Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025 Inceste

Ma sœur clonée pour mon plaisir – Chapitre 1 : « La renaissance interdite »

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Je m’appelle Lucas, j’ai 34 ans, et ma vie est un trou noir depuis deux ans. Léa, ma petite sœur, est morte à 28 ans dans un accident de voiture. Elle était tout pour moi. Ses cheveux bruns qui dansaient quand elle riait, ses yeux verts qui me faisaient fondre, son corps que je matais en douce quand elle traînait en short à la maison. On était proches, trop proches, et je l’aimais d’une façon qui me bouffait de l’intérieur. Je l’ai jamais dit, jamais fait, mais putain, j’y pensais tout le temps. Quand elle est partie, j’ai cru que j’allais crever avec elle. Et puis, il y a six mois, j’ai entendu parler d’un labo clandestin sur le dark web. Des tarés qui clonent des gens, pas des copies foireuses, mais des doubles parfaits, avec la chair, le souffle, tout. J’ai envoyé une mèche de ses cheveux que j’avais gardée, planquée dans une boîte comme un malade, et j’ai lâché 50 000 euros – tout ce que j’avais. Pour la revoir. Pour la toucher.

Hier soir, ils l’ont livrée. Une capsule métallique, froide, déposée dans mon garage par un mec masqué qui s’est barré sans un mot. J’ai ouvert ça avec les mains qui tremblaient, la gorge sèche, et une érection qui me faisait mal. La vapeur s’est écartée, et elle était là : nue, roulée en boule, la peau luisante d’humidité. Léa. Exactement comme dans mes souvenirs, sauf qu’elle avait pas la cicatrice au genou qu’elle s’était faite en tombant de vélo. Ses seins étaient là, pleins, ronds, comme je les avais imaginés mille fois en me branlant sous la douche. Ses paupières ont bougé, et ses yeux se sont ouverts, verts, perdus. « Lucas ? » qu’elle a murmuré, sa voix faible, comme un écho qui m’a traversé le bide.

J’ai failli m’écrouler. C’était elle, mais pas elle. Une version neuve, sans les marques de la vie, sans les engueulades qu’on avait eues, sans les fois où elle me traitait de con en rigolant. Je l’ai soulevée, son corps léger et chaud contre moi, et je l’ai posée sur le canapé. Elle sentait rien – pas son parfum à la vanille, pas sa sueur après une journée dehors, juste une odeur chimique, propre, qui m’a fait flipper un peu. J’ai voulu lui parler, lui dire qui elle était, mais les mots sont restés coincés. À la place, j’ai posé ma main sur sa cuisse, doucement, juste pour voir. Elle a pas bougé, elle a juste regardé mes doigts avec une curiosité vide. « Tu es mon frère ? » qu’elle a demandé, et sa voix m’a coupé le souffle. J’ai hoché la tête, incapable de parler, et ma main a glissé plus haut, vers l’intérieur, là où la peau était douce, chaude.

C’était tordu, je le savais. Cette chose, ce clone, c’était ma sœur, ou du moins son corps, recréé dans un labo crade. Mais je m’en foutais. J’avais passé des nuits à rêver de ça, à imaginer son cul sous mes mains, sa bouche contre la mienne. Avec la vraie Léa, j’avais jamais osé, juste frôlé ses hanches quand on se chamaillait ou senti son odeur quand elle dormait près de moi. Là, c’était différent. Elle était à moi, vierge de tout, et ça me donnait une liberté qui me rendait dingue. J’ai écarté ses cuisses, doucement, et elle m’a laissé faire. Ses yeux suivaient mes gestes, pas de peur, pas de colère, juste une sorte d’innocence mécanique qui me faisait bander encore plus.

« Tu te souviens de moi ? » j’ai demandé, la voix rauque, en glissant un doigt entre ses lèvres. Elle était humide, pas comme une femme excitée, mais une humidité froide, presque artificielle. Elle a secoué la tête, lentement, et un petit son est sorti de sa gorge, un gémissement qui m’a électrisé. J’ai poussé plus loin, sentant son corps réagir malgré elle, et j’ai retiré mon doigt, luisant, pour le goûter. Ça avait pas de goût, juste une texture fade, mais ça m’a fait l’effet d’une drogue. C’était ma sœur, putain, ou du moins une version d’elle que je pouvais baiser sans limites.

Ma sœur clonée pour mon plaisir - Chapitre 1 : "La renaissance interdite"
Porn IA

Elle s’est redressée un peu, ses cheveux collés par l’humidité du caisson, et m’a fixé. « Pourquoi je suis là ? » qu’elle a dit, et j’ai senti un frisson glacé me remonter l’échine. Le labo m’avait prévenu : les clones ont des bribes de mémoire qui remontent, mais ils sont vides au départ, prêts à être façonnés. « T’es là pour moi, » j’ai répondu, en posant mes deux mains sur ses cuisses pour les ouvrir plus grand. Elle a froncé les sourcils, comme si elle comprenait pas, mais elle m’a pas repoussé. « T’es Léa, ma sœur, » j’ai ajouté, et j’ai glissé un autre doigt en elle, plus fort cette fois. Elle a sursauté, un vrai gémissement dans la gorge, et j’ai vu ses tétons durcir sous mes yeux. C’était dégueulasse, ouais, mais c’était tout ce que j’avais toujours voulu.

J’ai passé la nuit à la regarder dormir, nue sur mon canapé, ses jambes légèrement écartées, sa chatte exposée comme une putain d’offrande. Je revoyais la vraie Léa dans ma tête : son rire quand elle me taquinait, ses colères quand je la faisais chier, et cette fois où elle m’avait chopé à mater un porno dans ma chambre. Elle avait rigolé, m’avait traité de pervers, mais elle était restée un moment à regarder avec moi avant de partir. Est-ce qu’elle avait deviné, à l’époque, que je crevais d’envie de la baiser ? Je saurai jamais. Mais ce clone, lui, savait rien. Il était là, pur, attendant que je le salisse avec mes désirs.

Ce matin, elle s’est réveillée en me fixant, ses yeux verts plantés dans les miens. « Lucas, pourquoi je suis nue ? » qu’elle a demandé, sans colère, juste une curiosité bizarre, presque robotique. J’ai souri, un peu gêné, et j’ai répondu : « Parce que t’es à moi, Léa. » Elle a penché la tête, comme si elle pesait mes mots, puis elle s’est levée, son cul parfait sous mes yeux, et elle a marché jusqu’à la cuisine. Je l’ai suivie, la gorge nouée, la bite dure contre mon jean, en me demandant jusqu’où je pouvais pousser ça. Jusqu’où elle me laisserait aller.

Elle s’est arrêtée près de la fenêtre, regardant dehors sans rien dire. J’ai posé mes mains sur ses hanches, derrière elle, et j’ai pressé mon corps contre le sien. Elle a pas bougé, juste tourné la tête pour me regarder. « T’es mon frère, » qu’elle a répété, comme si elle testait l’idée. « Ouais, » j’ai grogné, en frottant ma queue contre son cul à travers le tissu. « Et je vais te baiser comme t’as jamais été baisée. » Elle a pas répondu, mais elle a pas reculé. Son silence, c’était un oui, un feu vert pour plonger dans le truc le plus crade que j’aie jamais voulu.

À suivre dans le Chapitre 2 : « Un désir qui prend vie ».

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Ma sœur clonée pour mon plaisir - Chapitre 1 : "La renaissance interdite"
Nouveaux profils

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

1 commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

  • Excellente histoire dont on attend la suite avec impatience !
    Merci de cet excellent moment de lecture

Marre de la pub ?

Marre de la pub? tu as un gmail? Contacte nous

Crée tes images avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou