Chapitre 8 : Jim et la soumission dans les bois
— Vous deux, vous partez. Il a donné l’adresse à Jack. On vous attendra ce soir.
Jack a eu un sourire.
— C’est un camp connu. Viens à la voiture.
Il s’est vêtu, et comme je bandais un peu, il a enfilé une capote en maille fine attachée à mes couilles, ce qui, une fois bandé, allait me faire mal, un short échancré et un tee-shirt.
— Enfile ces tennis sans lacets. Monte, on va partir.
J’ai entendu le bruit d’un grelot fixé au bout de la capote. Pendant que je rentrais la destination dans le GPS, il avait roulé.
— Au bout d’un moment, je commence à avoir faim. On va trouver une auberge un peu plus loin. Il fait beau, profitons-en, on roule bien.
Après quelques miles, un truc avec terrasse a eu l’air sympa à Jack. Il s’est garé.
— On peut manger en terrasse ?
Le jeune serveur nous a détaillés.
— Oui, mais ce sera le plat du jour.
— OK, mais on prend l’apéritif, et mon pote doit pisser.
— Je vais le guider. Pas facile à trouver ici. Venez.
J’ai suivi, son pantalon de serveur moulait ses fesses.
— Voilà, c’est là. Le bruit de grelot que j’ai entendu quand vous marchez, c’est quoi ?
J’ai dégagé mon sexe, et il a souri en voyant la capote et le grelot.
— Vous êtes quoi pour lui ? Sa chienne, son esclave ?
— La vache, je fantasme sur un maître aussi. Attends, je vais t’aider.
Il a pris la capote, qui s’est tendue sous la main, et ayant vu que je n’avais pas envie de pisser, il m’a branlé, agitant le grelot. Étonné, mais ravi, j’ai vite giclé.
— T’as déjà goûté ton jus ?
Il a passé la main sur ma bouche, me barbouillant de sperme.
— Tu aimes ce qu’il te fait ?
— Oui. Tu ne veux pas tenter le coup avec nous ?
— Il prend le cul ?
— Oh, oui.
— Bon, je te laisse te nettoyer, je file pour l’apéro. Parle-lui de moi, je suis Jim.
Je me suis séché avec l’essuie-tout et j’ai rejoint Jack.
— Tu as mis du temps, et tu sens le sperme.
Je lui ai expliqué pour Jim et ce qu’il avait fait avec ses envies. Il revenait avec les apéritifs, les yeux baissés.
— Alors, Jim, tu cherches un mâle dominateur ?
— Oui, monsieur, je fantasme énormément sur la soumission.
— OK, mais on repart après manger !
— Je n’ai pas de contrat et juste un lit et la bouffe, je pars quand je veux.
— Bon, je réfléchis, et si je te prends avec moi, tiens-toi près.
— Merci, monsieur.
— On m’appelle au bar. Je reviens chercher les verres et amène les couverts et le plat.
Peu après, il revenait et mettait tout en place, il bandait visiblement.
— Vous dites oui, monsieur ?
— Oui, mais n’attends aucune douceur et que de l’obéissance.
— Oh, merci, je les préviendrai quand vous partirez. Il y a un parking à 1 mile, si vous pouvez attendre, j’arrive.
— OK, j’attendrai là. Mais fonce.
Le plat était bon et copieux. Jack est allé payer au bar, et on est parti, sans voir Jim. Un mile après, un parking, et je l’ai vu arriver dans le miroir de courtoisie. Il trottinait et est vite arrivé. La porte arrière ouverte, Jack a aussitôt donné son premier ordre.
— Avant de t’asseoir, enlève ton froc et le slip, si t’en as un.
Forcé d’ôter ses pompes, il a été nu un instant avant de s’asseoir.
— Regarde-moi dans le rétro. Tu dois toujours avoir les cuisses ouvertes. Là, c’est mieux. C’est ta première avec un dominateur ?
— Oui, monsieur.
— Puceau avec les hommes ?
— Sucé une ou deux fois, c’est tout.
— Bien, il y a une forêt dans peu, je crois.
— Deux miles, monsieur, et un parking avec un chemin où vous pouvez passer. On peut se garer plus loin.
OK, on s’est garé là où il avait dit, et Jack m’a fait ôter mon short et prendre le sac qu’il avait mis dans le coffre.
— Allez, avancez, on va chercher deux petits arbres.
Cuisses nues dans les ronces, ça piquait, mais il a trouvé ce qu’il cherchait, pas très loin.
— Cette fois, tu te mets nu, Jim !
— Jim, tends tes poignets, que je passe les menottes. Toi, tu mets les autres aux chevilles et montre-lui bien la raie et ton trou.
Une fois équipé, il a attaché une des menottes au tronc d’un jeune chêne et l’autre a tendu ses bras en croix.
— Attache-lui les pieds, bien écartés.
— Là ! Je vois que tu aimes être comme ça.
Il a donné une baffe sur la bite sans prévenir. Il a couiné, mais bandait bien. Après quelques baffes, son gland a perlé. Il a fouillé le sac et sorti une lame en cuir cloutée et, passant derrière, a frappé ses fesses.
— Toi, tu prends sa queue en bouche, et si tu la sens prête à gicler, tu serres les dents et les couilles.
Il a commencé à frapper le dos, puis les fesses, alternant les coups sans prévenir. J’ai senti une goutte sur le dos, puis dû mordre et serrer quand il a dit :
— Je suis tout à vous, monsieur.
J’ai vérifié en levant la tête, il chialait doucement, sans débander. Jack est passé devant lui, serrant les couilles.
— Cambre-toi, que le french te salive la chatte.
Je me suis accroupi et j’ai écarté ses fesses pour lécher le trou que Jack allait sûrement défoncer. Je n’ai pas trop bavé pour qu’il ait mal à la sodomie.
— Il a presque un si petit anus qu’il n’a pas dû être défoncé.
— Génial, tu vas morfler, et j’aime faire chialer. C’est toi qui as dit aimer obéir à un mâle comme une femelle.
— Retire-toi et mets sa bite dans la bouche.
Il est passé derrière, raide comme je l’avais subi. Le mec allait morfler. Écartant ses lobes fessiers, il s’est installé face à l’anus et a commencé à pousser. Je le retenais par la bite dans la bouche, et quand le gland de Jack a ouvert le passage, restant comme ça un moment, la partie la plus épaisse dans les fesses, je l’ai senti sursauter et couiner. D’une claque sur les fesses, il l’a calmé et a pénétré au fond de son cul.
— Tu n’étais pas très ouvert, Jim, tu as eu mal, mais j’ai eu du mal à te prendre. Je vais labourer ton cul pour que ton trou devienne plus souple.
Il m’a demandé s’il bandait. J’ai eu un geste du doigt pour dire non. Il a commencé ses va-et-vient dans les fesses. J’ai senti son sexe bandouiller. Après cette séance, il l’a prévenu :
— Maintenant, je vais te rendre femelle.
Il s’est dégagé du trou et, deux secondes après, se remettait au fond. Comme il commençait à crier, il l’a bâillonné de la main, tout en refaisant son manège d’entrée et sortie. Il ne bandait pas, mais j’ai senti un peu de jus sortir de sa bite.
— Pour cette fois, je pense que tu as saisi ce qu’est un mâle.
— Dominique, garde sa bite en bouche et écarte tes fesses. Regarde, Jim, une femelle se faire prendre, et toi, creuse les reins, qu’il voie de haut ton trou pas encore dilaté.
Je savais que je me refermais, mais que j’étais maintenant très souple, et c’est sans surprise que j’ai senti le membre de Jack s’enfiler en moi. Après plusieurs coups de reins, il s’est retiré, laissant mon anus crémeux, bien ouvert.
— Tu vas être comme Dominique, un trou pour rendre service.
Il avait défait les liens des poignets, et sans honte de ma part, je montrais mon trou bien ouvert.
— Maintenant, Jim, tu me suces, lentement. Je sais que ça sent le cul de Dominique, mais tu n’as jamais à hésiter.
J’avais reçu son jus, et en me retirant, il a lâché encore quelques gouttes sur mon dos, assis sur mon cou pour sucer Jack. Une fois satisfait, il a demandé à Jim :
— Que dois-tu dire ?
Je lui ai soufflé :
— Merci, maître.
Ça a satisfait Jack.
— Bon, rangez tout, on retourne à la voiture.
























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