Ma rencontre avec Jack Chapitre 2

Chapitre 2 : Dans la cave de Jack

— Oui, et je n’attends que ça !

— Avance, les mains en avant. Tu vas sentir un mur. Tu appuies les mains et creuse les reins. Un peu comme une salope, que je voie ton anus avant de l’utiliser.

Je sens son crachat et ses doigts presser entre mes fesses, les caresser pour bien mouiller, et le gland qui se pose sur mon cul, déjà utilisé, mais pas dans ces conditions. Enfin, il appuie et pousse en avant son sexe raide, qui entre sans difficultés, mais me fait gémir. Je ne réfléchis pas à savoir s’il est sain, mais lui non plus, et une fois bien entré, il me laboure, creusant son sillon dans mes fesses.

— Vas-y, j’adore la sensation presque animale de la femelle qui se fait prendre.

Je râle doucement, j’ai mal aux couilles, encore attachées. Je sens la peau d’un mec passer entre mes bras et guider mon sexe entre ses fesses. Il est chaud, et moi aussi. Je pine ce trou qui s’offre, à la cadence de Jack. Aucun de nous ne se retient, et je jouis en même temps que Jack.

Je ne vois pas qui j’ai enculé, il est parti. On me détache de tout, sauf du poids aux couilles, avant de me tendre mes fringues, sans le slip déchiré. En dernier, Jack ôte le masque. Il sourit, rhabillé.

— Viens, on va boire une pinte en haut et aller à ton hôtel.

Je vois un jeune, mais sans poils, il fait vingt ans.

— Good dick, sir!

Je demande qui c’est à Jack.

— Lui ? C’est Frank. On le reverra peut-être. Ça va ?

— Mieux, oui, merci. Tu sais, je n’ai pas l’habitude de boire autant de bière que vous.

— On va à l’hôtel, je leur explique que tu ne dors pas et pourquoi, tu fais tes bagages, tu pisses, et s’il y a à payer, tu le feras en descendant.

— OK, on fait comme ça.

J’ai rassemblé mes fringues. La chambre était sympa, mais je verrai bien là où j’irai. Je suis descendu, et à l’accueil, ils m’ont gracieusement dit qu’ils comprenaient. Jack m’a aidé, et j’ai porté le tout dans ma voiture.

— Il faut que je la gare, ou tu as de la place pour elle ?

— Regarde en face, la mini rouge. Tu me suis et fais gaffe aux moutons, je n’habite pas loin.

Il a fallu quand même sortir de la ville avant qu’il ne bifurque de la grande route dans un petit chemin où il était impossible de se croiser, mais il tenait le milieu de la route avant de s’arrêter devant une cour à l’anglaise et ouvrir le portail. Il y avait en effet de la place, des fleurs garnissaient le pourtour de la cour.

— Voilà mon chez-moi. Il te plaît ?

— Le vrai charme anglais, après toi ! Tu vis seul ici ?

— Moi et mes chiens, que tu entends derrière la porte. Il y en a un autre, mais à la cave. Viens, entre.

Le caractère typique d’une chaumière anglaise m’a charmé. Les chiens, un colley et un labrador, lui sont montés le long de la cuisse, cherchant les caresses. Après avoir été reniflé, j’ai eu droit aussi aux petits sauts de joie.

— Attends deux minutes que je leur donne des croquettes, on descendra voir la chienne après. Tu sais, ces vieilles maisons ont toutes des caves voûtées. Bon, pour eux, c’est bon, ils vont s’installer pour dormir. Viens, on sort pour descendre à la cave.

On a marché de quelques pas, les bruits d’appels étouffés étaient presque derrière la porte.

— File dans ta cage, le chien, j’amène du monde.

Le temps qu’il s’installe, dévêts-toi, tu seras plus à l’aise. Contre le mur, une armoire en fer qu’il a ouverte.

— Ne t’inquiète pas, ici, chez moi, ceux qui viennent sont tous gays, plutôt fétichistes, et tu ne gêneras pas. En plus, les rames des champs de houblon commencent à avoir des feuilles.

Pour la première fois, je me trouvais dehors, nu, sans poils, comme un môme. J’avais entendu un bruit de serrure et de ferraille de l’autre côté de la porte. Quand Jack a ouvert la porte, il faisait sombre, mais il a appuyé sur un bouton, et tout s’est éclairé. Derrière une cage en barreaux de fer, un mec d’un âge incertain, avec une cagoule en latex qui ne laissait voir que les yeux et la bouche, avec quelques poils follets autour. Aucun poil sur le corps fin. Il attendait, me matant sans un mot, mais le regard fixe. Une cage en métal tressé lui tenait la queue penchée. Jack a ouvert un petit espace et lui a ordonné de montrer sa chatte de mâle. Aussitôt, il s’est mis à quatre pattes, un plug noir avec la base qui dépassait le long de la raie.

— Recule contre les barreaux.

Jack a pris la base en forme de poignée et l’a tirée un peu, faisant grogner le mec. Ce qui sortait un peu était de belle taille, et je le devinais en pointe. La peau autour du plug suivait, et on voyait qu’il avait dû être graissé.

— Regarde bien.

J’avais bien deviné, il était gros, mais le bout arrondi était plus petit. Son anus ouvert laissait voir le rouge intérieur.

— Va te laver et laver le plug.

La main de Jack me caressait lentement, et je bavais dans sa paume.

— Je ne t’ai même pas demandé ton nom, c’est comment ?

— Ici, appelle-moi Niko.

— Non, Nick t’ira mieux. On va remonter, refermer et éteindre. On mange un peu dans la cuisine, ça leur laissera le temps d’arriver.

— Je reste nu ?

— Bien sûr, te cacher est inutile. Après manger, je te mettrai un collier.

Sous un linge, il a montré un jambon.

— Tu aimes le saucisson, alors le jambon doit te plaire.

Il a découpé de très fines tranches.

— Mange, il vient de la ferme d’à côté. Gras à souhait.

Il a ôté un morceau de gras épais.

— Celui-là servira tout à l’heure.

Le pain bis allait bien avec, et j’ai vite été rassasié, comme lui.

— Il est temps de passer le collier. J’en ai deux noirs, aussi larges, avec deux inscriptions différentes. Sur l’un, c’est « slave », et l’autre, « dog ». Tu as une préférence ?

— Quitte à être fou, mets celui marqué « dog ».

— À partir de maintenant, tu es Nick le dog. Ne bouge pas, je te passe une cagoule. Tu entendras, mais ne verras rien.

En effet, en latex, elle laissait ma bouche libre, c’est tout. J’étais dans le noir.