...
Bi - Gay - Lesbien Fétiche - BDSM Histoire de Sexe Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025

Marie-Charlotte ou l’innocence perdue. Première partie

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Je me nomme Marie-Charlotte et longtemps j’ai vécu dans le cocon ouaté et protégé par des siècles de traditions et de coutumes au sein d’une famille aristocrate et pieuse. Enfant choyée, je fus élevée dans les meilleures institutions privées que comptait le pays et reçus l’éducation dont rêverait toute jeune fille de bonne famille. Je n’eus jamais à me plaindre de quoi que ce fut, Père mettant un point d’honneur à ce que je ne manque de rien tandis que Mère m’inculquait avec une certaine satisfaction les valeurs des gens de notre milieu. Autant dire que j’étais destinée à épouser un bon parti sitôt mes études achevées, choisi bien évidemment par le conseil de famille, et à perpétuer ainsi notre lignée pour le plus grand bonheur de Père et Mère.

Cependant tout ne devait pas se dérouler selon les prévisions paternelles, loin s’en faut.

Ce fut durant l’été de mes quinze ans que tout changea irrémédiablement pour moi. Comme chaque année, Mère avait lancé les invitations pour mon anniversaire et nous reçûmes donc ce jour-là tout ce que l’aristocratie locale comptait d’âmes bien nées ainsi que ce qu’il restait de la famille. A savoir les deux sœurs de Mère, leurs époux et leurs huit enfants, tous plus pestes les uns que les autres mais surtout Oncle Georges, l’excentrique frère de Père, éternel célibataire qui portait beaux ses quarante printemps et vivait retiré sur ses terres, dans un ravissant manoir que je n’avais vu qu’en photographie, et qui semblait n’en sortir qu’en de très rares occasions.

Mon anniversaire était l’une d’elles, et je ne l’en appréciais que plus, sachant l’immense honneur qu’il me faisait de m’honorer ainsi de sa présence ce jour-là.

– Marie-Charlotte, tu es décidément de plus en plus ravissante, me lança-t-il dès qu’il eut déposé sur mes joues qui s’empourprèrent deux tendres baisers délicieusement parfumés.

paragraphe 4 rose

-Mon Cher Georges, vous êtes un incorrigible flatteur, intervint Mère, me soulageant du trouble que me procurait le compliment si inattendu, bien qu’il fallut reconnaître que ma blondeur angélique, mon fin visage aux yeux d’un bleu profond ainsi que les formes dont mon corps se parait peu à peu de mois en mois devaient, un jour ou l’autre, m’en attirer de nombreux autres. Déjà mes amies au pensionnat ne s’imaginaient-elles pas combien je devais faire tourner de tête alors que bien innocemment j’ignorais leurs remarques flatteuses pour toute autre, mais qui me laissaient froide tant j’étais à mille lieues de comprendre à quoi elles pouvaient bien faire allusion ?

Le ciel était clément et nous pûmes donc profiter du parc du château pour partager les agapes servies sur de longues tables toutes nappées de blanc. L’atmosphère était légère et gaie et, le champagne aidant la journée ne fut que rires, plaisirs et joies renouvelées de se retrouver ensemble.

Puis, vint l’heure des cadeaux, cadeaux que je reçus avec un plaisir non dissimulé, remerciant du mieux que je le pouvais. Lorsque vint le tour d’Oncle Georges, Père s’approcha en le tenant par l’épaule, familiarité qui lui était pourtant étrangère :

– Ma Chérie, ton oncle a un cadeau très particulier pour toi et je lui laisse le plaisir de te dire ce dont il s’agit..

– Marie-Charlotte, sachant par mon frère, ton Père, que tu t’inities à l’équitation depuis plusieurs mois avec un certain bonheur, je me suis permis pour ce jour mémorable de faire l’acquisition d’un superbe étalon et de te l’offrir…

Je n’en croyais pas mes oreilles et je lui aurais volontiers sauté au cou si ma retenue naturelle et la rigidité de mon éducation ne m’en avait empêchées. Je ne trouvais que :

-Oh mon Oncle quel bonheur !!! Quel plaisir vous me faites !…

Mais il m’interrompit d’un geste de la main :

-Marie Charlotte rien que de très naturel, je t’assure, mais ce n’est pas tout. Afin que tu t’habitues à lui, je t’invite, dès ce soir, à venir passer le mois d’août dans mon humble demeure… Ne dis pas non, tes parents ont déjà donné leur aval…

Marie-Charlotte ou l’innocence perdue. Première partie
Nouveaux profils

Je regardais les deux intéressés qui souriaient en me couvant d’un regard bienveillant.

-Oh, merci, merci à vous tous ! Je vais préparais mes valises de ce pas !…

Mais Mère intervint pour couper court à mon bel enthousiasme :

-Point n’est besoin, Jeune Fille, la femme de chambre a déjà fait le nécessaire… Tu n’as qu’à grimper dans la voiture d’Oncle Georges et surtout nous promettre d’être bien sage et de bien écouter celui-ci, puis, se tournant vers mon Oncle, Georges, je vous la confie, prenez en grand soin et n’hésitez pas à user d’autorité, cette demoiselle à des tendances à l’émancipation…

– Ne vous faites aucun souci quant à cela Chère Hélène, je saurais veiller à ce qu’elle ne manque de rien mais saurais bien entendu me montrer très strict quant à son comportement, je vous l’assure…

Et c’est ainsi que nous nous retrouvâmes sur la banquette arrière de la limousine de mon Oncle, conduite par son chauffeur, un colosse en costume bleu marine , en route pour ce qui allait être l’aventure de toute ma vie…

Nous arrivâmes en fin d’après midi dans la cour pavée du manoir de mon Oncle. Gunther le chauffeur vint nous ouvrir la portière et je fus accueillie par un femme d’une cinquantaine d’années aux cheveux blonds platine retenus en chignon. Malgré son âge, elle était ravissante et je me fis la réflexion que j’aurais donné tout l’or du monde pour lui ressembler lorsque j’aurais atteint son âge. Elle était vêtue d’un tailleur strict gris souris dont la jupe extrêmement courte laissait voir de longues jambes à la plastique parfaite gainées de bas fumés du plus bel effet. Des escarpins à talons aiguilles parachevaient cette tenue que je trouvais tout à fait séante à un détail près qui , je dois bien l’avouer, me troublait à mon corps défendant : Elle ne portait visiblement rien sous sa veste dont l’échancrure laissait largement deviner la naissance d’une poitrine opulente qui m’hypnotisait bien malgré moi :

-Je te présente Clarisse, mon intendante, qui sera à ton service pendant ton séjour ici. Clarisse, veuillez faire visiter à Mademoiselle ses appartements et profitez-en pour lui proposer de se rafraîchir quelque peu. Le voyage a été éreintant.

J’allais protester, mais déjà Clarisse m’entraînait vers le perron tandis qu’une jeune fille guère plus âgée que moi nous suivait en portant mon bagage.

-Si vous voulez bien vous donner la peine, me dit-elle alors que nous nous trouvions dans le hall en m’indiquant l’imposant escalier qui menait aux étages, Votre chambre est au second…

Je la suivis sans dire un mot, nos talons respectifs rythmant en écho notre ascension vers ce qui allait devenir mon antre pour le mois à venir. La soubrette déposa ma valise sur le lit et s’éclipsa. Je restais silencieuse, mains croisées derrière le dos comme me l’avaient appris les religieuses tandis que Clarisse me donnait les instructions quant au déroulement de mon séjour :

-Tout d’abord, Mademoiselle, sachez que je suis et demeurerai pour vous Madame Clarisse, me dit-elle de sa voix naturellement rauque tandis que mes yeux se perdaient dans le vert de son regard hypnotique de chat qui toise sa proie

Elle s’approcha de moi en continuant :

-Et que je suis là pour veiller au respect des règles de la maison. Je sais me montrer charmante quand il le faut mais ne tolèrerai aucun manquement et serai alors intransigeante, et sachez que j’ai maté plus d’une gourgandine dans votre genre.

J’allai protester quand elle posa un long doigt parfaitement manucuré en travers de mes lèvres en guise de bâillon

-Tsst…Tsst. Je ne vous ai pas autorisé à m’adresser la parole.

Une gifle claqua ma joue et je dus me mordre la lèvre inférieure pour ne point laisser échapper un cri de la douleur que la violence du coup irradiait sur ma joue que je sentais en feu.

-Vu, Mademoiselle ?

-Oui Madame, parvins-je à articuler.

-Bien, bien, dit elle en se glissant derrière moi, et susurrant à mon oreille, j’adore les gentilles petites filles très coopératives… Et je sais, je devine que vous saurez être très réceptive à mes exigences, n’est-ce pas ?

Son souffle le long de mon cou me procura un trouble étrange tandis qu’un frisson me parcourait la colonne vertébrale :

-Oui, Madame, soupirai-je le souffle court.

-Parfait, répondit-elle en passant ses mains sous mes aisselles et en commençant à déboutonner mon chemisier. Maintenant, nous allons nous préparer pour une délicieuse douche.

Tremblante je n’osais piper mot, interloquée par les privautés qu’elle se permettait à mon endroit. Déjà mon chemiser gisait en boule à mes pieds tandis que ses doigts habiles dégrafaient mon soutien gorge :

-J’en étais sûre, tu as une poitrine tout à fait à mon goût, me souffla-t-elle tandis que ses mains empaumaient les seins, les soupesant, les faisant rouler l’un contre l’autre.

Bien malgré moi leurs pointes s’érigèrent lorsqu’entre pouces et index elle se mit à les pincer, les faisant rouler.

-Superbe, absolument superbe, murmura-t-elle dans un souffle, puis sa langue dessina la courbe de mon cou et j’en frémis, une étrange sensation de chaleur s’emparant de mon bas ventre comme jamais je n’en avais éprouvée avant ce jour.

Je devinais plus que je n’entendais ses doigts jouer avec les boutons de sa veste qui glissa elle aussi au sol et tout en mordillant mon épaule elle plaqua une poitrine généreuse aux tétins dressés et durs contre mon dos.

-Vous allez voir ma chère, vous n’allez pas regretter votre séjour, dit-elle tandis que sa main glissait sur mon ventre contracté, descendant inexorablement vers le bouton de ma jupe qu’elle déboutonna d’un geste sûr.

Je me retrouvais en petite culotte, à sa merci et elle me fit pivoter d’un geste impératif. Ses lèvres m’abouchèrent et sa langue fébrile vint à l’assaut de la mienne qui bien maladroitement répondit malgré moi à son appel. Une main délicate déjà s’immisçait dans ma culotte et un doigt inquisiteur vint se glisser entre mes lèvres intimes. J’en avais le souffle coupé. Personne jusqu’alors ne s’était permis une telle familiarité avec moi et mes jambes flageolaient sous la caresse qui se précisait, cherchant mon bourgeon dans son petit capuchon. De longues minutes elle resta ainsi, m’embrassant à pleine bouche, ses doigts jouant sur moi, guettant, de leur caresse, l’émission irrémédiable des sécrétions humides de mon plaisir.

-Vous mouillez comme une vraie petite salope, ma chère… Finit-elle par déclarer, et voyez dans quel état moi-même je me trouve.

Joignant le geste à la parole, elle remonta sur ses cuisses la jupe de son tailleur découvrant un sexe glabre et y guidant ma main tremblante :

-Vous voyez l’effet que vous me faîtes ? Allons, jeune fille, à genoux et occupez-vous bien de ce minou qui réclame. A deux mains, elle me prit par les épaules et m’obligea à m’accroupir dans une position de soumission quelque peu humiliante, puis d’un geste brusque de sa main posé sur la nuque, elle m’intima :

-Allez, petite souillon, bouffez moi cette chatte, je suis sûre que vous en avez toujours rêvé.

Je n’osais répondre et comme hypnotisée, je m’approchais de la fourche de ses cuisses qu’elle écartait. Son odeur délicate enivrait mes narines frémissantes et comme si j’eus su depuis des années je tendis la langue et commençais à lui laper sa fleur épanouie et déjà ruisselante. Elle avait le goût d’un fruit interdit et cela m’encourageait à la chercher toujours plus loin, toujours plus profond puis à revenir sur son bouton turgescent, provocant râles et encouragements :

Oh oui… Oui petite salope, allez-y, bouffez moi bien, oui comme ça… Oh, vous me rendez folle !!! Une vraie petite professionnelle, dites donc…

Je ne revenais pas de ce dont je me sentais soudain capable et, tandis que de ma langue agile je lui prodiguais le plaisir qu’elle recherchait, je me caressais sans honte aucune en gémissant.

Soudain, à mon grand étonnement, elle fit volte face et, me présentant un fessier rebondi dont elle écarta violemment chacun des globes opulents, me dévoilant un œillet mystérieux et palpitant :

-Allez petite lécheuse, faites votre office à mon petit bijou qui vous réclame et ne soyez pas timide ! Je n’adore rien tant que les attentions de langues et de doigts à son endroit.

Mes doigts trempés de ma propre jouissance s’accrochèrent alors à sa croupe incendiaire et en petite dévergondée que je devenais sous ses ordres, je me mis à déguster cette rosette émue salivant et l’enduisant d’un bout de langue inquisiteur, fouillant son goût acre et ses effluves sauvages. Elle râlait à qui mieux mieux et finit par souffler :

-Allez-y, ma salope, enculez-moi et n’ayez surtout point peur d’y aller franchement.

Un de mes doigts chercha à ma source l’enduit gluant de mon plaisir pour faciliter son entrée entre ses fesses quémandant et d’un geste sec je l’ouvris d’un va et vient fébrile. Le temps n’existait plus et j’y osais deux puis trois doigts qu’elle prenait avec une facilité déconcertant, ahanant son plaisir et m’emplissant du désir nouveau d’en procurer. Je léchais son anneau dilaté autour de mes doigts puis descendais plus bas entre ces cuisses écartelées pour mieux revenir vers son petit trou que je défonçais à présent à quatre doigts fiévreux.

Lorsque mon poing tout entier pénétra son antre moite je l’entendis hurler :

-Ouiii !!! Défoncez moi petite chienne !!!! Oh ouiiii…

La sachant vaincu je la déculais, pantelante. Mais avant que j’ai eu le temps de réagir, elle me jetait à terre et se ruait sur mon entrejambe qui réclamait son dû à corps et à cri. Sa langue eut tôt fait de dévêtir mon bouton d’Amour et de caresses expertes en câlins offensifs elle finit par me faire succomber aux affres d’un plaisir jusqu’alors inconnu de moi…

(A SUIVRE)

Jocelyn

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. paragraphe 4 rose post

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Marre de la pub ?

Marre de la pub? tu as un gmail? Contacte nous

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou