapidement compris que l’anus était une zone érogène, même pour un hétéro.
Cependant, les relations entre hommes ne m’attiraient pas. Si j’avais su !
Mon doigt dans le cul n’étant plus suffisant comme source de plaisir, j’ai commandé sur internet un Plug pour cul vierge. C’est toujours moi qui réceptionne le courrier. Qu’est-ce que j’ai kiffé en me branlant avec le plug dans le cul.
Puis il m’en a fallu plus. J’ai commandé d’abord un petit god avant de commander progressivement des modèles de plus en plus gros. Le dernier est même vibrant ! Il me procure d’extraordinaires jouissances.
Depuis quelques semaines, un couple de personnes âgées occupe la villa mitoyenne de la nôtre. De la fenêtre de ma chambre, j’ai une vue imprenable sur leur terrain et plus particulièrement sur la piscine. J’utilise ma lunette astronomique (qui devrait s’appeler « lunette de voyeur ») afin d’espionner leur intimité. J’ai pu constater que Jean porte un maillot de bain « porte couilles » démodé qui semble bien achalandé. Marie, bien qu’ayant un corps portant les stigmates de l’age (un peu de cellulite aux cuisses, un petit ventre rond, une généreuse poitrine un peu tombante et un peu de « persil » s’échappant de sa culotte de tenue de bain), m’excite fortement. Que pourrait apprendre un puceau comme moi dans les bras d’une vieille femme expérimentée ?
Tous les jours, je scrute les bords de la piscine. Mais rien de notable . Jusqu’au jour où . . .
Il fait très chaud. Marie s’allonge sur un transat au bord de la piscine, le corps dissimulé sous un parasol . . . croit-elle.
Mais de ma chambre, j’ai une vue plongeante sur ses jambes, ses cuisses et même sur son entre-cuisses. J’utilise ma lunette pour jouer au voyeur. Je fais un gros plant sur son sexe bombé dissimulé par la culotte de bain. Peu importe, je fantasme sur ce sexe féminin.
Et soudain, sa main droite se pose sur la culotte et caresse le renflement vaginal. D’abord d’une manière imperceptible puis, appuyant le geste, à tel point que son bassin accompagne sa main. Ensuite elle glisse la main dans sa culotte et j’imagine sans problème qu’elle titille son clitoris. Cela fait déjà un moment que j’ai sorti mon sexe bandé de mon short. Prenant à pleine main mon mandrin, je suis en pleine masturbation quand j’observe Marie, serrer brusquement les cuisses, geste fréquent quand une femme a un orgasme. A cette pensée, je crache ma purée, en en foutant partout, sur le mur, sur le sol, sur ma main. Je m’en fout, je rarement joui aussi fort.
Les jours suivants, j’ai fréquemment observé le bord de la piscine, espionnant le couple en espérant assister à nouveau à une scène hautement érotique. Malheureusement, rien ! J’en suis réduit à consulter encore plus souvent des sites pornographiques en espérant retrouver une scène identique à celle à laquelle j’ai eu la chance d’assister.
Une fin d’après-midi, sortant les poubelles, je tombe sur Jean. Entre voisins, il est de bon ton de se saluer. Nous parlons du beau temps, exceptionnel, et de l’entretien des pelouses. Il m’affirme en avoir marre de tondre et envisage de confier cette tâche à un jardinier. J’en profite pour me placer car je suis déjà en charge de la tonte dans certaines propriétés du quartier. Un terrain d’entente est vite trouvé et, dès demain, je dois intervenir chez lui.
Le lendemain, quatorze heures précises, Jean m’attends pour me faire découvrir le matériel dont il dispose et me donner ses consignes. Il fait extrêmement chaud. Je suis en short et en chemisette. Deux heures me sont nécessaires pour mener à bien ma tâche. En revanche, je suis littéralement en eau. Comme prévu, ayant terminé, je sonne à la porte d’entrée. C’est Marie qui m’ouvre, en maillot de bain. Le même maillot de bain que celui qu’elle portait l’autre jour mémorable. J’ai eu un flash, revoyant la scène. Conséquence, des papillons s’agitent dans mon ventre et je sens mon sexe gonfler légèrement. Ce n’est certes pas le moment.
«Entre vite te mettre au frais » me dit Marie. J’obtempère ! J’ai presque froid car je suis en sueur et la climatisation de la maison doit-être poussée à fond.
« Quitte ta chemisette, tu vas attraper la mort. Je vais chercher une serviette pour t’éponger ! »
J’obéis pendant que Marie va dans la salle de bain. Jean arrive sur ces entre-faits.
« Tu comprends qu’à mon âge, par une telle chaleur, je n’ai plus le courage de tondre ».
Marie revient, une serviette en main et commence à m’éponger. J’ai de nouveau un flash sur la scène de l’autre jour, d’autant que je suis très réactif aux caresses que me procure le passage de la serviette. A tel point, que j’affiche tout soudain une magnifique érection (contre laquelle, cette fois-ci, je ne peux rien). La bosse dans mon short n’a pas échappé à Marie qui prend un malin plaisir à me frotter les tétons.
« Jean, regarde ! Eric bande ! »
Je suis très gêné d’autant plus que Jean, pour vérifier, caresse le dessus de mon short.
« Exact chérie et je peux te dire que ce jeune homme semble très bien monté ! »
Je suis tétanisé. Tout va très vite. Jean glisse un doigt de chaque main dans la ceinture élastique de mon short et, d’un geste brusque, me déculotte totalement. Dans la foulée, il me saisit le sexe à pleine main et décalotte mon gland. Tout cela est tellement rapide que je ne peux que subir.
Oh ! surprise, que la main qui me touche soit celle d’un homme ne retire rien au plaisir que je ressens. Je prends soudain conscience que lorsque l’on aime le sexe, peu importe qu’une femme ou qu’un homme soit à l’origine de notre plaisir.
Marie me saisit les couilles à pleine main et les malaxe comme pour en vérifier la dureté. Jean commence un mouvement d’aller/retour, amorçant ainsi une délicieuse branlette.
« Fait le juter ! » s’exclame Marie.
A ces mots, moi qui retenais ma jouissance depuis que Jean m’avait prit la queue, je me relâche.
« Je jouiiis ! » ne puis-je m’empêcher de gueuler. Comme s’ils n’allaient pas s’en rendre compte !
Un jet de sperme de puceau, assez puissant, s’élève en l’air avant de retomber sur le bras de Marie. Les autres jets, de moins en moins puissants, engluent la main de Jean.
« Waouh ! Très beau, j’adore ! » commente Marie, l’œil pétillant de malice.
Une fois les sens provisoirement calmés, je me sens un peu gêné. Eux, pas le moins du monde. Marie utilise la serviette pour essuyer son bras et la main de Jean. Elle porte la serviette à son visage et hume. Elle semble en extase en sentant l’odeur de mon sperme tout frais.
« Tu peux rentrer chez toi et merci pour . . . tout . Je crois que maintenant, nous allons faire une petite sieste. Toute peine méritant salaire . . . »
Et il me temps un billet de cinquante euros. Putain, être branlé, jouir et gagner de la tune ! Super !
Il prend le temps de noter mon numéro de portable, sait-on jamais !
Si vous avez apprécié ce début de texte et que vous souhaitiez en connaître la suite, il vous suffit de m’envoyer un mail (totoamour590@gmail.com) afin de me raconter comment vous avez ressenti le début de cette histoire. J’espère que vous aurez eu autant de plaisir à le lire que moi j’en ai ressenti à l’écrire.
Super histoire ! Très hate de lire la suite je m’identifie plutôt pas mal 😉