Je me rend chez Paul cet homme rencontré quelques jours auparavant et qui m’a retourné les sens. Je suis anxieuse et impatiente de retrouver cet amant formidable auquel Marcel m’avait vendu. Arrivant devant l’immeuble je sonne à la porte qui s’ouvre rapidement et je m’engouffre dans l’ascenseur. Arrivée sur le palier j’entre dans l’appartement ou Paul m’accueille.
— Tu m’as beaucoup manqué me glisse t il à l’oreille, mais je ne suis pas seul.
Je vois un homme assit dans le salon, sur le sofa. Il est grand et fort et la peau noire comme de l’ébène.
Nous échangeons des politesses d’usage.
— Vient dans la chambre de débarrasser de ton manteau me dit Paul.
Une fois dans la chambre, j’enlève mon manteau.
Paul ce glisse derrière moi et me saisit par les hanches en me murmurant à l’oreille :
— J’ai envie de toi
— Ce n’est pas possible ton ami et dans le salon
— T’inquiète juste un petit coup rapide et la porte fermé, il n’entendra rien.
Ses mains remontes sur ma poitrine, je me laisse faire sentant le désir m’envahir. Il referme la porte et me bascule sur le lit. Très vite il remonte ma jupe laissant apparaître ma croupe et mes cuisses gainés de nylons maintenus par un porte jarretelle.
— Mets-toi à quatre pattes me dit-il.
J’obéis, et me place de manière à lui offrir mes fesses. Très vite il baisse son pantalon écarte mon string et entreprend de me pénétrer. L’assaut est rapide et intense, je me retrouve envahie par le sexe de Paul avant d’avoir pu faire quoi que ce soit. La première fois il a fait preuve de tendresse multipliant les caresses et les préliminaires. Cette fois le ton a changé, il me traite comme un objet juste bon pour étancher son désir, sans aucun respect de ma personne. Ce n’est pas pour me déplaire d’être soumise sans aucune considération, surtout me sachant épier par un autre homme assis dans une pièce juste à coté. Les mouvements se font rapide, plus brutal, nous jouissons ensemble.
Il se met à me dire des choses atroces de vulgarité insultante en me bafouant.
— T’aime ça d’être prise par derrière hein dit, tu veux que j’accélère la cadence chienne, dis-le que t’aime ça ?
— Oui j’aime ça, c’est bon
— T’es une chienne, dis-moi que tu une chienne en chaleur ?
— Oui je suis une chienne en chaleur
— Ça te plaît de te faire baiser, alors qu’il y à un autre homme coté qui nous écoute.
— Non ! Il peut nous entendre
— Tu rigoles, ça se trouve, il te regarde te faire baiser par le trou de la serrure, tu veux que je vérifie ?
— Non, je t’en prie fais pas ça.
— Ça t’excite de savoir qu’un autre homme te regarde, en plus il doit se branler, à voir ton cul se faire défoncer, allez j’ouvre la porte il doit être derrière ?
— Non, non, non !
— Si c’est pas moi qui ouvre alors ça va être toi
Il me saisit par les cheveux et me relève du lit et commence à me diriger vers la porte. Je me débat afin de rester sur le lit.
— Non ! Fais le toi même que je lui répond.
Il ouvre la porte. Mon cœur se soulève en voyant cet homme qui me regarde d’un air lubrique et gourmand.
— Approche, elle veut que tu la regardes.
— Houai ça m’étonne pas des femmes comme elles sont toujours des belles salopes.
— Tu veux qu’il te montre sa queue. Je suis sûr que t’a jamais vu un sexe de noir ?
— Surtout que j’ai un braquemart énorme
— Non, tout mais pas ça, non, non je ne veux pas !!
Me tenant par les cheveux il continue à me baiser, il m’applique une grande claque sur les fesses.
— Dis-moi que tu veux voir sa bite, dis le moi.
— Oui montre-moi sa bitte montre-la-moi. Que je répond entre deux râles suite aux allés et venues de Paul dans ma grotte.
— Dégrafe-la toi-même dit l’homme noir
— Non pas ça !!
— Obéis chienne ! Me dit il en m’appliquant encore une autre claque sur mes fesses .
— T’as vu les nichons qu’elle a ? Touche-moi ça !
Pendant que j’obéis en déboutonnant l’homme qui me pelote les seins aux travers du corsage. Son sexe m’apparaît enfin énorme, monstrueux tout noir en pleine érection.
— Masturbe le, branle le juste qu’à ce qu’il te jouisse dessus.
— Houai !! branle moi salope, tu dois être une experte.
Je branle le noir pendant que le blanc me ramone la chatte. Le grand noir m’attrape alors par les cheveux et me dit.
— Tu vas me sucer
— Non ! Paul empêche le ! Je ne veux pas.
— Suce-le ! Me dit Paul en m’appliquant une autre claque sur ma croupe qui commence à chauffer.
J’ouvre la bouche, il me fourre sa queue dedans ! Le sexe ne peut entrer entier tant sa taille est trop importante. Je pousse ma langue sous son gland, tourne autour et aspire. Son gland se trouve coincé entre mes lèvres, je suce doucement le bout de sa queue. L’inconnu gémit, j’ouvre en grand ma bouche car je le sens pousser son pieu. Il s’enfonce lentement pour glisser presque entièrement sa bite pour qu’elle disparaisse a mes yeux. L’homme noir surexcité passe ses mains dans mon corsage afin de me caresser les seins avec une telle brutalité qu’il déchire mon soutien gorge.
Le bruit de la dentelle déchiré excite encore plus Paul qui se met jouir en m’inondant ma grotte et giclant même sur mes fesses. A la vue de sperme déchargé sur mes fesses l’inconnu pousse un grognement de bête et inonde ma bouche de son sperme, j’aspire et ingurgite son foutre, en avalant tout sans laisser une goutte s’échapper de ma bouche.
Je m’écroule sur le lit à demi nu épuisé, j’ai joui plusieurs fois sans me rend compte des flashes qui crépitent me prenant en photo recouverte de sperme.
Ce vendredi après midi ! Marcel vient me chercher avec sa voiture et nous faisons quelques kilomètres sur la route nationale, puis emprunte un petit chemin de terre dans un bois.
Il arrête la voiture et descend, je descend a mon tour, il fait frais.
Il me fait signe d’avancer, je fais quelques pas jusqu’à une petite clairière. Un homme est là entièrement nu, d’un regard Marcel m’invite a continuer ; j’arrive près de l’homme, il bande très fort. Il prend ma main et me fait saisir sa queue. Je le branle doucement tandis que sa main s’égare sous ma robe puis d’une légère pression sur l’épaule il me force a m’accroupir.
Je prend son membre en bouche et commence a le sucer consciencieusement.
Je suis surprise de ne pas trouver ça désagréable comme a l’habitude ; sa queue est dure et grosse. L’air frais sur ma vulve me donne une impression de bien être. La tige va et vient entre mes lèvres humides, je caresse ses couilles bien pleines, il grogne de plaisir. Il me laisse sucer un bon moment m’invitant parfois a lui lécher aussi ses couilles, puis me relève et m’installe sur une couverture jetée au sol par Marcel.
Allongé contre moi il me remet sa bite dans la bouche et ouvre largement mes cuisses. Je sens d’abord son doigt sur ma vulve, puis bientôt sa langue. L’air frais, la langue chaude, je suis bien. L’inconnu est un expert, il va et vient, de ma fente a mon clitoris, me doigtant habilement le vagin.
Je sens venir le plaisir. Oh ! Oui a coup sûr je vais jouir mais Marcel brise mon élan.
— Allez baise là, maintenant.
L’homme s’exécute ! il me saisi par les jambes et me pénètre d’un coup puis se met a me baiser avec force. Je l’accompagne avec des mouvements de hanches et des petites contractions vaginales.
HHUUUUMM ! je la sens bien. Je ne peux me retenir de jouir à cet instant.
— HOOOO… OUIII ! Baise moi ! AAAAHHHRR ! Encore !!
J’ai soudain une pensée terrible. Je décroche de l’instant, laissant l’homme me pénétrer copieusement. Je n’ai plus honte ! Je suis honteuse de ne plus avoir honte.
L’inconnu me retourne et me prend a présent en levrette, sans ralentir la cadence. J’ai un nouvel orgasme puis la voix de Marcel gâche tout.
— Allez ! Prends lui le cul, encule la.
l’homme hésite un instant, sort son sexe de mon puits d’amour.
L’homme prend une bague de caoutchouc qui est muni de petites boules sur tout le contour et y introduit son sexe dedans. Il s’enfile comme ça trois bagues qu’il espace sur son membre. — Vas y ! encule la, tu peux le faire.
L’homme m’écarte les fesses, je sens sa langue, puis son doigt me fouiller, je suis tétanisée, je serre les fesses de toutes mes forces mais son doigt me dilate peu a peu. — Non ! Tout mais pas avec ça, s’il te plaît ! Je décide de m’abandonner. Je sens le gland ouvrir la porte de mes entrailles, puis la queue s’introduire tout entière.
L’homme commence a me sodomiser doucement, les protubérances des bagues péniennes m’irrite le rectum. J’ai un peu mal, j’essaie de me débattre mais Marcel vient me saisir durement par les épaules.
— Défonce là, je te dis ! allez vas y, encule ma chienne !
L’homme se met a donner des coups de reins toujours de plus en plus fort, maintenant toujours mes fesses écartées, je sens a chaque fois ses couilles taper contre mon sexe, j’ai le cul en feu. Je gémis de douleur et de honte.
— Arrêtez, s’il vous plaît ! arrêtez !
Mais il n’arrête pas, il me sodomise de plus en plus vite. Sortant presque tout son sexe pour revenir toujours plus fort.
Je râle bouche ouverte, Marcel qui me tient toujours met sa bite dans ma bouche.
— Ta gueule, suce ça !!!
Heureusement l’homme finit par jouir, tellement excité il se libère dans mes entrailles. Marcel comme a son habitude m’inonde la glotte. Il me laisse ainsi, a quatre pattes reprendre mon souffle.
puis me relève. l’homme a disparu !
— Tu nous as tous vidé. Ce sera tout pour aujourd’hui. On rentre.
En me relevant, lorsque je sens le sperme de l’inconnu couler de mon anus le long de mes cuisses, la honte me submerge totalement. Nous retournons vers la voiture.
Je remonte désabusée dans la voiture, Marcel me ramène à la maison, une bonne douche me fera le plus grand bien, j’ai toujours le cul en feu.
A suivre
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