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Oui, tu proposes de passer à table, alors que Marcel est déjà bien imbibé et que toi aussi tu commences à être euphorique.
Oui, on rigole beaucoup et Marcel est euphorique à cause de l’alcool et de l’excitation de me voir dans cette robe avec mes seins qui bougent à chaque mouvement et aussi de sentir votre regard sur moi … Nous nous asseyons et vous me dites :
« Marie-Claude, trinquons à notre soirée et à votre superbe robe, qui vous met tellement en valeur … Je n’aurais jamais pensé lorsque je vous ai vue emménager tous les deux et que je vous ai aidé, qu’une semaine après je serais à votre table à profiter de vos courbes généreuses … Enfin visuellement ».
Je me place en face de Marcel, alors que toi, tu as prévu t’asseoir en bout de table entre nous deux. Cette position me permet de voir tes gros pis par l’échancrure des manches, et levant nos verres, vous trinquez et buvons encore une coupe de champagne.
Oui bien que nous soyons déjà un peu saouls, nous continuons à boire et alors que je ris, un peu de champagne coule sur mes seins faisant une tâche, vous approchez alors votre main et du pouce frottez la tache près du mamelon.
« Hoo petite cochonnes-tu en mets partout, heureusement ça ne tache pas le champagne ».
Voyant que Marcel ne réagit pas, je prends ma serviette et la passe entre ta robe et le mamelon et frotte celui-ci pour “éponger” le champagne. J’en profite pour titiller un peu ton mamelon et te dis en retirant la serviette :
« Je vais t’aider, car je crois que tu as un peu trop bu »
Oui je n’en reviens pas de votre audace devant mon mari et je le regarde observer la scène, il déglutit et semble ne pas savoir quoi faire, mais vous faites vite et après avoir passé votre main, le dos contre mon sein, sous ma robe et frotté le tissu, vous la retirez et dites à mon mari en le regardant :
« Marcel, ta femme est un peu saoule, tu permets que je l’aide ? »
Et vous changez de sujet en regardant Marcel qui n’a pas réagi en tout cas et vous à laisser faire sans protester.
Mon mari en reste bouche bée et sans savoir de quoi vous parlez il dit :
« Mais je heu… Oui, oui fait ».
Je me lève, t’aide à te lever et nous allons dans la cuisine, laissant Marcel seul devant son verre. Je te suis et lorsque je sais que Marcel ne peut nous voir, je te mets la main aux fesses en te demandant:
« Qu’a, tu prépares de bon pour ce dîner ? »
« Je heu… De la poule au pot Monsieur Éric, elle mijote depuis plusieurs heures dans son jus ».
« Hum ! J’adore ».
Alors que tu t’apprêtes à prendre la marmite, je saisis le bas de ta robe et la relève jusqu’à la taille et passe ma main entre tes cuisses et dit :
« Oh ! Effectivement, elle me paraît cuite à point ».
Je sursaute, mais les mains prisent, je me laisse faire et votre main glisse entre mes cuisses pour introduire deux doigts dans ma chatte.
« Je crains qu’il n’y ait trop de jus ».
Pendant ce temps, Marcel ouvre une autre bouteille et se demande si le nettoyage de la tache était opportun, l’alcool ralenti vraiment son cerveau.
Il appelle :
« Chérie, Monsieur Éric, vous voulez de l’aide ? »
« Non merci Marcel, nous arrivons ! »
Je retire mes doigts de ta chatte, lèche ceux-ci et dit :
« La sauce est succulente et prenant la marmite, je retourne dans le séjour en disant à Marcel :
« Voici notre cocotte bien juteuse » en me retournant vers toi.
Marcel ne comprend pas les jeux de mots et ajoute :
« Humm merci de la porter au salon, j’ai une faim de loup ».
« Moi aussi, je vais vraiment me délecter de cette belle cocotte cuite à point ».
Puis, me tournant vers toi, j’ajoute :
« Marie-Claude, je te laisse faire le service ».
Je me penche au-dessus de la table et fais le service et là vous me prenez carrément un sein par en dessous en disant :
« Attention Marie-Claude tu risques de toucher le bord de la marmite et encore faire une tâche, je ne vais quand même pas te tenir tes gros seins pendant que tu fais le service … ».
Je m’adresse alors à ton cocu de mari :
« Marcel dit à ta femme de ne pas faire balancer ses gros seins comme ça au-dessus du plat, c’est très agréable à regarder, mais qu’elle pense à la robe, les taches de gras ça ne part pas bien ! »
Et Marcel incrédule ne sait quoi dire à part :
« Heu… Je… Oui chérie fais attention à ta robe ».
J’ajoute :
« Si tu ne fais pas plus attention, nous allons être obligés de te la retirer, ce qui serait dommage, elle te va si bien ».
(La remarque sur la robe est juste une occasion de montrer à Marcel que vous pouvez exercer sur moi votre autorité)
« Je heu… Mais Monsieur Éric je heu… Je vais faire attention, je suis désolée, Marcel tu veux bien que je garde ma robe n’est ce pas ? »
Mon mari est débordé par la situation et par ma question, il se range à mes côtés et répond :
« Oui bien sûr garde ta robe, heu… Mais fais attention ».
Marcel tend son assiette pour que tu le serves, puis je te tends ton assiette puis la mienne pour que tu nous serves. Tu t’assois en relevant ta robe sur tes cuisses sans que Marcel ne le voie.
Oui dans la cuisine, vous m’avez donné pour consigne de m’asseoir sur mes fesses en relevant la robe jusque sur mes hanches … Je m’assieds donc ainsi, en faisant attention que mon mari ne remarque rien. Assommé par le bourgogne et occupé à dévorer son morceau de viande, il ne remarque rien.
Je te demande alors :
« Tu n’avais pas prévu de légumes pour accompagner cette bonne poule ?
« Ho pardon, oui j’ai des carottes dans la cuisine, mais je les ai laissés à cuire à la vapeur un peu plus longtemps, car elles risquaient de ne pas être assez cuites et trop dure, Marcel les préfère bien molles.
« Allez Marie-Claude va chercher les carottes et profite en pour rincer la tâche à l’eau très froide ».
« Une bonne cocotte attire toujours les carottes »
Nous poursuivons le repas toujours aussi arrosé et à un moment vous dites à mon mari :
« Marcel, ta femme est une vraie cochonne regarde, en sauçant son assiette, elle a une mamelle qui a touché le bord et sa robe est toute tachée, on l’avait prévenue hein ! »
Marcel trop saoul pour prendre ma défense, ne perçoit même pas que vous avez dit mamelle, et il répond :
« Bah alors chérie, c’est vrai quoi, je t’achète une belle robe et t’en fous partout ».
Évidemment Marcel ne comprend pas la blague et continue à descendre des verres … Vous m’ordonnez d’aller à la cuisine et pendant ce temps vous lui dites :
« Marcel, tu te sens de danser un peu ? »
« Ho non ! J’ai trop picolé ».
Et au moment où je reviens avec les carottes vous me dites :
« Marie-Claude, Marcel n’est pas assez en forme pour te faire danser, tu veux bien m’accorder une danse, quand on aura fini le repas ?
« Oui bien sûr Monsieur Éric ».
Lorsque je reviens à la place de la tache il y a une grosse auréole de quinze centimètres de diamètre et sous le tissu, on voit mon téton devenu tout dur à cause de l’eau froide.
Tu fais le service des carottes, en te plaçant entre ta chaise et la mienne, ce qui me permet de placer ma main sous ta robe sans que ton mari s’en aperçoive glissant ma main entre tes cuisses que tu ouvres un peu plus.
Oui Marcel peut à la rigueur imaginer que vous posez votre main sur mes fesses, mais il ne se doute pas une minute que vous l’avez glissée sous ma robe et êtes remontés entre mes cuisses pour jouer avec mes lèvres trempées.
« Tu es sûr d’avoir rincé suffisamment la tache, ce serait dommage que ta robe soit foutue à cause d’une tache de sauce ».
« Je heu… Oui Monsieur Éric j’ai bien frotté, la seule chose que j’aurais pu faire c’est de mettre de la lessive, mais c’est peut-être mieux d’attendre ce soir … »
Comprenant ce que je souhaite, tu dis :
« Bien je vais lui redonnez un petit coup d’eau froide, puisque vous insistez ».
Je me lève et te suis disant à Marcel :
« Vaudrait mieux que je vérifie qu’elle rince bien ».
Et je te suis dans la cuisine. Penchée sur l’évier, tu fais couler l’eau froide et rinces à nouveau la tache. J’en profite pour glisser ma main entre tes cuisses et glisse l’œuf vibrant dans ta chatte trempée.
« Hoo Monsieur Éric non pas l’œuf vibrant, je ne pourrai plus me retenir, s’il vous plaît … »
Mais vous restez sourds à mes suppliques et me prenez la mamelle à pleine main directement sous le jet d’eau froide … Avant de revenir avec moi dans le séjour en disant à Marcel :
« Je crois que cette fois-ci, elle sera bien trempée ».
Lorsque vous revenez Marcel vous, demande :
« Elle a bien rincé, la lessive ça peut irriter la peau et comme le tissu n’est pas épais ».
« Haha sacré Marcel, c’est vrai que la robe de ta femme est très légère, tu es un sacré cochon de l’exhiber ainsi, j’espère que tu prendras plaisir à nous regarder danser, autant que moi à la voir si belle dans sa robe… ».
Tu me suis avec un pis presque totalement visible, par la robe trempée et t’asseyant comme précédemment, attendant avec un peu d’anxiété le moment ou je vais déclencher les vibrations de l’œuf et aussi à quelle intensité.
Alors que nous avons fini le repas, je t’aide à débarrasser la table, Marcel étant dans l’incapacité de t’aider. Puis, lorsque tu reviens, tu demandes :
« Vous voulez que j’apporte le dessert maintenant ? »
« Je crois ma petite Marie-Claude, que tu devrais être privé de dessert et recevoir une fessée, pour avoir taché ta robe. Qu’en penses-tu Marcel ? »
« Heu…Oui c’est vrai que tu n’as pas très attention ».
Puisque Marcel est d’accord, viens par ici que je te donne la punition que tu mérites ».
« A vos ordres Marcel, allez Marie-Claude lève toi, viens avec moi on va aller sur le canapé, je m’assieds et toi tu t’allonges sur mes genoux comme une petite fille, quoique tu me diras, si tu es d’accord Marcel, mais une petite fille n’aurait pas de gros seins, qui ballottent partout hein ? »
« Ha ou c’est sûr ! »
« Allez allonge, toi, comme ça oui … »
Je me retrouve le ventre sur vos cuisses, accoudée sur le canapé et vous posez une main sur mon dos et l’autre sur mes fesses et vous commencez à me donner une petite claque sur une fesse, puis l’autre … Et là à ce moment vous prenez le bas de ma robe et la remontez jusqu’à mes fesses, vous regardez mon mari en lui faisant un clin d’œil pour le rendre complice et vous remontez d’un coup jusqu’au-dessus de mes fesses, les exhibant à mon mari.
« Mais tu n’as pas de culotte ma petite cochonne ! … ».
Un silence se fait et vous me donnez des claques pas trop fortes, mais qui claquent bien.
« Alors petite cochonne, tu vas manger proprement maintenant en arrêtant de frotter tes gros nichons sur le bord des plats …
À suivre…
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