Je devais avoir treize ou quatorze ans, nous nous promenions avec ma maman et une copine de classe, elle avait
mon âge, avant cette sortie champêtre, nous avions dîné et fini le repas avec une bonne tasse de café ( nous sommes en Belgique le café reste
une boisson nationale ) et comme chacun sait le café peut devenir diurétique…
Nous marchions sur un chemin bordés de verdure, autour de nous des bosquets ça et là apparaissaient comme des iles au milieu de la mer.
C’était le printemps et nous portions toutes des robes légères.
Nous étions assez loin de la maison et petit à petit je sentais venir une envie pressante, au début douce et agréable à ressentir puis
davantage insistante, un peu comme si ma vessie me disait : Marie Christine t’es bien gentille mais là j’ai trop envie !
Comme nous le faisions depuis des années, j’avais pris l’habitude de signaler mes envies à ma maman, celle-ci m’aidait à faire pipi
malgré mon âge avancé pour cette pratique courante pour les petites filles.
je n’ai plus pensé à ma camarade de classe et j’ai lancé :
-Maman j’ai envie de faire pipi !
Maman s’est approchée de moi et m’a mis une main dans le dos comme pour me diriger vers un endroit qu’elle avait choisi.
Je suivais docilement le chemin qu’elle voulait que j’emprunte.
Ma camarade semblait au début intriguée et nous suivait .
À un endroit il y avait une petite place entourée de buisson, le sol bien plat, avec un peu d’herbe, maman m’a contournée, j’ai senti ses douces mains
relever la robe, saisir l’élastique de ma culotte et la faire glisser jusqu’aux chevilles.
Puis elle m’a prise par le creux des genoux et soulevée habilement, en un geste ample et maîtrisé me maintenant ainsi les jambes en l’air et le derrière près du sol
le tout dans un parfait équilibre !
Ma camarade de classe n’en revenait pas, elle est restée la bouche ouverte en nous regardant faire, ses yeux étaient quand-même dirigé vers ma fente,
mon pipi est sorti tout seul sans que je pousse, dans cette position les jambes appuient sur la vessie et favorisent une miction complète en une fois.
J’ai donc fait un gros pipi comme un grand bébé avec une satisfaction inégalée, il faut savoir pour les rares personnes qui pratiquent cette manière de faire
que le fait de se laisser faire, d’avoir une totale confiance envers celle ( ou celui ) qui aide, le confort incroyable dans cette position, la vue inégalable ce
cette qui pisse est fantastique, on peut voir son ventre et sa fente d’en haut, ses jambes, la culotte qui pend sur les chevilles, en levant le regard celle qui est au-dessus
et son sourire, un vrai régal des sens, un partage divin…
Mon pipi terminé maman m’a reposée et reculottée, sous moi une grande flaque continuait à s’étaler, obligeant ma camarade à se décaler.
Puis c’est maman qui a fait pipi, et comme d’habitude, certes je ne l’ai pas soulevée, mais maintenue stable lorsqu’elle était accroupie,
je lui tenais une main et l’autre servait de dossier pour son dos, là aussi le spectacle vu d’en haut était sublime, je voyais les seins de maman et son sexe en train de délivrer
un jet de forme pincé avec une mélodie que certaine femmes font, les lèvres chantent parfois et c’est très excitant en plus , il y a même des hommes qui adorent ce chant du pipi féminin !
Une fois fini nous avons bien remarqué que ma camarade de classe trépignait, elle aussi avait envie et il est bien connu que chez les filles une qui pisse et la troupe qui est
autour fait pareil !
Avec un belle simplicité maman à demandé à ma camarade si elle voulait qu’elle l’aide, et elle a dit oui, elle était dans un autre monde à ce moment là à la fois très curieuse,
joueuse, et surtout en grande confiance !
Elle s’est laissée faire avec un bonheur indescriptible et nous a pissé un vrai déluge, j’étais accroupie sur le côté et j’ai bien vu son clitoris tout rose
bien sorti de son capuchon, ce qui prouvait s’il en est qu’elle avait vraiment aimé !
Et bien après ça nous avons franchi un cap dans nos relations, plus complices, on se sentait encore plus femmes toutes les trois,
une sorte de connivence induite et silencieuse, celle qui s’exprime par de si jolis sourires des yeux !
Pour finir avec cette journée, ma camarade le soir même a dormi dans ma chambre et nous nous somme aimées avec passion et délicatesse.
Il a fallu changer les draps au petit matin…
Marie Christine
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