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Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 19

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La matinée du dimanche !

Marie-Claude: Lorsque je me réveille, je constate que Marcel est déjà levé, il n’est pourtant que 07h00, je revêts un déshabillé transparent, et me rends dans la cuisine. Je vois Marcel en train de boire un café, je le rejoins et lui demande si tout va bien.

« Bonjour chéri, que fais-tu debout de si bonne heure un dimanche matin ? ».

Marcel : « heu … Et bien, je me suis réveillé et impossible de me rendormir, je n’arrête pas de me repasser les images d’hier, de tout ce qui s’est passé ».

Marie-Claude : « Ah d’accord, mais c’est toi qui as dit à Éric que tu voulais qu’il me heu…. Enfin tu sais quoi »

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Marcel : « Oui je sais bien mais… »

Marie-Claude : « Mais quoi mon chéri, j’ai bien vu que ça t’excitait de me regarder me faire prendre par Monsieur Éric, d’ailleurs tu as éjaculé combien de fois? »

Puis, je vois une bosse se former dans son caleçon et lui dis :

« Oh mon cochon ! Tu bandes ? Ça t’a bien excité avoue le ».

Marcel : Baissant la tête honteuse dite :

« Oui ça m’a beaucoup excité, mais tu te rends compte de ce qu’il t’a fait faire et tout le sperme que tu as bu, en plus il t’a sodomisée et tu as adoré ça ».

Marie-Claude: « Mon chéri, ça t’excite de dire ça, regarde comment tu bandes mon cochon »,

Tout en disant cela, je passe ma main sur sa bite et le caresse en lui disant :

« Tu as vu mon amour comment il m’a enculé avec sa grosse bite, dans mon trou du cul, et comment je suçais Thibo en même temps ».

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Puis je m’accroupis et je sors son sexe en érection de son short, et commence à le masturber lentement en lui léchant de temps à autre le gland. Je le regarde dans les yeux et lui dis :

« Tu aimes que je sois salope mon amour, ça t’excite hein, tu aimes me regarder me faire prendre par tous les trous comme une grosse salope, qui aime les grosses bites bien pleines de sperme ».

Marcel : « Oui ma chérie, j’aime quand tu te comportes comme une salope, que tu me montres que tu es une chienne docile ».

Marie-Claude : Je me mets à me frapper les seins avec la bite de Marcel, et je crache dessus, mais j’ai à peine eu le temps de la mettre dans ma bouche et de la sucer que quelqu’un sonne à la porte

Je m’arrête brusquement.

Marcel me dit : « Chérie va voir qui c’est, moi dans mon état, je ne peux pas y aller comme cela ».

Marie-Claude : « heu oui d’accord mon chéri »

Obéissante, je me précipite pour aller ouvrir sans penser que je n’ai que ma petite nuisette courte et transparente. Lorsque j’ouvre la porte, je vois la surprise dans les yeux de Thibo de me voir quasi nue lui ouvrir. C’est à ce moment que je réalise que je suis nue ou presque et vous dis :

« Bonjour Thibo, Marcel est dans la cuisine, il va vous offrir un café, pendant que je vais mettre quelque chose sur mon dos ».

« Non, n’en faites rien, vous êtes ravissantes ainsi et puis je vous ai vus dans des positions encore plus hard hier soir ».

Je rougis et j’obéis et accompagne Thibo jusqu’à la cuisine où il salue Marcel et je lui sers un café.

Marcel lui demande : « Mais qu’est ce qui t’amène d’aussi bonne heure ? ».

Thibo : « eh bien je vais être franc avec toi Marcel »,

Marie-Claude: En disant cela Thibo déboutonne son pantalon , le descend, ainsi que le caleçon dans la foulée ce qui a pour effet de laisser apparaître sa grosse bite en érection, et il ajoute :

« Depuis hier soir je suis constamment en érection et je n’arrive pas à me soulager. Ta femme m’a terriblement excitée, et c’est une sacrée cochonne, je peux lui demander de me soulager? »

Marie-Claude : Très excitée par la situation, je regarde Marcel et dis :

« Oh quel cochon, tu as vu Marcel comme il bande le pauvre »

Sans attendre de réponse de mon mari, je m’agenouille devant Thibo et saisie son sexe de la main droite et de la main gauche ses couilles toutes gonflées.

Éric : Alors que tu le suces, Thibo raconte :

« En arrivant, j’ai vu des jeunes assis sur un muret à l’entrée du lotissement qui discutaient, je me suis arrêté et je leur ai demandé si cela les intéressait de donner leur sperme à une belle bourgeoise salope de leur quartier, ils ont immédiatement accepté, aussi je leur ai donné votre adresse et ils devraient venir dans une demi-heure. Ils se prénomment Alain, Maurice, Léon et Jérôme et Denis, mais il y en a que quatre, qui vont pouvoir venir ce matin ».

À ce moment on sonne de nouveau à la porte.

Thibo : « Ce doit être Éric, on s’est donné rendez-vous ici ».

Marie-Claude : « Oh ! Je ne peux pas y aller comme cela »

Thibo : « Oui tu as raison, tu ne dois pas y aller comme ça. Retire ta nuisette et va ouvrir nue, cela va plaire à Éric ».

Éric : Surpris que tu viennes m’ouvrir dans la tenue d’Ève, je te félicite pour ta prise de risque et je salue Marcel et Thibo et t’embrasse, tout en te pelotant les mamelles, avant de m’asseoir à table pour prendre un café en votre compagnie. Marie-Claude me donne une tasse, une petite cuillère et s’assoit entre son époux et moi.

Je sors de ma poche la boîte de pilules et donne un cachet à Marie-Claude en lui disant :

« Tiens ma chérie, n’oublie pas de prendre ton cachet »

Tu me remercies d’y penser, car ce matin tu avais oublié lorsque Marcel demande :

Marcel : « C’est quoi les cachets que tu prends Chérie ? »

Marie-Claude : « heu… C’est des cachets que m’a donnés Thibo pour… Heu… »

Éric : Voyant que tu es gênée d’avouer à Marcel que tu vas louer tes pis, je te coupe la parole et explique :

« Ce sont des cachets pour provoquer la lactation, afin que Marie-Claude puisse allaiter ».

Marcel : « Allaiter ? Mais allaiter qui ? »

Éric : « Des vieux, très riches, amateur de lait de femme, prêt à payer très cher une tétée. ».

Marcel ; « Mais pourquoi? »

Éric : « Pourquoi ? Parce que tu ne gagnes plus assez d’argent et que Marie-Claude va être obligée de louer ses pis pour continuer à avoir le même train de vie, sans se soucier des fins de mois difficiles ».

Marcel une nouvelle fois humilié que je lui dise qu’il ne gagne plus assez d’argent, baisse la tête et sans répondre, boit une gorgée de café, acceptant ainsi que sa belle épouse loue sa poitrine, et pas que…, mais cela, je ne le lui dis pas, pour le plaisir de vieux pervers et aussi le sien.

Marie-Claude : Je bois rapidement mon café, les cuisses ouvertes et vous posez votre main à l’intérieur de celles-ci. Vous remarquez que je suis déjà humide et vous m’en fait la remarque.

« Heu… C’est la faute de Marcel et de Thibo, j’ai commencé à sucer mon mari puis votre ami est arrivé et je l’avais en bouche quand vous avez sonné. »

Et changeant aussitôt de sujet, j’ajoute :

« Bon ! Il faut que je me dépêche de me maquiller avant de recevoir nos visiteurs ».

Éric : « Tu n’as pas écouté les explications de Thibo, il a pourtant été clair, pour ton teint, il n’y a rien de mieux que le sperme, aussi avant de te mettre du rouge à lèvres et te maquiller les yeux, Marcel et Thibo vont se branler devant toi et te lâcher leur purée sur le visage et tu étaleras cette crème de beauté jusqu’à bien la faire pénétrer dans ta peau ».

J’ai dit « se branler devant toi » et non se faire sucer, car je n’ai pas envie de donner ce plaisir à ton mari, ni à Thibo,ce matin.

Marie-Claude : « Bien Monsieur Éric, excusez-moi, mais je pensais que je devais en ingurgiter le plus possible »

Éric ; « Tu auras ta dose avec les jeunes que Thibo à recruter et quand Marcel sera absent, c’est moi qui te fournirais ta crème de beauté ».

Marie-Claude: Ravie d’apprendre que vous prendrez soin de ma peau chaque matin, je regarde Marcel sortir sa queue de son caleçon, et commencer à se branler devant moi, imiter par Thibo. Bien que j’en aie envie, je garde la bouche fermée, attendant de recevoir les spermes de mon mari et de votre ami sur le visage. Comme d’habitude, je n’ai pas longtemps à attendre, avant de recevoir le jus de mon cocu sur les lèvres, les joues et les paupières. Thibo tarde un peu plus.

« Merci pour vos bonnes crèmes »

Et j’étale leurs spermes sur tout mon visage, le front, le cou pour qu’ils pénètrent dans les pores de ma peau. Ensuite, je file dans la salle de bains me doucher, me maquiller les yeux et mettre du rouge à lèvres avant de revenir me joindre à vous dans le salon. Marcel et Thibo sont assis chacun dans un fauteuil et vous dans le canapé. Je vous regarde et demande :

« Comment je m’habille ce matin pour recevoir les invités de Thibo? C’est que j’ai plusieurs dessous sexy que je pourrai mettre dans mon dressing, j’ai même des robes que mon cochon de mari m’avait achetées, mais que je n’ai jamais osé mettre.».

Éric : « Ne mets pas de dessous, juste une robe, la plus indécente que tu trouves. Tu es capable de trouver cela pour me satisfaire? »

Marie-Claude : « Oui Monsieur Éric, vous savez que je ferais n’importe quoi pour vous satisfaire ».

Éric : Pendant que tu t’habilles, Marcel nous sert un second café, puis tu reviens dans une minirobe noire très moulante, qui te couvre à peine le haut des cuisses et le bas des fesses, hyperdécolletée, et parcourue d’entailles ovales sur les côtés, ne permettant pas le port de dessous.

Marie-Claude : Je n’hésite pas un seul instant et m’installe près de vous, les cuisses écartées, appelant ainsi les regards de mon mari et de votre ami sur ma chatte imberbe, mais aussi et surtout vos caresses, espérant que vous allez me doigtez en attendant nos jeunes voisins.

Marcel pour rompre le silence me demande :

« Dis donc chérie, quand est ce que tu t’es rasée le sexe ?

« Heu… Mardi il me semble… Oui c’est cela mardi matin, j’avais envie de sentir ma peau de bébé, lorsque je me caresse ».

Marcel : « Mais enfin, tu sais bien que j’aimais bien tes poils et que je n’aime pas trop que tu sois lisse ».

Éric – « Tu as tort, mon cher Marcel, Marie-Claude est plus séduisante ainsi, et puis c’est beaucoup plus doux à caresser et lorsqu’on lèche, au moins on ne risque pas d’avoir un poil sur la langue ».

Marcel contredit une nouvelle fois et sans argument, se tait alors que j’ai posé ma main sur ton entrecuisse et te caresse, prouvant ainsi à Marcel que j’aime beaucoup le contact de la peau lisse de ta chatte. Puis je glisse un et deux doigts entre tes lèvres et commence à te doigter quand on sonne à la porte.

Thibo supposant que ce sont les jeunes qui arrivent, se lève pour aller accueillir ses invités.
Il fait entrer les quatre jeunes et fait les présentations :

« Maurice, Alain, Jérôme et Léon je vous présente Marie-Claude, Marcel son mari, Éric l’amant de Marie-Claude et je suis Thibo son médecin personnel. »

Éric : Les invités ne quittent pas du regard Marie-Claude, il faut dire que Marie-Claude a gardé ses cuisses ouvertes et que je continue à la doigter. Elle leur sourit, ravie de voir devant elle, quatre jeunes hommes venus spécialement pour elle.

Thibo leur explique que Marie-Claude va les sucer, qu’ils ne doivent pas décharger dans sa bouche, mais dans un verre et qu’ensuite, elle mélangera leurs semences, avant de boire le verre devant eux. Il ajoute qu’ils peuvent insulter, caresser, et doigter Marie-Claude et que s’ils se comportent convenablement, c’est-à-dire en respectant les règles fixées, ils pourront revenir régulièrement faire don de leur sperme pour la nourrir.

Marie-Claude : Ils n’arrêtent pas de me reluquer, je sens leurs regards et leurs envies de sauter sur moi, puis je constate qu’ils ont chacun une grosse bosse dans leur pantalon.

Éric : « S’il y a un ou des puceaux dans la bande, je propose qu’il passe en premier ».

Ils se regardent et Jérôme, plutôt de forte corpulence, pour ne pas dire gros, s’avance en premier, honteux de reconnaître qu’il est vierge. Il doit avoir à peine 18 ans.

Marie-Claude lui tend la main et lui dit :

« Approche, je ne vais pas te manger, juste te sucer »

Éric : Et elle dégrafe le pantalon de Jérôme. Elle lui baisse son pantalon et jugeant que son service trois pièces est de bonne proportion, elle ajoute en regardant Marcel :

Marie-Claude : « Tu as vu chéri, il en a une plus grosse que toi et ses boules, elles ont l’air bien pleines et lourdes ».

De la main droite, je saisis son sexe et lèche son gland et le décalotte avant de le prendre en bouche, pendant que je masse ses couilles de la main gauche. Après une dizaine d’allers et retour dans ma bouche, il se retire et prend le verre pour décharger une grosse quantité de sperme. Je le reprends une nouvelle fois en bouche pour lui nettoyer la bite et dit :

« Merci Jérôme, c’était parfait et quand tu auras l’habitude tu seras plus résistant et maintenant à qui le tour ? »

Éric : C’est au tour d’Alain de s’avancer vers Marie-Claude. Lui aussi est puceau, pas très grand mais athlétique, il a sensiblement le même âge que Jérôme.

Marie-Claude procède de la même façon qu’avec son ami, sa bite est moins longue mais plus large et de belles boules bien pleines. Il ne résiste pas plus longtemps que son ami aux prouesses buccales de Marie-Claude et il a tout juste le temps de se retirer et de prendre le verre qu’il lâche sa purée moins épaisse que la première.

Marie-Claude le remercie pour son don et dit : « Qui vient se faire sucer maintenant ? »

Éric : Maurice s’avance vers Marie-Claude. Plus grand et maigre que ses amis, il semble assez négliger et effectivement lorsque Marie-Claude le désape elle sent une forte odeur de crasse et d’urine. Apparemment, il n’a pas pris de douche ce matin. Maurice a beaucoup de charme et Marie-Claude ne voulant pas le mettre mal à l’aise, ne laisse rien paraître et le suce, le lèche et lui nettoie la bite après qu’il est déchargé dans le verre.

Puis c’est au tour de Léon, le plus charmeur des quatre et probablement le plus jeune. Il doit être tout juste majeur et alors qu’il s’avance vers Marie-Claude, elle lui demande :

« Tu t’es déjà fait dégorger le poireau souvent? »

Léon : « heu… Non Madame… Deux ou trois fois »

Marie-Claude fait comme aux trois autres et alors qu’elle le suce, il demande :

« Je peux vous caresser les seins ? »

Marie-Claude accepte bien sûr, trop contente que celui-ci s’intéresse à ses mamelles et lorsqu’il décharge dans le verre, une quantité inférieure à ses acolytes, elle le remercie de lui avoir bien tripoté les nichons.

Marie-Claude : Je prends alors le verre rempli des quatre semences, les mélanges avec une petite cuillère et portant le récipient à mes lèvres, je bois d’un trait le sperme des jeunes, le gardant bien en bouche pendant quelques instants avant de déglutir la dernière gorgée.

« Oh ! C’est encore meilleur avec quatre spermes, qu’avec trois, j’espère que demain votre camarade, qui n’a pu venir aujourd’hui, sera la aussi ».

Éric : Les garçons étonnés de ta remarque, ont alors la certitude que tu es une vraie salope, s’ils avaient encore un doute.

Je remercie les quatre garçons et leur dit :

« Si vous êtes intéressés, je vous donne rendez-vous demain à 10 heures, mais à côté au numéro 8, Marie-Claude vous attendra avec impatience ».

Les garçons sont à peine sortis que tu viens vers moi et me demande :

« S’il vous plaît Monsieur Éric baiser moi, ces jeunes m’ont trop excitée ».

Je te regarde en souriant et réponds :

« Mais qu’est-ce que tu fais encore habiller, retire ta robe et va sur le canapé si tu veux que je te bourre la chatte ».

Marie-Claude : Vous avez à peine fini votre phrase que j’ai déjà retiré ma robe et je me place à quatre pattes sur le canapé, les cuisses ouvertes. Je m’approche de toi et dis :

« Marcel et Thibo, vous vous ferez sucer pendant que je baise cette salope! »

Je m’agenouille derrière toi et sans autre préambule, je pénètre ta chatte trempée en te prenant par les hanches. Tes seins tressautent à chaque coup de reins et c’est Thibo qui se présente en premier la bite à la main, devant ta bouche.

Marie-Claude : Oui vous pénétrez sans ménagement ma chatte brûlante et tout humide, je gémis très fort, car je suis très excitée et quand Thibo me présente son sexe, je lui bouffe comme une affamée de bite pendant que je branle mon cocu de mari. Puis je vous dis :

« Oh ! Monsieur Éric, mettez-la, moi dans le cul, j’ai envie que vous me défonciez le cul ».

Éric : « Oui ma salope ! Je vais te défoncer le cul, mais patience et suce, tu n’es bonne qu’à cela, te prendre des bites, sac à foutre ».

Te donnant une grande claque sur le derrière, je continue à te bourrer la chatte de plus en plus rapidement, tout en claquant les fesses et c’est lorsque tu jouis que je me retire et t’encule. Je rentre dans ton œillet sans résistance, tellement tu es lubrifiée par ta mouille qui coule de ta chatte.

Marie-Claude : Oui, Alors que je suce Thibo et branle Marcel, vous changez de trou et vous m’enculez d’un seul coup de rein, me pénétrant jusqu’à la garde. Je sens vos couilles tapées sur mes fesses à chaque coup de reins. Thibo a saisi une de mes mamelles et la malaxe et la triture durement, imiter en cela par Marcel. Puis, ils saisissent mes tétons entre leurs pouces et index et tirent fortement dessus.

J’ai les seins douloureux, mais le plaisir que vous me donnez est supérieur à la douleur, mais vous recommencez à me fesser, et ce, de plus en plus fort, faisant rougir rapidement mon postérieur et ce n’est que lorsqu’il devient écarlate que vous cessez de me frapper et me reprenez mes hanches pour vous soulager dans mes entrailles.

C’est Thibo qui décharge le premier en se retirant de ma bouche pour m’asperger les pis, Il est imité quelques secondes plus tard par Marcel et tous les deux massent mes nichons pour bien imprégner ma poitrine de leur crème. Les salauds, ils ne ménagent pas mes seins, les malaxant durement, les tordant, étirant mes tétines pour finir par gifler à toute volée mes nichons qui bougent dans tous les sens.

Éric : Quand je vois comment ils malmènent tes pis, cela m’excite encore plus et je décharge dans ton fion. Je me retire en te donnant une grosse claque sur chaque fesse et te dis :

« Allez ma pute ! Viens me nettoyez la bite avec ta langue, j’espère pour toi que tu avais le cul propre, sinon tant pis pour toi ».

Marie-Claude : Je ne me préoccupe pas de votre dernière réflexion, et je passe ma langue sur votre gland pour récolter les dernières gouttes de sperme avant de vous prendre en bouche pour bien décrasser votre bite. Puis je vais à la salle de bains prendre une douche sachant que vous allez me conduire à la pharmacie pour acheter le matériel prescrit par Thibo.

À suivre…

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