Ma rencontre avec Jack Chapitre 9

J’ai porté le sac jusqu’au coffre. Jack en a sorti un short plus ouvert sur les côtés que le mien.

— Enfile ça, petite lopette.

— Oui, merci, maître.

Il avait au moins compris ce que je lui avais dit.

— Ton tee-shirt est trop long.

Il a découpé au moins 20 centimètres, on voyait le nombril quand il l’a mis.

— Toi, Dominique, je fais de même, et je vais découper le tissu entre tes cuisses.

Non seulement le short était transparent, mais il faisait jupe courte.

— On va repartir, sortir de cette forêt et rouler. Il devrait encore faire jour en arrivant. Lopette, écarte un des pans du short, que je voie tes couilles.

Il a fermé les vitres et mis la clim. Je sentais l’air froid entre mes cuisses nues sous la sorte de jupe. Il roulait à bonne allure sans dépasser les limites. À un moment, le GPS nous a guidés vers une sorte de chemin de terre avec des panneaux réguliers : « Route privée », « Passage interdit ». On a continué, il n’y avait plus de signal GPS, jusqu’à une barrière et une caméra qui nous matait. Un mec assez jeune est venu voir.

— Vous deviez être deux ! Qui est le troisième ?

Il a ouvert la porte et a vu la tenue de Jim.

— OK, c’est bon, j’ouvre et referme. À 100 mètres, il y a un car-car où vous laissez la voiture et leurs fringues. Ils doivent venir nus. Fermez-la à clé, il y a un tableau pour accrocher les clés au bureau.

En bon soumis, j’ai maté sa tenue et le gourdin qui s’était formé en nous voyant. Pas très loin, un bâtiment en longueur avec pas mal de portes, comme une écurie. Un mec est sorti de la porte centrale, en chemisette et short court, d’où dépassait la chair du sexe.

— Vous êtes à l’heure, mais je n’attendais qu’une chienne. Attendez là, cuisses ouvertes de façon à avoir les fesses ouvertes. Entre, Jack.

On a attendu un moment, nus, se matant de temps en temps. Son sexe avait des soubresauts nerveux, et le mien, plus petit, se tenait à l’équerre.

— Bon, la porte s’est ouverte. Vous deux, marchez devant, à droite, au bout du bâtiment.

Là, sous un hangar, toutes les possibilités de travailler un corps d’homme étaient réunies. Je ne devinais pas à quoi toutes servaient.

— Jim, ton maître t’a défloré le cul, mais il semble être encore serré. Colle-toi à ce poteau, le dos bien droit, tout est automatique.

Des liens ont serré son buste, et il a été soulevé sans pouvoir remuer. La partie basse s’est ouverte en trois. Deux lui écartaient les cuisses, et j’ai vu le gode sortir au bout du troisième. Le gode est monté et a dû pénétrer l’anus. Il a poussé un cri, mais voyant que les deux mecs souriaient, il s’est tu, et ils lui ont mis une boule fermée avec du scotch sur la bouche.

— Bon, ce matériel travaille seul et va lui faire un cul comme doit être le trou d’une chienne. Le poteau tourne sur lui-même et va suivre nos silhouettes. Toi, le Français, avance vers l’appareil suivant. Et allonge-toi sur le dos. Pose tes chevilles sur les menottes magnétiques. Là, elles se referment et écartent tes cuisses. Pose la tête, Jack va fixer le collier, et tu la penches en arrière, une lanière va te tenir le front. Tu ne pourras plus refermer la bouche. J’ajuste le gode de tes fesses juste contre ton petit trou, qui a déjà pas mal servi, je vois.

J’ai entendu le déclic, et le gode s’est enfoncé en moi. Je ne le voyais pas, mais celui qu’ils avançaient vers mes lèvres, si !

— Écarte les lèvres, qu’il entre juste.

Il était juste devant mes yeux, et quand il a bougé, il est allé loin dans ma bouche sans dépasser la luette. J’ai vite bavé. Ils ont incliné l’engin face à Jim, qui a tout vu. Il bandait, et chaque poussée du gode en lui le faisait grimacer.

— On changera la taille de l’embout dans un moment. Vous avez dû voir le gars de la barrière. C’est lui qui teste la résistance le soir avant de les rentrer dans les stalles. Je vous montrerai, on joue ici sur leur résistance anale et buccale, et si vous désirez, le travail des seins aussi. Ce n’est plus trop l’époque, et je n’ai que peu de pensionnaires, mais si l’un d’eux vous tente, je vous l’offrirai pour la nuit, ou vous pouvez en changer, ils n’ont pas à protester.

— Je vous donne un badge pour entrer et sortir avec la voiture. Il y a un brouilleur d’ondes qui nous rend invisible aux satellites. Toutes les autorisations nous ont été délivrées, des jeunes du Secret Service doivent tester leur résistance aux différentes tortures, et les sexuelles, pour un hétéro, sont dures à admettre. Voilà la salle où sont attachés les jeunes chiennes libres que vous pouvez choisir. Je vais vous donner un bracelet pour libérer celui de votre choix.

— Une question, combien de temps je les fais travailler, vos chiennes, que j’adapte le programme ?

— Cinq jours sont suffisants ?

— Parfait, ils seront dociles et sans plus aucune pudeur. Je vous laisse. J’ai quelques jeunes à changer d’appareil. Et modifier la tête de votre bâtard pour qu’il ne s’étouffe pas de bave.

Jack est parti faire un tour en ville, nous laissant aux mains des autres dominateurs.

— Alors, petit, tu commences à devoir avaler ta salive, et je vais pencher ta tête sur le côté, mais juste un peu, faire déplacer le gode de ta bouche pour habituer ta luette à s’ouvrir un peu.

Je ne pouvais pas parler, mais les larmes coulaient.

— Pendant que j’y suis, je vais changer la taille du gode et sa cadence.

Je l’ai à peine aperçu, mais le gland m’a paru énorme.

— Bien, et ton pote, il s’habitue ? Tu as l’air d’apprécier, je vois du pré-sperme couler le long de ta queue.

Il a arrêté le mouvement, le gode sorti pour changer la taille, et le remettant en marche, il a adapté un sac en caoutchouc serré sur les couilles et lâche devant pour récupérer le jus qu’il n’allait pas tarder à produire.

— Moi, je te verrai demain, mais c’est le jeune du portail qui va s’occuper de vous. Il a été comme vous, mais est devenu dominateur de son pote. Bonne nuit, les chiennes.

On est restés à se faire mécaniquement défoncer, cul et bouche pour moi. Je ne trouvais pas désagréable de me faire prendre, seul le gode qui titillait ma luette me gênait. J’ai dû jouir sans même m’en apercevoir. Jim, de son côté, défoncé par le gode, je voyais, de temps en temps, le sac sur sa bite être secoué par des spasmes.

La nuit tombait, et des éclairages automatiques se sont allumés, braqués sur chacun de nous. La nuit, les sons passent mieux, et j’entendais des pleurs plus loin derrière moi. Jim, du haut, voyait tout, lui, mais ne pouvait parler, bâillonné. Le temps passait, et Jim ne geignait plus. Seul le bruit des appareils et les pleurs au loin perçaient le silence.

Sans repères de temps, j’ai vu venir, entre Jim et moi, Jack et le mec de la barrière, tous les deux juste en slip moulant.

— Vous aviez raison, tous les deux, les poils de Jim ne sont pas esthétiques. Ils ne rendent en rien son côté soumis. Vous avez un rasoir ?

— Mieux encore, un épilateur professionnel passe tous les jours.