Ma cousine faisait pipi au lit encore à huit ans, moi aussi mais volontairement et par plaisir, je préparais mon lit avec des alèses performantes
ou bien je disposais des serviette de bain sous moi, à partir d’une certaine épaisseur ça absorbe tout.
Ma cousine venait très souvent le week-end à la maison, et nous dormions dans le même lit, j’ai très tôt eu des tendances lesbienne, aussi bien pour
des filles plus jeunes que moi ou parfois plus âgées.
Nous portions des chemises de nuit mais pas de culotte, l’avantage de la chemise de nuit c’est qu’au moindre mouvement on a le minou à l’air !
Un soir après que nous ayons papoté au lit de notre journée j’ai entrepris de la caresser, d’abord les joues, le cou, les épaules, le buste, le ventre, les cuisses,
en prenant soin d’éviter la zone sensible, et ce exprès !
Au bout d’un quart d’heure, c’est elle qui m’a pris ma main et l’a placée sur sa fente !
J’ai très délicatement parcouru ce doux endroit, le plus doucement possible, puis je lui ai parlé du petit bourgeon d’amour, elle n’avait jamais entendu parler,
je lui ai posé un doigt dessus puis câliné l’endroit avec des mouvements latéraux, vu ses soupirs et gémissements, j’ai pris ça comme un encouragement,
elle m’a fait part de son envie de faire pipi, je lui ai conseillé de se laisser aller de se détendre et de se laisser faire, de me faire confiance.
Pour la rassurer j’ai placé sous elle des serviettes pliées en quatre, au moins trois l’une sur l’autre.
Sans la prévenir je suis montée sur elle, instinctivement elle a écarté ses jambes, j’ai placé mon sexe sur le sien et pratiqué des mouvement verticaux,
très vite, trop vite, nous sommes parvenues à un orgasme intense et doux à la fois puis on a pissé l’une sur l’autre comme des folles !
On s’est endormies dans cette position dans la chaleur suave de nos pipis peu après,
et au réveil nous étions toujours l’une sur l’autre, en plus on se tenait les mains comme des amoureuses !
Quand nous nous sommes levées on était différentes, surtout elle, détendues, apaisées, sereines, épanouie, on avait des papillons encore dans le ventre
nos yeux pétillants d’amour.
Les mamans ça voit tout, au petit déjeuner elle nous a dit, je vois que vous vous êtes bien amusées cette nuit avec un sourire très complice !
On a beaucoup rougi toutes les deux.
Tu penses que ma cousine demandait très souvent de venir à la maison !
Marie Christine
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