Maman salope, prête à tout. Chapitre 3 Final

Maman, prête à tout, Fin.

Julia regarde son mari et demande :

-Tu veux vraiment, que je broute Huguette devant toi ?

Avec quelques trémolos dans la voix, Georges répond :

-Oh oui, salope, bouffe-lui la chatte, je suis sûr qu’elle est aussi salope que sa mère Huguette, ouah, rien que d’y penser, je commence à bander !

Julia, en souriant, prend la main de sa fille, et l’emmène jusqu’à la table basse du salon, et doucement la bascule dessus. Sans dire un mot, surement curieuse, Huguette obtempéré. Lucas reste bouche bée devant les deux femmes nues qui s’apprêtent à se dévorer. Julia s’agenouille devant sa fille, qui automatiquement écarte les jambes. Elle observe les deux orifices que son a fils bien travaillés, car pour les ouvrir comme cela, le bougre à du y mettre du cœur, à l’ouvrage.

Elle plaque sa bouche sur la chatte, qui rejette sa cyprine mêlée à du sperme. Huguette se cabre en poussant un gémissement, la bouche de sa maman commence son office. Sa langue s’enfonce profondément dans le conduit gorgé de liquide visqueux, et le fouille longuement. Huguette pour la première fois se fait brouter la chatte par une femme.

Les prémices de sa première leçon de lesbianisme, semble ne pas lui déplaire, la coquine geint en agitant son bassin. Julia sait faire gémir une femme, tout en fouillant de sa langue le conduit, elle avale le jus, même gluant, elle en raffole. Elle retire sa langue du puits débordant, et aspire fortement les grandes lèvres. Elle les suce et les tète avec férocité. Sa fille ne fait que gémir. Les trois hommes voyeurs bandent comme des cerfs en ruts. Georges et le premier à se dévêtir, Lucas, plus timide, avec des gestes plus lentement, l’imite.

Huguette se cabre, sa maman vient de lui gober le clito, la coquine sait le travailler, pour le faire doubler de volume. Lucas regarde, en salivant très fort, la croupe de sa belle-mère s’agiter. Georges le regarde et lui dit sans complexes :

-je te vois salivant, ne te gêne pas, baise ta belle-mère, je suis certain que cale lui fera plaisir autant qu’à toi aller, ne te fais pas prier Lucas, Moi, je ne me gênerai pas avec Huguette, sois en sûr !

Lucas s’avance et pose sa main sur la croupe de sa belle-mère. Il la caresse longuement, passe ses doigts dans le large sillon. Taquine doucement l’anus encore entrouvert, et y enfonce la première phalange de son majeur.
Julia, en poussant un petit ah de plaisir, ne lâche pas sa proie. Elle suce comme une vorace le clito de sa fille. Comme, précédemment, elle l’avait bien maniée, elle le connait bien. Huguette geint de plus en plus fort, sa maman la fait délirer. Lucas enfonce entièrement le doigt dans le rectum de sa belle-mère. Il le ramone un instant avant de présenter sa verge devant l’anus, boursoufflé. Il saisit Julia par les hanches et sans trop forcer, enfonce son pieu dans le cul de sa belle-mère, qui couine :

-Oh oui, oui, va à fond mon cochon !

Georges encourage son gendre :

-Défonce-lui le cul, la salope adore ça, surtout ne la ménage pas !

Entre chaque coup de reins que donne son beau-fils, Julia dévore le clito monstrueux de sa fille.
Huguette se cabre et, en poussant un gémissement terrible, jouit comme une damnée. Lucas s’acharne, ses coups de reins sont dévastateurs. Sa belle-mère explose en hurlant. Lucas continue de la défoncer, il veut lui remplir le cul de sa semence, enfin il déverse dans les entrailles de Julia un flot de sperme. Il se retire, les trois amants sont haletants. Julia monte sur la table basse et se place tête bêche sur sa fille. Les deux amantes se dévorent mutuellement la chatte, en dérapant souvent sur l’anus, pour le fouiller profondément. Leurs jouissances sont nombreuses et bruyantes. Georges en a assez de faire le voyeur, il repousse sa femme et prend place entre les cuisses de sa fille. Il lui enfonce sa bite jusqu’aux couilles, en poussant un han de bucheron.

Huguette s’agrippe à son papa, en geignant comme une bête blessée. Le bougre de papa donne des coups de boutoir terribles. Son gland rabote fortement, le col de l’utérus de sa fille, qui grogne en serrant les dents. Elle se cambre et explose de jouissance. Georges enfin lui remplit copieusement le ventre de son sperme. Les deux amants se désaccouplent. Le papa demande :

-Ma chérie, je pense que tu ne connais pas la double pénétration ?

Entre deux respirations, Huguette répond :

-Non, jamais, papa !

Le papa, incestueux, sourit et répond :

– Eh bien ma chérie, Lucas et moi allons combler cette lacune !

Lucas regarde son beau-père en fronçant les sourcils. Georges le toise de haut et ajoute :

– Lucas, ta belle-mère aussi, aura droit à cette faveur, ne les laissons pas languir, allons-y, surtout ne les décevons pas !

Huguette subit sa première double, aujourd’hui, elle a connu plusieurs nouvelles pratiques sexuelles. Grégoire, aussi, se met de la partie, il remplace, soit son papa au son beau-frère, pour pratiquer la double. Pour les deux femmes, c’est sublime, elles gémissent comme des agonisantes. Leurs jouissances sont fabuleuses. Julia ose réclamer, une double anale et vaginale, tout cela, sous les yeux écarquillés de sa fille, qui finit par demander le même traitement.

Julia, bien que vraiment demandeuse, demande grâce. C’est au tour d’Huguette, elle s’empale sur la bite de son papa, son mari s’agenouille entre ses cuisses et place sa verge contre celle de son beau-père et pousse en longeant le pieu planté dans la chatte. En dilatant le vagin fortement, les deux verges prennent possession du conduit dilaté. Les deux hommes en se synchronisant parfaitement démontent Huguette qui croit mourir de plaisir. Mais lorsque c’est son anus, qui reçoit les deux membres, sa jouissance et quintuplée, elle hurle, en s’arque, boutant comme un pont. Elle se laisse retomber sur le corps de son papa, en haletant comme un sprinteur en fin de course.

Grégoire, n’en reste pas là, demande à son beau-frère de se retirer, et rapidement le remplace. Dans son rectum, Huguette reçoit encore une fois deux verges. Le ramonage est intense, tout autant que sa jouissance. Enfin, on libère Les deux femmes, elles gisent sur le sol, avec les orifices remplis de sperme.

Linsee

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