Chapitre 3 : La cave animée
— Il est temps, une voiture arrive.
J’avais entendu aussi, et je bandais comme un fou en entendant les portières.
— Salut, Jack !
(C’est tout ce que j’ai compris, à part des mots simples comme « dick », « ass ».) Il y a eu des rires, et j’ai reçu une claque sur la queue.
— Je vais faire la traduction, ce sera mieux. Il bande, le cochon. Raide, en plus, et belle bite. On attend les autres, ou on descend ?
— Attendez, il y a des femelles dans son genre qui doivent arriver. Un verre en attendant ?
— OK, ça roule.
Cette fois, l’autre voiture s’est garée juste devant, et j’ai entendu des sifflements joyeux.
— Voilà de belles poulettes !
J’ai entendu des claquements et des piaillements aigus. La voix de Jack :
— Allez, descendez à la cave, qu’on se fasse plaisir.
Il devait être tout près et m’a saisi par le collier.
— Avance, je te guide, et tu connais le chemin. Cambre-toi mieux en marchant.
Un rire gras, suivi d’une claque sur mes fesses, m’a fait comprendre. Là, on descend les marches.
— J’ouvre les deux portes, et on est dans la cave. Hé, les mecs, mettez le tabouret sous le crochet.
Il y a eu du remue-ménage, ils ont installé des trucs que je ne voyais pas. Des bruits de vêtements qui glissent, une voix rieuse a parlé du mec dans la cage.
— Je vois que mon frangin a des envies, il goutte sous la bite. Tu t’en occupes bien, je sais qu’il voulait être à disposition, et il va servir. Matez sa bite qui fait des bourrelets autour de sa petite cage.
— Monte sur le tabouret. Il n’est pas très haut.
J’ai senti une corde frotter sur mon dos et passer dans l’anneau du collier.
— Là, redescends, tu peux te déplacer sur trois mètres autour de toi.
Je n’ai pas eu besoin de bouger, une main est passée le long de ma raie jusqu’aux couilles, tirant dessus, et une bouche a entouré mon sexe dressé à l’équerre. Je me suis fait sucer, mais au moment de jouir, il a arrêté. Remontant le visage sur mon ventre, j’ai senti des tétons plus féminins que masculins et une voix près de mon oreille.
— Je vais te défoncer le cul.
Contre ma queue, j’ai senti une bite assez grosse (quand on ne voit pas, l’imagination travaille). Ce n’était pas une fille, mais un trav hormoné. J’avais les mains libres, et j’ai palpé un peu partout. Le mec était bien proportionné, hanches fines et une longue tige au gland humide qui pointait, ses couilles remplissaient ma main. Heureusement, j’étais excité, et je sentais que je suintais des fesses. Il m’a guidé jusqu’au mur et m’a fait m’appuyer les mains dessus, écartant mes cuisses.
Il a été doux, mais quand même, la bite était grosse, surtout au gland, qui a eu du mal à passer.
— Cambre-toi bien, et je sais que tu aimes avoir une bite dans les fesses.
J’ai couiné quand il est entré et gémis à chaque coup de queue. Je n’étais pas le seul, j’entendais des rires, mais aussi des mecs haleter. À un moment, il s’est arrêté, bien au fond, et lui aussi a râlé. J’ai senti qu’il me poussait un peu et écartait les cuisses. J’ai eu confirmation de ce que je pensais par la voix d’un mec.
— Anna, toujours aussi ouverte, même quand tu plantes ta bite dans un cul.
Le trav qui me baisait se faisait prendre en même temps ! Il a limé longtemps, profitant de sa sodomie comme de mon cul. La cave sentait le sexe et le sperme. Je ne voyais toujours rien et suis passé de l’un à l’autre, une fois le trav satisfait et vidé sur mon trou. J’ai aimé me sentir l’objet de leurs plaisirs. J’avais le cul en feu par les différentes bites qui me limaient. Pour que je ne me touche pas la queue, ils ont attaché mes mains au collier. Il y avait moins de monde. Les mecs satisfaits se reposaient, attendant leurs copilotes pour rentrer.
Enfin, il n’est resté plus que Jack. Il a ôté la cagoule. Le frère de l’autre se marrait, et à eux deux, ils m’ont fait entrer dans la cage. Le jeune est resté, la cage de son sexe ôtée et posée par terre avec la clé, sa queue était raide, et Jack a refermé la porte au verrou.
— Nick, il va t’aider à te laver comme il faut, partout, et il a le droit de se servir de toi. Je laisse la lumière, et il y a une cam dirigée vers la cage. Je vais aller dormir un peu.
Il est sorti, nous laissant seuls dans la cage. Le jeune a eu un sourire.
— Viens dans le coin où est la douche. Tu es comme moi, et tu sens le sperme. J’en ai pris plein aussi dans la bouche et le cul, sans pouvoir bander, mais maintenant, je peux !
Pas de problème, ce qu’il avait entre les cuisses était en forme, et bien plus que dans la cage. Il a ouvert l’eau froide pour m’asperger et a savonné mes cheveux. En descendant, un doigt, il l’a introduit dans ma bouche.
— Suce-le, je vais appuyer sur tes dents pour ôter le peu de sperme encore dans ta bouche.
J’avais toujours les poignets attachés au collier et ne pouvais que le laisser faire. L’eau très fraîche m’avait fait débander.
— Tout en frottant son doigt, me faisant des va-et-vient entre les lèvres, il a descendu l’autre main, pinçant les tétons.
— Va doucement, tu fais mal.
— Pourtant, ils l’ont tous fait, et je n’ai pas crié.
Il a pris un téton entre les dents et tiré dessus.
— Jack m’a donné le droit.
Le savon a coulé dans mes yeux, me piquant un maximum. J’ai pu les frotter, mais fermer les yeux.
— Pas de ça. Tu dois voir.
Il a rincé mon crâne nu, l’eau coulant sur le visage, j’ai pu rouvrir les yeux. Son doigt est passé de ma bouche à mes fesses, appuyant sur l’anus, déjà bien dilaté. Il a là aussi gratté l’intérieur, me faisant couiner.
— Tu es sensible. Moi, je ne le suis plus pour un ongle. Il faut que ton cul soit hyper propre pour le premier que je vais prendre.
L’autre main me palpait mes couilles, tirait, puis relâchait. Il me faisait payer ce qu’il avait subi. Le prépuce étiré un max en arrière. Je n’en pouvais plus. Il m’a poussé de côté pour se mettre sous l’eau et s’est lavé sans pudeur, il n’en avait plus, je pense.
— Baisse-toi sur les cuisses et nettoie ma queue. Depuis que je suis là, je n’ai pas pu le faire faire.
En gros plan, ça paraissait plus gros que la mienne, et ça sentait fort. J’ai dû le faire, l’entendant ricaner.
— Passe derrière, et je veux sentir ta langue passer dans ce qu’ils appelaient ma chatte. Oui ! Tu es doué pour plaire à un jeune, tu sais les bonnes choses. On va passer à plus sérieux, et cette fois, on joue bien.
— Suce ma queue, je vais enfin enculer un mec, et tu seras le premier, mais avant, écarte les cuisses, mieux que ça !
Il a frappé un coup sec sur la fesse, et j’ai eu un sursaut, ne voyant pas qu’il ramassait la cage à bite qu’il avait portée.
— Tu mouilles, et ça va passer facilement.
Les couilles une à une, puis le sexe, et enfin la cage, qu’il a fermée en retirant la clé.
— Allez, au taf, jusqu’au jus, tu verras, c’est cool de ne rien pouvoir faire d’autre que subir. Pompe bien. Je t’ai vu faire. Oui ! Comme ça ! La vache, c’est hyper bon, je ne vais pas me retenir, et ça sera plus long pour tes fesses.
Il a enfoncé sa bite bien au fond de la gorge, et quand il a été secoué de saccades nerveuses, j’ai senti son jus glisser dans ma gorge. J’en ai pleuré, pas de douleur, non, mais plutôt de honte, avant qu’il m’allonge sur le petit lit et me soulève les cuisses.
— Tu as un joli trou qui palpite, comme j’ai vu chez certains, sans pouvoir les prendre. Toi, je vais faire durer le plaisir, j’ai tout le temps, et crois-moi, tu ne dormiras pas tout de suite.
Il n’a pas hésité, se plantant dans mon cul.
— Tu es chaud à l’intérieur, mec. Tu sens bien mon gland ? Ils me demandaient tous ça.
Et je sentais bien le gland ramoner mon cul. Comme j’avais encore du jus au bout du gland, il m’a baisé, mais il allait plus loin.
— Je t’ai baisé, mais je vais aller plus loin, que tu sentes mes cuisses sur tes fesses à chaque coup de rein.
Je n’imaginais pas un jeune aussi vicieux, mais il en avait subi, et je comprenais. En revanche, il avait une vigueur et presque de la rage dans ses coups de queue. De temps en temps, il sortait de mon cul pour le pénétrer à fond aussitôt. Il a duré longtemps, très longtemps, avant de jouir une fois au fond de moi.
— Tu tiens le coup, ma vieille ?
























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