an, prête à tout 2
Huguette ne quitte pas des yeux le membre englué de son frère, qui vient de remplir copieusement le cul de sa maman. Toujours intriguée, par l’attitude des incestueux amants, elle n’a pas lâchée, la boule de chair hyper gonflé de sa maman. Julia halète fortement en cherchant un nouveau souffle. Le regarde de sa fille se pose un instant sur son trou béant, qui laisse échapper un filet de liquide blanchâtre. Huguette pousse un gros soupir bruyant. Personne ne parle, les regards se croisent, ils pétillent comme du champagne. Grégoire rompt le silence :
-Alors sœurette, ça t’intéresse de subir une bonne sodomie, profites-en car je suis en pleine forme, fais-toi plaisir. Ma queue, c’est autre chose que celle de ton mari essaye là !
La maman entre deux respirations, ajoute :
-Oh ma chérie la bite de ton frère est merveilleuse, elle m’a bien éclatée, ne te prives pas d’une si bonne verge ma chérie, joue avec, vas-y, vas-y !
Huguette reste un long moment, à observer le membre luisant de sperme. Elle hésite, elle ravale bruyamment sa salive, la tentation est si forte qu’elle tend la main, Malgré qu’elle tremble, elle saisit sans brusquerie le manche de chair vivant, elle sent battre dans les veines apparentes, le sang. Huguette, impressionnée par le membre gorgé de sang, en forme de sabre, le presse plusieurs fois, sans le quitter des yeux. Puis mécaniquement se met à l’agiter, sa maman l’encourage :
-Oui, oui, ma chérie, branle-le bien, avant de le prendre dans les entrailles !
Avec dextérité, Huguette agite la verge qui semble encore prendre du volume. A chaque descente de son poignet, elle découvre largement le gland qui semble redoutable. En se pinçant les lèvres, elle cesse de branler. Elle observe sous tous ses angles, le gland impressionnant. Doucement, elle approche son visage du mat dressé, et donne quelques coups de langue bien ajustées sur le gland violacé. Grégoire se cambre pour offrir le mieux qu’il peut à la langue de sa sœur son gland. Huguette devient plus audacieuse, sa langue descend plusieurs fois, le long de la hampe épaisse, pour recueillir le surplus de sperme qui la recouvre. Grégoire pousse de petits gémissements, qui prouvent qu’il apprécie le travail de la langue de sa sœur sur sa bite.
La maman est émerveillée, de l’effort que fait sa fille, sur le membre dressé de son fils. La langue râpeuse, glisse sur le manche épais, en faisant geindre Grégoire comme un animal blessé. Soudain, il se cabre en poussant un long râle, sa sœur vient de lui gober le gland. Elle le suce et le tète férocement. Huguette semble avoir oubliée, qu’elle pratique, elle aussi de l’inceste, elle dévore la bite de son frère comme si c’était celle de son mari. Elle pousse des grognements en suçant l’engin, elle lui presse de temps en temps les couilles, pour faire monter la pression d’un cran. Julia regarde sa fille, en souriant, elle dit tendrement :
Huguette, ma chérie ta bouche est magique, ton frère va bientôt te récompenser, il va gicler le cochon, prends garde ma chérie !
Huguette ne recrache pas le gland, au contraire, elle le suce avec plus de vigueur, elle grogne comme un animal sur son os. Julia crie :
-Vas-y mon chéri, elle veut ta semence, remplit lui la bouche !
Grégoire, grimace, il se tend comme un arc et envoie dans la bouche de sa sœur une violente giclée de sperme. Surprise par la décharge puissante, elle recrache le gland. Serre les lèvres, en faisant une moue, un filet se semence s’échappe à la commissure de ses lèvres pulpeuses. Elle l’essuie d’un revers de la main, et avale par petite gorgées, la crème onctueuse, que son frère lui offre généreusement. Excitée terriblement, Huguette ôte ses vêtements. Grégoire, écarquille les yeux. C’est la première fois qu’il voit sa sœur nue. Il admire le corps quasi parfait de la sœurette, qui rapidement l’enjambe, saisit la verge qui rejette encore quelques gouttes de sperme, et s’empale dessus jusqu’aux couilles, en poussant :
-Ouah comme elle est grosse, et comme elle me remplit bien la chatte oh la vache comme c’est bon !
Elle s’accroche au cou de son frère, et commence à s’agiter comme une forcenée, en geignant. Julia s’excite encore plus en regardant sa fille se faire prendre :
-Agite-toi bouge, bouge, ouah, la vache comme il t’ouvre bien !
sans cesser de parler, la maman s’approche et saisit le clito de sa fille. elle le branle avec rage, l’écrase en serrant les dents, elle reproduit sur sa fille ce qu’elle même adore. le clito rapidement devient monstrueux, Julia le regarde ses yeux sont presque désorbités, au bord de l’hystérie, elle s’acharne dessus en disant fortement :
-Jouis, jouis, salope, mais tu vas jouir sale pute !
Huguette se cabre en poussant un terrible gémissement, elle ressent comme une décharge électrique, lui traverser le ventre. sa jouissance est terrible. Sa maman lui écrase le clito, la douleur provoque sur sa fille une jouissance encore plus intense. Julia reprend le branlage du clito, avec violence.
Une seconde jouissance fait hurler Huguette, qui se cramponne à son frère. Au même moment, Grégoire envoie dans le ventre de sa sœur, une giclée de sperme brulant. Julia satisfaite du résultat, lâche le clito qu’elle vient de maltraiter.
Lentement Huguette se désaccouple, elle est haletant. C’est à ce moment là que sa maman saisit la verge gluante de son fils, et la dirige vers la petite porte secrète de sa fille. Elle répète fois plusieurs, toujours dans un état d’excitation extrême :
-Empale ton gros cul dessus salope, fais-toi sonder le cul, tu verras comme c’est merveilleux de jouir par le cul !
En ravalant sa salive, Huguette descend lentement son corps, le gland appuie sur son anus, elle serre les dents en prenant une grande aspiration, et reprend la descente. Son anus cède, et avale lentement le manche de chair, qui lui dilate la gaine étroite.
Huguette grimace, c’est la première fois qu’une bite s’enfonce dans son rectum. Elle croit que ses chairs vont se déchirer. Sa maman pose ses mains sur ses épaules et appuie de toutes ses forces. Huguette pousse un hurlement, l’empalement est totale. Elle s’accroche à son frère qui lui saisit les hanches. Elle respire par saccade, son cœur bat terriblement fort dans sa poitrine. la bite large, très épaisse qui lui distend le conduit anal fortement, la fait grimacer. Sa maman a les yeux scotchés sur le manche qui fore le cul de sa fille, elle ravale sa salive et dit :
-Bouge, bouge, fais l’ascenseur, aller, aller, agite ton cul de salope, oh putain comme tu l’as profond !
En serrant les dents, Huguette commence à faire quelques mouvements avec son bassin. Au fil des minutes, la douleur semble s’estamper. Huguette prend confiance, et s’agite plus rapidement. Elle chevauche sa monture, la coquine ressent du plaisir, elle geint au rythme des pénétrations qu’elle s’impose. Enfin, la machine est lancée. Elle monte et descend sur le pal puissant, en poussant des gémissements bruyants. A chaque descente, son frère lui tire fortement sur les hanches, pour bien l’empaler. Huguette accélère, la pression monte dans ses entrailles. Elle geint fortement, elle s’agite comme une malade sur le membre qui lui défonce le cul. Elle ne peut retenir ses :
-Oui, oui, mon Dieu c’est merveilleux, oh je vais jouir, oui, oui !
Elle se cabre et en poussant un très long râle, explose. sa jouissance anale est fabuleuse, elle ne cesse de dit :
-Oh que c’est bon, que c’est bon !
Julia dans un état second brusquement oblige sa fille de descendre de sa monture. Elle enjambe son fils et s’empale à son tour sur le mat toujours dressé. La coquine s’éclate la chatte comme une sauvage. Soudain elle se redresse et saisit la verge de Grégoire, pour la diriger vers son anus encore ouvert. Elle s’empale en geignant de plaisir. Elle s’agite jusqu’à ce que la jouissance arrive. Elle écrase les couilles de son fils à chaque descente brutales de son corps. Grégoire grimace, il se rend compte avec joie, que sa maman est une chaude du cul. Il lui remplit l’intestin de sa semence. Huguette git, les yeux hagards, affalée sur le canapé.
Soudain la porte s’ouvre, Georges en compagnie de son gendre Lucas font leur apparition. les trois amants restent sans voix, ils deviennent rouge comme des coquelicots. Huguette, tente de cacher sa nudité avec ses mains. Grégoire reste planté dans le cul de sa maman, sans réagir. Elle regarde les deux hommes, elle descend péniblement de sa monture. Lucas a les yeux écarquillés, il regarde l’anus fortement ouvert, rejeter le surplus de semence. C’est la première fois qu’il voit sa belle-mère nue, il ravale sa salive, jamais il n’aurait imaginé qu’elle avait un corps aussi bien fait. Il ne dit pas un mot mais ne quitte pas des yeux le corps de belle-maman.
Georges réagit :
-Il te faut maintenant tes enfants pour t’envoyer en l’air salope, je ne te suffis pas hein sale pute !
Julia, sans se démonter, répond :
Je n’ai jamais cachée, que j’aime le sexe, je ne te reproche rien, tu fais ce que tu peux, mais il m’en faut plus, et tu le sais. Aujourd’hui, j’ai profitée de l’occasion qui c’est présentée, j’ai dévergondée nos enfants, pour la première fois. Je crois qu’ils ne le regrettent pas !
Grégoire ose parler :
-Oh papa c’est merveilleux, maman m’a dépucelée, c’est un volcan, tout autant qu’Huguette, je peux te le confirmer !
Lucas regarde sa femme sans dire un mot :
-Huguette en béguant réplique :
-Lucas, je sais que j’ai fais une chose impardonnable, mais j’ai subis ma première sodomie et je t’assure que c’est fantastique de jouir du cul !
Lucas un peu gêné répond :
-Eh moi comme un con, je n’ai jamais oser le faire, pourtant j’en avais envie crois moi, donc je vais pouvoir enfin assouvir mes envies de te prendre par le cul ma chérie !
Huguette répond faiblement :
-Oui mon chéri, autant de fois que tu le voudras !
Georges regarde sa femme et dit :
-C’est vrai, tu n’as jamais caché ton amour pour le sexe, il est vrai que je ne suis pas toujours à la hauteur, et que souvent tu dois te finir digitalement ou avec tes godes, bien que cela me fasse du mal, je comprends. Mais cela ne te fais rien que se soit avec nos enfants !
-Julia répond :
-Tu sais pendant l’acte on ne cherche que la jouissance, alors se soit, avec Grégoire, et Huguette, il n’y a que le résultat qui compte. On oublie vite qu’ils sont nos enfants !
Georges se pince les lèvres et dit :
-Tu es quand même une sacrée garce, faire cela avec nos enfants !
Julia enfonce le clou :
-Je dois dire que Grégoire, est un bon coup. Huguette, je ne l’ai pas encore testée !
Lucas répond en écarquillant les yeux :
-Oh belle-maman vous aimez les femmes ?
Elle répond :
-Tu sais Lucas j’étais en internat, alors les filles nous étions pas sage !
Georges sursaute :
-Oh la vache, mais tu ne m’as jamais parler de ce temps là, ma cochonne, je serai curieux de voir!
Linsee
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