Je suis arrivée à l’heure à mon rendez-vous, en pénétrant dans le salon je fus accueillie par Julien qui était encore employé avant et maintenant il est patron.
Le salon était presque désert, et une seule dame sous le casque en train de se faire sécher sa permanente.
Il me souhaita la bienvenue et m’offrit un café. Il me dit : ça me fait plaisir de vous revoir, vous revenez vivre parmi nous ?
Je lui expliquais alors que j’allais avoir la médaille du travail, que le salon où je vais habituellement était fermé pour travaux et en même temps rendre visite à une ancienne amie d’enfance.
Il me demanda alors quelle coupe je désirais ?
Comme avant, pas trop court s’il vous plait !
Il m’invita alors à m’installer dans le siège pour le shampoing.
Je ferme les yeux pour profiter du délicieux massage capillaire qu’il m’offre à chaque shampoing.
Je suis si bien, ses doigts experts s’enfouissent dans ma masse et font des miracles sur mon cuir chevelu, allant de ma nuque au sommet de mon crâne en délicieuses palpations qui me font frissonner de plaisir. Ces massages m’excitaient et je ne pus m’empêcher de lui dire :
Mmm! Ça me fait du bien ! Julien, j’aime quand tu me masses !
Ah ! Détends-toi Marie Claude !
Je lui demande l’autorisation d’enlever ma veste pour être plus à l’aise, dévoilant un cache-cœur à petits trous qui révèle des formes plus qu’attirantes si j’en juge par son regard.
A-t-il remarqué que je ne porte pas de soutien-gorge ? Je vais bientôt le savoir.
Il continua à me masser tout en me parlant du temps où j’habitais encore la région.
Ses doigts font le tour de mon crâne et descendent vers ma nuque, plusieurs fois de suite, alors je me laisse aller à ce moment plus qu’agréable. La façon qu’il a de me masser est presque érotique, et j’en laisse échapper un petit gémissement.
Ce gémissement ne le choque même pas, au contraire ses mains, de mes épaules et de ma nuque descendent un peu plus bas, jusqu’à atteindre presque la naissance de mes seins, juste dans le creux, où deux de ses doigts s’insinuent à peine avant de remonter vers mes épaules, mon cou, mon buste, et le creux de mes seins.
Tu aimes ça ? Demanda mon coiffeur :
Oh oui j’adore, mais la dame sous son casque elle doit être choquée ?
Elle dort à moitié, laisse là !
Il descend alors ses mains dans mon dos ; qu’est ce que tu cherches dans mon dos Julien ? Tu as perdu quelque chose ?
Euh ! Mais je cherche à te dégrafer ton soutien-gorge.
Tu n’a pas remarqué que je n’en porte pas ?
Non du tout, Marie Claude !
Maintenant tu le sais que je n’en porte plus du tout. Alors c’est nouveau, car tu en portais toujours avant. Avant c’était avant et maintenant c’est maintenant !
Alors il a posé ses deux mains à plat sur mes seins à travers le tissu de mon cache-cœur, avant de descendre et passer ses mains sous mon haut pour prendre mes seins dans ses mains et les malaxer doucement.
Julien m’avoua qu’il rêvait à chaque fois que je venais de me toucher mes seins, tu es tellement belle ! Cela n’a pas pu se faire à cause du patron et j’étais malheureux lorsque tu m’as annoncé ton départ pour une autre région.
Marie Claude fut très surprise, car il a vingt-cinq ans et moi quarante-cinq.
Comme s’il lisait dans mes pensées :
Tu es très séduisante, même à quarante-cinq ans et à chaque fois que tu venais, je bandais, à tel point qu’après le travail je me masturbai, en rêvant que je te baisai.
Ces aveux m’excitaient, ce qui a eu pour effet de durcir mes tétons et de les ériger.
La dame sous son casque se réveilla, il interrompait alors ses caresses et me chuchota à l’oreille, attends, je n’ai pas fini avec toi, je m’occupe de la dame et je reviens vers toi.
Il coiffa la dame et elle est partie, nous laissant seuls. Il fermait son salon à clé et baisse légèrement le store.
Les lames laissent toutefois des interstices à travers lesquelles les passants peuvent voir ce qui se passe à l’intérieur.
Cela m’excite au plus haut niveau de savoir que tout le monde peu nous voir en train de me faire prendre par Julien l’unique coiffeur de ce petit village.
Il me tend la main pour que je me lève, il m’entoure de ses bras et finit d’enlever mon cache-cœur.
Mes seins sont plutôt gros, très fermes et une très belle forme ronde. Il les caressa et les embrassait. Quelle merveille tes gros seins je les adore ! Sa langue passe et repasse sur mes tétons, il prend un téton entre ses lèvres, le fait rouler et l’aspire. Ses mains, ont effleurées mes aréoles, passant délicatement sur mes globes, pinçant mes mamelons.
Quand je pense que pendant presque cinq ans, je le voyais régulièrement au salon et que la majorité de mes visites c’est lui qui s’occupait de me coiffer, qu’il n’a jamais eu le courage de me draguer, de me séduire comme il fait aujourd’hui. Pourtant je remarquais qu’il n’arrêtait pas d’avoir les yeux rivés sur mes seins, ou sur mes jambes des fois découvertes par une jupe ou une robe un peu trop courte ! Où était-ce à cause de la présence de Muriel ? Les questions restèrent sans réponses.
Je regardais souvent s’il n’y avait pas de voyeurs devant le salon qui pouvait profiter du spectacle que nous leur offrons.
Il continua à me pétrir mes seins, puis il me contourne pour se placer derrière moi, et continue d’une main à me flatter les seins, l’autre main descend le long de de mon ventre. Il s’immisce sous ma jupe et brusquement sa main se trouve comme paralysée en sentant mes poils pubiens.
Mais Marie Claude, tu ne portes pas de culotte ?
C’est quoi une culotte ?
Tu ne sais pas ce qu’est une culotte ?
Euh non,
Pas de soutien-gorge, pas de culotte !
Pourtant avant tu portais les deux !
Qui te dit qu’avant j’en portais une ?
Parce que je l’ai vu à plusieurs reprises !
Car tu me regardais sous ma jupe, mon salaud !
Non Marie Claude dans la glace quand tu es assise dans le fauteuil.
Il continua ensuite son exploration, atteignant mon sexe. Ses doigts s’insinuent dans mon vagin tout en massant mon clitoris.
Être branlée de partout, les seins, la chatte me mettent dans tous mes états, je ne tiens plus en place, j’ai envie de faire l’amour, ce que lui demande. Mais avant il veut goutter à ma chatte, il me demande de m’asseoir dans le fauteuil, bien en face à la fenêtre que les voyeurs en profitent. Deux voyeurs sont en train de nous mater à travers les lames du store. Julien leur adresse un sourire et leur fait un signe. Assise dans le fauteuil, les jambes écartées, remontées de part et d’autre de mon buste, ma chatte est offerte à tous les passants.
Ça m’excite de plus en plus. Julien s’agenouille et commence à me butiner le clitoris avec le bout de sa langue tout en me branlant les lèvres, lentement puis de plus en plus vite.
Je regarde les gens qui ne perdent pas une miette de ce cuni, et ça m’excite encore plus de les voir mater ma chatte et mes seins et de contempler ma jouissance. Julien m’enfonce ses doigts bien profondément en moi tout en aspirant mon clito, je crie de plaisir tout en regardant les voyeurs, j’en surprends mème un qui se caresse son sexe par-dessus son pantalon. Étant de plus en plus excitée, je refais la demande à Julien de me prendre maintenant.
Il m’invite alors à aller m’appuyer sur sa banque d’accueil, encore plus près du store et vient déboutonner son pantalon, sortant de son slip son sexe qu’il montre aux voyeurs et leur fait un signe qu’il va me baiser.
Puis arrive le moment tant désiré, celui ou les doigts sur ma chatte trempée, il me pénètre doucement en masturbant mon clito, Julien bien membré s’enfonce en moi, son sexe long et large va toucher le fond de mes entrailles. Je jouis, j’ai un orgasme bruyant, mes seins qui se balancent et ce qui nous amène à une jouissance en stéréo devant les voyeurs excités.
Je me suis alors assise dans le fauteuil, nue, Julien à terminer de me coiffer et avant de remettre ma jupe et mon cache cœur, je suis allé faire une toilette sommaire et refaire mon maquillage,
Il m’a offert un café pour ce moment de plaisir que je lui ai offert. Maintenant il regrette qu’il ne m’ait pas fait la demande avant.
Il a pris des nouvelles de Muriel, lui expliquant qu’elle est enceinte, et si je suis toujours veuve.
Voilà, il est temps pour repartir si je veux encore voir mon amie d’enfance et retourner chez moi.
Marie-Claude
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