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« Oh ! Ce doit être Marcel ».
Je te sens un peu gêner qu’il te trouve dans cette tenue, mais tu ne pouvais faire autrement, lorsque je me lève pour aller ouvrir.
« Entre je t’en prie, nous t’attendions, surtout Marie-Claude qui n’a rien à se mettre ».
« Comment cela rien à se mettre ? »
Reprends Marcel un peu inquiet.
« Oui lorsque j’ai voulu rentrer à la maison, j’ai trouvé la porte close et je n’avais pas pris mes clés pour courir ».
Expliques-tu à ton mari.
« Aussi j’ai proposé à Marie-Claude de venir prendre une douche chez moi, et à la sortie de la douche, je n’ai trouvé que ce peignoir d’une ex-copine, pour ne pas la laisser nue ».
Lorsque Marcel me voit comme ça, il comprend que mon corps n’a plus beaucoup de secrets pour vous … Et je lui avoue même timidement :
« Tu sais mon chéri, en sortant de ma douche, Monsieur Éric a dû venir dans la salle de bains pour me donner une serviette et il a insisté pour m’essuyer, je n’ai pas eu le choix … J’avais honte, mais je l’ai laissé m’essuyer partout … Mais dis donc gros cochon ça t’excite tu bandes !!?? »
Il aura honte d’être pris sur le fait et m’avouera que oui ça l’excite que notre voisin m’ait séchée.
Je regarde Marcel et dis :
« Il y a beaucoup d’hommes que cela excite que leur épouse soit belle devant d’autres hommes, il ne faut pas en être surprise, c’est une forme de reconnaissance de ta beauté Marie-Claude … N’est ce pas Marcel ? » .
« Heu je… Oui, oui ». (Il est mort de honte)
« Assieds-toi, tu as bien le temps de boire un verre de jus de fruits avec nous ? »
« C’est que je ne suis pas rasé, ni lavé »
« Tu iras après, tu n’as rien à faire, tu es invité ».
Et il s’assoit dans un fauteuil face à toi. Et j’ajoute en m’adressant à toi :
« J’ai déjà remarqué que cela l’excitait que je te mate, mais j’y pense j’ai une belle robe beige dans mon armoire qu’a oubliée une de mes ex, je suis sûr qu’elle devrait t’aller comme un gant? Tu veux l’essayer ? »
« Oui je veux bien »
Et aussitôt tu te lèves, Marcel te fait aussitôt la remarque suivante :
« Mais tu n’as mis de culotte ? »
« Ben ! Non, c’est de ta faute, la porte était fermée et je ne pouvais pas remettre mes affaires trempées de sueur après ma douche.
« Ah heu… Oui c’est vrai, je heu… Je suis désolé chérie ».
« Et puis tu sais, Monsieur Éric m’a vu entièrement nue lorsque je suis sortie de la douche et il m’a même essuyée partout, alors mon corps, il le connaît un peu ».
« Ne t’en fais pas Marcel, cela ne me gêne pas, je l’ai déjà vu nue, lorsque ta femme est sortie de la douche .. .Tu comprends mon ami, quand je l’ai essuyée … Je l’ai vu nue forcément … Alors il ne faut être gênés … Parce qu’elle n’a pas de culotte ».
Puis, me tournant vers toi :
« Mais Marie-Claude que fais-tu là à attendre, va te changer ! … Dis-moi Marcel, puisque tu bandes tellement que tu ne peux t’en cacher, je peux te dire un mot entre hommes, je crois que Marie-Claude est aussi excitée que toi de s’exhiber devant moi ainsi … J’ai l’impression que le fait de te voir bander la libère. Elle était beaucoup plus timide tout à l’heure dans la salle de bains …
« Tu crois qu’elle se sent libérer de me voir bander ? »
« Bien sûr, elle voit que tu bandes lorsqu’elle est exhibée, et elle prend cela pour de l’encouragement de ta part et à l’impression que tu peux tout lui permettre ».
« Oh quand même pas, mais j’y pense comment savait-elle ou était ta chambre ? »
« Oh ! C’est bien simple, après avoir pris notre douche, je lui ai fait visiter la maison ».
« Notre douche ? Vous av… »
« Ben ! Moi aussi je me suis lavé, voyons réfléchi un peu dis-je en riant ».
À ce moment-là, tu reviens toujours en peignoir, la robe sur le bras, et en entrant elle me la montre et dit :
« C’est celle-ci ? Elle est magnifique ».
« Elle te plaît ? Alors si elle te va, je t’en fais cadeau »
« Oh ! Merci Monsieur Éric »
Dis-tu en dénouant la ceinture du peignoir.
Marcel qui te voit faire s’exclame :
« Tu ne vas tout de même pas te changer ici ? »
Marcel se dit que moi aussi j’ai dû vous voir nu lorsque vous preniez votre douche mais les choses s’enchaînent si vite qu’il a déjà l’esprit occupé par cette robe que je m’apprête à enfiler là, devant vous deux …
« Mais mon amour, Monsieur Éric est un homme d’expérience, il ne va pas se sentir gêné, si je me change ici … Et d’après ce que je vois à ton pantalon, ça ne te gêne pas non plus … »
Et sur ce, je laisse tomber mon peignoir au sol dévoilant mon corps nu, mes seins lourds, mon sexe rasé et lentement j’enfile la robe pendant que vous dites à mon mari :
« Humm elle est superbe ta femme… »
Et vous enchaînez en me disant :
« Attends elle est toute de travers, je vais bien te la mettre … »
Et vous vous levez, venez vers moi et la tirez vers le bas, rendant le décolleté encore plus plongeant.
Je fais un pas de recul pour mieux voir l’ensemble, corps et robe, et j’ajoute :
« Elle te va super bien, et en plus tu n’as même pas besoin de retourner chez toi te changer ».
Mon mari voudrait protester, mais il a été trop humilié que nous lui fassions remarquer que mon exhibition le faisait bander … Vous allez le rejoindre sur le canapé et vous me dites :
« Marie-Claude danse pour nous, je crois que Marcel adore autant que moi te voir faire bouger tes gros seins et aussi ta belle chatte rasée, tu m’as dit tout à l’heure dans la salle de bains que tu l’avais fait pour lui mais qu’hier il était trop saoul pour en profiter … Allez Marcel regarde ta femme et ne te gêne pas si tu veux te soulager en la regardant … »
Voyant Marcel honteux de votre remarque, je le regarde dans les yeux et lui dis :
« Allez mon chéri vas-y ! Ça m’excite moi aussi que notre voisin me regarde presque nue et que cela t’excite, vas-y branle-toi pour moi mon amour… ».
Ne pouvant résister, mon mari sort sa queue et commence à se branler
Je me lève et mets un disque de musique très langoureuse, et tu commences à te trémousser de manière très sensuelle devant nous, bougeant tes grosses mamelles, découvrant une de tes épaules avant de la recouvrir et faire la même chose avec l’autre, puis tu caresses tes seins au travers de la robe, puis tes fesses et s’approchant de nous à tour de rôle, en lançant ton bas-ventre en avant. Tu remontes parfois ta robe pour découvrir tes cuisses avant de t’asseoir sur un meuble en croisant et décroisant les jambes très haut.
.
Marcel a sorti sa queue et sur tes encouragements, commence à se branler.
« Attends-je vais aller te chercher de l’essuie-tout ».
Je laisse Marcel se branler seul, sachant qu’il va être obligé de nous laisser pour aller se rase et se laver et qu’ainsi je pourrais encore profiter de toi.
Marcel se branle seul en te regardant danser et éjacule dans le sopalin que je viens de lui apporter, et honteux il nous quitte rapidement pour aller se laver et se raser, ce qui nous donne du temps seuls pour faire l’amour et préparer le barbecue avant l’arrivée de Thibo que ton mari ne connaît pas encore.
Oui, il éjacule rapidement et honteux va se laver et se raser.
Alors que Marcel se lève et quitte les lieux, honteux, je lui demande :
« Chéri, tu peux me ramener une paire d’escarpins, s’il te plaît? ».
Je te demande alors, avant que Marcel ne ferme la porte :
« Pendant que Marcel va se laver, Marie-Claude tu veux bien m’aider à préparer le barbecue ?
« Oh ! Oui bien sûr ».
Mais la porte de la maison est à peine fermée sur les talons de ton mari, que je te couche sur le canapé et m’allonge sur toi.
Dès que mon mari quitte la pièce, vous m’allongez sur le canapé en me couvrant de baisers et caressant mes seins.
« Hum grosse cochonne, tu es une belle comédienne, mais tu as la chatte trempée, ça t’excite de faire cocu Marcel alors qu’il est juste à côté hein ?
« Ho oui Monsieur ! Prenez-moi vite avant qu’il ne revienne ».
Vous me pénétrez d’un coup et lentement me ramonez bien à fond, puis plus rapidement … Lorsque je m’approche de la jouissance, vous vous retirez et me retourner à 4 pattes sur le canapé et me prenez en levrette après avoir sorti mes seins de la robe.
Oui ma chérie moi aussi je veux te baiser et t’enculer alors qu’il va bientôt revenir, tout en te ramonant la chatte, je saisis tes pis, et les malaxe durement, puis alors que tu es au bord de la jouissance, je me retire de ta chatte et place ma bite près de ta rondelle et force ton fondement, m’enfonçant progressivement entièrement en toi. Alors que je t’encule de plus en plus vite, je te claque aussi le cul, faisant rougir ton fessier.
« Hoooo oui ! Allez y enculer moi bien à fond ! Jouissez en moi vite il risque de revenir… »
J’augmente ma cadence et lorsque je suis sur le point de jouir, je me retire et te dis :
« Viens, je vais jouir dans ta bouche, autrement tu risques de tacher ta robe et Marcel va s’en apercevoir et puis en jouissant dans ta bouche, tu auras mon goût et mon odeur, et on verra s’il s’en aperçoit ».
J’ai à peine lâché ma purée dans ta bouche, que tu prends soin de tout avaler que l’on sonne à la porte. Je vais ouvrir après m’avoir réajusté, et toi remis correctement ta robe.
« Ah c’est toi, bonjour Thibo, je croyais que c’était Marcel le mari de Marie-Claude, mais entre, elle est dans le séjour ».
En voyant Thibo entrer, je suis surprise que ce ne soit pas Marcel et lorsqu’il s’approche, je me lève pour lui dire bonjour et il m’embrasse à pleine bouche en me caressant les fesses.
« Mais dis donc, tu sens la bite toi, tu viens de sucer la grosse queue de Éric ! Et bah ! Tu devrais boire un coup, ton mari risque de s’en apercevoir ! ».
« Mais non elle pourra lui dire qu’elle ne s’est pas brossé les dents ce matin, et puis si ça se trouve, ça va lui plaire de sentir le goût de bite dans sa bouche ! »
Je vais chercher une bouteille de champagne et vous rejoins sur la terrasse, ou très vite je le mets au parfum de la place de vendeuse en lingerie, qu’il doit te proposer et aussi de m’appuyer sur le fait que de ne pas mettre de soutien-gorge est bon pour la musculation de ta poitrine, puis je vous sers une coupe et à ce moment-là, l’on sonne.
Je vais ouvrir.
Au coup de sonnette, je me lève et vais ouvrir, sachant que cette fois-ci, c’est ton cocu de mari, qui revient.
« Entre Marcel, tu arrives à point, mon ami Thibo, dont je t’ai parlé hier soir, viens juste d’arrivée ».
Il me suit jusqu’à la terrasse, où je vais les présentations. Marcel s’avance vers toi et t’embrasse, mais il ne semble rien remarquer.
Au contraire il me dit, naïf,
« Tu es toute fraîche ma chérie, tu sens bon ».
Je sers une coupe de champagne à tous. Nous trinquons avant de boire une première gorgée. L’apéro se déroule dans la bonne humeur, et alors que je reviens d’avoir jeté un œil au barbecue, je demande conseil à Thibo :
« Mais dis-moi Thibo, toi qui es médecin, tu as remarqué que Marie-Claude ne porte pas de soutien-gorge, c’est nouveau pour elle, elle se sent plus à l’aise et son mari aime ça, mais ça ne risque pas de rendre plus lourdes ses grosses m… Ses gros seins ? »
« Oh non au contraire, en portant un soutien-gorge, les muscles de la poitrine s’atrophient et c’est comme cela que les poitrines tombent et ressemblent parfois à des gants de toilettes, alors que sans soutien-gorge, les muscles travaillent et les seins se tiennent mieux ».
Puis il ajoute à l’attention de Marcel :
« Tu permets que je te fasse une démonstration ? »
« Heu…Oui bien sûr, car j’ai un peu de mal à comprendre comment cela peut se faire ».
Immédiatement, Thibo se lève, passe derrière toi et tout en te disant :
« Tu permets Marie-Claude ? »
Il fait glisser les bretelles de ta robe de tes épaules, et tu te retrouves seins nus devant nous.
« Oh ! » dis-tu surprise, mais sans esquisser le moindre geste pour te couvrir les mamelles.
Thibo place alors ses mains sous ta poitrine en la compressant légèrement.
« Ainsi maintenus, les seins de Marie-Claude, ne peuvent quasiment pas bouger, et donc pas faire travailler les muscles de sa poitrine ».
Dit-il en passant ses mains au-dessus de tes outres, pour bien montrer les muscles qui sont censés travailler. Puis il agrippe tes pis dont les tétons sont déjà dressés, et que nous avons tous remarqués, et il les fait bouger dans tous les sens, de haut en bas et de droite à gauche plusieurs fois avant de les relâcher et ajoute :
« Par contre, sans soutien-gorge, là ses muscles ont travaillé et cela donnera une plus belle poitrine encore à ta charmante épouse ».
Il revient s’asseoir à sa place, alors que tes tétons sont érigés, tu ne sais si tu dois te couvrir ou rester ainsi. Il boit une gorgée de champagne et ajoute :
« Par contre, il y a un petit effet secondaire ».
« Un effet secondaire ? Demande surprise Marcel.
« Oui mais pas grave rassure-toi, au contraire, Marie-Claude étant sans soutien-gorge, sentira ses mamelles bouger dans tous les sens à chacun de ses mouvements, et le frottement de ses tétons sur le tissu de ses vêtements excitera ses sens, elle se trouvera plus femme, plus belle, plus excitante et cela exacerbera sa libido, elle ressentira le besoin de s’exhiber, et d’être caressé, d’ailleurs regarde, elle n’a toujours pas recouvert sa poitrine depuis que je parle ».
À ce moment-là, tu réagis et remontes le haut de ta robe sur tes épaules et recouvres tes pis.
Et il conclut en disant :
« Mais je pense qu’il faut mieux une femme bien dans sa tête et dans son corps qu’une femme qui voit sa poitrine s’affaisser au fil du temps ».
Et te regardant, il te demande :
« Et toi Marie-Claude, qu’en penses-tu ? »
« Je ne sais pas mais si tu es d’accord je préfère ne pas avoir les seins qui tombent, ils sont déjà un peu tombants vu leur poids et puis si j’ai une libido plus forte, ce serait pas mal non ? Et peut-être que toi aussi ça te boostera aussi. » Dis-tu à Marcel !
Je te fais alors remarquer que tu as parfaitement raison et qu’avec de telles mamelles, tu ne dois pas avoir peur de les montrer, et que tes seins seront ainsi plus fermes et souples.
« Bah oui si le docteur le dit, on peut essayer que je ne porte pas de soutien-gorge pendant un mois ou deux, on verra ?
« Et si cela te plaît, tu pourras mettre tes soutifs à la poubelle ».
« Heu oui mais j’en ai des beaux quand même, je pourrais les vendre sur internet, non ? Quoi que bonnet E y pas beaucoup de clientes mais n’y doit pas y en avoir beaucoup en vente non plus ».
« Oui c’est est une bonne idée de les vendre sur internet ou a une braderie »
« Ho à une braderie, je ne sais pas ça me gêne de donner mes mensurations à tous les badauds » …
« Encore ta timidité qui te reprend, seules les femmes intéressées regarderont, les hommes n’oseront regarder tes soutifs ».
« Ha oui c’est vrai vous avez raison, bon OK, il suffit de trouver la bonne braderie, on ne les connaît pas encore dans la région ».
« Il y en as presque tout les week-ends au printemps, mais on verra cela le moment venu ».
Le repas continu a se dérouler dans la bonne humeur et Thibo au moment du café te demande :
« Et toi Marie-Claude, tu cherches du travail ? »
« Ho oui j’aimerais bien si l’occasion se présente ! Avec notre maison, on s’est mis de grosses mensualités et Marcel a du mal en ce moment, la conjoncture n’est pas très bonne, c’est pour ça qu’il est souvent en déplacement, pour maintenir nos revenus ».
« Un travail de vendeuse caissière dans un magasin de lingerie cela te plairait ? »
« Ho oui beaucoup mais bon une vendeuse de lingerie qui ne porte pas de soutien-gorge … Vous croyez que c’est possible, vous me direz les cordonniers » …
« Bien sûr, c’est un ami et il paye très bien, il avait même prévu faire don à son ancienne vendeuse, qui travaillait avec lui depuis 3 ans, de son magasin, mais elle s’est mariée et à quitter la région, tu t’imaginer patronne du magasin dans 3 ans, si tu fais l’affaire ? »
« Ho sûr, qu’est-ce que tu en dis chéri ? Tu m’enverras tes collègues femmes pour leurs sous-vêtements et masculins pour qu’ils achètent des dessous à leur femme ! Et c’est un temps plein ?
« Non juste le week-end mais tu verras cela avec lui, mais il paye le double comme c’est est des horaires un peu spéciaux »
« Ha oui super mais je… Heu… Comment dire et le week-end quand Marcel est là, on ne se verra pas beaucoup alors, qu’en penses-tu chéri ? »
« Ben faut voir les horaires, hein on verra, tu peux toujours aller pour te renseigner et te présenter ».
Et il ajoute : si c’est très bien payé on peut faire le sacrifice quelque temps surtout si le magasin est en jeu »
« Oui tu as raison, dites-moi docteur, qu’est-ce que vous me conseillez ? De lui téléphoner ? D’aller le voir ? D’envoyer un CV ? »
« Je lui téléphonerais et prendrais un rendez-vous pour toi ».
« Merci Docteur, vous me direz et pour vous remercier je vous inviterai à la maison, hein chéri ? »
« Vous aussi notre voisin préféré ! »
« Heu…oui…heu…bien sûr »
« Alors trinquons à mon nouveau boulot, ou au moins à un entretien ! »
Je prends alors la bouteille de cognac et sers tout le monde, prenant soin de t’en donner un peu plus qu’aux hommes.
On trinque, on boit, on retrinque … Je m’assieds à côté de mon mari, le câline un peu, il faut dire que j’ai envie de lui.
Je propose alors de prendre un bain dans la piscine, Thibo en bermuda retire sa chemisette et plonge aussitôt, suivi de Marcel qui fait de même et alors que je m’apprête à plonger, je te vois rester sur ta chaise, je t’invite à les suivre mais tu me dis :
« Mais Monsieur Éric, vous savez bien que je suis nue sous ma robe »
À suivre…
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