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Histoire de Sexe Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025

Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 10

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Fin de la journée de jeudi !

Sur le chemin du retour, je te dis :

« Et si tu regardais ce qu’il y a dans le sac plastique ! »

Aussitôt, tu ouvres celui-ci, et en sors, un collier en cuir, une laisse, un œuf télécommandé avec plusieurs vitesses de vibration, un plug anal, et des pinces à seins avec des poids. Ayant fini l’inventaire du sac, je te dis de mettre tout cela maintenant…Que tu seras plus désirable et plus chienne.

« Je heu… je mets ce collier de chien ? Et cet œuf c’est pourquoi je ne comprends pas ?… Pour le drôle de gode je heu… je fais comment ? Et les pinces je heu… je ne sais pas je n’ai jamais mis ça … Je suis désolée monsieur mais je heu… je veux bien faire comme vous me demandez, mais j’ai besoin de votre aide » …

paragraphe 4 rose

« Bien sûr que tu mets le collier autour de ton cou et l’œuf dans ta chatte et tu me donnes la télécommande, je le ferais vibrer quand bon me semble à l’intensité que je souhaite, et le gode, cela s’appelle un plug et tu dois te le mettre dans le cul ! »

« Mais monsieur je heu… je ne peux pas je enfin il faut déjà le rentrer et puis après mon petit trou va être enfin… il risque de rester ouvert non ? J’ai peur Monsieur Éric, je crois que je ne suis pas capable de faire tout ce que vous me demandez ».

« Ta rondelle ne restera pas ouverte, juste dilater pour que tu puisses te faire enculer sans douleur, tu es une bonne élève et tu parviendras à tout faire par amour ».

« Je heu… Vous êtes sûrs ? Bon je heu… D’accord mais heu… Vous ferez attention pour me le mettre hein ? »

Je descends alors de la voiture, ouvre ta portière et te demande de t’allonger sur la banquette arrière et d’écarter tes fesses.
Oui je sors de la voiture et m’allonge sur la banquette arrière, anxieuse, et relève les jambes pour poser mes pieds sur le plafond.
Je pose alors le plug sur ta rondelle et l’introduis très doucement dans ton fondement. Une fois l’objet bien place, je te donne une claque sur les fesses en te disant :

« Allez retourne t’asseoir devant, avant qu’on te voie le cul à l’air et les jambes au plafond ».

Pendant que vous introduisez le plug dans mon anus, je pleure en silence et en respirant fort, et après avoir reçu des claques sur les fesses, je me relève en marchant avec difficulté, tant je me sens écartelée de l’intérieur par cet objet.

« Hoo… monsieur Éric, je heu… C’est sûr qu’après ça, vous pourrez me sodomiser plus facilement j’ai l’impression que jamais je ne serai aussi dilatée de l’anus ».

« Oui ma chérie ! Je pourrais te sodomiser et tu ne ressentiras que du plaisir ; mais je peux le retirer, si tu préfères souffrir, quand tu te feras enculer ».

Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 10
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« Je… Non, non ça va, je vais m’habituer et puis je sais que vous faites ça pour mon bien, pour mon plaisir … Vous savez j’ai honte quand même vis-à-vis de mon mari, lui à qui je n’ai jamais offert mes fesses ».

« Peut-être qu’un jour, je t’autoriserais à te faire enculer par lui, qui sait. Maintenant je vais te mettre les pinces sur tes jolis tétons »

« Je heu… M’autoriser mais comment cela ? … Bien monsieur tenez voici mes mamelons ».

« Quand je le déciderais, tu demanderas à Marcel de te sodomiser, mais on a le temps, tu n’es pas encore prête et lui encore moins ».

Puis prenant les pinces avec les poids, je saisis tour à tour tes tétons et fixe les pinces. Tu émets un petit cri à chaque fois, qui ressemble presque à un miaulement qu’un véritable cri. Il reste dans le sac, la laisse que je place dans le vide-poches de la voiture.

En partant du parking, équipée du collier, des pinces, de l’œuf vibrant et du plug anal, nous prenons la direction de la maison, car Carlo, le jeune livreur de pizza ne devrais pas tarder à nous livrer les salades et la bouteille de rosé, commandées la vieille. Lorsque nous arrivons en vue de la maison, on aperçoit le jeune homme, qui attend patiemment devant la porte d’entrée. Je remarque qu’aujourd’hui, il ne porte pas l’uniforme de son entreprise, mais un tee-shirt et un short.
Je te fais alors ôter tes pinces et ton plug, ne gardant sur toi, que l’œuf vibrant télécommandé dans ta chatte trempée d’excitation, bien que je n’aie pas encore déclenché le vibreur.

J’arrête la voiture devant la propriété, te disant que tu devras te dépêcher de rentrer, si tu ne veux pas être vu dans cette tenue par nos voisins. En descendant de voiture, nous saluons le jeune livreur, puis tu prends les paquets déposés sur le siège arrière, pendant que j’ouvre la porte de la maison, et tu te précipites à l’intérieur, en espérant que personne ne te voit vêtue ainsi.
Lorsqu’il te voit dans ta tenue rouge de prostituée, ta jupette cachant à peine tes fesses, ton string rouge, et les seins exposés par ta guêpière. Il reste comme scotché, alors que tu t’avances vers lui pour le saluer.

Je le fais entrer dans le salon et lui propose de boire un verre en notre compagnie, pour le remercier de nous avoir attendus. Il accepte volontiers, sachant qu’ainsi il pourra continuer à te mater; Tu vas aussitôt chercher 3 verres et une bouteille de rosé dans le frigo. Lorsque tu reviens dans le salon, nous sommes assis et te mettant devant lui, légèrement sur son côté, tu te penches pour déposer les verres et la bouteille, offrant au jeune homme, la vue de tes fesses découvertes par le string rouge qui te rentre dans la raie culière. Puis tu commences le service en te mettant entre lui et moi, pour offrir cette fois l’exposition de tes mamelles, mise en valeur par la guêpière.

Je te dis alors :« Tu ne comptes tout de même pas rester toute la journée dans ta tenue de pute, va vite te changer pour trinquer avec nous.

« Heu…Non. Excusez-moi, je me dépêche d’aller me changer ».

Tu vas alors à la chambre, où tu te mets nue, sachant que c’est ce que j’attends de toi. Quelques instants plus tard, tu reviens dans le salon, où je discute avec le livreur de pizza.
Honteuse, mais amusée de l’étonnement du livreur je reviens au salon, nue essayant de paraître naturelle, je reste debout à vos cotes …
Le livreur n’en revient pas et ne peut détacher son regard de ma poitrine lourde et pleine … Et de ton sexe imberbe et gonflé.

« Hé bien ma chérie ! Ne reste pas debout, assieds-toi » dis-je en te montrant le fauteuil placé juste en face du livreur et légèrement en biais, près du mien.

Alors que nous discutons de tout et de rien, en vidant déjà notre troisième verre de rosé, je vide la bouteille et te demande d’aller en chercher une seconde, car il n’y en a pas assez pour remplir les verres. Alors que tu te lèves pour te rendre à la cuisine, je te donne une bonne claque sur ton cul, ce qui a pour effet de te déséquilibrer et tu te rattrapes au dossier du fauteuil de Carlo. Mais dans ton mouvement, l’une de tes mamelles effleure son visage. Tu te redresses rapidement, en t’excusant, tes joues rouge écarlate, et le jeune homme bégayant que ce n’est rien.
Hum… oui il en bégaiera et après avoir reçu un coup de nichon dans le visage, il ne pensera plus qu’à une chose … Je vous laisse deviner !

Lorsque tu reviens avec la seconde bouteille de rosé, tu passes tout près du jeune, et tu restes debout devant lui, te penches pour compléter les verres, tes fesses à quelques centimètres de lui, tes seins pendants et bougeant sous son regard. Je le regarde et il semble hypnotisé par tes pis. Tu reviens prendre place dans ton fauteuil. Nous trinquons une nouvelle fois, et tu t’installes dans ton siège, les fesses au bord de celui-ci, les épaules contre le dossier, les cuisses presque jointes. Tu sembles totalement détendue, et heureuse d’avoir allumé ce jeunot.

Je mets alors ma main dans mon pantalon, et déclenche l’œuf placé dans ton vagin, en ayant réglé l’intensité des vibrations au niveau 5 sur les 10 possibles. Surprise, tu pousses un petit cri :

« Oooooh ! »

À moitié allongée sur mon siège, je sursaute quand l’œuf se met à vibrer… J’essaie de me maîtriser mais la sensation est trop forte ! Je ferme les yeux, me mords les lèvres et lentement mes cuisses s’écartent … Pour ne pas commencer déjà à gémir, je me prends les mamelles à pleines mains et les serre très fort pour me faire mal et ne pas jouir trop vite … Mais cela ne fait que retarder une jouissance, qui sera encore plus forte !

Je stoppe aussitôt le vibreur lorsque je vois que tu te pétris durement les pis et te dis :

« Dis donc ma belle, au lieu de te donner du plaisir toute seule, regarde dans quel état tu as mis notre jeune ami ! »

En effet, une grosse bosse déforme le short du livreur et je poursuis :

« Si tu lui faisais une cravate de notaire, comme je t’ai appris à les faire ».

Le cerveau chamboulé par la sensation, je ne réfléchis pas et je me mets immédiatement à genoux, commence à caresser sa bite au travers du short.

« Ho ! Mon pauvre, je suis désolée c’est ma faute, je vais arranger ça ! Ho ! La belle queue bien raide… Voilà tu aimes que je presse mes gros seins autour de ton sexe ? Vas-y crache dessus pour que ça glisse bien … »

Immédiatement, le jeune Carlo, crache sur tes pis, à plusieurs reprises imiter par toi, maculant tes mamelles de crachats et tu places sa queue entre tes seins et commences à branler sa bite entre tes protubérances.
Après une dizaine de crachats, j’ai les mamelles toutes baveuses et bien glissantes, je branle le livreur en refrénant mon ardeur, je remarque qu’il s’excite vite et risque de gicler très vite et vous me dites pour m’encourager dans ce sens.

« Allez fais, lui, du bien avec tes gros nichons et toi tu peux l’appeler maman si tu veux, car elle pourrait être ta mère et tu peux les téter un peu ».

Aussitôt, je me redresse un peu pour lui donne une mamelle à téter.

« Hum…! Oui vas-y mon grand tète mes gros mamelons, “maman” s’occupe de toi »

Après m’être fait bien cracher sur les outres, et y avoir contribué moi-même, je redeviens la femelle en chaleur que vous avez découverte en moi ! Je presse mes grosses outre des deux mains sur la queue du livreur et les fais monter et descendre pour le branler et voyant qu’il risque de juter vite, je le laisse prendre mon mamelon en bouche, on dirait un petit veau qui vient de naître tellement il a l’air affamé ! Et profitant de l’invitation à me parler comme sa génitrice, il se laisse prendre au jeu.

« Humm… oui “maman”… Je tète tes grosses mamelles, mais hoo… il y a quelques gouttes de lait ! Humm… c’est bon…c’est chaud… tu sens ma queue qui bande pour toi contre ta cuisse … Laisse-moi goûter l’autre »

« Attends mon petit je vais encore branler ta belle queue entre les doudounes de “maman”, ensuite tu pourras me téter l’autre mamelle, voilà recrache moi un peu dessus que ça glisse bien. Humm… oui comme ça… baise-moi les nichons… petit salaud ! Je suis sûre que tu voudrais gicler sur ta “mère” mon pervers ».

Après m’être fait bien cracher sur les outres, et y avoir contribué moi-même, je redeviens la femelle en chaleur que vous avez découverte en moi ! Je presse mes grosses outre des deux mains sur la queue du livreur et les fais monter et descendre pour le branler et voyant qu’il risque de juter vite, je le laisse prendre mon mamelon en bouche, on dirait un petit veau qui vient de naître tellement il a l’air affamé ! Et profitant de l’invitation à me parler comme sa génitrice, il se laisse prendre au jeu.

« Humm oui maman je tète tes grosses mamelles, mais hoo ! Il y a du lait humm ! C’est bon, c’est chaud, tu sens ma queue qui bande pour toi contre ta cuisse … Laisse-moi goûter l’autre ».

« Attends mon petit je vais encore branler ta belle queue entre les doudounes de maman ensuite tu pourras me téter l’autre mamelle voila recrache moi un peu dessus que ça glisse bien, humm ! Oui comme ça baise moi les nichons, petit salaud ! Je suis sûre que tu voudrais gicler sur ta mère mon pervers, allez viens téter mon autre mamelle maintenant humm ! Oui comme ça, tu me fais du bien »

Alors que tu le branles, pendant qu’il continue à te téter, tu devines qu’il ne va pas tenir très longtemps, aussi, tu décides de le finir en le prenant en bouche.

« À moi aussi mon petit, de te téter »

Et le repoussant légèrement, tu te baisses, et commence à passer ta langue sur toute la longueur de son sexe.
Carlo me lâche les tétons et je me mets à ses pieds, à genoux, sa queue est dure, pas énorme mais plus grosse que celle de Marcel, je sors la langue, la pose sur sa hampe et remonte jusqu’au gland en salivant bien … Je recommence à un autre endroit et ainsi, après 6 léchages, sa bite est bien luisante et j’ouvre grand la bouche, et prends sa bite pour me la mettre dans la bouche sans toucher mes lèvres et je la referme lentement et commence à téter son gland …
Avant même que je ne puisse le sucer vraiment Carlo m’a giclé sur la langue, on aurait dit mon mari.

Vous dites à Carlo :« Tu reviendras souvent pour devenir plus endurant à chaque fois, tu te feras sucer et tu pourras la téter un peu, mais il faudra livrer une pizza ou une salade gratos, même si c’est chez Marie-Claude que tu te feras sucer, et même en présence de son mari, vous trouverez bien un moyen qu’il ne vous surprenne pas. Hein Marie-Claude ! Tu suceras Carlo dans le dos de ton mari pour avoir ta dose de foutre ? »

Carlo me regarde affolé à l’idée de se faire sucer à quelques mètres de ton mari et attend ta réponse :

« Je heu… Bien Monsieur Éric, je heu…Quand Carlo viendra nous livrer, je demanderai à mon mari d’aller chercher une bouteille de rosé à la cave et je heu… Heu… Je le sucerai dans l’entrée, pour le moment, comme il ne dure pas longtemps ça ira, mais s’il devenait plus endurant je heu… Je ne sais pas comment faire … (Bien sûr d’ici là vous aurez convaincu mon mari, je ne sais comment, d’accepter d’être cocu)

« Et bien tu vois ! Quand tu veux être salope, tu as de l’imagination, j’aime ton idée de le sucer dans l’entrée alors que Marcel est à la cave. »

Après le départ du jeune homme, nous allons chez toi, tu vas sous la douche et prépare une tenue pour aller en forêt. Tu reviens avec une jupe courte – mi-cuisses – et un corsage couleur crème, assez transparent. Une fois lavée et maquillée, tu enfiles la jupette et le corsage. Je te demande de ne pas le boutonner, mais de le nouer sous tes seins, pour mettre en valeur tes grosses mamelles. Tu obéis et nous partons en voiture en direction des bois.
Arrivée dans une clairière, je te fais mettre entièrement nue, et nous partons trottiner, jusqu’à ce que nous arrivions près de la grande cabane en bois, où je t’ai baisé hier. Tu hésites à avancer.

« Ne crains rien, le refuge est vide, la chasse n’ouvre que la semaine prochaine ».

Rassurée, tu me suis, je cherche la clé, sous une poutre et ouvre la porte du refuge. Celui-ci est meublé d’une grande table en bois brut, de deux bancs de chaque côté, d’un buffet au fond de la pièce et sur le côté droit un immense canapé. Tu te tiens debout, les jambes légèrement écartées, attendant d’être prise.

Je te prends dans mes bras et t’allonge sur la table en bois, sur le dos. Instinctivement, tu écartes les cuisses, t’offrant totalement à moi. Je te laisse dans cette position et sans un mot sort de la cabane et reviens quelques instants plus tard, avec une corde en main.
Je t’ordonne de plier les jambes et entourant ta cuisse droite avec la corde, avant d’y attacher ta cheville, puis je procède de la même manière avec ta cuisse et cheville gauche. Ensuite, j’attache tes mains aux deux pieds de la table situés près de ta tête.
Je te laisse ainsi, prenant des photos de toi, totalement offerte dans une cabane en pleine forêt. Je m’approche de toi, et commence par déposer des baisers sur tes cuisses, ton ventre, tes seins et enfin ton sexe. Après une dizaine de photos, je te donne ma bite à sucer, avant de te baiser, les cuisses ouvertes par les liens qui te maintienne sur la table, puis je te détache et te place debout contre la table, la poitrine sur la table et t’ordonne d’ouvrir tes fesses. Tu places alors tes mains sur tes fesses et les écartes, m’offrant ta rondelle. Je te regarde et prends de nouvelles photos de toi, attendant de te faire enculer.
Puis je m’approche de toi, m’agenouille et commence à passer ma langue sur ta raie culière, avant de m’attarder sur ton œillet que ma langue fouille pendant de longues minutes. Puis je me redresse et posant mon gland contre ta rondelle, je te pénètre doucement, sachant que tu n’es pas encore trop dilaté de ce côté-là.
Après avoir entré le gland en totalité dans ton fondement, je pousse et fais entrer ma queue en totalité dans ton cul. Quelques gémissements de douleurs étouffés sortent de ta bouche, avant que ceux-ci ne soient remplacés par des gémissements de plaisir.

« Hum ! Oui Monsieur Éric ! C’est bon ! Continuez ! Cum »

Encouragé par tes gémissements de plaisir, je me rue dans ton cul en accélérant les va-et-vient, jusqu’à ce que je sente que je suis sur le point de décharger.
Sur le point de jouir, je me retire de ton anus et te demande de m’accueillir dans ta bouche pour avaler ma crème. Ce que tu fais immédiatement, te délectant de ma semence, avant de me nettoyer la bite.
Je sors une nouvelle fois de la cabane, après t’avoir détachée et remise debout, te laissant une nouvelle fois seule, les jambes écartées et l’anus dilaté.
Je reviens deux trois minutes plus tard, avec une belle ortie en main. Je te fais te poser le buste sur la table, t’attache les pieds à ceux de la table.

« Maintenant ma chérie, je vais te fouetter avec cette belle ortie, d’ici demain tu n’auras plus de marques que pourrait constater ton cocu de mari ».

Je frémis les jambes attachées aux pieds de la table de la cabane, incapable de resserrer les cuisses ou de protéger mes seins … Je suis entièrement vulnérable !

« Heu… Je… Mais monsieur doucement s’il vous plaît, j’ai peur … … »

Vos mains gantées tiennent une tige d’orties par la queue comme un pinceau et approchez les feuilles de mes cuisses … Je suis toujours allongée, pieds et mains attachées et au premier contact je me contracte :

« Aaieee, hou lala ça pique… »

« Je ne vais pas te caresser les seins et le sexe avec aujourd’hui, alors n’ai pas peur ».

« Hoo ! Merci monsieur je heu… Vous pouvez me demander et me faire tout ce que vous voudrez ».

« Je sais cela ma chérie, tu deviens vraiment une bonne soumise accro au sexe et as la soumission je ne regrette vraiment de t’avoir prise en main ».

« Oui monsieur je heu… s’il vous plaît ne laissez pas de marques … Vous comprenez c’est pour mon mari. Sinon je suis votre soumise, je vous appartiens ».

« Rassure toi, les petites boursouflures laisser par les orties, ne seront plus visible demain, c’est pour cela que je vais bien te fouetter le cul et les cuisses aujourd’hui ».

« Bien Monsieur, je suis prête ».

Je commence alors à promener la branche d’orties sur l’arrière de tes cuisses, tes fesses et l’intérieur de tes cuisses remontant tout près de ton sexe Je serre les dents et commence à pleurer Voyant que tu te retiens de crier et que tu pleures en silence, je te dis :

« C’est bien tu es courageuse »

Et je continue à promener la branche le plus près possible de ton sexe sans le toucher. Les larmes coulent sur mes joues et je sens les orties se rapprocher de la raie, je suis penchée en avant les coudes sur la table. Je t’ordonne :

« Place tes mains sur les fesses, et écarte-les »

« Oh ! S’il vous plaît monsieur, pas ça…! »

Mais avant que tu ne finisses ta phrase, je passe l’ortie sur ta raie, du bas des reins jusqu’à ta rondelle, tu cries, mais déjà j’ai posé le végétale urticant et dépose des baisers sur tes fesses et ton cul, te félicitant pour ton courage. Puis je te détache et nous repartons vers la voiture en courant.
C’est le corps marqué par les boursouflures laisser par l’herbe urticante, que tu remets ta jupette courte et ton corsage que tu noues toujours sous tes seins. Je lèche tes larmes qui coulent sur tes joues, te consolant et te félicitant d’être aussi soumise Alors que nous sommes sur le chemin du retour, je m’arrête dans le bourg, où nous habitons, devant l’épicerie tenue par un arabe, et te dis :

« Tu viens, on va acheter de quoi dîner ce soir »

« Heu…mais monsieur, je ne peux sortir de la voiture dans cette tenue »

«Tu as le choix, ou tu m’accompagnes dans le magasin, soit je te fous dehors et tu rentres à pied».

Tu acceptes contrainte et forcée et m’accompagner dans l’épicerie tenue un homme d’une quarantaine d’années, et aider de son fils.
Nous sommes accueillis par l’homme qui aussitôt vante la qualité de ses fruits et légumes. Lorsqu’il nous propose des bananes je lui réponds :

« Oui madame adore la banane, donnez-m’en trois ».

« Et vous monsieur qu’aimez-vous comme fruits ? »

« Je préfère les abricots, mais je doute que vous en ayez d’aussi juteux que celui de madame ».

« Monsieur semble connaisseur »

Alors que tu rougis et baisse la tête, nous achetons quelques autres victuailles, et lorsque nous arrivons devant un étal de melon, il me dit :

« Vous ne voulez pas un beau melon, ils sont très sucrés et juteux ? »

« Oh ! Ils ne sont pas si juteux que ceux-ci, dis-je en défaisant le nœud de ton corsage pour dévoiler tes pis ».

Tu te laisses faire sans broncher, habituer maintenant à être exhibé quand l’envie me prend.

« Et ceux-ci seront aussi bien pleins de lait, dans quelques jours, d’ailleurs peut être serez vous intéresser pour téter madame prochainement ? »

« Vraiment ? C’est une proposition sérieuse ? »

« Bien sûr, je vous propose de lui vider ses outres tous les dimanches soir pour 50 euros la mamelle et une pipe pour le même prix ».
L’homme très intéressé regarde son fils et avant qu’il n’ouvre la bouche je continue :

« Vous pourriez prendre un pis et votre fils l’autre et pour votre fils la pipe sera gratuite, ainsi cela ne vous coûtera que 150 euros ».

« Heu… C’est alléchant, je peux les toucher et les lécher ? »

« Bien sûr »

« Allons dans l’arrière-boutique nous serons plus tranquilles »

Et nous suivons l’arabe dans sa réserve, où tu sais que tu seras palpé et tes pis lécher (hum oui super ainsi tous les dimanches, j’aurai hâte d’annoncer à mon mari que je vais faire des courses pour me faire dégorger les outres qui seront pleines de lait). À cette idée, je sens mon jus coulé sur mes cuisses.
L’épicier me pousse en avant vers une porte, j’avance avec mon débardeur toujours noué sous les seins, les faisant ressortir tout autant que cela les maintient. Nous passons entre les étagères garnies de la réserve et une fois au bout, je me retourne le dos à une table, avec une pointe appréhension et l’épicier direct commence à me palper les seins des deux mains sous le regard de son fils qui se touche la bite sous son pantalon. Je me laisse faire bien qu’il y aille fort d’emblée.

« Montre tes grosses mamelles putain, allez ton mari (il croit que vous êtes mon mari) nous avons autorisé à te toucher et te lécher pour tester la marchandise ! Si je paie pour te téter et te baiser avec mon fils, je veux être sûr que ça vaut la peine …Humm ! En tout cas ils sont énormes, fermes et bien souples, regarde, mon fils les beaux pis, allez lécher lui les mamelons et goûte il paraît qu’il y a un peu de lait ».

Et je me retrouve appuyée contre la table, le père et le fils qui me lèchent les seins, me les sucent et le fils qui tète et découvre en quelques gouttes le goût sucré de mon lait … Malgré moi cette situation m’excite car le père frotte son gros paquet bien dur contre ma jambe tandis que le fils a carrément sorti sa bite et se branle.

J’interviens alors et dit :

« Ce n’est pas ma femme, juste ma voisine mais vous voulez peut-être voir comment elle suce ? »

Ils me tètent à présent tous les deux les seins en me les tenant chacun à deux mains et je sens le jeune gicler sur ma jambe nue tandis que le père qui n’ose peut-être pas s’astiquer devant son fils me dit :

« Toi ! Dimanche je vais je te ramoner la chatte comme à une grosse pute, hé Ahmed ! Je vais te faire un petit frère, tu verras ce que vais lui mettre ! … Comment votre voisine, ha la truie, bien sûr que je veux vois comment elle suce, allez allonger toi sur le dos et penche la tête en arrière je vais baiser ta gorge ».

À ce moment, vous voyez l’épicier sortir son gros engin et me le fourrer dans la bouche, j’ai la tête en arrière et il utilise ma bouche comme un orifice vulgaire et je ne peux qu’ouvrir le grand la mâchoire et le laisser me ramoner le gosier pendant qu’il me malaxe les seins.
Je corrige alors l’arabe en lui précisant que notre accord est valable pour les téter et les pipes et que s’ils veulent te baiser, ce sera plus cher.

« Hoo monsieur, je paierai toutes les semaines pour que votre voisine me suce et pour la baiser dans la chatte je paierai ce qu’il faut ».

« Cela fera 150 euros de plus, et pour répondre à votre question, non son mari n’est pas au courant, mais ne vous inquiétez pas, j’en fais mon affaire ».

« Humm ! C’est encore mieux, allez, salope prends tout je viens haaaa ! Hummmmm ! »

Je me retrouve à moitié étouffée par la dose de foutre qu’il me gicle directement dans le gosier en serrant mes seins et me relève lentement de cette position inconfortable … Heureusement qu’il est venu vite ! Et dire que je vais devoir me livrer à ce gros porc tous les dimanches, je le fais vraiment pour mon maître …

L’arabe se réajuste et convient d’un montant de 300 euros chaque dimanche et je lui précise qu’il devra préparer la commande de fruits, légumes et autres marchandises que je lui communiquerais le samedi matin par téléphone, afin que tu ne perdes pas trop de temps et que cela n’étonne pas ton cocu de mari. Oui, il aura droit à 30mn et pourra me téter, se faire sucer, malaxer mes seins, me baiser mais pas de coups ni de traces.
Je me rhabille en vous écoutant me négocier et me rendant compte que le moment de rencontre avec mon mari approche, je commence à avoir un peu peur.

Une fois dans la voiture, je te demande :

« Alors ma chérie, contente que je t’ai trouvé quelqu’un pour te vider les mamelles le dimanche soir, sans que ton absence n’éveille la curiosité de Marcel ? »

« Heu…c’est-à-dire qu’il n’est pas très reluisant, ni très propre, mais si c’est la seule façon de me faire téter le dimanche soir, sans que Marcel ne le sache, alors oui je suis contente ».

« Bien, c’est la réponse que j’espérais. Mais dis donc tu n’aurais tout de même pas voulu qu’en plus je te trouve un apollon pour te téter, tu dois savoir qu’une pute doit accepter tous les clients sans exceptions ».

« Heu…oui Monsieur Éric »

En arrivant chez moi, Tu retires immédiatement ta jupette et ton corsage et, va t’asseoir sur l’un des transats sur la terrasse. Puis, nous mangeons la pizza de Carlo en buvant un verre de rosé, puis je te propose de te faire un massage avec une crème apaisante, pour diminuer les picotements dus aux orties.

Tu t’allonges alors sur ton transat, bras et cuisses écartées et me dis :

« Je suis prêêêête….. »

À suivre…

Marie Claude

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