Mon père montait à présent les escaliers. Ce fut avec une excitation des plus vives que nous vîmes la poignée tourner et la porte s’ouvrir. En nous voyant nus tous les cinq, papa afficha la même expression de surprise que notre mère une heure auparavant.
— Qu’est-ce qu’il se passe ici ?! Solange ! Les enfants ! Pourquoi êtes-vous tous nus ?
Ma mère alla enlacer mon père et lui donna un baiser.
— Mon chéri, permets-moi de t’expliquer la situation : nos enfants l’ont fait. Ils ont eu des rapports incestueux. Élodie et Thu Jin étaient également de la partie. Rassure-toi : je ne l’ai découvert qu’aujourd’hui. Je leur ai raconté mon histoire, ce qu’il m’est arrivé avec mon père. Ils ont été plus que compréhensifs. Tout comme toi. Allez, rejoins, Daniel. Alexandre se sent seul avec toutes ces femmes.
— Whaou ! J’étais loin de m’attendre à quelque chose de ce genre en rentrant à la maison… Mais bon, puisque nos enfants le veulent, nous allons leur montrer ce que leurs parents savent faire, ma chérie. Et puis, Morgane, Alexandre, vous n’êtes pas les seuls à éprouver le fantasme de l’inceste. Ma chère fille, viens soulager ton père de sa longue journée de travail.
Aux anges, ma sœur alla s’agenouiller devant papa et fit glisser la fermeture éclair de son jean. Avec un désir sauvage, Morgane fit ensuite tomber son pantalon au sol et lui retira son boxer, faisant jaillir un sexe de bonne taille raide d’excitation.
— Hum… Les hommes de notre famille sont visiblement bien équipés ! Petit frère, viens te mettre à côté de papa. Je veux comparer vos sexes.
Je me plaçai aux côtés de mon père et ma sœur jaugea nos deux verges.
— Hum… À première vue, vous semblez avoir des phallus de même taille. Qu’en dis-tu, maman ?
Ma mère s’agenouilla devant moi et prit mon sexe dans une main et celui de mon père dans l’autre. Elle caressa nos deux verges sur toute leur longueur pendant quelques secondes et les relâcha.
— Tu as raison ma chérie, ils semblent de même taille. Mais le sont-ils réellement ? Va chercher une règle que nous en ayons le cœur net.
Morgane ouvrit un tiroir et en sortit un triple décimètre. Elle le tendit à ma mère qui prit nos mensurations.
— Pour papa, une taille de… 18,4 centimètres. Et pour Alexandre, une taille de… Incroyable ! 18,4 centimètres aussi !
Ma mère reposa la règle sur le sol et s’agenouilla devant moi. Elle se saisit la base de mon phallus et commença à me prodiguer l’une de ses superbes fellations dont elle seule détenait le secret.
Morgane s’agenouilla devant mon père.
— Hum… Après le sexe de mon petit frère, je meurs d’envie de goûter celui de mon père.
Sur ces mots, ma sœur suivit l’exemple de ma mère et commença à sucer mon père. Élodie et Thu Jin se placèrent mon père et moi et commencèrent à nous masser les épaules en nous déposant, de temps à autre, un langoureux baiser sur le cou.
Pendant que Thu Jin le massait, mon père ne cessait de complimenter ma sœur sur ses talents de fellatrice.
— Quel bonheur ! Ô Morgane, tu as hérité tes talents de ta mère ! Continue ! Suce-moi !
Pendant ce temps, ma mère me suçait toujours avec maîtrise et application. Agenouillée nue devant moi, elle me donnait beaucoup envie.
— Maman ! Arrête ! J’ai envie de toi ! Laisse-moi t’aimer !
Ma mère recracha mon pénis et me regarda d’un air mi-vicieux mi-autoritaire.
— Très bien, mais tu n’auras droit qu’à mon anus, car je refuse que tu reviennes dans le sexe qui t’a donné la vie. Je t’ai mis au monde pour que tu voles de tes propres ailes et non pour que tu restes avec moi pour que je te couve.
Je hochai la tête en signe d’approbation et ma mère me prit par la main. Elle m’entraîna vers un mur de la chambre. Elle posa ses mains dessus et se cambra le plus possible afin de me faciliter l’accès à sa croupe.
Je saisis mon phallus et l’enfonçai, centimètre par centimètre, dans l’anus maternel. Lorsque mon sexe fut bien immergé dans le fessier de ma mère, je me mis à faire d’allègres va-et-vient qui la firent gémir de plaisir.
Pendant que je sodomisais ma mère, j’entendis mon père s’adresser à ma sœur et à ses amies.
— Bonne idée qu’il a eue, ton frère ! Je vais aussi profiter de ton anus, ma chérie. Quant à vous deux, aidez-moi à la faire jouir.
Mon père entraîna les trois filles vers le mur opposé à celui que ma mère avait choisi. Morgane prit la même posture que ma mère et mon père donna ses instructions.
— Élodie, mets-toi à genoux sous Morgane et lèche-lui la chatte. Thu Jin, amuse-toi bien avec sa magnifique poitrine.
Les deux se placèrent exactement comme mon père le leur avait demandé et celui-ci se mit à sodomiser ma sœur pendant qu’Élodie et Thu Jin appliquaient ses exigences.
De mon côté, après m’être défoulé entre les fesses de ma mère pendant cinq bonnes minutes, j’y éjaculai dans un râle de plaisir. Je retirai mon sexe de l’anus maternel et laissai ma génitrice se redresser afin de se remettre de l’inconfort de sa position antérieure.
Alors que ma mère se reposait, une idée me vint à l’esprit. J’avais beaucoup apprécié, plus que je ne le laissais voir à ma sœur et à ses amies, d’avoir été sodomisé par des femmes. Je pris alors le gode de ma sœur que celle-ci avait abandonné sur le sol et le tendis à ma mère.
— À ton tour, maman.
— Hum… Tu veux que je te prenne ?
— Oui, s’il te plaît ! J’ai toujours beaucoup t’obéir et, lorsque tu me punissais, j’étais toujours secrètement excité par ton autorité. Alors, maintenant, punis-moi à nouveau ! Punis-moi d’avoir fait l’amour avec ma propre sœur ! Venge-toi de la sodomie que je t’ai faite subir !
Ma mère me sourit et attacha le gode-ceinture au niveau de ses reins. Je pris la même position qu’elle quelques minutes auparavant et ma génitrice enfonça l’extrémité du gode dans mon anus. Elle me prit par les hanches et se mit à aller et venir allègrement dans mon fondement.
Ma mère me fit subir la puissance de ses coups de reins pendant quelques minutes encore puis elle se retira de mon fessier.
— Punition terminée, mon enfant.
Elle retira le gode-ceinture et le reposa à terre. Après avoir eu le plaisir d’être sodomisé par ma mère, je voulais à présent terminer notre séance en lui faisant un cunnilingus à la hauteur de ses fellations.
— Maman ? À défaut de pouvoir pénétrer ce magnifique sexe qui m’a mis au monde, pourrais-je le vénérer de mes caresses ?
Ma mère éclata de rire.
— Comme ton père, toi… Tu trouves toujours un compromis pour atteindre ton but. Bon, d’accord, je vais te laisser me lécher la chatte.
Ma mère plaqua mon visage sur son sexe. Excité, je sortis ma langue et léchai avec passion le sexe qui m’avait fait voir le jour dix-huit ans auparavant. Après quelques secondes, ma génitrice émit un feulement de plaisir et ma bouche fut assaillie de sa délicieuse cyprine.
Après que j’eusse avalé la cyprine de ma mère, je regardai à nouveau ce que faisaient mon père et les trois filles.
— Oh! Oui! Ça y est! Ça va venir!
Mon père se retira de l’anus de ma soeur et éjacula sur ses fesses. Élodie et Thu Jin s’agenouillèrent derrière Morgane et léchèrent son fessier afin de le nettoyer du sperme paternel.
Lorsque nous fûmes tous apaisés par l’assouvissement de nos pulsions, nous discutâmes de ce que nous pouvions faire ensuite pour mettre un peu plus de piment dans notre vie.
— Je crois qu’il est temps que je rende une petite visite à mon père. Je pense qu’en lui rappelant le bon vieux temps, il sera on ne peut plus réjoui par la nouvelle que je lui annoncerai.
Tout le monde approuva l’idée de ma mère et celle-ci se prépara pour aller rendre visite à mon grand-père.
La suite demain même heure
Superbe histoire très excitante.
Et que la perversion soi pour la suite de cette histoire.