18 décembre 2016

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Bonjour,

La confession que je vais vous faire aujourd’hui est encore d’actualité. J’habite dans une zone résidentielle très calme et plutôt cossue. Je m’appelle Jean-Marc, j’ai 43 ans et je suis chef d’entreprise. Je suis célibataire et m’arrive très souvent de regarder des films pornographiques lorsque je n’ai pas de partenaire. Et c’est à cette occasion que j’ai fait la connaissance de ma voisine de 18 ans.

Repartons deux ans en arrière. Ce soir-là, il faisait chaud pour ce mois de juillet. J’avais laissé mes volets et mes fenêtres entrouvertes tandis que je regardais un film porno tranquillement allongé sur mon canapé en train de me caresser. Je ne me branlais pas, mais je me caressais doucement pour faire monter l’excitation. C’est à ce moment-là que j’ai entendu un bruit. Je me suis levé, j’ai fait le tour de la pièce, mais je n’ai vu ni personne ni quoi que ce soit. Je suis donc retourné m’installer sur le canapé, mais avec le regard cherchant à trouver ce qui était à l’origine de ce bruit. C’est là que j’ai aperçu une ombre, celle d’une jeune fille. Je me suis levé discrètement sans qu’elle me voie. Elle était en train de me chercher du regard lorsque je me suis présenté devant elle. Elle n’a pas fui. Je lui ai demandé ce qu’elle faisait et elle m’a répondu ouvertement sans se démonter qu’elle m’observait en train de me masturber. Je lui ai demandé son âge avant de la renvoyer chez elle.

Le lendemain j’ai recommencé. Et bizarrement, j’ai cherché du regard ma petite voisine pour voir si elle revenait m’observer. Elle n’est pas venue ni le jour suivant. Mais au troisième soir, elle ne s’est absolument pas cachée et s’était appuyée sur ses avant-bras à la fenêtre en train de me regarder. Je l’ai invitée à entrer pensant très bien qu’elle allait fuir. Cette coquine est venue s’asseoir à côté de moi. Je suis toujours en érection et d’autant plus depuis qu’elle est là. Surpris par la situation, j’ai continué de me caresser. Elle a poussé ma main pour prendre la relève. Elle m’a branlé et a fini par me sucer jusqu’à l’éjaculation. Elle l’a sentie monter et s’est enlevée juste au moment où j’ai joui. Elle s’est levée me laissant ainsi pantelant et me dit : « à demain soir ! »

Ma voisine de 18 ans joue les voyeur et je la baise — Un trans au tél rose !

Le lendemain soir, je me suis mis dans la même situation. Elle n’a même pas tapé et a ouvert la baie vitrée pour venir se mettre à côté de moi. Elle avait mis une petite tenue sexy et cette fois-là, c’est moi qui suis venu caresser son corps jusqu’au moment où j’ai glissé ma main dans sa petite culotte. Elle était détrempée ! Je l’ai caressée et je l’ai doigtée tout en l’embrassant dans le cou. De sa main droite, elle me branlait et ce moment était très excitant. Nous avons fait l’amour ce soir-là dans la chaleur de la nuit et au son des cigales. Tout au long de la journée, je ne pense qu’à une seule chose, la venue soudaine de ma voisine de 18 ans qui est très coquine. Je laisse tout le temps ouvert et il arrive quelquefois lorsque je rentre très tard, de la retrouver complètement nue dans mon lit. Je fonce prendre une douche je me colle à elle pour lui faire l’amour.

Cela fait deux ans que cela dure. Elle a maintenant 20 ans, un petit ami, mais cela ne l’empêche pas de venir me voir de temps en temps et même de dormir avec moi. Elle m’a autorisé au fil de ces deux années à accéder à d’autres orifices et à faire d’autres pratiques sexuelles. J’ai acquis sa confiance contrairement à son petit ami. Elle m’a dit que j’avais comme une accréditation de niveau supérieur par rapport à lui !

J’ai 43 ans maintenant et elle 20. On vit une superbe histoire de sexe et je me suis même laissé surprendre par des sentiments. Doucement, mais sûrement, je tombe amoureux de cette jeune fille. Elle le sait et se trouve être aussi perturbée par la situation. Je ne sais pas où tout cela va nous mener, mais en tout cas ce sont de très bons moments ensemble et j’espère vraiment que cela va durer. Je ne sais pas si cette histoire taboue sera publiée, mais elle est bien réelle et elle a le mérite de ne pas être une histoire passée, mais belle et bien actuelle.

Jean-Marc 43 ans Cassis