Marc et le Couple de la Plage : Une Rencontre Bisex Sous le Soleil

Je m’appelle Marc, 38 ans, un mec du Sud, près de Marseille, où le soleil tape fort et les plages cachées deviennent des terrains de jeu quand personne regarde.

J’ai toujours été ouvert – les meufs, les mecs, peu importe, tant que ça cogne au bon endroit. Cet été, je suis tombé sur un moment qui m’a marqué, une rencontre avec un couple sur une crique déserte, un truc qui a viré bisex et qui me colle encore à la peau.

C’était un après-midi lourd, fin juillet, l’air salé qui te pique les narines. J’avais marché une bonne demi-heure pour trouver cette plage – pas celle des touristes, une petite bande de sable entre des rochers, avec des pins qui tombent presque dans l’eau.

J’avais posé ma serviette, un bouquin à la con que j’allais pas lire, et je matais l’horizon quand ils sont arrivés. Lui, la trentaine, baraqué, cheveux courts et bronzés, avec un short qui laissait rien deviner. Elle, un peu plus jeune, fine, un bikini noir minuscule, les cheveux mouillés qui gouttaient sur ses épaules.

Ils ont posé leurs affaires à dix mètres, et j’ai capté direct qu’ils étaient pas là juste pour bronzer. Elle a commencé à se déshabiller – pas un strip-tease de film, non, juste pratique, comme si j’étais pas là. Le haut du bikini par terre, puis le bas, et elle s’est allongée sur une couverture, nue, les jambes écartées vers la mer.

Lui, il a rigolé, un rire grave, et il a viré son short – pas de caleçon dessous, son sexe déjà à moitié dur qui pendait. J’ai senti un truc monter en moi, pas juste de la curiosité, un mélange de chaleur et de tension.

Ils m’ont jeté un coup d’œil, un sourire en coin, et elle a dit un truc à voix basse – j’ai pas entendu, mais lui a hoché la tête et m’a fait signe. « Viens, si t’es pas timide. »

J’ai pas réfléchi longtemps. J’ai laissé ma serviette et j’ai marché vers eux, pieds nus sur le sable brûlant. De près, elle sentait l’huile solaire et le sel, lui la sueur et un reste de clope froide.

« Moi c’est Lisa, lui c’est Tom, » qu’elle a lâché, en se redressant sur les coudes. J’ai marmonné mon prénom, et Tom m’a tapé l’épaule, genre pote, avant de s’asseoir à côté d’elle. « On aime bien partager, » qu’il a dit, et là, j’ai capté que c’était pas une blague.

Ça a démarré doucement. Lisa s’est mise à genoux, face à Tom, et elle l’a pris dans sa bouche – un truc naturel, presque lent, pendant que le bruit des vagues tapait derrière.

Moi, j’étais debout, à deux pas, et je sentais mon short devenir trop petit. Tom m’a regardé, un sourcil levé, et il a tendu la main – pas pour me saluer, non, il a tiré sur mon short, et je l’ai laissé tomber. J’étais dur, exposé, et Lisa a relevé les yeux, un sourire qui disait tout.

Elle a lâché Tom, s’est tournée vers moi, et sa langue a glissé sur moi – chaude, salée, avec ce goût de mer qu’elle portait sur elle. Tom s’est levé, et là, ça a pris une autre tournure.

Il s’est collé derrière moi, son torse contre mon dos, et j’ai senti son sexe dur contre mes reins. « T’aimes les deux ? » qu’il a murmuré à mon oreille, et j’ai hoché la tête, le souffle court.

Lisa a continué, ses mains sur mes cuisses, pendant que Tom glissait une main devant – il m’a touché, ferme, sûr de lui, et j’ai grogné sans pouvoir m’en empêcher. C’était pas ma première fois avec un mec, mais là, sur cette plage, avec le soleil qui cognait et le sable qui collait partout, ça avait une autre saveur.

On a fini par terre, tous les trois. Lisa s’est allongée, m’a tiré vers elle, et je l’ai prise – un coup profond, direct, pendant qu’elle gémissait sous moi.

Tom s’est placé derrière, et j’ai senti ses mains sur mes hanches, puis lui qui entrait – un truc brut, sans chichi, qui m’a fait serrer les dents. On bougeait ensemble, un rythme désordonné, avec le sable qui grattait et la sueur qui coulait.

Lisa a joui la première, un cri qui s’est perdu dans le vent, et Tom a accéléré – il m’a rempli, chaud, pendant que je finissais en elle, un bordel de sensations qui m’a laissé la tête vide.

On est restés là un moment, essoufflés, collants de sel et de tout le reste. Le soleil tapait toujours, la mer claquait à côté, et ils m’ont souri – pas un mot de trop, juste un regard qui disait « c’était bon ».

J’ai ramassé mon short, eux leur couverture, et on s’est séparés comme si de rien n’était. Mais cette crique, ce moment bisex où tout a mélangé, ça reste gravé.

Marc, 38 ans, Marseille

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